Chapitre 48 : Héritage

Write by ngakomal

Chapitre 48 : héritage

~~ Biboum~~

J’ai garé dans le parking et suis monté à l’appartement. Mes muscles criaient délivrance et je ne voulais qu’une chose, dormir. A peine j’ai franchis la porte que j’ai ressentis ce relent d’une froideur effroyable. Celui qui portait cette charge négative devait faire froid dans le dos. Mon cœur à rater un battement. Danielle !

-          Danielle !… Danielle !… Danielle ! criais-je à tue tête en me précipitant dans la maison.

Un son vin du couloir et un autre derrière moi.

-          Danielle ! criais-je de plus belle. Elle s’est précipitée dans le salon et s’est mise à un mètre de moi le regard inquiet.

-          Quelque chose ne va pas ? tu vas bien ?

-          C’est à moi de te poser la question. La détaillant de mon regard dans l’objectif de confirmer qu’il ne lui est rien arrivé. Je ne voulais avoir aucune explication à donner à Njanè. Qui est venu ici en mon absence ?

-          Comment le sais-tu ? demanda t-elle surprise.

-          Je sais c’est tout. alors tu m’explique ?

Elle a commencé son récit et de tout ce qu’elle a dit, je n’ai retenu que ces hommes nous surveillaient et savaient quand je ne serais pas là. Mon cerveau s’agitais quand j’entendis encore « Glou glou » dans mon dos. Je me suis retourné pour voir Puce se gesticuler dans une petite quantité d’eau essayant en vain de mette sa grosse tête dans l’eau afin de les faire passer entre ses branchies pour respirer.

-          Bon sang ! Danielle je ne t’ai pas demandé de le tuer mais d’en prendre soin. Franchement j’ai  parfois l’impression que tu ne tiens pas à ta tête.  Ne n’imagine pas ce que le prince ferrait s’il arrivait malheur à son poisson.

En même temps que je vociférais, j’ai porté le bocal pour me diriger dans ma chambre. Heureusement que je rentrais toujours avec de l’eau de mer quand j’honorais mes rendez-vous dans les profondeurs. J’en ai pris dans un coin et vers& dans son aquarium. Je le voyais prendre comme un bol d’air et faire des tours sur lui.  J’eu un soupire de soulagement quand elle dit :

-          Elle ne t’a pas tout dit protecteur. Elle est une femme poison. Quand les méchants sont venus, elle a du prendre de l’eau de mon bocal pour se défendre au cas où. Mais quand ils sont partis, son poison s’était mélangé dans sa lance au point de la rendre noire. La remettre dans mon bocal signerais mon arrêt de mort. Vue comment elle est bête, je suis sûr qu’elle n’as et ne connais pas l’antidote.

-          Elle est quoi ? fis-je revenant où mots qu’elle laissant entendre.

-          Une femme  poison j’ai dit. Tu veux me dire maintenant que tu es sourd ?

-          Pardon ? fis-je incrédule.

-          Une femme capable de produire du poison. D’après puce son niveau de toxicité varie en fonction de mon humeur. Déclara Danielle derrière moi après s’être éclairci la gorge.

Je ne savais pas qu’elle m’avait suivi. C’était la première fois qu’elle entrait dans ma chambre et le piteux état dans le quel elle se trouvait ajoutait plus à mon embarras. Il y avait encore les écris de la veille sur les murs. Je ne suis pas bordélique mais avec les événements récents, le rangement était le dernier de mes cousis.

-          Je croyais que cette histoire n’était que des contes pour faire peur où égayer les enfants.

-          Moi de même. Mais je pense que puce à raison… je veux dire que j’en suis une de ces créatures.

-          J’ai toujours raison. Repliqua puce depuis son bocal où il fessait des navettes de folie. Où  as-tu pris cette eau ? elle est superbe ! J’ai fais mine de ne pas l’entendre.

-          Qu’est ce qui le prouve ? tu sais au moins ce que cela implique ? lui demandais-je

-          Non. Mais je sais qu’avec vous je ne crains rien... regarde. Me tendant un petit bocal de prélèvement que Djanè laissait trainer dans mon appartement. J’ai bien vue comme tu en as pris l’autre jour. Toi-même tu te pose des questions et moi aussi je voudrais savoir qui je suis.  Le liquide ci semble plus foncé que l’autre et surtout plus visqueux et plus lourd.

-          La légende dit que vous étiez pourchassées et tuées mais aussi que vous tuez pour un rien juste parce que vous en aviez le pouvoir et que la plupart ne connaissaient pas l’antidote. Tu connais l’antidote ?

-          Comment le pourrais-je … lança t-elle comme si je divaguais. J’apprends a peine que je peux produire du poison sans procéder par l’alchimie des plantes toxique par une poisson qui plus est.

-           Ben quoi ? on ne sait jamais ! m’exclamais-je.

-           Puce dit qu’il y a une personne qui connait l’antidote et qui est aussi femme poison.

-          Qui ?

-          La reine du royaume banni.

-          Se pourrait-il que vous soyez parentés ?

-          Je n’en sais rien.

Nous sommes restés là prostrés chacun dans ses réflexions. Au bout d’un moment, je lui ai demandé de sortir. Je n’en pouvais plus trop d’informations en une fois. La fatigue que je ressentais ci allait me laisser, la bataille était imminente. A cette allure je me ferrais tuer. J’ai replacé Puce au chevet du lit, lui ai donné à manger avant de prendre un bain  d’eau salé. Cette eau était ma thérapie. Je me suis déployé dans cette eau (transformer mes jambes) pour mieux aspirer le sel. Je me suis affalé sur le lit nu comme un vers et j’ai sombré pour me retrouvé en cet endroit.

Le plus étrange est que je me savais endormis dans mon lit. Que ceci était une vision parallèle au rêve sans en être un. Il n’y avait pas de couleur, pas de décors. Tout était sombre. Comme si je n’étais que dans mon subconscient. En tout une chose était clair dans mon esprit cette espace était mien. Mais… Qu’est ce je fiche là ?

-          Si jusqu’à présent tu ne sens pas ma présence en toi c’est que je ne t’ai pas bien formé. Fit-une voix que je reconnaissais comme celui du chef guerrier.

-          Maitre ? maitre ? est-ce bien toi ?

-          Ne pose pas de questions inutiles… je n’ai que quelque heures avant que tu ne te réveille. Je ne sais pas ce qui rend la connexion si fluide, mais je compte bien le mettre à mon profit.

-          je t’entends mais je ne te vois pas.

-          Concentre toi et visualise, imagine moi dans ton esprit et tu me verras.

J’ai suivit ses instructions et moins de 5 min plus tard, il commença à prendre forme devant moi. Je ne sais comment l’expliquer à moi-même. Tout ce que je savais était que je développais de nouvelles capacités. Il m’a tenu les épaule de deux main et a demandé que je me mette a genoux, le fixe dans les yeux sans détourner le regard. Je sentis un fourmillement dans tout mon corps qui avait pour point de départ ses paumes de main. J’ai ressenti une charge cosmique me presser vers le sol tandis que des vaisseaux lumineux quittaient simultanément ses iris et son front pour se connecter au miens. Celui du front avait une forme pyramidale et ressemblait étrangement à l’emblème de l’armée des mers et océans dont Sango Da Sango couronnait avec l’appui du maitre Elimbi. Je sentais l’énergie circuler en moi a travers mon sang, mes veines ou était-ce à travers mon chakra ? Quoi que c’étais, je le ressentais dans mes tripes. Nous avons passé un temps fou dans cet état et à la fin, je me suis senti en possession d’une puissance non négligeable.

-          J’en étais certain ! elle ne te rejette pas. Remarqua t-il après cinq minutes de silences.

-          Maitre qu’est ce que tu m’as fait ? demandais-je bizarrement serein.

-          Tu la sens n’est ce pas ? cette énergie, cette force qui te transperce de part en part et se connecte à tes cellules… oui tu es le digne héritier et responsable de la protection du royaume.  J’ai ressentis le besoin de me connecter à toi. En réalité, elle t’a choisit. Je me fessais vieux de toutes façon. Plus de 800 ans sous ces eaux.

-          Co…comm…. Comment ? je ne comprends pas… essayais-je de m’exprimer tout en tentant de me relever sans succès.

-          Reste calme. Me conseilla t-il. Il est préférable que tu reste coucher pour te laisser le temps de t’habituer à elle. Pendant temps je te parlerais de ce qui me préoccupe au plus. Tu pourras me poser des questions… si tu en a bien sûr.

Il patienta quelque seconde avant de se lancer.

-          Tout a commencé ce jour il y a 700 ans ce cela, lorsque je reçus de mon maitre la charge sécuritaire du royaume. Je n’étais pas préparé tout comme toi.  je ne m’y attendais pourtant pas. Sur son lit de mort il nous a fait appel. Nous étions une quinzaine et l’attraction de sa main m’a littéralement amené à lui. Là, j’ai reçu sur le plan physique cette charge. Il éclata soudain de rire et précisa. Je me souviens encore que l’incubation m’a fait dormir une semaine et a mon reveil, mon maitre n’était plus. Fini t-il sur une tonalité triste. Ne t’inquiète pas d’ici demain matin tu seras debout. Dit-il lorsque cette pensée m’a traversé l’esprit. J’étais moins préparer et trop faible comparé à toi. votre génération évolue très vite. Laisse l’énergie te guider. Toute ma connaissance et celles de tous nos prédécesseurs coulent dans cette énergie. Tu auras connaissance de tout lorsque le besoin se ferra ressentir. Mon contact avec toi est temporaire car je suis encore en vie. Mais lorsque je ne serais plus, je serais présent pour t’apprendre la maitrise.

Ce qu’il disait pour moi n’avait pas de sens. Comment pouvais-je avoir accès à cette énergie alors que celui avant lui était mort. Pourquoi les choses se passaient ainsi ?

-          L’univers sait le royaume en danger. Alors elle cherche les solutions possibles. L’univers par cette méthode rétablie l’équilibre. Réexpliqua t-il. J’ai assisté à la naissance de la prêtresse. Avec elle les choses se corses. Vous avez eu besoin de cette énergie pour contenir les rafales.  Je suis presque mort. Mes organes sont en bouillit parce que ma femme a eu l’idée faramineuse d’augmenter sa dose de poison et comme la dame premier ventre du roi  m’administrait un antidote en petite dose pour que je puisse me rétablir sans que l’on ne puisse savoir que c’était de son fait. Je ne résiste encore que pour cela. Te transmettre l’héritage des princes guerriers. L’univers replace les cartes. Je ne serai plus où je ne serais que l’ombre de moi. Le royaume n’en a pas besoin. Vous devez le prince et toi absolument retourner dans les profondeurs. Le roi ne pourra s’en sortir sans votre aide. Il est seul contre tous.

Il avait dit que je pouvais poser des questions. Je n’en avais pas tant que ça. J’avais pus saisir que savait les capacités de sa femme.

-          Qu’est ce que je fais de ta fille. Elle est du même bois que sa mère.

-          J’ai pu aussi le constaté. Je vous prie de ne pas l’abandonner. Son âme est pure et douce. J’ai de la chance d’avoir été propre d’elle. Ma femme n’a pas eu le temps de l’influencer. J’ai guerroyé durant des siècles. J’ai perdu temps de temps pour construire ma famille…. Elle est la seule chose qui restera de moi. Sans elle ma lignée s’éteindra. Pour l’antipoison spécifique à elle, il suffira que vous fassiez confiance à la mère du prince Njanè. Elle trouvera. Ne l’abandonne pas.

-          Le prince ne l’aurait pas fait de toute façon.

Nous avons conversé pendant des heures en abordant les sujets les plus importants aux moins. J’ai appris beaucoup et je n’ai pas pu m’empêcher de demander pourquoi tant de sollicitude a mon endroit après le rappel de tous les faits qu’il a posé autour de mon enfance.

-          Je me suis simplement dit à cette époque où j’avais espéré avoir un enfant, un garçon, que s’il avait été j’aurais vendu mon âme pour que ce soit toi. tout homme serait fier de t’avoir pour fils.

Après cette déclaration, nous sommes restés encore un moment avant que son image ne disparaisse peu à peu. Je me suis assoupi.

Il y avait encore des relents dans mon corps à mon réveil. J’avais mal mais la douleur était supportable. Je n’avais pas bougé d’un iota de toute la nuit. Puce tournait dans son bocal joyeux en chantonnant les « bonjour » et les « réveil toi ». Je me suis préparé comme chaque matin pour le bureau. Je suis sorti au séjour pour trouvé mon repas de veille servit. Danielle avait pris place et me fixait avec insistance.

-          Quoi ? lui demandais-je sur la défensive

-          Tu t’es regardé dans un miroir ce matin?

-          Non. J’ai des boutons, des bleus où un autre de vos trucks de filles complètement inutile ? dis-je sur un ton qui me glaça le sang à l’écoute de ma propre voix.

-          Non… no…non. S’empressa de répondre Danielle apeurée. Je me demandais juste ce qui s’est passé entre hier soir et ce matin pour que ton aura et ta charge spirituelle soit aussi forte. Elle avoisine voir dépasse celle de mon père.

-          Rien… j’ai dormis… dis-je au ralentis en me rappelant les événements de la veille. Je l’avais complètement omis. Ceci pouvait être vrai ?

J’ai déposé mon cartable sur la chaise et me suis précipiter me revoir dans une glace. A peine j’entrais dans ma chambre que je fermais pour fixer mon reflet dans la glace. Les changements étaient presque imperceptibles. Les pupilles plus dilatés et plus intenses, la mâchoire plus volontaire, les muscles plus seyant et une prestance, une présence…. On aurait dit que je voyais un Njanè avec le visage de Biboum. Le prince guerrier. Ça conne bien n’est ce pas il faut en tenir le prince informé.

-          Qu’est ce que tu fais devant ton miroir comme une raie suivant son ombre dans l’océan pacifique. C’est maintenant que tu réalise ? la bataille est proche et j’ai aussi sentis leur présence autour de ta maison toute la nuit. Prend soin de te camoufler. L’effet de surprise donne toujours un avantage. S’ils ne savent pas que c’est toi, ils ne sauront pas que le chef guerrier est sur le point de mourir. Cache un peu ta pédante !

J’ai ignoré puce qui continuais ses bavardages en relevant mon ignorance et ai quand même suivit ses conseils. Je me suis vue métamorphosé à travers le miroir.

-          C’est encore trop. Soit le toi d’hier soir sans les conséquences de l’explosion d’énergie. Tu sais il y a des gens et des poissons ainsi que des tortues qui ne savent pas le quand du comment et du où…. Continua puce.

Je ne pris pas de temps de l’écouter d’avantage. J’avais fini par comprendre que l’essentiel de ses mots résidait dans les premières phrases. Quand tu constatais qu’elle allait en vrille fallait pas perdre ton temps. J’ai réajusté ma prestance et suis sortie. J’ai pris mon repas et suis sortie pour le domicile de Njanè. C’est en cours de chemin que je me rappelle qu’il avait dormi chez sa petite Reine. Mes lèvres s’étirent en un sourire à ce souvenir.

J’appelle mes collaborateurs spéciaux pour le nettoyage et reconstruction de la maison telle que demandé par Njanè. Ils savent garder le silence et ne posent pas de questions. Arrivé sur place j’ai pris la peine d’avertir le gardien en lui communiquant leur coordonnés. J’ai vidé la maison de tout ce qui pourrait avoir un lien avec mon maître et suis tombé par hasard sur le petit sac de Reine. J’ai tout mis dans ma banquette arrière et foncé chez Estelle. Il est temps qu’elle reçoive son cadeau de deux moi de relations. En tout cas c’est ce que j’ai vue faire ici.

~~~ Sango Da Sanga~~~

Les jours s’annonçais sombre, à part ma Siegue, je ne savais en qui avoir confiance. Nos investigations nous avaient permis en une seule journée de confirmé l’implication d’au moins quinze sur les vingt cinq conseillés du palais. Dame Essono avait eu vent de la conspiration contre ma personne pour mettre son fils  Tchakount sur le trône après ma mort. Je ne sais pas si son silence était signe de complicité où un effet de sa négligence légendaire. J’en ri encore. Ils n’ont pas compris que le trône choisit seul son maitre. Nous servons juste le trône et non le contraire.

La naissance de la prêtresse hier soir a mis les profondeurs, les olympes, les terres et les forêts en ébullition. Juste cette explosion d’énergie avait rétablit certaines ordres dans l’univers. Je n’avais pas compris a quel point le mal était profond. Nous sommes assis entre terres, mers et ciel en réunion d’urgence. Le chef de milice, couronne à ses pieds, continue par sa nonchalance à m’irriter. Dame Siegue m’avait fait promettre de garder mon calme et prendre le soin de ne pas laisser le temps aux autres de comprendre que j’observais. Il me fallait des alliées.

Depuis une bonne heure le débat se fessait autour de la question de retrouver la prêtresse. Les uns étaient pour une recherche effrénés d’autre étaient de lui laisser le temps de venir par elle-même.

-          Comment pouvez-vous penser qu’elle vienne par elle-même ? je commence à comprendre  les propos de feu Nzeu Tchoko quand il parlait que des choses se préparent et ils ne seront pas bonnes. Avant l’explosion de la naissance de la Prêtresse, tous ici avez sentis la pesanteur de l’air et de l’atmosphère. il est plus qu’évidant que laisser faire la nature met en péril tout l’univers. Nous ne pouvons permettre que le mal envahisse ! dit le roi des forêts excepter la forêt interdite

-           La destinée s’accompli avec naturel la forcé où l’aider risque de couper des rites de passages important. Dis-je avec force juste pour la forme.

-          Parfois le destin a besoin d’un coup de pouce. Repliqua t-il avant qu’un autre ne pris la parole.

-          Tous ce que vous dites sont vrai. Nous ne saurons pas où chercher s’il fallait le faire. Dit un autre Chef des sources thermales de surface.

-          J’ai cherché… dit le chef des terres.  Mais en ces lieux il n’y avait personnes. Où était-ce ? demanda le chef des montagnes.

-          C’est toi qui me le demande ? alors que l’épicentre de cette force venait du pied du mont Cameroun en Afrique ?

-          Comment pouvais-je le savoir ? j’étais dans les montagnes canadiennes pour résolution de conflits. Mon retour est précipité pas ces ondes et l’appel du chef de milice.

Tout au long des débats, je ne participais pas trop, mais prenait soin de les relancer avec Energie. J’avais ainsi le temps de constaté l’absence des participations des uns et des autres, les agissements et ceux qui chuchotaient. En un moment donné j’ai vu le chef de milice tressaillir quand un gardien du spirituel terrien (celui qui remplaça Nzeu Tchoko) demanda s’il n’était pas mieux de laisser le trône vide pour assurer que la prêtresse y revienne. Car la vacance du siège permettra que l’univers comble le vide en ramenant la prêtresse au plus vie. Celui-ci était forcement un allier et l’attitude du chez me fit me poser beaucoup de questions. L’en jeux était de savoir qui contrôlerais l’univers après Dieu lui-même. La réponse se situait dans le trône des éléments qu’occupait le chef de milice. Mais puisqu’il fallait une communication directe avec Dieu et que seule la prêtresse avait cette capacité, il fallait corrompre son esprit et la mettre à leur service. Elle occuperait le trône mais obéirait à une autre personne....  non à Dieu.

L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

Par les Eléments