Chapitre 5

Write by St Daniel

- Les chroniques de Saint Daniel -


Titre : *Le monde s’écroule*


Auteur : *Saint Daniel*


_Chapitre 05__


Après avoir embrasser Christophe Anaïs  est resté là contre lui, dans ses bras pendant au moins deux minute avant de bouger. Ses deux minutes étaient resté silencieuse, on entendrait mouche passer. Quand elle s’est retourner, elle a rassuré leurs ami(e)s et s’est retourner vers sa mère adoptive.


Anaïs : Bonjour ou bonsoir ? Je ne sais même plus, le court des choses m’a pris. Sinon salut maman, comment tu vas ? Tu disais vouloir me voir non ?


Mère adoptive : Oui ma fille je vais bien. Et toi ?Comment tu te sens ? Tu as besoin de quoi ?


Anaïs : Bah je vais bien. Je n’ai besoin de rien maman. Mon chéri et moi on se débrouille bien.


Mère adoptive : Je suis vraiment désolé pour tout ce qui s’est passé. Sincèrement jamais je n’aurai cru cela, mais, si vous me le permettez j’aimerai vous venir en aide. S’il vous plait, laissez-moi me racheter.


Christophe : Nous venir en quoi ? (avant que Christophe ne dise un mot de plus Anaïs  met la main sur lui et lui dit de ce calmer avec ses yeux)


Anaïs : C’est bien de ta part, tout ça c’est toi. Cependant je ne vois pas ce que tu veux racheter. Et puis ton mari, mon ex père adoptif a tout dit, vous en avez fait pour moi.


Mère adoptive : Anaïs  ne parle pas comme ça. Ton père …

Anaïs : Adoptif !


Mère adoptive : Je veux juste être là comme je l’ai toujours été. Je ne veux pas t’abandonner. Pas toi aussi.


Anaïs : Tu m’as déjà abandonné quand tu n’as pas cru en moi et n’as rien fait pour moi. Désolé, accepter ton aide c’est insulté mon mari. Sur ce j’aimerai que tu reste loin de nous.


Mère adoptive : Anaïs  ma fille…


Anaïs : A dieu !


Au cours de la vie nous nous perdons sur la route, arriver à un stade il est important de sortir de l’ombre de certains personne pour faire face à sa propre vie. La mère adoptive d’Anaïs  venait de comprendre qu’elle a perdu sa fille adoptive à tout jamais. Elle pleurait, les larmes de son cœur sort de ses yeux,  coulent sur sa joue et meurt sur ses lèvres. Mais rien ne pourra changer le passé.


Christophe a pris la main d’Anaïs et ils ont quitté les lieux avec leurs amis. Sur la route Priscilla n’en revenait de tout ce qu’elle venait d’entendre, les faits sont en désordre dans sa tête. A quelque pas après leurs sortie de l’enceinte de l’internat  ils sont tombé sur une restaurant, Marc avait soif et vu le regard que chacun faisaient Christophe savait bien qu’il doit leurs dire quelque chose. 


Au tour de la table, le silence régnait, on croirait un cimetière.


Priscilla : Anaïs  il faut qu’on parle, on ne peut pas faire comme si de rien n’était. Comment tu as pu me faire ça ?


Anaïs : Quoi ? Oh de ça ? Je suis vraiment désolé. C’est que jusqu’à aujourd’hui je n’arrivais pas à y croire.


Priscilla : Où tu as passé la nuit ? Tu as mangé quoi ?


Anaïs : Ne t’inquiète pas, Christophe a pris soin de moi. (dit-elle en posant la tête sur l’épaule de Christophe)


Marc : Christophe, que la nuit d’hier ce soit bien passé ne garanti pas celui d’aujourd’hui et les autres. Tu comptes faire quoi ?


Christophe : Je laisse demain entre les mains de Dieu car lui seul peut quelque chose pour nous. Cependant pour cette nuit, je veux savoir lequel de vous peut héberger Anaïs ?


Marc : Ok on peut gérer ça. Elle vient chez moi aujourd’hui.


Jeanne : Quoi ? Anaïs  va passer la nuit chez toi ? L’une des mêmes nuits que je rêve passé dans ton lit un jour ? Je peux comprendre la situation mais pas ça.


Marc : Jeanne ! Vous avez déjà fini ? Écoute chérie…

La discussion allait quand Jeanne la petite amie de Marc et Lydia la petite amie de Kevin entre dans la partie.


Jeanne : Pas question ! Je ne veux l’imaginer faire ses trucs de femme dans ta chambre. Non ! Elle est mon amie mais désolé, je ne peux pas ça pour elle.


Anaïs : Hé on se calme là. Je te comprends Jeanne, et je n’insiste pas. On trouvera une solution.


Lydia : Une solution du genre se prendre une chambre dans une auberge ? La chambre n’est pas assez grande pour Kevin et moi mais on peut gérer pour le temps qu’il faut. Christophe j’espère que tu feras vite hein.


Christophe était si surpris qu’il n’a fait que hoché la tête en guise d’un oui. Tous connaissent Lydia, et surtout la façon dont elle n’aime pas voir Kevin avec d’autre meuf. Lydia est le genre de femme qui quand elles aiment elles sont prête à tout. Au cours de l’année académique précédente elle a quitté ses parents pour vivre chez Kevin à cause d’une simple histoire. Et depuis elle n’est plus repartie. Christophe ne s’attendait pas à ce qu’elle prenne une telle décision, et personne d’entre eux ne s’y attendait pas. Maintenant que cette histoire est réglée Marc a proposé à ce qu’ils se mettent un truc dans le ventre avant de se séparer. Ils étaient là entrain de profité du midi chaux quand la tante de Christophe l’appelle.


Tante : Allô ! J’espère que tu as pris la nuit pour penser et que tu as pris une bonne décision.


Christophe : Ouais tantine !  J’ai pris ma décision. Je refuse d’abandonner Anaïs.


Tantine : Christophe !!


Christophe : Oui tantine ! J’ai choisi Anaïs. Maintenant je crois qu’on devrait s’arrêter là.


Tantine : Tu ne sais rien de la vie. Tu n’as que vingt deux ans, Christophe !


Christophe : Oui, c’est vrai je ne connais rien de la vie. Toi tu en connais un peu, moi je connais un peu sur Anaïs.


Sur ce il coupe l’appelle. Quelque temps après ils ont quitté le bar pour se retrouvé dans la terrasse à l’internat. Marc avec Jeanne sont rentré chez eux un peu plus tard que Kevin et Lydia. Christophe et Anaïs  sont restés là à se dire et se permettre de se faire des promesses l’une à l’autre. Lorsque sonne seize heure Christophe amène Anaïs  dans une boutique où elle se paie une neuf uniforme dans les dix mille que l’ami leurs avait offerte le matin. Après ça il l’a accompagné chez Kevin et il est resté là avec eux jusqu’à dix neuf heure. En partant il lui a laissé son téléphone portable.


Anaïs : Tu vas où maintenant ?


Christophe : Je vais passer la nuit chez un ami à moi.


Anaïs : Pourquoi tu ne passe pas la nuit ici avec nous ? Je suis sur que Kevin et Lydia aimerons cela.


Christophe : Je n’aimerais pas abusé de leurs gentillesses. Le faite qu’il t’accueille me suffit.


Anaïs : Ok comme tu veux. Mais promet moi de prendre soin de toi.


Christophe : T’inquiète pas, rien ne va m’arriver. Tu oublie qu’il y a Dieu ? Il sera là à mes cotés.


Anaïs : Bon il faut que je te laisse. Il fait nuit. Salut l’ami de ma part.


C’est ainsi que les amoureux se sont quitté sur des baisé romantique. Dès qu’il est partie Christophe s’est rendu chez un de ses connaissances qui ne fréquente plus l’école. Celui ci l’a conduit dans une usine dans la zone franche où on travail sur horaire de huit heure de temps. A leurs arrivé ils ont patienté pendant une heure trente minute dehors dans le froid de la nuit avant qu’un mec musclé ne vient les faire entré. Le mec a fait le recrutement des personnels et a demandé à ce que le reste qu’il n’a pas recruté patiente là dehors. L’ami de Christophe lui a fait signe disant de patienté, ce qu’il a fait. Plus tard, des gens sortaient de l’usine et ceux qui patientaient aussi partaient une par une. Finalement il ne restait que lui. L’un des sécurités s’était approché de lui et lui demande.


Sécurité : Jeune vous attendez quelqu’un ? Si non, sortez.


Christophe : Oui, le monsieur nous a dit d’attendre ici.


Sécurité : Ah ça fait demain ça. Sortez…


Mec musclé : Attendez ! Vous êtes venu travailler ?


Christophe : Oui monsieur.


Mec musclé : Venez par ici. J’espère que vous êtes un bon travailleur.


Ainsi Christophe a commencé à travaillé dans cette usine. Le lendemain matin ils sont été libérés à six heures trente minutes minute. Alors qu’il attendait son ami pour rentrer celui-ci vient lui apprendre que lui il ne part pas encore car il va encore travailler dans le magasin de la même usine avant de rentrer se reposer et revenir la nuit.


L’ami : Tu peux rentrer en attendant, tu reprends la même route qu’hier ok ?


Christophe : C’est possible de faire ça ?


L’ami : Oui, ce n’est pas celui qui nous a recrutés la nuit qui supervise ici aussi. Donc c’est possible.


Christophe : Je peux aussi ?


L’ami : Ouais si tu veux. Pourquoi tu fais tout ça ? Tu t’es fourré dans quoi ?


Christophe : T’inquiète pas, je te raconterai mais pas maintenant.


L’ami : Ok d’accord ! Viens on va se payer de la bouilli chez la vieille si et revenir. Prie qu’on ait besoin de personnel pour que l’ivoirien là te recrute hein, il fait genre parfois.


Anaïs  vient de se réveiller et est sortie s’assoir dehors à regarder le ciel. Elle est perdu dans sa pensé quand  Lydia s’est réveillé et est sortie de la chambre. Le voyant comme ça Lydia n’a pas voulu la déranger. Lorsqu’il sonne six heures quinze minutes Lydia vient lui demander s’il ne va pas se doucher pour venir à l’école. Ce à quoi elle a dit oui et s’est levé. Elle est partie chercher le sceau qu’elle a rempli d’eau puis s’est dirigé vers la douche. L’être était ici dans la maison mais la personne entière était ailleurs. Anaïs  pensait à tout, surtout à Christophe. Sa question était de savoir où il peut se trouver et ce qu’il peut être entrain de mijoter. Après sa douche elle s’est habillé et attendait là dehors les yeux fixé sur le portail. A croire qu’elle attendait le retour de Christophe.


Kevin : Tu as quoi ? Tu es ailleurs.


Anaïs : Depuis Christophe n’est toujours pas encore arrivé.


Kevin : Ah ne t’inquiète pas. Il doit déjà être à l’école à nous patienter.


Anaïs : Comment tu peux être sur ? C’est Christophe hein.


Kevin : Ouais. Hier Marc lui a filé une de ses uniformes à lui avec un Jordan.


Ce n’était pas rassurant pour Anaïs  mais elle a du faire avec elle. Ainsi ils se sont mis en route pour l’établissement.


Pendant ce temps, Jacques venait de se réveiller. Il prend son téléphone et remarque qu’il a raté le bus pour l’université. Mais il ne s’inquiète pas. Il a pris sa douche puis s’est rendu beau avant de descendre avec son sac à dos à la main. Arriver au salon il tombe sur son père et sa deuxième mère. Son père le fait assoir afin d’avoir une discussion avec lui. Là il lui annonce que sa cousine  Cécile est venu hier nuit pendant que lui il dormait. Son père ajoute que Cécile est venue pour habiter chez eux le temps nécessaire pour faire un stage dans une entreprise de la ville. Le père parlait quand Cécile descend des escaliers avec une tête hirsute et habillé qu’en bikini rouge toute souriante. Dès que Jacques l’a aperçu son téléphone portable qui était fermement dans sa main est tombé. Il n’en revenait pas de la vue. Le père crie Cécile et fait les présentations. Cécile n’ayant plus revu son  grand frère depuis ses cinq ans saute sur lui, l’entoure de  ses jambes et lui fait plein de bisou sur le visage. Jacques sentait sa bite se réveiller. Il l’a poussé à se détacher de lui et lui a dit « content de te voir cousine ». Après ses mots il s’est précipité dans la douche des invités pour réarranger son pantalon avant de se mettre en route.


A midi les cours venaient de finir et Anaïs  n’a toujours pas de nouvelle de Christophe. Elle l’a appelé tant de fois mais c’est sans nouvelle. Elle se demandait où il peut être quand Marc vient la dire que peut-être il est allé voir une connaissance à eux trois. Marc et Kevin ont demandé à Lydia et Jeanne de les patientés qu’ils vont aller et revenir. Mais celles-ci ont refusé catégoriquement. Joachin étant présent a aussi essayer de les a raisonné mais c’était nul comme tentative. Si Jeanne, Lydia et Priscilla veulent écouter leurs hommes Anaïs  elle n’a pas son homme et c’est de lui qu’un parle. Ainsi ils se sont tous rendu à la dite endroit. Arriver les filles sont resté là à patienté dehors pendant que les hommes sont rentrés voir la suite. Un temps après l’entré des hommes voilà Jacques qui sort d’une boutique qui est juste derrière les filles.


Jacques : Finalement je crois nos route sont faite pour se recroiser hein. J’ai regardé cette forme de pute et je me suis tourné tant, tellement que je suis revenu m’avouer que y a pas deux comme toi à s’être façonner ainsi, Anaïs !


Anaïs : Jacques !


Jacques : Content de te revoir. Waouh toujours belle à ce que je vois. Et moi qui pensais que ses deux jours vont te maigrir.


Anaïs : Tu me veux quoi ? Pervers.


Jacques : Oh rien. J’étais juste venu me procurer à manger dans mon restaurant préférer. Tu devrais y aller gouter aussi à leurs plats. C’est les frites tu aimes non ? Elles sont douce là bas. Mais je crois que tu ne peux plus te les payer hein, vu que la poche de papa n’est plus là.


Anaïs : (énervé)


Jacques : Bon à plus. Je veux bien t’offrir deux billets mais avec ta chatte amère je ne vois pas trop l’intérêt.


Priscilla : Jacques ! Comment tu peux parler comme ça ?


Jacques : Toi je ne veux pas t’entendre, pute ! Vous êtes toutes les deux pareils. C’est vrai, qui se ressemble s’assemble.  En passant, j’espère que tu as déjà avorté hein. Tu ne peux pas porter mon bébé.


Anaïs et Joachin : Quoi ?


Les hommes venaient de sortir de la dite endroit quand Jacques parlait de grossesse. A l’entendre Joachin est resté déconnecté une minute. Il est resté figer là au beau milieu de la route, surpris, ému, le mot « grossesse » et « avortement » résonnent dans sa tête encore et encore. Prise de colère à entendre jacques a parlé il s’est approché de lui et la bagarre a commencé. Dans l’excès des choses Joachin vient de poignardé Jacques avec une branche de fer qu’il a ramassé à terre. C’est en voyant Jacques glissé à terre avec la branche en planter en lui que Marc et Kevin viennent de se rendre dans la réalité. Anaïs  est toujours en genou à terre et en pleure. Priscilla en larme court vers Joachin et lui demande ce qu’il a fait, elle lui crie encore et encore en toute larme « qu’est-ce que tu as fait ! Qu’est-ce que tu viens de faire ? » Joachin étant sourde et dégouté par le faite qu’elle le touche de ses mains la repousse avec toute ses forces. Priscilla fait tellement de pas involontaires précipité en arrière qu’elle s’est faite renversé par une voiture.


A suivre…


Chapitre 06


Auteur : Saint Daniel


Titre : Le monde s’écroule 


Les chroniques de Saint Daniel.

LE MONDE S’ÉCROULE