Chapitre 6

Write by St Daniel

- Les chroniques de Saint Daniel -


Titre : *Le monde s’écroule*


Auteur : *Saint Daniel*


_Chapitre 06__


Anaïs  depuis le sol toute chaude et en larme hurle à plein cœur quand elle voit Priscilla se faire renverser par cette voiture. Elle saute et court vers Priscilla. Priscilla avait le sang qui sortait de la bouche et la tête fracassé. Même dans cet état Priscilla essaie de se lever et s’efforce à dire « chérie, excuse moi s’il te plait. Joachin mon cœur écoute moi je t’en supplie ». Joachin était resté là toute étonnée et ébloui par la scène qui vient de se passer. Le conducteur lui il ne savait plus où mettre la tête. Il est resté là à les regardé avec ses mains sur la tête. Il pensait à tout et surtout ce qu’il adviendra de lui car il n’est qu’un chauffeur. Personne n’arrivait à dire un mot à part Priscilla qui se force à se tuer par amour. L’un des conducteurs taxis moto qui s’était aussi arrêté s’est approché et a donnée un coup sec sur l’épaule du chauffeur lui disant de ne pas resté debout là comme un statut. C’est là qu’ils ont fait monter Priscilla dans la voiture et l’ont amené à l’hôpital. Anaïs  est resté à ses cotés dans la voiture, de même que Joachin qui est perdu dans sa conscience.


Plus tard à l’hôpital, tout le monde s’est tue, personne n’arrivait à dire quoi que ce soit. La prière est la seul chose qui occupe les cœurs. Le chauffeur conscient de la situation appelle son patron et lui parle de l’accident. Monsieur PAKER apprenant la mauvaise nouvelle se met rapidement en route et se retrouve à l’hôpital en moins de dix minutes où il retrouve son chauffeur qui le conduit vers le docteur qui vient de sortir du bloc.


Mr PAKER : Bonjour docteur. Comment va la fille ?


Docteur : Elle s’en est sortie de justesse.


Mr PAKER : D’accord. Merci à Dieu. Je règlerai tout dès que je passe à la caisse. Pour l’instant je voudrai la voir. Ça serait possible ?


Docteur : Oui mais il faut qu’elle se repose.


Mr PAKER : Je ne prendrais pas beaucoup de temps.


Mr PAKER : J’appelle une infirmière pour vous.

Une infirmière vient à eux dans moins de cinq minutes et conduit monsieur PAKER dans la chambre de Priscilla.


Mr PAKER : Bonjour jeune fille comment tu vas ?


Priscilla : J’ai déjà mes vingt ans hein.


Mr PAKER : (sourire) OK jolie demoiselle comment ça va ?


Priscilla : Je vous en pris appeler moi Priscilla. Et je vais bien, merci. Dite à qui ai-je honneur ? Je ne vous connais pas.


Mr PAKER : Ah désolé. Je m’inquiétais tellement que j’ai oublié les bonne manières. Je me présente, je suis Peter PAKER, c’est mon chauffeur qui t’a renversé. Je suis vraiment désolé.


Priscilla : Oh ne vous inquiétez pas, c’était juste un accident. Et Dieu merci je n’ai rien.


Mr PAKER : Ouais, rendons grâce à notre Dieu. Bon je vous laisse, le boulot m’attend.


Ainsi monsieur PAKER s’en va laissant Priscilla seul dans la chambre. Ses amis voulaient rentrer la voir mais l’infirmière leurs a dit qu’après ils pourraient car elle doit se reposer. Joachin a insisté à ce qu’on le laisse rester au près d’elle, ce que l’infirmière a accepté suite aux insistances des amis. Joachin est resté là au chevet de Priscilla jusqu’à ce que le ciel ne fasse noir.


Chez Jacques le sourire manquait, à croire qu’il est touché par la scène et qu’il a la peur que son père apprenne la mauvaise nouvelle. Pendant toute la soirée il est resté enfermer dans sa chambre. Ses parents ne l’avaient pas remarqué quand ils sont rentrés.  Cécile sa cousine est rentrée vers vingt heures et a rejoint  son oncle et sa tante à la table en même temps.


Père de Jacques : Comment a été ta journée ?


Cécile : Bien oncle, j’ai aimé.


Père de Jacques : Content. Chérie ? Qu’est-ce que tu as ? Je ne te sens pas ce soir.


Marie de l’oncle : Je vous laisse, je suis très crevé. A demain.


La mère adoptive d’Anaïs  pense tellement à sa fille Anaïs qu’elle n’arrive même pas à manger. Elle s’est rendue dans la chambre où elle s’endorme avec l’une des photos d’Anaïs.


Cécile après avoir fini de manger se rend dans sa chambre où elle prend sa douche de la nuit. Elle se met en bikini et sort prendre un peu d’air dans la cour de la maison tout en lisant un bon roman. Elle s’est perdue dans le monde que décrivait le roman quand Jacques descend aussi à cause de son insomnie de la nuit là. Arriver il remarque Cécile mais il fait comme si il ne l’avait pas vu.


Cécile : Alors cousin aurait des soucis ? Ou c’est juste la nuit qui est agité.


Jacques : En quoi ça te regarde ?


Cécile : En rien.


Jacques : Je te laisse.


Cécile : Qui t’a mis ses rouges au regard ?


Jacques : Ce ne sont pas tes affaires. Tu peux me foutre la paix ?


Cécile s’est levée de sa chaise et s’est approché de Jacques en se mordant ses lèvres. Elle s’est tenu là dans son bikini très sexy qui laisse voir son corps et a approché sa main froide à caresser le visage de Jacques.


Cécile : Tu n’aurais pas pris la meuf d’un bosseur ?


Jacques : Tu es fou ou quoi ?


Cécile : On dirait que j’ai raison hein.


Jacques la saisie la main et la rejette. Cécile le voyant dans les yeux n’a pas pu s’empêché de l’embrasser avant de le quitter en remuant ses fesses.


Christophe avait fini au boulot depuis seize heures et il s’était rendu chez Kevin dans le but de retrouver sa princesse. Jusqu’à ce que la nuit soit tombé, il n’a vu ni Anaïs  ni Kevin ni Lydia. C’est là qu’il a commencé à s’inquiéter et à commencer à la joindre sur son téléphone. Sans aucune nouvelle après cinq tentatives il se rend chez Marc le plus vite. Arriver il remarque l’absence de Jacques aussi. Là il est vraiment pris par la peur. Il appelle Marc ensuite et il prend l’appelle.


Christophe : Marc ? Où est Anaïs ?!


Marc : Elle est là, nous sommes à l’hôpital.


Christophe : A l’hôpital ? Laquelle !!!


Marc : Celle qui est à cent mettre du restaurant où nous dinons.


Christophe coupe l’appelle sans plus rien dire et se rendit à l’hôpital le plus vite possible. Arriver il court dans toute les couloirs à la recherche de ses amis quand il tombe sur eux dans un couloir au deuxième étage. Il crie Anaïs  à l’instant où il le voit de loin et sa dulcinée le remarquant court pour se jeter dans ses bras.


Christophe : Qu’est-ce que tu as ? Qu’est-ce qui s’est passé. Dit moi !


Anaïs : C’est Priscilla !


Christophe : Que j’ai le cœur soulagé. Elle a quoi ? Comment elle va.


Anaïs : Elle a eu un accident. Mais elle s’en est sortie.


Christophe et Anaïs  discute quand Joachin vient leurs annoncer le réveille de Priscilla. Dès qu’il leurs annonce ils se précipitent tous d’entrer dans la chambre. L’infirmière est rentée après eux et après qu’elle a consulté Priscilla elle est repartie.


Jeanne : Comment tu te sens Priscilla.


Lydia : Ouais Priscilla comment ça va ?


Priscilla : A part les maux de crane je vais bien. On rend grâce. Pourquoi vous faite tous cette tête ?


Kevin : Tu sais que tu nous as fait peur ? On a failli…


Priscilla : Ok. Mais c’est juste pour ça que vous me regardez comme si je suis devenu la plus vilaine de tous ?


Marc : Même dans cet état tu es belle, Joachin peut le témoigner. Où est-il même ?


Kevin : Il doit être dehors je crois.


Priscilla : Si j’avais un peu de sein et de grosse fesse j’aurai pu être mannequin hein vous savez ça ? (Rire) En parlant de Joachin j’aimerais bien le voir s’il vous plait.


Kevin : Tu ne manques pas de l’humour même dans cet état. Ok d’accord. On vous laisse.


Plus tard dans le couloir à l’écart des autres la discussion devient tendue entre Anaïs  et Christophe. Anaïs  se sentait mal, très mal au fond d’elle. Elle se disait être la porteuse de malheur et que tout cela n’est que de sa faute. Elle se disait tout et rien jusqu’à dire qu’elle ferait mieux de ne pas continuer son histoire avec Christophe car elle ne veut pas le faire souffrir.


Christophe : Est-ce parce que tu m’aimes ?


Anaïs : Je … Christophe…


Christophe : Est-ce que tu m’aimes !


Anaïs : je …


Christophe : Tu veux te mettre à l’écart de moi parce que tu crains que je t’aime assez ? Il suffit juste que tu me dises que tu ne m’aime plus.


Anaïs : Christophe je suis le mal absolue. Je porte le malheur avec moi ! En moi ! (crie-t-elle)


Christophe : Je serai là entre la vie et le destin, l’enfer et le paradis, la nature et le monde, le ciel et la terre, je serai là au près de toi ! Je serai ton Jacques et ton Roméo, je mourrais pour toi s’il le faut. Il suffit juste que tu me dises… Est-ce que tu m’aimes ?


Anaïs : Je veux juste te protéger ! Cette conversation n’en vaut pas la peine.


Christophe : Il faut d’abord que tu me dises que tu ne m’aimes pas. Que tu ne seras pas la mère de mes enfants. Dit le pour que j’aille faire ma vie, pour que je ne sois plus dans ta vie.


Anaïs : Christophe dans mon monde, les cieux et la terre se heurtent, le destin et la vie se révoltent contre moi. Je serai qu’un enfer de plus pour toi !


Christophe : Je m’en fou ! Est-ce que tu m’aimes !!!


Anaïs : Je t’aime Christophe ! (crie-t-elle) Dès que je t’ai avoué mes sentiments je me suis promis que je les chérirais à jamais. Parce que tu es l’amour de ma vie ! J’aimerais que tu sois l’homme de ma vie. (dit-elle calmement avec sa voix fine)


Christophe : Toi et moi, seulement toi et moi. Allons à l’encontre du monde, allons au zénith.


Christophe prend Anaïs  et la serre fort contre lui. Ensuite il l’accompagne prendre un peu d’air afin qu’elle puisse se distraire. En bas, au portail de l’hôpital ils se sont assis au bord du goudron et Christophe raconte sa journée à Anaïs. Il en profite pour s’excuser pour le faite de ne s’être pas présenter le matin, une excuse qu’Anaïs a accepté en lui faisant un bisou. Les deux sont restés là à discuter sur d’autre chose de la vie en plus de l’étude de Christophe.


Anaïs : Je ne veux pas que tu t’absente souvent, je veux qu’on réussisse cette année.


Christophe : On va réussir chérie.


Anaïs : Comment on le peut si tu partages ta vie comme ça et que tu n’as pas le temps d’étudier ?


Christophe : Je sais qu’on va réussir et je sais que tu seras là à m’aider.


Anaïs : Ouais je serai là chéri.


Anaïs  pose la tête sur Christophe ensuite et les deux fixe ce ciel longtemps avant que Christophe ne commence à lui raconter une histoire d’amour. Ils étaient là quand Marc et Kevin viennent la volé  Christophe. Ils se sont rendus un peu loin afin de discuter au calme. 


Monsieur PAKER toujours inquiète qui vient de finir une soirée passe à l’hôpital afin de voir Priscilla avant de rentrer. Lorsqu’il descend de sa voiture il aperçoit Anaïs  qui est assis au bord de la route.


Mr PAKER : Qu’est-ce qu’une belle femme comme vous peut faire là ?


Anaïs : Elle pense à la vie. Et vous ? Qu’est-ce qu’un si beau homme peut faire là ?


Mr PAKER : Je suis venu voir comme va une belle jolie demoiselle.


Anaïs : Votre femme a eu un bébé ? Waouh elle va être très belle dans son berceau.


Mr PAKER : Non, je n’ai pas de femme. Mon chauffeur a renversé une demoiselle aujourd’hui, c’est pour ça je suis là.


Anaïs : Ah vous parliez de Priscilla ? Venez allons s’y.


Mr PAKER : Vous vous connaissez ? Vous êtes tous belle, mais je crois qu’il y a pas belle que toi.


Anaïs : Désolé je ne vous ai pas prêté attention, vous disiez ?


Mr PAKER : Je disais juste que je n’ai jamais vu de bébé plus beau que vous.


Anaïs : Merci du compliment. Vous venez ?


Anaïs  a conduit monsieur PAKER jusqu’à la chambre de Priscilla. Sur la route ils ne se disaient rein, chacun était dans son cœur. Anaïs  priait son Dieu pour la santé de Priscilla et remettait aussi leurs vies à elle et Christophe entre ses mains. Monsieur PAKER lui il regardait Anaïs  et pensait déjà elle comme sa femme. Sur la route ils ont heurté Joachin qui est en voie de quitter l’hôpital. Plus tard dans la chambre de Priscilla.


Anaïs : Priscilla dit qu’est-ce qui est arrivé à Joachin ?


Priscilla : Dit moi tu peux vivre sans l’homme que tu aimes ? Je veux dire que sera ta vie sans lui ?


Anaïs : à vrai dire je n’y ai jamais pensé hein. Donc je ne peux pas répondre.


Priscilla : J’ai l’impression que cette nuit je verrai la mort.


A suivre…


Chapitre 07


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LE MONDE S’ÉCROULE