Chapitre 50

Write by Rayassane

Eh !! ne me regardez pas comme sa D'accord je sais que vous chercher à comprendre de quoi il s'agit, l'acte en question ! Ok je vous explique 

Un soir après mes ébats sexuel avec Maestros, je n'ai dormi qu'une heure car ce n'est qu'au petit matin qu'ils partent me déposer lui Ou Son garde. Je n'avais plus sommeil aux environs de 2 h Alors je suis descendu dans la cuisine prendre un verre d'eau lorsque j'ai été surprise de voir Cendro une bouteille de bière à la main avec un portable sur La table Et des feuilles . 


Flashback 


Les gardes de Maestros font Tous peur avec leurs tailles Et leurs corpulences tu crois avoir devant toi des bloques de neige en plus ils sont toujours sereins comme s'ils ont suivi des cours pour ça. Je fais sortir la bouteille d'eau et m'en serre un verre 


: Tu n'as plus sommeil 


Je lève la tête légèrement et le fixe Sans bien voir son visage Dans La pénombre de la nuit nous sommes juste éclairés par une lumière tamisée du salon Que j'ai allumé 


Moi: apparemment et vous aussi (il se met à ranger ses feuilles dans un sac ainsi que le portable)


:Tu ne prends pas plutôt une bouteille avec moi le Temps est trop frais sa pourrait te réchauffer 


Moi: Merci c'est gentil j'avais juste besoin d'eau 


: T'aurais pas dû descendre avec cette tenue tu sais que nous ne sommes pas des saints ici 


Moi: désolé je pensais être seul Et puis je ne suis pas là pour longtemps


Il me Regarde avec un drôle de sourire. Je n'avais qu'un string sous ma nuisette qui n'était même pas fermée et mes seins se dessinaient sous le tissu je tire dessus comme s'il pouvait faire le tour c'est pourtant le but de ce genre de tenues être presque habillé . Centro me fixe de plus en plus, 


Ils se lèvent et je me crispe, je bois mon eau d'un trait et je vais le déposer dans le levier et entreprend de sortie Mais il me bloque le passage. Il enlève mon bout de tissu et La je me retrouve en string et les seins en l'air, bizarrement je ne bouge pas je ne l'interdis pas je ne crie pas, parce que son contact est chaud ses mains son chaude son corps aussi . Il est pourtant en teeshirt et en short Mais je ressens toute sa chaleur. j'ai remarqué la bosse qui déforme le coton de son shirt. Il me sourit toujours. Il me prend la main et s'assoit sur la chaise de table de cuisine Il me serre dans ses bras pour me réchauffer. Ça me fait du bien. Puis, petit à petit, il me caresse le dos, j'en ai des frissons de la tête aux pieds. Il m'embrassait dans le cou, sa respiration devient de plus en plus rauque, son short commence à laisser deviner un sexe tendu et de bonne taille. je sens une chaleur me traverser le corps. Son regard par de mon visage à mes seins, il m'embrasse encore sur la bouche et je le reçois volontiers.


Fin de flashback 


Diriez-vous que je suis tombé sur la tête ce jours-là. Oui je vous le concède je ne sais vraiment pas pourquoi je n'ai rien fait et je n'ai rien dit pour l'en empêcher, et puis je ne vais pas vous laisser sur votre fin 


Retour au flashback 


Je caresse doucement sa cuisse. Il passe une main sur ma nuque. De l'autre, il me touche les nichons, je frissonne au contact de ses doigts, il pince mes tétons. Sa langue joue avec la mienne. J'empoigne son sexe dur, et il glisse une main dans mon string. Ma petite chatte est  bien mouillée. Je gémis doucement. Il m'embrasse dans le cou les oreilles sa langue est chaude mon bas-ventre me clamait son dû je ne me contrôle plus je veux le beurre et l'argent du beurre je veux le sentir en moi. Son sexe est tout déformé dans ma main et demandait seulement à sortir il me doigte avec une douceur sans pareille je peux sentir son doigt entré et sortir tous en sachant de Quel doigt il s'agit 


Lorsque subitement nous fûmes interrompus par un bruit... je me détache de lui Sans savoir d'où provient le bruit ramasse ma chemise à même le sol Et cours me réfugier dans les toilettes. Comme si ma conscience était revenue de ses vacances mais je n'ai pas pleuré, je n'étais pas énervé, j'étais juste troublé. 


Depuis ce jour je l'évite au maximum


Nous sommes au mois de décembre 


Je me réveille la tête en compote je décide quand même de descendre appeler ma soeur ma mère ne veut plus me parler depuis la Mort de papa Alors il n'y a que ma soeur Que j'appelle. J'ai pu financer ses études pour l'Amérique c'est bientôt son départ Alors on reste beaucoup en contact pour Que j'ai les News de la famille. J'arrive à la salle d'appel Et je compose le Numéro de ma soeur. Quand personne ne décroche j'ai le coeur Qui bat à cent à l'heure, je retente et c'est ma mère Qui décroche 


Moi: à ... à Allô 


Maman: c'est qui à l'appareil 


Moi: Maman c'est Moi 


Maman: Toi Qui ?? 


Moi: Moi namysita ta fille 


Maman : J'ai compté Tous mes enfants ils sont tous ici c'est Toi Qui 


Moi: N'an!!! 


Maman: ah ! donc j'ai un enfant, Sita tu entends sa j'ai un enfant Que je n'ai plus revue depuis Que ce dit enfant est parti pour l Europe et cet enfant veut m'arracher un autre enfant j'ai perdu un enfant un mari Et on veut encore m'enlever un enfant  impossible (j'entends des personnes la calmer mon coeur ce brise et mes larmes coulent, je veux pourtant bien fait les choses en aident les autres à devenir ce que Moi je n'ai pas pu devenir maman ne touche même plus à mon argent Alors je le donne à mes frères et soeurs sa aussi Elle m'en empêche) écoutent moi bien salle enfants, enfants maudit qui a oublié d'où Elle vient laisse mes enfants mes dignes enfants en paix on ne veut rien de Toi reste dans ton Europe Et laisse nous Dans Notre pauvre Afrique ce n'est pas La peine de nous envoyer tes millions on n'en as rien à faire 


Moi:maman écoute-moi


Bip Bip Bip 


Nonn encore !! je les ai cette fois perdus je crois ! Cinq ans que je suis ici Et déjà c'est la misère. Je me lève et me dirige dans ma chambre 


Des heures plus tard 


Kevine: Wouuuuuuuuuuuu


Moi: tu peux fais moins de bruit 


Kevine : no n'nnn c'est la fête ma fête ils ont signé ma pétition 


Moi: quoi !! Tu es sérieuse ( je La Regarde tout ébahi)


Kevine : pourquoi je vais blaguer avec sa Regarde là .... sur ce papier 


Je lis sur le contrat de liberté et je suis émue enjouée heureuse de savoir que ma moitié est enfin libre de sortir d'ici, 


Moi: et c'est Qui ?? 


Kevine : c'est écrit noir sur blanc et puis bah on s'en fout de Qui c'est 


Moi: aha haha c'est le Sena ! vient dans mes bras je suis trop heureuse pour toi ma petite fée... tu vas partir pour laisser maman 


Kevine: Arrête ne me fait pas pleuré 


On éclate tous deux en sanglots, je savais qu'il allait la fait sortir Mais je ne savais pas Quand, Oh ! je suis tellement heureuse pour elle plus de 8 ans dans une Maison close ce n'est pas une petite affaire enfin elle pourra voir sa famille ses amies, on reste couché l'une près de l'autre Toujours en larmes 


Kevine: tu n'as jamais eu envie de me faire l'amour 


Moi: pourquoi tu es bête (Elle arrive toujours à me faire rire même Quand je suis Mal ) 


Kevine : bah tu rates ta chance de me goûter 


Moi : je vais m'y faire LOL 


Kevine : tu promets de t'accrocher finalement à Quelqu'un 


Moi: si quelqu'un s'attache à Moi 


Kevine: tu sais que c'est Toi Qui décides ne laisse plus les hommes faits de Toi ce qu'ils ont déjà fait l'amour à l'eau de rose ça n'existe pas il faut un peu de piment


Moi: LOL je vois ne t'inquiète pas on se croisera à la sortie mon bébé 


Kevine: Yes ma bessi je t'aime 


Moi: je t'aime aussi 


Kevine : je le savais tu es amoureuse de moi 


Moi: tes trop bête 


On commence à se lancer les oreillers comme on le fait pour se chahuter elle va tellement me manquent ma folle adorée j'espère qu'on se reverra... je ne lui dis rien de mon Histoire avec La famille pour ne pas gâcher sa journée... on s'amuse a rigolé Mais au fond j'ai mal pour tous

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