CHAPITRE 6

Write by Phyphy

* Dans une banlieue de Bruxelles*


Je retourne chez moi en clopinant. Je regarde autour de moi et mes yeux s'attardent sur un couple de junkies. Ils sont au plus mal. Mais cela m'est bien égal. J'atteins enfin ma maison. Si on peut appeler cela une maison. C'est juste un pavillon, mal entretenu avec des plantes poussant ici et là. Je tourné le poignet poisseux de la porte. Elle s'ouvrit en grinçant. Je jette mon manteau sur la première chaise que j'aperçois et passe devant le salon avec l'intention de monter dans ma chambre. Je vois ma mère assise dans le canapé regardant son émission favorite. Elle tourné ma tête et me fixe. Elle a dû sentir ma présence.


- Tu m'as senti Maman ?

- La porte a grincé idiot, fait-elle en détournant la tête. Je dis de même et m'apprêtais à partir lorsqu'elle eu le bon cœur d'ajouter :

- D'autres factures sont arrivées. J'imagine qu'on se fera encore coupé sous peu! J'aurai dû rester chez moi en Côte d'Ivoire. Au moins là-bas je mangeais plus de quatre fois par jour et personne ne venait me couper l'essentiel. TCHRRRRRRRRUUUUUUUU!

Je m'en allais pour ne pas péter un câble. Je poussait la porte de ma chambre et m'allongeai sur mon lit. Je fixe la photo que j'ai collé au plafond. Elle et moi. Nous sourions. C'était à une foire. Nous étions si heureux. 


* Flashback*

Je l'ai connu lors d'une soirée organisée par un ami.  Sa beauté et son rire franc m'ont de suite frappé. Hypnotisé, je me suis diriger vers elle. Elle semblait surprise qu'un inconnu s'adresse à elle. Je compris que c'était sa première fois. Nous avons passé toute la soirée ensemble. Son prénom, aussi mielleux. Fine comme une liane, avec des courbes où il faut. Une reine. 

La soirée s'est bien déroulé et nous avons échangé nos contacts. Elle habitait à Cocody et moi j'étais un pauvre mec de Yopougon.

De jours en jours nos liens devenaient plus fort jusqu'au jour où nous nous sommes embrassé pour la première fois. J'ai su que ce serait elle la femme de ma vie. Mais hélas, j'avais l'alcool et les femmes comme vice. J'ai tout foiré. Et elle m'a quitté..........

*FIN DU FLASHBACK*

J'étais perdu dans mes souvenirs lorsque ma mère entra à toute volée dans ma chambre. 

- Il y a une dame pour toi! Je compris et lui dit que j'arrivais.

Je descends dans le salon et la voit assise dans le canapé. Je vis une enveloppe sur la table et ma mère tout sourire. 

- Merci pour le café Madame. Il était excellent. À bientôt.

- De rien ma fille. Tu reviens quand tu veux ! 

Nous sommes sortis. Nous nous installons dans sa voiture. Elle démarra sans mots dire. J'en ai l'habitude. Elle tourné trois fois et se garer dans un coin sombre.

Elle coupe le moteur et se tourne vers moi.

- Alors? 

- Il n'a pas cédé ! Il a menacé de tuer ma mère.

- Et? Ça ferait un poids de moins. Elle ne sert à rien de toute façon cette vieille folle. Même pas capable de préparer un bon café ! 

Je l'attrape violemment par le cou et lui dit:

- Plus jamais tu ne parles ainsi de ma mère ! Jamais !

Elle me regarda et éclate de rire. Soudain elle prend mon bras et le fait glisser sur sa cuisse. Je me dresse automatiquement. Je vous l'avais dis. C'est un sérieux vice pour moi et elle savais s'en servir. Je sentis la chaleur de dégager de l'intérieur de ses cuisses. Elle continua à me diriger et d'un geste me dis enfoncer les doigts au creux de sa féminité. Je ne me dis pas prier. 

- Hmmmmmm, bien bander à ce que je vois, Alan. Elle se passa la langue sur les lèvres en une grimace coquine. 

- Sors de la voiture. Elle descendit en faisant rouler son boule. Je descendit en me branlant. Elle s'accroupit devant moi et se mit à me la caresser dans un va et viens lent. De quoi faire hurler un prêtre. Je me laissait aller. Elle mordillait mes tétons en même temps. Puis je senti ses lèvres sur ma queue. Elle commença en de petit mouvements puis accelera. Alors même que j'étais au bord de la jouissance, elle s'arrêta.

- Tu aimes ?

- Pourquoi tu t'arretes ?

Sans mots dire, elle monta sur le capot encore chaud et m'ouvrit ses cuisses degoulinantes de mouille. Je la tirait vers moi et commença à la caresser du bout de mon pénis tout doucement. Ce qui eu le don de lui arracher des gémissements. Puis je la penetrai d'un coup. Elle hurlait comme une chienne. 

- T'aimes ça einh! Cochonne !

- Rhan oui, continues. J'y allai de plus belle. Je la mis à quatre pattes dans le gazon puis lui tirait les cheveux. Elle cria de plus belle. Puis je me senti brusquement projeté en arrière.

Je voulais me défendre lorsque je remarque des flics. Putain! Non!

- Ça va madame ? 

- Il.... Il m'a vi.... Violé !

Je tombait des nus! Elle avait tout calculé. Salope! Je remarquai des griffures et autres bleues.

- Centrale, ici l'agent Blue. Avons besoin d'une ambulance et d'un véhicule. Un jeune homme entrain de violer une jeune dame sans défense........ Bien reçu.

10 minutes après une voiture de police vint suivi d'une ambulance. Elle avait un sourire victorieux sur les lèvres. Je n'avais pas placer un mot. J'étais choqué.

On le lit dans la voiture et là je le mis à hurler. Elle s'approcha de moi et me dit à l'oreille :

- Penses-y en taule. Soit tu portes tes couilles et tu m'aides , soit je te laisses croupir et ta jolie petite maman ne reverra plus son fils. Tchao. Appelles moi si tu changes d'avis!

Et la voiture démarra.


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