Chapitre 6 : Papa est à maman et à personne d'autre ...!

Write by Choucha010

#Partie_6 : Papa est à maman et à personne ! Ibrahima est venue me chercher. Dans l’avion on était assis côte à côte, il me prenait la main et n’arrêtais pas de répéter à quel point il m’aime et qu’il a hâte que je sois officiellement à lui. Je n’ai pas senti quand je me suis endormie. - Bébé réveille-toi, on est arrivé. - On est arrivé ? - Oui, et ça me gâche quand même le spectacle. - Spectacle ? - Tu es si douce, innocente belle quand tu dors. - Aaaaah quand je dors seulement ? - Nooon tu l’es de nature, ce que je voulais dire…enfaite je ... - Shuuut ! lui dis-je en lui mettant le doigt sur la bouche. J’ai compris mais juste que j’aime te taquiner. Il prend ma main et me regarde bizarrement. - Qu’est-ce qu’il y’a ? - Matel ou es ta bague ? - Ma… Oh non ! Je regarde ma main, ma bague de fiançailles n’y était plus ! Oh mon Dieu maintenant je me souviens. Salif l’avais enlevé quand on faisait l’amour. Il disait que je l’appartenais à lui et à personne d’autre. Il m’avait sucé le doigt pour l’enlever alors. - Matel, je t’écoute. Où-est-ta-ba-gue ? - … - Réponds-moi s’il te plait, où est ta bague ? Je ne sais même pas quoi dire, je suis foutue. - Réponds bon sang ! - Tu ne cries pas sur moi ! - … - Tu as bien dis ma bague Ibrahima Ndiaye, donc je n’ai pas de compte à te rendre là-dessus ! - Tu es sérieuse là ? Je te parle du symbole de notre amour de…de…notre union. - … - Ce qui symbolise que tu m’appartiens Matel! Tu m’appar… - Rectification Ibrahima Ndiaye ! Je n’appartiens à personnes, je ne suis la propriété privé de personne ! Il me lança ce regard à travers lequel je pouvais lire tous les efforts qu’il était en train de fournir pour se maîtriser mais je ne pouvais plus m’arrêter. C’était plus fort que moi. -  Que ça symbolise notre amour ou pas c’est MOI qui la porte, pas toi ! J’ai assez mal en ce moment pour te permettre d’en rajouter ! - Ah ouais ?! - Oui ! Tu continues, j’irai passer la nuit dans un hôtel et demain je rentre chez moi à Ziguinchor et ça sera la fin ! A toi de choisir chef ?! - Tu me déçois Matel. Dit-il d’un air amer. L’entente de cette phrase à suffit pour déclencher un sentiment de culpabilité en moi. C’est comme si on venait de me poignarder en plein cœur de façon inattendue. Il se leva, sans rien dire de plus, pour se diriger vers la sortie de l’avion. A peine je le vois s’éloigner que je m’en veux déjà d’avoir été si dur avec lui. Je ne tardai pas à le suivre. Je sens que mes propos l’ont plus attristé que mis en colère. Il est innocent mais je ne peux pas m’empêcher de lui en vouloir de mon Malheur. Pourquoi ? Parce que c’est Salif que je veux, pas lui ? Salif, et pas lui. A peine je découvre son amour pour moi, il me haie. Au fond de moi je sais que je suis l’unique responsable. C’est aussi de ma faute, pas le sien. Il n’est pas fautif. Au contraire, dans cette histoire c’est lui qui a été trompé. Aaah mon Dieu ! Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Je risque de le perdre aussi. Il faut que je me ressaisisse. Je ne peux pas laisser mes sentiments prendre le dessus. Il était en train d’attendre nos valises dans la salle. Je sais qu’il est actuellement en train de se contrôler. J’essaie de lui tenir la main pour détendre l’atmosphère mais il la retira immédiatement. J’ai mal. - La bague je … - Matel je ne veux plus en parler, ça suffit. - Ok, comme tu veux. Il me lança à nouveau ce regard perçant auquel je commence à m’habituer depuis ce matin. M’excuser arrangerait peut être les choses mais l’orgueil ne me le permet pas. Que vais-je faire maintenant. J’aperçois ma valise je me dirige vers. - Laisse ! Prend la mienne, elle est plus légère. - Non, merci ! Tu ne veux pas me parler alors ne touches pas à mes affaires. Il stoppa net, me regard l’air stupéfait. - Ok. Dit-il en prenant sa valise pour ensuite s’éloigner. - C’est tout ?! J’étais bouche bée. Il était censé insister. Il lui arrive de se fâcher contre moi mais jamais au point de me délaisser comme ça. C’est si grave je que je lui ai dit ? Il faudra que j’appelle Sofia pour qu’elle me retrouve cette bague. Je marche derrière lui et j’avoue que ça me fait bizarre. On vient tout juste d’arriver au Sénégal et ça commence déjà mal. - Madame ! Madame ! Je me retourne et c’est de moi qu’il s’agissait. - Votre écharpe, vous avez fait tomber votre écharpe. C’est un bel homme, grand et très élégant. Je le reconnais, on était dans le même vol. C’est le genre avec qui j’aurai bien pu rendre jaloux Ibrahima, mais vu la situation actuel il ne faudrait surtout pas que j’aggrave la situation. - Oh merci ! C’est gentil. Dis-je en la récupérant pour ensuite m’en aller, Ibrahima était en train de m’attendre. - Attendez, s’il vous plaît ! - Matel c’est toi que j’attends ! dis Ibrahima - Excusez-moi, mais il y’a mon fiancé qui m’attends. On est pressé. - Oh je vois ! Au revoir Matel. Je lève les yeux pour le regarder à nouveau, ça m’a fait bizarre qu’il m’appelle ainsi car Matel c’est seulement pour les intimes. Je suis partie ensuite le rejoindre immédiatement. - Tu t’éloignes et tu ne veux pas qu’on s’approche de moi. Dis-je pour taquiner Il s’arrêta de marcher. - Matel Ma…Mate…Ma… je…je te jure que je te laisserai pas me rendre fou ! Jamais ! Tu… tu… - Ibra françaiiiiiiiiiis ! On est làaa ! (S’écria quelqu’un) La voix me semble familière, je tourne à droite c’était Paulèle. - Attends c’est toi…Ibra Français ! dis-je en tentant de sourire. Cependant il n’y avait aucun signe pouvant me donner espoir que ça ira. J’aurai juste pu lui dire que je l’avais certainement oubliée dans la douche. Et c’est seulement maintenant que cette idée me vienne à l’esprit. Elle se rapproche de nous très souriante. C’est une très belle femme au teint marron qui n’a rien à envier à Kim Kardashian coté forme. - Non pas toi Ibra Français, je vais d’abord saluer ma futur belle-sœur, en me faisant la bise. Oh mais tu es plus belle en vrai que sur les photos qu’Ibra Français m’a envoyé. - Arrêtes de m’appeler comme ça ! dit il Elle est belle mais son maquillage est mal fait, ses sourcils trop noir c’est comme si elle les avait tatoués. - Merci ma chérie, tu es très belle aussi - Paulèle tu ne peux pas arrêter de porter ces genres de vêtements s’il te plaît ? dit Ibrahima. - Hééyy Iran Ndao ne recommence pas ! n’est-ce pas je t’ai dit de me chercher un bon mari parmi tes amis et tu as refusé non ? Alors laisse-moi chasser comme je veux. Je n’ai pas raison Matel ? - Oh Si si tu as parfaitement raison.  Elle avait porté une robe moulante, mis de long cheveux naturelle blonde, des faux ongles, faux cils. Je peux dire qu’elle aime prendre soin d’elle tout comme moi à la différence que je ne rate jamais mon maquillage. Elle est très marrante apparemment. Elle me fait penser à ma copine Leila avec son discours de femme célibataire. - Allez viens Matel, le chauffeur et Ibra porterons les valises. Tu dois être fatigué. - Juste un peu, mais t’inquiète. S’il y’a une chose qui m’a semblé bizarre c’est la façon dont le chauffeur m’a regardé. C’est ce genre de regard qui ne nous laisse jamais sans interrogation. Ibrahima était assis au-devant de la voiture, silencieux au milieu de notre discussion. Quand sa sœur m’a demandé ce qu’avait son frère il s’est précipité de lui répondre qu’il était juste fatigué. Il est quelqu’un d’expressif. - Arrivé, tu vas te reposer on t’a déjà préparé une chambre, heureusement en ce moment les enfants sont en train de dormir. - Merci c’est gentil. - J’ai été surprise quand il m’a demandé de te faire une chambre à part, ça montre que tu es une vraie africaine. - Je n’ai pas compris ? - Paulèle, Matel est fatiguée arrête de l’ennuyer avec tes histoires. - Mais quooiii ?! Je n’ai plus le droit de parler avec ma chérie. D’ailleurs tu as fait un bon choix elle est mille fois plus belle que cette sauvage. - Ça suffit Paulèle ! Ce n’est ni le moment ni l’endroit pour tes histoires  là, s’il te plaît. La réaction d’Ibrahima m’a aidé à comprendre que c’est de son ex-femme qu’elle faisait allusion. Je ne la connais pas assez mais j’ai la sensation que mes idées à son propos n’étaient pas fausses. Elle semble être une personne qui ne sait pas tenir sa langue, une peste. Si elle ne se gêne pas de parler comme ça de l’ex-femme de son frère devant moi ça voudrait dire qu’elle serait capable de dire pire sur mon dos. Je ne peux pas lui faire confiance. - Je suis contente de te rencontrer enfin. Dis-je pour relancer un peu la discussion et détendre l’ambiance. - C’est pareil pour moi Matel ou devrais je t’appeler Madame Ndiaye. - Hummm, pourquoi pas j’avoue que c’est plaisant. Trente minutes après on est arrivé à destination. J’avais en face de moi une belle et grande villa toute blanche avec des fleurs partout et des cocotiers à la devanture de la maison. La décoration de l’intérieur était juste magnifique. Je savais qu’il avait une belle maison mais pas belle à ce point. - Elle est très belle votre maison. - Merci. C’est désormais ta maison n’est-ce pas Ibra ? - Si bien sûr ! Accompagne-la dans sa chambre. …Lamine (Le gardien) aide les avec la valise. Moi j’amène la mienne. Je le regarde et sa façon d’agir depuis notre arrivée me fait du mal. Pourquoi demander à sœur de m’accompagner si lui il peut le faire ? Décidément il n’a vraiment pas envie de me parler et ça devient gênant. - Non c’est à toi de l’accompagner, moi je peux m’occuper de ta valise. J’en suis sûr c’est ce qu’elle préfère. N’est pas Matel. - Oui ! Le « oui » est partie tout seul. La façon dont je me suis précipité de le dire a amusé Paulèle. - Tu vois Ibra, elle n’attendait que ça. Il prit ma valise sans dire mot. Il monte les escaliers et je le suis. - C’est ici ta chambre, deux chambres nous séparent celle de Leila et d’Aziz. La chambre qu’on vient de dépasser c’est celle de Mossane. Ceux sont ses enfants, mes beaux enfants : Mossane 13 ans, Leila 8 ans et Aziz 5ans. - La salle de bain est juste là. - Pourquoi tu me traite comme une étrangère ? (Dis-je en m’approchant davantage de lui pour lui tenir la main). Pour dire vrai, la bague je… - Je n’ai plus envie d’en parler ! (Dit-il en retirant sa main). C’est ta bague et tu t’en fou de ce que cela signifie ! OK J’ai compris, c’est bon ! - Noon ! comment peux-tu dire cela ? Ecoutes moi s’il te plaît. Tu as mal interprété mes propos, bien-sûr que non je ne m’en fou pas, - Il se fait tard et j’ai beaucoup de choses à faire demain. Bonne nuit. - Bébé attend ! Il est partie sans vouloir m’écouter. Je me jette sur le fauteuil désespérée. Je n’arrive pas à retenir mes larmes. J’en ai marre ! Je suis fatiguée. Pourquoi, à chaque fois il faut que je gâche tout, Salif ensuite Ibrahima. Je ne l’ai jamais vu comme ça et ça me trouble davantage. Cette douleur que je ressens vis-à-vis de son comportement me surprend. J’ai le sentiment d’avoir peur de le perdre, plus que je ne pouvais l’imaginais. Je regarde ma montre il est 01h47. Je m’efforce de me lever pour aller ranger mes affaires dans l’armoire et la coiffeuse qui m’ont été désigné. Je ne peux jamais dormir sans avoir rangé, c’est mon côté un peu maniaque. Dans une des armoires il y’avait des habits de femmes, vu la taille je suppose qu’ils sont à Paulèle. J’espère qu’elle les récupérera car je n’aime pas partager mon armoire. Ça va peut-être changer quand je serai mariée, comme le pense maman Jeanne, mais pour l’instant c’est hors de question. Je finis de ranger j’enchaîne avec la douche. Comment se sent Salif en ce moment ? Je ne suis qu’une lâche. Je n’ai rien fait pour le retenir, ou lui parler. Jusqu’à présent je n’ai pas le courage de lui parler, j’ai trop honte. Comment j’ai fait pour transformer en une journée ma vie à un enfer ? Je me couche et je ne peux m’empêcher de repenser à cette délicieuse nuit passée avec Salif. Ses baisers, ses caresses, ce regard affamé qu’il avait porté sur moi quand il m’a vu quasi nu, son odeur, tout me redonne davantage envie d’être prisonnière de ses bras. Je n’aurai jamais cru que ça pouvait arriver un jour. Rien qu’en y repensant j’ai des frissons. Il me manque tellement. Ce bonheur est aussi la source de tout mon malheur actuel. Il était mon confident, mon conseiller. Là je ne peux plus faire recours à lui en ce moment obscur de ma vie. Je suis perdue. Petit à petit je sens le sommeil s’emparer de moi. La nuit porte conseil. Je sursaute du lit quand j’entends frapper à la porte. Il était 9h05 waouh ! Pourtant j’avais  réglé le réveille pour 6h00 pour pouvoir prier. On frappe une nouvelle fois. - Oui, dis-je en allant ouvrir C’est Paulèle. - Bonjour Madame Ndiaye, je ne te dérange pas j’espère ? - Bonjour Paulèle, Non tu tombes bien j’étais tellement fatiguée que je n’ai même pas entendu mon réveil sonné. - Ça se comprend toi aussi et c’est bien d’ailleurs. Ça t’a permis de bien te reposer. Bon le petit déjeuner est servi. Les enfants aussi viennent de se lever, nous t’attendons en bas. - Ooooh d’accord j’arrive dans dix minutes juste 10 le temps que je me prépare vite fait. Ton frère aussi est avec eux ? Dis leur que j’arrive. - Non, lui il est sorti tôt ce matin. Il dit avoir quelque chose d’urgent à régler. Quoi ? Il t’avait rien dit ? - Si ! si j’avais juste oublié, merci. Bon j’arrive vite fais. Apprendre qu’il est sorti très tôt sans même me prévenir m’a carrément démotivé. Il me laisse seule alors que je ne connais personne ici. Il n’en a pas le droit. Il veut jouer à ça d’accord, je ne lui dirai absolument rien. De toute façon il refuse de m’écouter. Qu’il continue, de bouder quand j’en aurai marre je m’en irai aussi. Pourquoi il me fait ça, bon sang ! Je reconnais que j’ai eu tort. N’est-ce pas suffisant ? Je finis de prier et de me préparer, j’appelle maman Jeanne pour lui dire que j’étais bien arrivée et que tout se passe bien pour le moment. Après l’appel je suis partie les rejoindre. Ils étaient à table.  Il a suffi de les voir pour les reconnaître. - Bonjour tout le monde. - Bonjour ! Répondent-ils en cœur. - Assis toi là ! m’indique Paulèle - C’est toi l’amie de papa ? interroge Aziz. - Oui ? Et toi tu es Aziz je suppose ? - Il t’a parlé de moi ? - Oui, presque tout le temps ! - Tu habites ou ? - Hoooo Aziz mange et arrêtes de poser toutes tes questions et manges aaah ! s’écria Paulèle. Je n’ai pas du tout aimé sa réaction. - Non, laisse-le me poser toutes les questions qu’il veut. C’est un enfant Paulèle. J’habite en France. - Il va te fatiguer davantage avec ces questions. Ils sont terribles ces enfants. (Paulèle) - Non ça ne me dérange pas au contraire ça me fais plaisir. - Tu es très belle tata ! Dit Leila. - Merci Leila, toi aussi tu es très belle plus que moi d’ailleurs. - C’est normal, elle ressemble à notre maman. Lança Mossane Je ne pus m’empêcher de me tourner directement vers elle. Son regard montrait qu’elle était sur la défensive. Je ne savais pas trop quoi répondre en ce moment. - Ahh je vois, elle doit être très belle ta maman. - Oui elle est très belle. - Qui belle ta maman ? Dit Paulèle - Oui sa maman, si elle le dit c’est vrai ! je rétorquai Je crois qu’elle a compris qu’elle devrait contrôler son langage avec le regard un peu agressif que je lui ai lancé. - Tu risques de ne jamais finir ton petit déjeuner si tu continues à les écouter. - T’inquiètes pas je t’assure que ça me fais plaisir. Alors les enfants, vous avez bien dormi ? Oui pour les autres et non pour Aziz. - Ah bon Aziz ? Et pourquoi ça ? - Tu as pris la chambre de tata et elle est venue dormir dans la mienne. Elle n’arrêtait pas de ronfler. Ce qui nous a amusé Leila et moi. - J’en suis sûr que ma venue ici même vous dérange mais ici c’est la maison de mon frère. Je dors ou je veux que ça vous plaise ou non. J’ai préféré ignorer cette remarque. Je reconnais bien ce genre de personnes, elles m’ont pourri mon enfance avec de tels remarque ou m’accusé toujours de choses que j’ignore. Je protégerai ces enfants comme j’avais toujours voulu qu’on me protège après avoir perdu ma mère, ma merveilleuse mère. - Aziz tu veux que je rende la chambre à tata ? Je n’aurai nulle part où dormir et je me retrouverai toute seule et triste dans la rue. Tu veux que j’aille dormir là-bas ? - Tu vas dormir avec papa, il a … - Non Aziz ! Jamais. S’exclama Mossane J’aperçois ¨Paulèle  éclater de rire tandis que moi je ne savais pas quoi répondre. Je ne peux pas dire « non » sachant que bientôt ça sera le cas, je ne peux pas dire non plus « oui » ou c’est pour bientôt, sachant que leur père ne leur a pas encore dis la raison de ma présence. - Mais pourquoi ? Maman le faisait et son lit est plus grand. - Maman le faisait parce qu’elle en a le droit ! Et parce que Papa appartient à Maman et à personne d’autre ! Il est à maman pour toujours ! Je la regarde et je ne sais pas quoi dire ni comment réagir. Elle a raison de s’exprimer ainsi, tout enfant souhaite voir ses parents ensemble pour toujours, leur papa appartenir leur mère pour toujours. N’était-ce pas mon souhait quand j’étais encore petite fille ? Cependant il a toujours préféré cette femme à ma mère. Je les déteste. Hellooo. ! Le couple Ibrahima et Matel, on en parle ? ???? Avis ?
Chronique de Linguèr...