Chapitre 66: attention 

1heure plus tard dans un appartement.

Didier 

Moi : Rosine je t’écoute, qui crois-tu qui soit derrière tout ceci ? (silence) tu sais tu peux me faire confiance et je te promets que tout ce que tu me diras resteras entre nous et je pourrais mieux te protéger si tu me dis absolument tout ce que tu sais.

Elle : hum je sais mais je voudrai que quoi qu’il se passe vous ne me prenez pas pour une folle, je veux juste protéger mon bébé de tout ce qui se passe, c’est le seul truc que je garde de David et je ne voudrai en aucun cas le perdre alors… (Moi la coupant) 

Moi : Rosine (soulevant son menton et la fixant droit dans les yeux) tu n’as rien à craindre je ferai tout pour que toi et ton bébé vous soyez en sécurité mais tu es d’accord avec moi que je ne pourrai pas grand-chose si tu ne me raconte pas ce que tu sais. Je finirai par trouver mais cela prendra du temps et qui sait ce qui pourra encore bien arrivé d’ici là. Donc laisse toi aller et dit moi tout qui tu penses être la cause de tous 

Elle : d’accord, au faite je pense que c’est ma mère qui est à la base de tout ceci. 

Moi : (écarquillant les yeux) votre mère ? Comment ça votre mère ? 

Elle : oui ma mère, Mme Julie KOUESSAN elle-même, imaginez-vous qu’elle n’est pas morte elle est toujours en vie et je suis sure qu’elle est à la base de tout ceci.

Moi : mais Rosine votre mère est morte ca tout le Togo le sait, mais supposons même qu’elle ne le soit pas et que tout ceci était une mise en scène pour quelle raison elle s’en prendrait à votre mari et votre frère ? 

Elle : parce qu’elle ne nous a jamais aimé, en tout cas moi. Elle me détestait et ne supportait pas ma présence et je me rappelle que le matin que son accident s’est produit elle s’est fortement discuté avec papa, elle voulait que papa nous abandonne, elle voulait plus de nous dans sa vie.

Moi : vous étiez témoin de la discussion vous-même ? 

Elle : non mais papa nous a tout raconté plus tard, elle quittait le pays et ne voulais plus nous voir alors pourquoi aujourd’hui elle réapparait et les malheurs nous tombent dessus ? Je n’ai pas confiance en cette femme. Svp enquêtez sur elle pour voir si tout ce que je dis est vrai. Je l’ai vu de mes propres yeux comme je vous vois maintenant je l’ai même touché mais papa (se mettant à pleurer)

Moi : je ferai tout ce qu’il faut pour vérifier cette piste je vous promets. Calme toi Rosine tu dois penser au bébé tout ce que tu ressens agit sur elle donc s’il te plaît calme. Votre papa a fait quoi ? 

Elle : papa (snif) ne l’a pas vu lui alors qu’elle était là assise dans le salon, sa voix, son parfum j’ai même senti sa chaleur contre moi. Mais papa n’a rien vu. Mais je vous jure que c’était elle. Je ne suis pas folle, je vous jure de me croire.

Moi : (a vrai dire je ne sais pas quoi dire je sais qu’elle a raison sa mère est bien en vie mais j’ai promis de garder le silence alors je fais quoi ?) non en aucun vous n’êtes pas folle je veux bien vous croire mais comment se fait-il que votre père ne s’est pas aperçu de sa présence ? Et elle-même ? 

Elle : (snif) je ne suis pas sure qu’elle a senti ma présence puisqu’elle n’a pas réagi à mes actes mais cela ne m’étonne pas elle a toujours eu du dégoût pour ma personne à croire que je ne suis pas son enfant ? (silence en ouvrant grandement les yeux) et si je n’étais pas sa fille ? Cela explique tout, maintenant que je m’apprête à avoir mon enfant je sais qu’on ne peut qu’aimer son enfant qu’on le veut ou pas. (Pleure) si je ne suis pas sa fille alors je suis la fille de qui et pourquoi papa m’aurait menti pendant tout ce temps ? 

Moi : eh ! Eh calme toi, ne te tracasse pas la tête c’est à moi de me poser des questions et de trouver des solutions alors laisse-moi enquêter sur tout ceci, d’accord ? Si ta mère est toujours en vie, si elle est à la base de toute cette histoire et qu’elle n’est pas ta mère je trouverai.  Ok ? 

Elle : (se jetant dans mes bras) merci monsieur Didier je ne me sens plus vraiment en sécurité. 

Moi : je peux vous garder dans une résidence surveiller si vous vous sentez en danger Rosine, tu as seulement un mot à dire.

Elle : non, je ne pourrais pas, papa a besoin de moi actuellement ca serai déloyale de ma part de le laisser tout seul dans cette épreuve et il y a les enfants de mon frère qui sont là je ne pourrai vraiment pas les laisser tout seul actuellement mais je vous en prie faites vite pour trouver ma mère et l’arrêter.

Moi : je comprends, tenez prenez ce numéro c’est une ligne sécurisé vous pouvez m’appeler quand vous voulez si vous voyez un truc pas normal. Mais avant qu’on ne sépare, j’aimerai vous posez une question Rosine et ne vous fâchez pas surtout. As-tu confiance en ton père ? 

Elle : (à voir son visage on sent qu’elle est intrigué par cette question et sa tombe bien si jusqu’ici elle n’a aucun doute sur lui je veux jeter le doute dans son esprit) bien sûr que oui, il n’est pas certes parfait mais personne ne l’est, il aime sa famille et esqt prêt à tout pour nous. J’ai confiance en lui. Pourquoi vous demandez cela ? 

Moi : non pour rien je demande juste comme ça. Ne t’inquiète pas. ( me levant et l’aidant à faire autant vaut mieux arrêter la discussion avec ce petit grain de sable que je viens de jeter dans son œil) je t’appelle des que j’ai du nouveau.

Elle : merci monsieur Didier. Bonne soirée à vous

Le lendemain matin au commissariat de Baguida 

Mr Romaric KOUESSAN 

Il me faut vraiment trouver une solution pour me débarrasser de Cinna, elle va devenir un problème pour moi. Mais je ne peux rien si je n’ai pas en ma possession la clé USB vraiment j’ai un sérieux problème qu’il faut que je résoudre très vite. Je reste debout derrière les sales gamins de mon imbécile de fils. Je déteste les avoir dans mes pates, une fois tout ceci finit je les enverrais dans un internat bien loin de pays. Je lève la tête et aperçoit Cinna s’avancer vers nous le visage en pleur et les bras grandement écartés, les petits la voyant se lève voulant aller vers elle me je les retiens sur le banc. Elle court et vient les serrer dans ses bras ils se mettent tous à pleurer.

Moi : (énervé par tous ces émotions inutiles, la vie c’est pour les forts. Ça ne m’étonne pas leur père était un faible) mais nom de dieu tu ne vois pas que tu les fais du mal ? Ça te plait de les voir pleurer ainsi ? (à croire même qu’elle ne m’écourtait même pas)

Elle : (ne me calculant même pas) mes lions comment vous allez ? Vous m’avez manqué si seulement vous savez.

Les gamins : (en pleure) maman toi aussi tu nous as manqué, pourquoi tu n’es pas à la maison avec nous ? Vient on va rentrer

Elle : (en pleure) ao mes Darling, pour le moment je ne peux pas la polie dit que c’est moi J’ai fait du mal à papa mais je vous jure sur ma vie que je n’en suis pour rien. Ne crois jamais à ça je l’aimais votre père.

Eux : nous on te croit maman (pleure) tu es notre maman tu n’as rien fait à papa, papa (pleure) il nous manque tellement et toi aussi tu n’es pas là 

Elle : ne vous inquiétez pas e rentrerai très bientôt j’ai fait la rencontre d’une gentille dame qui compte bien m’aider à prouver mon innocence je serai très bientôt avec vous. Celui qui a fait du mal à papa va le payer Dieu n’est pas bête il sait punir les méchants (me jetant un regard plein de haine) 

Moi : tirant les enfants de ses bras) c’est bon les enfants on va laisser maman se reposer vous voyez bien qu’elle n’est pas vraiment en forme. 

   Je sors mon portable et lance le numéro du chauffeur lui faisant savoir de passer les mettre dans la voiture je dois discuter avec cette tête brulée.

Les enfants finissent par laisser leurs mères après des séances de cris et de lutte. Vraiment aucune éducation.

Moi : (la lorgnant) tu n’es même pas capable d’apprendre à tes enfants à bien se tenir en public une mère indigne comme ça.

Elle : vous avez finit ? Bonne journée se levant pour partir j’attrape ces mains de justesse et le fait asseoir.

Moi : tu vas bien m’écouter parce que je crois que tu n’as vraiment pas encore saisit ce qui est en train de se passer et je ne vais pas encore te le raconter où est la clé USB, soit pas bête et pense à tes enfants personne ne sait ce qui peut bien les arriver, cette vie est imprévisible tu ne crois pas ?...

Un like 

Un commentaire 

Un partage à très bientôt pour la suite, bizut

Je nai aucun droit sur l'image