CHAPITRE 67: ÉLOIGNE TOI DE CETTE FAMILLE.
Write by L'UNIVERS DE JOLA
CHAPITRE 67: ELOIGNE TOI DE CETTE FAMILLE.
**LUCRÈCE MEFOUMANE**
Moi : Maman pardon.
Ils se sont arrêtés et se sont retournés pour me regarder. Maman pleurait et avait les yeux enflés. Les yeux de papa était légèrement rouges.
Moi : (Coulant des larmes) Je vous demande par
Maman s’est détachée et est venue me mettre une grosse gifle au visage qui était tellement sonore qu’elle a attiré l’attention de tout le monde.
Maman : (Tremblante) Plus jamais tu oses m’appeler ainsi tu m’entends ? Plus jamais de ta vie et ne
Elle n’arrivait plus à finir sa phrase et avait visiblement des difficultés à parler.
Moi : (La regardant dans les yeux) Ô mon Dieu, elle fait une crise d’avc.
Je l’ai rapidement attrapée avant qu’elle ne tombe.
Moi : Un objet pointu vite svp.
Papa m’a donné un petit couteau qui est sur son porte-clés et j’ai fait des petites perforations à plusieurs endroits de son corps de sorte à ce que le sang soit obligé d’y arriver. J’ai appliqué les techniques de premiers secours avant qu’on ne la mette dans la voiture de papa et qu’il démarre pour la clinique qui a le pédiatre des jumeaux et où elle va de temps en temps, elle est juste à côté et elle a été rapidement prise en charge pendant qu’on nous a demandé d’attendre dehors. Tonton Ludovic a prévenu la famille et papa est allée signer les papiers. Au bout de trente minutes, tonton Paul, ton Alvine, tantine Reine, papi et mamie Mfoula, tantine Lauria et son mari ainsi que ceux du 9 sont arrivés presque en même temps. Et ils ont tous demandé ce qui s’est passé. Papa n’avait pas la force de parler et c’est tonton Ludovic qui l’a fait.
Tonton Ludovic : On était au commissariat pour la plainte déposée contre Loyd hier car Brice nous a appelés pour nous dire que Lucrèce et Cyrielle se sont pointées là-bas disant qu’elles avaient des choses à dire. Elles ont déclaré Loyd innocent de toute accusation. Cyrielle a menti sur lui de peur qu’on sache qu’elle couchait déjà avec les hommes.
Tantine Lauria : Donc Loyd ne lui a rien fait ?
Tonton Ludovic : Oui.
Ils se sont tous regardés et au même moment le concerné faisait son entrée avec Marwane. Il a tout de suite attiré l’attention non seulement à cause de sa présence mais aussi son apparence, il faut qu’il voie un médecin.
Mamie : (Nous ramenant sur terre) C’est à cause de ça qu’elle a fait la crise ?
Tonton Ludovic : Non. (Me regardant) Elle a déclaré que Leslie et Arsène ont menti sur Loyd qui ne lui a jamais rien fait de mal avant de dire qu’elle n’avait aucun lien avec eux et qu’ils n’étaient pas ses parents.
Ils ont tous écarquillé les yeux de surprise en me regardant, je me suis mise à pleurer.
Tonton Ludovic : Leslie n’a pas pu supporter le choc et elle a fait l’avc.
Mamie Colette : Et elle a encore le courage de venir s’asseoir ici ? (Retirant sa chaussure pour me la lancer sur le corps) Tu fais quoi là espèce de petite sorcière ? Tu es venue pour m’achever l’enfant ?
Elle a voulu venir vers moi mais on l’a attrapée.
Mamie Colette : faites moi sortir cette petite sorcière ingrate d’ici. Après tout ce que ma fille a fait pour toi tu oses dire que vous n’avez aucun lien ? Aujourd’hui ce n’est plus ta mère ? Sors d’ici rapidement imbécile.
Tout le monde me regardait plein de déception, je me suis levée et je suis partie.
Mamie Colette : Récupère aussi ton mort vivant là et dégagez tous les deux d’ici bande de criminels, sorciers.
Mon regard a croisé celui de Loyd et je suis sortie de la structure pour aller m’accroupir un peu plus loin pour pleurer en mettant mes deux mains sur le visage. Si maman meurt à cause de moi, je ne me le pardonnerai jamais.
Voix : Lucrèce ?
C’était celle de Marwane mais je n’ai pas réagi. Quelques minutes après j’ai senti une main se poser sur mon épaule.
Marwane : Lucrèce viens, tu ne peux pas rester là.
Moi : (M’asseyant à même le sol) Je ne voulais pas lui faire de la peine, je le jure, je voulais seulement faire sortir Loyd de là parce qu’il est innocent. Par ma faute maman a fait un AVC ? Elle risque de mourir à cause de moi Marwane.
Marwane : (Tentant de me relever) Relève toi Lucrèce, tu ne peux pas t’asseoir ici ainsi. Allons dans la voiture.
Moi : S’il lui arrive quelque chose de grave, je ne me le pardonnerai jamais. Si elle meurt
Marwane : Il ne lui arrivera rien. Ne pense pas à mal parce que ya Leslie est une femme forte et tu le sais. Elle sortira de là et elle s’en remettra. (Me soulevant) Lève toi, je vais te déposer chez toi.
Il m’a relevée et emmené jusqu’à la voiture dans laquelle était assis Loyd, on s’est regardé sans que personne ne dise rien et j’ai fermé mes yeux en priant dans mon cœur que maman s’en sorte. Marwane a démarré et nous sommes partis de là.
Marwane : (M’interpellant) Lucrèce ? Lucrèce ?
Moi : (Ouvrant les yeux pour le regarder)
Marwane : Nous sommes devant ton portail.
J’ai regardé autour et j’ai vu effectivement que c’était le cas.
Marwane : Vas-y, nous allons rapidement faire un tour à l’hôpital.
J’ai croisé le regard de Loyd dans le rétroviseur puis je suis descendue sans rien dire. J’ai sorti mes clés et j’ai ouvert mon portillon avant d’entrer dans la maison. Lucia était assise à la terrasse, elle n’est pas également partie travailler aujourd’hui. J’ai marché jusqu’à elle et elle s’est levée pour venir me serrer dans ses bras.
Moi : (Pleurant en m’agrippant à son cou) Tantine Lucia…
UN MOIS PLUS TARD
**ERINE ANGUE OBIANG**
Je suis en route pour Atsimi Tsoss pour vérifier de mes propres yeux si ce qui se dit depuis un mois dans le groupe de la famille est réel car depuis là je n’y crois pas. Ça va faire 2 mois que je suis arrivée au Gabon et les choses que j’ai trouvées ici m’ont tellement énervées que je suis tous les jours sur les nerfs tant toute ma famille me sort par les pores. Tout a commencé en février quand maman a annoncé dans le groupe WhatsApp que la femme de ya Bhernie était enceinte et que la famille devait accueillir le premier petit fils des Obiang. J’étais tellement contente que je n’ai même pas réagi dans le groupe mais je suis directement allée appeler ya Lucia en vidéo pour la féliciter. J’ai été surprise de voir que ça sonnait longtemps et que dès qu’elle a décroché elle était en larme avec des yeux bien enflés et rouges.
« Moi : Qu’est-ce qui se passe maman ? »
« Ya Lucia : (Pleurant)Je vais mourir Erine. »
«Moi : Hein ? Mais pourquoi ? C’est à cause de la grossesse ? Ça te dérange tant que ça ? »
« Ya Lucia : (Pleurant) »
«Moi : On dit que c’est seulement les débuts qui sont difficiles, après là tu vas t’habituer quand ton corps va comprendre ce qui se passe, tu auras moins des malaises. »
«Ya Lucia : (Pleurant davantage) Je, je ne suis pas enceinte Erine. »
«Moi : (Perdue) Hein ? Mais on m’a dit que la femme de ya Bhernie est enceinte non ? Maman a écrit ça dans le groupe tout à l’heure. »
« Ya Lucia : Ce n’est pas moi Erine. Ton frère a une deuxième femme. »
«Moi : (Les grands yeux) Hein ? »
« Ya Lucia : Ton frère a pris une autre femme pour lui faire des enfants parce que je ne peux pas lui en faire. Je suis stérile Erine (Éclatant en sanglots) Je suis stérile. »
J’avais pleuré avec elle et je ne savais même pas quoi dire pour la consoler car moi-même j’étais triste. Je ne comprenais pas qu’une femme comme Lucia soit stérile et j’étais encore plus triste que ya Bhernie n’essaie pas d’autres voies pour avoir des enfants que celle de prendre une deuxième femme. Quand on avait raccroché, j’étais dans mon coin sans réagir à la nouvelle de cette grossesse. Tout le monde l’avait félicité sauf moi et au bout de 2 semaines Stella m’avait appelée pour me demander si je n’avais pas vu la nouvelle, j’avais dit que j’avais vu mais que je n’étais pas concernée par ça. Elle avait pris mes propos et était allée rapporter à maman qui m’avait appelée pour me gronder après elle avait pris ça pour mettre dans le groupe. Ses fils m’avaient appelée pour me dire de ne pas prendre ça au premier degré et de regarder la joie du bébé. J’avais préféré ne rien leur dire de peur de manquer de respect à quelqu’un. Quand le concerné m’avait lui-même appelé pour soi-disant m’expliquer les choses, je n’avais pas décroché et j’avais préféré l’ignorer. Je l’ai fait le reste de l’année et quand je voyais les conneries qui s’écrivaient dans le groupe, j’étais sortie. C’est Lens qui m’y avait remis définitivement un mois avant mon retour. Car je sortais et ils me remettaient, ça a duré un bon moment jusqu’à une discussion que j’avais eu avec Lens où il m’avait dit que j’étais de la famille et que je ne pouvais pas sortir ainsi parce qu’une situation ne me plaisait pas. Je n’étais pas obligée de réagir mais je me devais d’être informée. Je suis restée et j’ai mis le groupe en sourdine. Je parlais uniquement avec Lucia qui plus le temps passait, plus dépérissait à vue d’œil quand ya Bhernie a disparu de la maison pour aller rester avec l’autre. C’est quand je suis arrivée sur place que ya Lucia a pris le temps de bien m’expliquer toute cette histoire de stérilité. La colère que j’ai eu ce jour était telle que je voulais aller le trouver pour mal lui parler mais elle m’avait retenue et suppliée de ne pas le faire car elle ne voulait pas qu’il se fâche davantage contre elle et décide de ne plus venir la voir. Il passait une fois toutes les deux semaines pour je ne sais même pas quoi qu’il venait faire. Elle se pliait en 4 pour lui faire à manger, ranger ses affaires et tout puis il retournait. Ça va faire un mois que cette fille a accouché et apparemment le ‘’voir bébé ‘’ c’est aujourd’hui mais je les voyais écrire dans le groupe que Bhernie allait également profiter à faire les fiançailles avec la fille en question afin de la prendre officiellement de chez ses parents pour la ramener chez lui. Malgré tout je suis sceptique et je veux continuer à croire qu’il n'a pas vraiment poussé le vice jusqu’à ce point. Je n’ai rien dit à ya Lucia sur cette histoire et en partant de la maison, j’ai dit que je voyais une amie.
Le taxi me dépose au quartier et je descends après avoir payé. Je salue ceux que je connais d’un sourire timide jusqu’à la maison où je trouve tout le monde là assez bien habillés, 3 de nos oncles, les sœurs de maman et le concerné vêtu d’une chemise en pagne témoignant du fait qu’il allait effectivement faire un truc de ce genre.
Stella : (Me regardant) Ah tu es finalement venue ? Ça tombe même bien comme on s’apprêtait pour partir.
Mon oncle : ANGUE, tu arrives et tu ne salues pas ?
Moi : (Regardant ya Bhernie en faisant fi du reste) Donc c’est la vérité ya Bhernie ? (Coulant une larme) Tu vas vraiment faire ça à ya Lucia ? Tu vas pousser le vice aussi loin ?
Ya Bhernie : Tu ne peux pas comprendre Erine.
Moi : Comprendre quoi que tu es un homme méchant ?
Mes oncles : Eh.
Lens : Erine !
Moi : Erine de quoi ? Que j’ai menti ? C’est ya Bhernie qui peut faire un truc comme ça à ya Lucia et puis vous êtes tous ici pour cautionner ? Maman et Stella encore je peux accepter mais vous ? Vous êtes vraiment une famille de sorciers et croyez moi la foudre va s’abattre sur vous tous ici.
Ya Bhernie : (Me giflant au visage) Tu te tais maintenant Erine. Tu te prends pour qui pour parler aux gens de la sorte ?
Stella : Quand j’avais d’abord dit que l’enfant là était impolie, on m’a emmené le nom. Il faut maintenant voir.
Maman : Voyez vous-même le résultat de l’influence de cette fille sur cette enfant, c’est là non ?
Moi : (Attrapant ma joue en pleurant) Tu peux me frapper ya Bhernie, tue moi même si tu veux car je préfère milles fois mourir plutôt que de faire partie de cette famille. Depuis que je suis née, je n’ai jamais eu honte de porter le nom Obiang qu’aujourd’hui et croyez-moi si je pouvais l’enlever , je l’aurais fait tellement il me fait honte. Après avoir forcé la fille d’autrui à avorter jusqu’à perdre ses trompes, tu as eu le courage d’aller lui faire un enfant dans le dos, de la traiter comme de la merde et aujourd’hui tu prends tes pieds pour aller te fiancer alors que tu as laisser la pauvre fille à la maison ?
Maman : Depuis que ton frère a déserté cette maison elle attend quoi pour partir chez ses parents ? C’est quoi qu’elle n’a pas compris dans cette histoire ?
Moi : Elle était partie de la maison de ses parents toute seule ? C’est pas ton fils là qui était allé la chercher dans la maison de son père ? Pourquoi aujourd’hui il ne porte pas ses couilles comme un homme pour aller déposer l’enfant d’autrui ?
Il m’a donné une autre gifle qui m’a fait tomber et les garçons se sont mis entre nous pour l’attraper.
Rail : Ya Bhernie pardon calme toi, tu vas lui faire mal.
Ya Bhernie : Qu’elle sache avec qui elle parle comme ça, je ne suis pas son ami. Elle ne sait rien de cette histoire qu’elle ferme sa gueule et quitte immédiatement devant moi sinon je lui ferai véritablement du mal.
Moi : (Me relevant) Tu n’es qu’un lâche et je prie le Seigneur que jamais il ne mette sur ma route un sorcier comme toi et tous tes frères.
Lens : (Me soulevant pour me mettre dehors) Toi on ne te parle pas et tu te tais ? Tu connais quelles sont les responsabilités de ya Bhernie ?
Moi : Je m’en fous de ses responsabilités Lens, ya Bhernie est un sorcier, un criminel même et j’espère que Dieu le jugera sévèrement (Criant de sorte à ce qu’il m’écoute) tu ne mérites vraiment pas une femme comme Lucia et j’espère que malgré tout l’amour qu’elle te porte, elle trouvera la force de te quitter pour aller refaire sa vie ailleurs avec un vrai homme. La personne qui avait dit qu’on ne donne pas des perles aux pourceaux n’avait pas menti car tu es un vrai porc et je suis sûre que papa doit se retourner milles fois dans sa tombe en voyant les actes que tu poses. Fils indigne.
Maman est sortie avec un long bois et je me suis retournée pour fuir.
Maman : Fuis ANGUE, fuis loin et j’espère pour toi que tu ne remettras plus les pieds ici. Espèce de petite insolente, ingrate jusqu’à je ne sais même pas par quel côté l’enfant là était d’abord venue pour rentrer dans mon ventre. Lucia, Lucia, Lucia c’est qui et tu vas venir parler aux gens comme si c’était tes enfants ? Ello qui te nourrit de l’orteil à la chevelure c’est sur lui que tu viens crier ? Faut pas faire ça à ya Lucia, que Lucia c’est d’abord quel marque de chiffons ou c’est quelle serpillère même ? Il faut aller toi-même pour l’épouser comme ça vous allez faire les Lesbiennes. Comme elle aime crier là, vous allez bien crier ensemble imbécile. Reviens encore crier sur les gens ici en racontant des conneries et tu verras ce que je vais te faire, élan no si.
Je suis partie de là et j’ai pris la piste qui mène à la route. En chemin j’ai croisé Lucrèce qui descendait chez ses parents avec une petite mine. Elle aussi a considérablement maigri comme ya Lucia depuis que son histoire avec le petit frère de tantine Leslie est sortie. Pour ma part, je ne vois pas le mal là dedans mais bon. D’après ce que j’ai entendu des conversations téléphoniques avec ya Lucia, ils ont tous les deux été bannis de la famille mais ils n’ont pas continué la relation. Que des problèmes au Gabon en ce moment de tous les côtés.
Moi : Bonjour ya Lucrèce.
Ya Lucrèce : (Me prenant dans ses bras) Ça va ma puce ?
Moi : Non ça ne va pas mais bon.
Ya Lucrèce : Tu as eu quoi au visage ?
Moi : Ya Bhernie m’a giflée parce que je suis venue ici leur dire leurs vérités. .
Ya Lucrèce : Hum. Mieux je ne mets pas ma bouche dans les histoires de ton frère. Tu as laissé tata Luce à la maison ?
Moi : Oui et il faut que j’y aille même pour la forcer à manger sinon elle ne le fera pas.
Ya Lucrèce : D’accord.
On s’est fait la bise et je suis partie prendre mon taxi pour rentrer à la maison.
Ya Lucia : C’est comment ton visage est enflé ?
Moi : Je me suis disputée avec un faux type là.
Ya Lucia : (Écarquillant les yeux) Et il t’a frappée ?
Moi : (Souriant) Ça c’est rien comparé à ce que je lui ai fait. À l’heure actuelle ses parents ne doivent plus le reconnaître tellement je lui ai fait vivre ça.
Ya Lucia : (Bougeant la tête de gauche à droite) Tu es terrible toi l’enfant là.
Moi : (Souriant grandement) Je suis ton enfant non ? ANGUE Manga Erine.
Elle esquisse un sourire et j’attrape son visage en coupe pour lui faire plein de bisous partout sur le visage qui lui font éclater de rire puis je lui fais un câlin.
Moi : (Les bras autour de son cou) Je t’aime tellement maman.
Ya Lucia : Je t’aime aussi mon bébé mais ne va plus te battre.
Moi : (Souriant) D’accord. Tu as mangé ?
Ya Lucia : Pas encore.
Moi : (Attrapant sa main) Viens avec moi et je vais te faire manger comme un bébé. Tu verras, je vais te bichonner et après on va faire une petite séance de make-up.
Ya Lucia : (Riant) Pour faire quoi avec le make-up là ?
Moi : Pour faire les folles à la maison toutes les deux. Ça fait longtemps que j’ai maquillé ton jolie visage.
Elle n’a plus rien dit. Nous sommes allées manger, puis je l’ai maquillée, fais les ongles et je l’ai également coiffée avant de lui mettre une jolie robe. J’ai improvisé une séance photo puis j’ai pris des clichés pour mettre sur mon profil et mon statut avec en légende ‘’l’homme est méchant et sombre mais quelque soit les efforts déployés pour tenter d’éteindre une lumière, il n’y parviendra jamais. Queen forever’’…