Chapitre 8: Prendre de nouvelles résolutions ?
Write by Ladiva225
Taraji Benson L.
Un silence de cimetière envahit la pièce après ce que je viens de dire elles sont certainement outrées, je ne suis pas de nature bavarde alors qu'est-ce qui m'arrive ce soir ? Ma vie jusque là je l'ai tenu secrète tel un trésor et ce soir sans vraiment le réaliser j'ai pratiquement tout dévoilé pire j'ai abordé la violence de Germain une chose dont je m'étais promise de ne jamais divulguer maintenant je vais passer pour la fille vulnérable c'est tout sauf ce que je désirais : qu'elles aient pitié de moi!
Je suppose que je n'en pouvais plus quand tu récolte, récolte et récolte des choses à l'intérieur comme tout bon être humain un de ces jours tu finis par craquer c'est ce qui m'est arrivé. Avec les filles on apprend à se connaître n'ai-je pas fais une grosse erreur ?? Sur le champ je m'en veux de ne pas m'être retenue mais que puis-je faire pour corriger le tir ? Elles l'ont très bien entendu.
- Taraji n'ai pas honte Marlène et moi sommes tes amies.... Enfin je pense que tu nous considère comme telles. Après je comprends sa touche ton intimité et forcément tu as l'impression d'être toute nu face à nous... Écoute si sa peut te soulager sache que nous avons tous des cafards dans nos placards. Moi j'ai vécu une vie de débauche pour arriver au stade où je suis, j'ai utilisé mon corps pour obtenir tout ce que je voulais, je ne suis pas fière de mes actes et c'est sûr que je n'irai pas le raconter à qui voudrait l'entendre mais j'ai décidé de ne pas laisser mon passé me pourrir le présent une chose est sûr ça restera à jamais gravé dans ma tête. Je me suis servi de mes erreurs commises par le passé pour me bâtir une vie meilleure. Me dit Zhenia.
- eh oui ! Et comme le dit ce proverbe <<Ne juges pas les gens par les erreurs qu'ils ont commises, mais par ce qu'ils ont appris de celle-ci >> Si ça peut aussi te soulager tout comme toi ma vie de couple bat de l'aile, mon époux ne lève peut-être pas la main sur moi mais mes difficultés à concevoir est l'arme dont se sert sa famille pour me tirer dessus à chaque fois, ces personnes se sont incrusté dans notre vie de couple et veulent la contrôler. J'avoue que je n'ai plus la paix du cœur si je n'avais pas hérité du fort caractère de mon père, il y a bien longtemps de cela que ces requins m'auraient déchiqueté en milles morceaux. Vous rendez vous compte on veut donner une seconde épouse à mon homme sous prétexte que je ne fais pas d'enfants.
- Quoi ??? Moi et Zhenia crions choquées.
- eh oui les oncles de mon mari ont osé ramener cette dernière chez moi.
- les africains vraiment ! Voilà pourquoi il nous serait difficile d'évoluer . La femme ne fait pas d'enfants plutôt que de l'aider à trouver des solutions à son mal vous voulez la noyer tchrouuuu bande de sorciers qu'ils sont . Siffle Zhenia dépassée par la situation.
- aujourd'hui les filles en échangeant avec vous je réalise à quel point nous avons un point commun : nous sommes en carence de bonheur.
Zhenia et moi éclatons de rire.
- sérieux les filles arrêtez c'est vrai.
- carence de bonheur ? Elle est bonne celle là.
- je t'assure hein Zhenia. Fis-je.
J'avoue que le fait qu'elles se soient aussi ouverte m'a un temps sois soulagée, non pas parce que je me réjouis qu'elles vivent aussi une situation difficile loin de là mais parce qu'elles aient eu le courage de partager leur histoire avec moi même si l'on a rigolé ce que Marlène a dit était vrai nous ne sommes pas heureuse !
- plus honnêtement les filles. Continu Marlène. Vous n'en avez pas marre de continuer ainsi ? Moi si ! j'ai seulement 34 ans je ne veux pas vieillir avant mon âge . C'est à nous de décider de ce qui est mieux pour nous et tant qu'on va continuer de stagner rien ne va bouger, parfois il faut prendre des décisions radicales pour notre bien même si ça fait mal.
Intriguée je décide d'en savoir un peu plus sur ce qu'elle voulait me faire comprendre auparavant .
- tu as dis tout à l'heure qu'en collectant des preuves je pouvais mettre mon mari pieds au mur...
- je peux te poser une question Taraji ?
- oui...
- jusqu'à quand vas-tu continuer à laisser cet-homme que tu appels ton mari te pourrir la vie ? Jusqu'à quand vas tu lui permettre de te faire souffrir ? Et jusqu'à quand vas-tu supporter en te disant qu'avec le temps ça va changer ? Désolée si j'interfère dans ta vie privée.... S'il y a une chose que j'ai apprise depuis que je suis mariée c'est que la force ne marche pas avec les hommes , faire des histoires pour ci où pour ça ne les maintiens pas non plus à la maison . La femme est complémentaire à l'homme, c'est à elle que revient l'une des tâches les plus importantes au sein de son foyer. Vois-tu les hommes sont comme des enfants et quand tu les habitue trop à certains rythme il est difficile de pourvoir faire changer les choses. Taraji si tu restes là les bras croisés à le regarder faire, si tu lui permets tout le temps de lever la main sur toi cet enfer tu vas le vivre toute ta vie... Enfin si tu ne succombé pas bien sûr un de ces jours.
- mais... Mais comment je dois m'y prendre ?
- en changeant tout simplement tes habitudes ! Je ne te demande de te la jouer à la superwoman non ça ce n'est qu'une fiction ! Lève toi et cesse de t'apitoyer sur ton sort, fais comprendre à ton époux que tu n'es plus disposée à supporter mais pour que le message sois claire fais quelque chose qui va sonner tel une cloche dans sa tête. Sa maîtresse te nargue prends sur toi ce n'est pas partout qu'il faut vite aller en salle besogne mène tranquillement tes enquêtes et une fois que tu auras toutes les cartouches n'hésite pas à tirer.
- tirer ?
- eh si! Pas dans le sens du terme bien évidemment, '' met le pieds au mur'' confronte le face à ces erreurs et si malgré tout il ose jouer la fameuse carte jocker que tous les hommes ont c'est-à-dire vouloir te faire passer pour la coupable joue toi aussi à son jeu il faut qu'il comprenne qu' il n'a plus affaire à la Taraji du passé mais que la toute nouvelle n'hésiterai pas à le recadrer il ne te reste plus qu'à savoir comment t'y prendre. En tant que femme mariée je ne peux te demander de divorcer à ça non ! Si tu as décidé de l'épouser et de faire de lui le père de tes enfants ce n'est pas une personne quelconque à tes yeux, cette décision ne me revient pas à moi ni à qui que ce soit le jour où tu voudras tout abandonner cela devra venir de toi.... Oui on peut supporter par amour mais tout à une limite. En toute chose n'accepte rien qui puisse t'empêcher de vivre pleinement ta vie, Zhenia ceci vaut aussi pour toi.
- waouh sacrée Marlène ! J'avoue que sa m'a fait plaisir de t'écouter tu émane de toi une force que je ne saurai expliquer. Lance Zhenia.
- la dernière discussion que j'ai eu avec ma belle mère m'a réveillé l'esprit, j'ai compris que j'avais assez dormi fini la récré. Je ne suis pas plus forte que vous je suis juste en train de me fixer de nouveaux objectifs pour vivre heureuse et vous devriez aussi en faire de même.
- tu as tout simplement raison. Dis-je.
Je demeure toujours sur ma faim parce que je n'ai pas forcément tout capter et j'aurai voulu qu'elle soit plus explicite mais je ne peux rester à attendre ces conseils, il faut que je trouve un moyen de ramener mon mari à la raison et si je n'y parvenais pas au moins j'aurai essayé.
Il était pratiquement 2h du mat lorsque nous souhaitons bonne nuit à Zhenia, Marlène et moi partagions la même chambre. Cette dernière ne tarda pas à s'endormir mais moi je reste là à cogiter sur mon lit qu'est-ce que je devais bien faire pour changer les données ?
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Zhenia Vao
C'est fou que les apparences sont trompeuses, dire que tout ce temps j'enviais Taraji et Marlène et rêvais d'une vie comme la leur... Hum s'il y a une chose que j'ai compris cette soirée c'est que ce n'est pas parce qu'on sourit tout le temps que l'on est forcément heureux, chaque chose vient en son temps dans la vie personne n'est en retard chacun de nous est à son heure raison pour laquelle il ne faut jamais envier l'autre. Alors que j'allais sombrer dans le monde de morfet mon tel vibre je venais de recevoir un message d'un numéro inconnu que je consulte.
'' Zhenia je n'ai pas de mot pour te décrire à quel point je m'en veux, de ne pas avoir été honnête avec toi dès le départ. J'espère que tu trouveras un place dans ton cœur pour me pardonner sache que tu m'es précieuse... Non je dirais même essentielle, ma tête et tout mon être te réclame mon amour bonne nuit bisous !. ''
Pourquoi il a fallut que je voye son SMS ? Là je me sens tout à coup mal non Zhenia je t'interdis de repenser à cet homme, laisse les choses où elles sont.
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arlène Alla Kogbo.
Le dimanche matin les filles et moi sommes allées à l'église pour suivre la messe, puis avons fais un saut à Assinie profitant de ce magnifique temps ensoleillé pour nous baigner. Couché sur nos différents transats Zhenia et moi discutions de tout et de rien.
- Marlène je crois nous devrions venir ici le plus souvent, ce coin est Paradisiaque !
- si je pouvais rester aussi longtemps que possible je le ferais .
- eh si.... Mais attends ou se trouve Taraji ?
- elle avait dit qu'elle allait se chercher à boire. Je fixe ma montre. Elle a quand même mis du temps !
- essaye de l'appeler alors.
- son téléphone est chez le réparateur tu t'en souviens ?
- ah oui ou avais-je la tête.
- les filles !!! Crit Taraji qui courait dans notre direction.
Zhenia et moi nous levons sur le champs.
- mais ou étais-tu passé Taraji ?
Elle arrive près de nous et tombe sur son transat éssouflée.
- dites à quel heure devons nous rentrer ? Demande t-elle.
- aux environs de 17h pourquoi ? Lui demande en retour Zhenia.
- oh non... en allant chercher de l'eau j'ai vu qu'on installait un podium de l'autre côté et des chaises, j'ai alors cru qu'il s'agissait d'un concert mais une dame m'a dit que c'était plutôt un défilé de mode . C'est vraiment dommage que l'on doit rentrer bien avant.
- à quelle heure commence le défilé ? À mon tour de demander.
- 18 heures piles !
- comme je vous l'ai tantôt dis je fuis ma maison alors si sa vous va on peut rester un peu. Leur rappelais-je.
C'est ainsi que les filles et moi restons finalement une heure de plus pour assister au défilé , au départ l'ambiance était à la page mais au bout d'une trentaine de minutes fatiguées de voir des vêtements merdiques enfilé par des demoiselles au visage plus coincé que mes seins dans ce bikini qui n'était pas à ma taille nous primes la route du retour.
Une fois chez Zhenia, Taraji et moi primes un bon bain, dînons avant de dire au revoir à notre nouvelle amie. En sortant de cette maison je savais que les liens que nous avons tissé étaient plus fort, et qu'à partir de cet instant précis plus rien ne serait pareil.
Je me gare dans le garage sors de la voiture, mon pauvre gardien qui s'était endormi vint vers moi la visage encore ensommeillé.
- madame vous avez besoin de quelque chose ?
- non t'inquiète aller retourne dans ta cabine.
- ok merci madame bonne nuit !
- merci, bonne nuit à toi également.
Le salon était plongé dans le noir, la veilleuse qui l'éclaire faiblement doit sans être grillé, demain je vais régler ce soucis pour l'heure il fallait que je monte dormir. A l'aide de la torche de mon smartphone j'éclaire le coin pour ne pas cogner un meuble.
- d'où viens-tu comme ça ?
Je sursaute de peur mon téléphone me glisse des mains, je reconnaissais parfaitement la voix mais ne m'attendant pas à l'entendre j'ai pris peur. Les lumières illuminent la salle de séjour les minutes qui suivent et je vois mon mari assis dans un sofa toujours en treillis le regard braqué sur moi.
- tu m'as fais peur chéri ouf ! Fis-je en posant la main sur ma poitrine.
- désolé ce n'était pas mon intention, mais toi d'où sors tu à cette heure pareille ?
- de chez une amie.
- jusqu'à minuit ? Fit-il en arquant une sourcil.
- ou souhaites tu en venir ?
- on ne répond pas à une question par une question Alla.
- je t'ai pourtant bien répondu Kogbo. J'étais chez une amie ! A quelle heure es tu rentré et pourquoi tu ne t'ai pas changé ?
- je suis rentré vers 20 h et qu'elle ne fût ma suprise de ne pas retrouver ma femme à la maison.
- je suis là majeure partie du temps toute seule ici, j'ai bien le droit de vouloir changer d'air.
- ça je te l'accorde ! Tu n'es pas une prisonnière tu peux bien sortir de temps à autre, mais vu le statut de femme mariée que tu portes il y a des heures raisonnables vers lesquelles tu es sensé rentrer et ça c'est l'une de nos clauses que nous nous sommes fixé juste après le mariage.
- non ! Que tu as toi même fixé !! Comme d'habitude je dois toujours me plier à tes exigences, on a toujours fais comme tu voulais mais t'es-tu une fois posé la question de savoir ce que moi j'en pensais ? Bien évidemment je disais tout le temps oui pour ne pas te contrarier mais là tu sais une chose j'en ai ma claque !
- je vois que la tension commence on va se calmer....
- non aujourd'hui tu vas devoir m'écouter, pour une fois dans ta vie tu vas cesser d'être égoïste...
- Quoi? Moi je suis égoïste ?
- oui tu l'es ! Et je peux constater que tu ne t'en rends pas compte mais moi c'est terminé je ne vais plus me taire et tout accepter je risque d'étouffer à force. Avant de te rencontrer j'étais mademoiselle tout le monde j'avais une belle carrière, une belle indépendance, la vie que j'ai toujours rêvé d'avoir puis lorsque tu es rentré dans ma vie tu as exigé que je quitte l'une des choses à laquelle je tenais le plus : mon boulot ! Sous prétexte que tu ne supportais pas de me savoir entourée d'hommes,que tu souhaitais que je reste plus souvent à la maison par amour pour toi j'ai accepté même si cela impliquait le fait de renoncer à mes rêves. Petit à petit tu as aussi trouvé que je devais changer ma garde de robe parce que selon toi elle n'était pas digne d'une épouse et que tu ne pouvais te résoudre à me laisser sortir ainsi encore une fois j'ai abdiqué , tu es aller encore plus loin en reduisant mon cercle d'amis pour une raison que j'ai même oublié.
- Marlène je...
- non tu vas m'écouter ce soir !!! J'ai fais tout ces sacrifices pour toi et aujourd'hui qu'est-ce que j'ai récolté ? Rien du tout, absolument rien. Tu penses que je suis stupide ? Que je ne comprends pas que tu préfères te noyer dans ton boulot plutôt que de lutter pour nous ? Tu sais tout ce que ta famille me fait endurer mais tu les laisse faire je ne reçois aucun soutiens de ta part !
Je m'efface rageusement les larmes qui ruissellent sur mes joues.
- j'ai tout abandonné pour toi mais qu'à tu fais en retour pour moi ?? On s'était promis de s'aimer, de rester Unis mais tu as brisé cette promesse.
-....
- je m'en doutais bien. Tu n'as rien à dire.
Sur ce je tourne les talons et entreprend de monter les marches des escaliers pour rejoindre la chambre conjugale quand je sens sa main empoigner la mienne, je voulu le repousser mais il resserre sa prise et m'attire dans ces bras pendant que je lui frappait le torse.
- Lâche moi Jéremie!!!
- calme toi mon bébé.
- je n'en peux plus . Fis-je en éclatant en sanglots.
- je le sais, et je suis désolé pour tout ma chérie. Murmure t-il en me prenant dans ces bras t-elle une jeune mariée, je continuais toujours de pleurer.
Dans l'intimité de notre chambre, mon époux me dépose tendrement sur le lit. Je me recroqueville tandis que lui m'enlace de par mon dos.
- je me sens comme une merde Marlène, je ne sais pas ce qui s'est passé dans ma tête tout ce temps je m'en veux d'être rester sourd face à ta souffrance. Bébé je suis vraiment navré dorénavant je ferai de mon mieux pour être à tes côtés, concernant les membres de ma famille je vais leur parler.
- je ne veux plus les voir chez moi, les seules que je pourrais tolérer seront ta mère et tes sœurs.
- il s'agit de ma famille ma puce comment veux tu que je puisse leur interdire l'accès de notre demeure.
- tu vois peut-être les miens venir perturber en permanence ?? Je ne suis pas tombée du ciel hein j'ai moi aussi une famille donc si mes parents ne viennent pas nous déranger les tiens n'ont aucune raison de le faire. Je souhaite vivre en toute quiétude ce n'est pas avec eux que je me suis mariée donc leur présence n'est pas indispensable chez nous .
Il pousse un soupir, je sais que je lui demande gros, mais pour notre bien à nous il le fallait.
- c'est compris ! Plus personne ne viendra t'embêter ici.
- hum.
- je t'en fais la promesse.
Rassurée je me retourne pour lui faire face, ma main se pose sur sa joue que je caresse d'une infinie douceur.
- merci. Fis-je simplement.
- je t'aime Marlène.
- moi encore plus Jérémie.
Mon mari rapproche sa tête de la mienne et m'embrasse, je lui rends son baiser avec tout l'amour que j'éprouve à son égard,lentement ces mains commencent à devenir baladeuses se faufilant un peu partout à chacune de ces caresses je sens mon corps s'embraser, la tension monte quelques gémissements m'échappe je me laisse emporter. Nos vêtements à tour de rôle atterrissent au sol nous étions à présent tous nus.
- tu es tellement belle ma chérie. Murmure Jérémie en empoignant un sein dans sa main qu'il commence à malaxer. Sa langue titille le bout j'eu
le souffle coupé ! C'était l'une des partie sensible de mon corps.
Quand finalement il me pénètre enfin ! Après toute une série de préliminaires tout en me disant des mots doux je perds la notion du temps. Mon mari commence à s'émouvoir tout doucement en moi toujours en me soufflant à quel point il m'aime, qu'il est désolée pour tout. Au fur et à mesure il changeait de cadence ces coups de reins devenait plus buttoir. Mes gémissements emplissent bientôt la chambre tandis qu'il me pilonait à en perdre le souffle.
- tu es mienne Marlène tu m'entends ?
- oui Jérémie....
- promets moi que ce corps ne sera jamais dévoilé à un autre que moi. Promets le moi.
Cette phrase réussi à me déconnecter de cet instant magique que je vivais, cette grande culpabilité qui jadis me tourmentait refit surface. Je pleure en silence pour qu'il ne s'aperçoive de rien les minutes qui s'écoulent sont comme une éternité pour moi et j'ai peur de finir par craquer de nouveau lorsque je le sens se déverser en moi ce qui m'indique qu'il vient d'atteindre le sommet je me laisse aller c'était plus fort que moi , pardonne moi Jérémie.....
Ps: mes très chers lecteurs chrochro à besoin d'avoir vos avis et vos kiff cela la booste encore plusa aller de l'avant alors ne vous retenez surtout pas (mdr) . On s'fait la bise !