Chapitre21 : Le repos

Write by ngakomal

"commentez et likez hien!!!"

~~~~~~~ Estelle fokam~~~~~~

-          Est…. Je suis prêt. On y va alors ? Cria mon petit frère au dehors de la chambre.

-          J’arrive !! donne-moi une minute que je porte les chaussures.

-          On connait avec. Et tout ca c’est pour que j’arrive en retard. Il prit une pause avant d’ajouter. Est…, dans ton travail là on ne vous fouette pas quand vous venez en retard ?

-          Si petit pa’ mais pas dans le sens littéral du terme.

-          Je ne comprends pas. Ça veut dire quoi littéral.

-          Cela veux dire pas comme tu l’entends où l’imagine.  Je sors de la maison et verrouille la porte avant de me tourner vers lui pour expliquer ce que j’entends par là. Toi quand tu es en retard le maitre te fouette pour te signifier que ce n’est pas bien. Moi, mon patron coupe une partie de mon salaire pour les mêmes raisons.

Il secoue la tête pour me montrer qu’il a compris et nous nous mettons en route. Depuis le passage de Mr Biboum dans sa vie, mon petit frère prend très au sérieux son rôle d’homme au près de moi. Il m’a fallu des jours pour le convaincre de laisser tomber l’idée de m’accompagner au travail avant de se rendre à son école.  Aujourd’hui c’est moi qui l’accompagne au lieu de Dany. Ainsi, il me surveille jusqu’à son école et me met dans un taxi pour que je me rende au travail. Dany trouve que je l’encourage dans le mauvais sens. Mais je ne suis pas d’accord. Il est si intelligent et ses yeux pétillent quand il essaie de résoudre nos problèmes à ma place. Je dois avouer qu’en dehors du fait qu’ils soient enfantins, ses idées me donnent souvent des débuts de  solutions.

J’arrive à mon travail, monte à mon étage et prend place. Depuis quelques temps, Biboum est un peu distant… pas distant en tant que tel mais distrait. Je suis entrain de mettre à jour son agenda avec les notes qu’il a laissé sur mon bureau lorsqu’il arrive. Vêtu d’une chemise blanche immaculée sur un super 100 sur mesure, il est à damné. J’avale ma salive et fait mine de regarder ailleurs. Tient mon clavier !

-          Bonjour Estelle bien dormi ? dit-il lorsqu’il arrive près de moi et s’attarde. Cela fait bien longtemps qu’il n’a pas porté ce regard de braise sur moi. Enfin 3 jours tout au plus

-          Bien merci Monsieur et vous ?

-          Monsieur ?? Estelle tu es sérieuse ??  demande-il avec dans la voix un ton peiné qui se transporte sur son visage de manière fugace. Après s’être ressaisis en une fraction de seconde, il ajoute. Ha je comprends. Nous en somme revenu là ?

-          Non mons….. biboum

-          C’est mieux ainsi. affirme t-il tout en me caressant la joue d’un air tendre. Tu n’imagine pas la violence que je me fais pour ne pas te brusquer. J’essaie juste de freiner mes élans pour que tu ne fuies au loin.

-          Qui vous……

-          Tu …. Me repris t-il

-          Qui t’as dis que j’allais fuir ??

-          Ne me tente pas Elle. Dit-il avec ce sourire qui me fait complètement perdre mes moyens. Il aurait suffit qu’il me dise « viens » et il m’aurait emmené….  Il tire une chaise visiteur, s’assied. alors c’est quoi mon programme aujourd’hui ?

-          Rien de très urgent. Il y a une réunion avec les directeurs de tous les départements de toutes les régions à midi. Après vous avez une rencontre avec le responsable  du complexe hôtelier lee. Pour la signature du contrat de livraison de la chair de canard dans leur cuisine. Et en fin de soirée avec le courtier en chef de l’entreprise pour parler du cours de vos actions à risque.

-           C’est tout ?

-          Oui c’est tout.

-          Alors installe dès maintenant la salle de réunion et retrouve moi dans mon bureau et fait vite.

Sur ces mots, il entre dans son bureau et ferme. Je suis dans un tel émoie. Je mentirais si je disais que je ne suis pas émoustillée et mouillé. Il n’a suffit que d’une main sur ma joue. Je n’ose imaginer ce que serais un vrai corps à corps.  Peau contre peau. Humm j’espère que je ne me transformerais pas en mauviette dans ses bras. Je rassemble les documents et les multiplies en fonction du nombre de participant. Pose les verres et les l’eau. Je sais bien que nous ne sommes pas du même monde. Que si je me donne à lui à n’y aura aucune promesse d’amour éternelle à la clé. Je sais qu’aussitôt consommée, il se lancera vers une nouvelle conquête. Aucune femme ne lui résiste. Je le connais si bien.... ses conquêtes habituelles sont des gravures de mode. Elles sont si superbes qui suis hétéro les envie au point de les désiré à défaut d’être comme elles. Je ne comprends pas son intérêt pour moi mais, je le veux aussi et c’est tout ce qui compte en plus de ne pas perdre mon travail.

Lorsque je fini, je pousse la porte de son bureau et entre. Son regard insistant sur moi me fait perdre pied. Il est si intense que l’on pourrait croire que je suis nu. Je prends place et pose mon carnet de note et croise les jambes. Plus pour qu’ils ne tremblent pas que pour le style.

-          Tu en as mis du temps. Dit-il avant de se lever sur toute sa hauteur.

Il est si grand et baraqué…. J’admire sa silhouette pendant qu’il quitte sa table pour se diriger vers la porte et la vérouille.  Il se tourne, dos sur la porte et pose sur moi ce regard qui me fait fondre.

-          Pose tes documents et viens Elle. Susurre t-il entre ses lèvres. Je l’entends à peine et choisit de faire comme si non. Si tu savais l’envie que j’ai de toi, tu ne serais pas sereinement assise là comme une ânesse. Il prend un souffle profond et me réclame de nouveau. Je t’en prie. Continue t-il d’une voie plus calme et suppliante. Le fait que tu ne viennes pas me fait comprendre que tu ne veux pas de moi. Elle est-ce vraiment le cas ?

Je secoue la tête pour toute réponse.

-          Alors viens. Insiste t-il

-          Tu ne comprends pas….. j’ai peur de ne pas tenir sur mes jambes.

Dès que ces mots eussent franchit le seuil de mes lèvres, il engouffra la distance qui nous séparait en trois enjambées pour me prendre à bout de bras avant de me sérer contre lui.

-          Ton odeur m’a manqué. On dirait que cela fait des siècles que nous ne nous sommes pas vue………..

A peine eu t’il terminer sa phase qu’il prit possessions de ma bouche avec une fougue inouï qui trahissait l’urgence de son désir. Cela n’avait rien à voir avec le baisé doux et tendre de la voiture. On aurait dit-il avait envie de m’avaler. J’ai ouvert la bouche pour l’accueillir tout naturellement avant d’être aspirée dans ce monde de passion. Il aspirait suçait et mordillait tout à la fois. Sa langue était un vrai instrument de torture. Elle fouillait ma bouche à la recherche de je ne sais quoi en laissant au passage une multitude de sensations. J’aimais ce qu’il fessait de moi. Après  avoir gouté à tout sur mon visage, il descendit dans mon cou tout en fessant glisser sa main a mon postérieur qui, jusqu’à présent maintenait ma tête sous l’assaut de ses baisés. Il déposait de multiples baisés du lobe de l’oreille à la naissance des seins avant de remonter en reniflant comme pour ne pas oublier mon corps et mon odeur. Je sentais ma mouille traverser mon slip et descendre entre mes jambes. Le supplice !!! J’en voulais plus… encore plus… soudain, ses mains qui pétrissaient mes fesses depuis un s’arrêtèrent pour me prendre par les reins et me plaquer sur son membre ériger en mimant une pénétration. Je sentais son membre battre contre moi. Je voulais le toucher comme lui me touchait. Je voulais le caresser mais où avais-je mis mon courage. Tout ce que je pu faire était de passer ma main sur sa nuque un une forme de caresse et de griffure tendre.  Il poussa alors un grognement sourd avant de me porter et me faire assoir sur le bureau. Il prit ma bouche dans un autre baisé fougueux tout en remontant ma jupe sur mes hanches pour mieux se placer entre mes jambes. Il fit glisser sa main dans ma petite culotte et poussa un grognement plus proche d’un cri de détresse qu’autre chose.

-          Seigneur Elle tu veux me tuer ?? comment est-il possible de mouiller autant. Les idées qui me viennent à l’esprit ne sont pas catholiques…

Il se recule au moins de  quatre pas… mes jambes toujours grands ouvertes il observe ma mouille visqueuse sur ses doigts, mon entre jambes et remonte lentement jusqu’à fixer nos yeux l’un à l’autre. Ma posture… jambes écarté, les bras en appuis en arrière sur le bureau, la poitrine propulsé en avant appelle à la luxure et à tout les vices. Il place sa main sur son nez afin de le renifler et fini par le lécher. Je gémie et sens mon sexe pulser. De nouvelles mouilles. Il semble ne pas être dupe des conséquences que son manège a sur moi.-

-          Dieu ! Elle tu es capable de réveiller un mort. Je me demande pour quoi j’ai attendu si longtemps…

Il s’approche et dépose son front sur le mien. Nous restons là  à nous regarder. Quelques minutes plus tard, il ferme les yeux, lance un profond soupir avant de les rouvrir. Il me ferme les jambes, fait redescendre mon top.

-          Je te demande pardon. Te faire l’amour ici serais pour moi un manque de respect, de considération envers toi. J’ai perdu le contrôle de moi-même.

-          Je ne veux pas que tu arrêtes. Dis-je d’une toute petite voix.

-          Je sais mais nous le devons. Quand je te ferrais mienne ce ne serais pas à la va vite dans un bureau sans que je n’ai pris le temps de te déguster au plaisir. Il rit comme s’il se parlait à lui-même. Je te ferrais jouir un nombre incalculable de fois avant de me perdre en toi… en ce seul jour j’effacerais de ton esprit tous les autres amants que tu as pu avoir. Lorsque le plaisir aurais explosé mes sens, je te prendrais dans mes bras pour un repos bien mérité avant de remettre ça  deux à trois fois avant l’aube.

Je gémie sous l’image que ces mots me renvoient dans mon imagination.

-          J’aime à savoir que mes paroles t’excitent car les réponses de ton corps m’excitent encore plus.

-          Hummm hummm…. Susurrais-je en me blottissant contre lui.

-          Descend de là petite friponne et vas te nettoyer. Lance-t-il en me montrant la douche attenante à son bureau.

J’y vais et à la porte, je me retourne pour le voir agrippant son bureau avec force dans une pose magnifique.

-          Fokam entre là dedans avant que je ne perde patience et ne jette mes résolutions au chien ! gronda t-il.

Je ne me le fis pas dire deux fois. Je n’ai jamais aimé me faire gronder même du vivant de mes parents. Il a fait disparaitre toute la langueur qui liquéfiait mon corps.  En passant devant le miroir je me suis vue. Mon dieu ! On aurait dit que je m’étais fais agresser. Tout mon maquillage s’était envolé. Ma jupe au hanches était tournée sur le côté.mes lèvres gonflées montraient la passion qui nous avait envahis plus tôt. La honte mama !! Je ne pourrais plus le regarder dans les yeux et travailler sainement. Je me suis nettoyer et ai essayé de remettre de l’ordre dans mes vêtement. Au moment de sortir après avoir pris mon courage à deux mains, j’ai en tendu des voix.

Voix -  ok comme mlle Fokam est sortit je reviendrais plus tard lui remettre les documents  à inclure dans le dossier de réunion.

Biboum -  le mieux serait de le laisser à son bureau avec une note. Je lui ai déjà demandé de ranger la salle de réunion.

Voix- elle pourrait y être alors

Biboum -  je ne pense pas … mais faites !

Quelques temps après j’entendis la porte s’ouvrir et se refermer. Je suis venu m’assoir.

-          Elle.

-          …..

-          Estelle !

-          Hummm.

-          Regarde-moi. (Ce que je fis.) tu n’as pas à te sentir géné. Est-ce que ce type te courtise ? demanda t-il en me le désignant d’un coup de menton vers la porte. Je me tourne pour suivre du regard la direction indiqué.

-          Tu parles de qui ? demandais-je

-          De paul… le directeur d’audit et de contrôle de getion. Ajouta t-il devant mon incompréhension

-          Non …. Enfin je ne pense pas… nous mangeons souvent a midi a la cafète ensemble. Rien de plus.

-          Alors sache que tu l’intéresse.

-          Moi ??

-          Oui toi !!!!

-          Comment ?? pourquoi ? que j’ai fais quoi ?

-          Rien Elle ne t’alarme pas. Je voulais juste te faire comprendre que tu es à moi et à personne d’autre….

-          …..

-           Bien. je voudrais te demander un service demain je voudrais que tu fasses les courses avec ma cousine. Elle ne sait pas comment s’y prendre dans ce monde…

-          Ce monde ??

-           Hummm… Je veux dire en ville. Comme demain je serais dehors toute la journée, je voudrais que tu prennes l’après midi pour elle.

-          D’accord je l’aiderais.

Nous avons encore échangé sur les banalités un bon bout de temps. Il a demandé après mes frères et a émis le souhait de bien vouloir rencontrer Dany. Ensuite je suis sortie et la journée à suivit son cours. Je suis rentrée ce soir là épuisée. Comment arriver à passer outre mon envie de lui. Allongée dans mon lit, la lune était haute dans le ciel et illuminait la chambre. Je me suis couché de façon à la contempler. Ma mère disait souvent que la lune est la matérialisation de la bienveillance du ciel. Comme elle rend possible des merveilles du monde alors si tu lui demande des choses cohérentes et possibles, elle le ferra pour toi. Je l’observe encore et encore avant de sombrer dans un sommeil réparateur.

~~~~~~~ MEHOUN REINE~~~~~~

Seigneur !!!! Qu’est ce que j’avais encore fait ?

Nous n’étions plus dans la chambre d’hôpital mais dans une forêt luxuriante allongés sur un amas de feuilles large qui nous servaient de matelas. Effrayée, je me suis levée brusquement sans tenir compte du fait que je bousculais Adrian profondément endormis.

-

Par les Eléments