COUPS PAR COUPS 2
Write by Lari93
Benoit TANOH
Moi : Tout ce discours pour ne rien m’apporter
de solide comme information.
Elle : Tu as leurs numéros de portable, ou
pire des cas tu vas chez eux pour prendre de leurs nouvelles.
Moi : Bon fou moi le camp vite. (Elle part en
chantant des louanges à Dieu, cette femme ci !)
Même une heure après notre échange, j’ai toujours
cette mauvaise sensation au cœur.
J’appelle Brice ou pas ?
Charles-Emmanuel
Je suis à la résidence à attendre un coup de fil,
des nouvelles, un signe et Merd***.
En gros, je suis perturbé et je ne sais que faire
et ou chercher.
J’ai informé mon père, il a passé un coup de fil au
ministre de l’intérieur, de la défense et la justice avant de me rejoindre à la
résidence avec maman et les filles.
Son coup de fil permettra à Bertrand d’agir
librement dans ses recherches sans avoir la police à dos.
Bertrand ?
Je reposais en lui tous mes espoirs ses derniers
mois pour ma sécurité et celle de ma future famille.
Mais, es aussi de sa faute ?
Nous avons peut-être sous-estimé l’ennemi aussi,
qui qu’il soit.
Il faut que j’appelle les proches d’Annabelle, je
n’ai pas le choix.
Maman : Charly ne t’inquiète pas, ils vont les
retrouver (En me prenant dans ses bras). Mais, Il faut que tu appel sa
famille maintenant.
Moi : Merci Maman. Je le fais (à peine ai-je
composé le numéro de Brice que je vois débarqué Jason en furie dans le séjour.
Ma vie n’est pas simple inh, je vous le dis)
Jason : Que ce passe-t-il ici Charles
-Emmanuel ? ou est ma sœur ? (Dit il froidement. Mais comment il est au
courant ? que je suis bête, il est juge et à des connexions un peu partout
police, gendarmerie et autres. Pareil pour ses frères. C’est sûr qu’ils ne vont
pas tarder à tous débarquer à tour de rôle chez moi).
Moi : J’étais sur le point de vous informer.
Annabelle a disparu, il y a quelques heures et le garde qui l’accompagnait a
été tué.
J’ai reçu des menaces, et il semblerait que ce soit
un enlèvement.
Si c’est le cas j’attends des instructions claires
des ravisseurs.
Mes hommes et la police font tout ce qu’il faut
pour la retrouver.
Jason : la nouvelle cour dans tout le
ministère depuis quelques heures, j’ai informé les autres et ils arrivent. Tu
penses que c’est encore eux ?
Moi : Oui, mais je n’ai aucune preuve. En plus
il n’y a aucune trace d’eux au pays.
Jason : (il s’assoie, s’excusant et saluant au
passage mes parents) Charles ma sœur t’aime et je sais que tu la rends
heureuse. Mais sache que si quelque chose de mal lui arrive et je ne parle même
pas de nous ses frères, mais mon père te tuera.
Maman : Quoi ????
Jason : Je suis désole madame mais c’est la
stricte vérité et il le sait.
Papa : Calme-toi chérie (En prenant la main de
sa femme). Je comprends toute votre colère (En s’adressant à Jason) mais ce
n’est pas le moment de parler de malheur.
Moi : Je suis responsable d’Annabelle et j’en
assumerais toutes les conséquences, l’important pour le moment c’est de la
retrouver saine et sauve.
(Comme si ça ne suffisait pas, Jason est venu me
rappeler les menaces du général lors de notre premier échange.)
Jason : Ok. (Il se lève pour passer des coups
de fils)
Je suis un homme avec un pistolet sur la tempe en
ce moment.
Les frères sont arrivés à tour de rôles y compris
Andrews qui a un regard plus noir que d’habitude pour moi.
Brice : J’ai reçu un appel de papa (On l’a
tous regarder comme si nos vies en dépendaient, est-il au
courant ? Abidjan les nouvelles vont très vite.).
J’y vais. Je vous informe en cas de besoin. Jason
je veux tout savoir, appel moi.
Jason : Ok
Andrews : Brice, je viens avec toi.
Brice : Ok, on y va.
(Ouf tant mieux qu’il parte celui-là).
Nous sommes restés des heures sans aucunes
nouvelles.
Chez les TANOH
Brice TANOH
Papa m’a dit qu’il voulait me voir, j’espère qu’il
n’ait pas au courant de ce qui se passe.
Andrews est venu avec moi.
Je sais qu’entre lui et Charles il n’y a aucune
tendresse.
Nous sommes arrivés.
Moi : Bonjour Maman (En lui faisant un bisou,
elle m’a manqué. Cette maison aussi).
Maman : (Elle me prend dans ses bras, en me
serrant très fort) Mon garçon bienvenu à la maison. Andrews vient par-là (Elle
fait pareil avec lui).
Moi : Tu as suivi ton époux dans ses affaires,
tu n’as pas pris de nos nouvelles.
Maman : Je sais et Je suis désolé. Mais c’est
mon époux et il a raison (toujours à soutenir son époux). Vous nous avez tous
fait du tort. Mais votre tante me donne régulièrement de vos nouvelles. C’est
ce qui m’a fait tenir tout ce temps.
Il vous a appeler ?
Moi : Oui maman, il dit qu’il veut me parler.
Maman : Il est anxieux depuis ce matin. Mais
vous m’avez manqué mes bébés. Et les autres ils vont bien ? j’espère que
vous prenez soins de votre petite fleur.
Papa : Alice c’est toi qui as convoqué
Brice ?
Maman : Donc je ne dois pas saluer mes enfants
quand il arrive ici ? tchippp
Papa : Brice tu viens ? Andrews (En
me regardant) ?
Moi : J’étais avec lui quand tu m’as appelé.
Papa : Ok venez alors.
Nous sommes allez ensemble dans son bureau.
Papa : Je ne vous ai pas contacté pour changer
les choses.
Moi : Ok, tu ne veux toujours pas faire la
paix avec ta fille et nous ?
Papa : Oui.
Moi : Ok, Donc pourquoi tu m’as demandé ?
Papa : Je veux savoir si vous allez tous bien
? tu es l’ainée.
Moi : Tu ne trouves pas que ta demande est
paradoxale ?
Papa : Oui mais une chose est de faire la paix
avec vous et une autre est de m’assurer que vous allez tous bien.
Jason : Monsieur Benoit TANOH, Nous allons
tous bien dormez tranquille. Andrews vient on part d’ici.
Andrews : Pourquoi Aujourd’hui précisément (En
s’adressant à papa) ?
Papa : Parce que depuis ce matin je n’ai pas
la paix, j’ai le sentiment que quelque chose ne tourne pas rond.
Moi : Andrews vient on part tout de suite (Dis-je
en criant).
Andrews : Papa, Ils ont kidnappé Annabelle ce
matin.
Papa : Seigneur !!!! Brice tu comptais me
le cacher ???
(Mais Andrews, j’ai envie de lui de le baffer en ce
moment. Pourquoi il a ouvert sa puta**** de grande bouche. Tchrrrrr)
Papa : Brice Je te parle, répond moi !!
Brice : Oui je ne comptais pas te le dire papa.
A quoi bon ? dis-moi qu’elle aille bien ou pas, tu ne lui parleras pas
donc tu peux rester tranquille chez toi.
Papa : Tu penses que ces pour ses raisons que
je n’ai pas le droit d’avoir des nouvelles aussi graves concernant ma fille !
mon unique fille !
Jason : Une fille que tu as reniée à la
première grosse bêtise, aussi bien que tes autres enfants. Annabelle n’a pas
bien agi soit, mais tu nous as appris à rester soudé quoi qu’il advienne. Et
nous l’avons tous fait. Nous n’avons pas cautionné son acte et elle le sait
mais nous sommes restés ensemble.
Ensemble contre le monde, car il est de notre rôle
de la protéger contre le regard des autres.
Ta fille comme tu le dis a fait une seule erreur,
une seule et tu nous as tous jeté dehors.
Donc si vous permettez monsieur Tanoh je vais
chercher ma sœur.
Au besoin si vous compter nous aider, le bon fils à
Papa (En regardant Andrews) pourras vous conduire chez les DASYLVIERA.
Je sors et les laisse tous les deux dans le bureau.
Le plus important actuellement c’est ma sœur et non
le lourd comportement de mon père comme aime bien le dire ici à Babi (Abidjan).
Andrews je vais régler son cas plus tard.