Des Demande En Fiançailles!

Write by Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : page 9


*Des Demandes en Fiançailles. 


MARYSA 


Moi : alors tu te le tapes ? 


Elle : chut, moins fort nous sommes au bureau là 


Moi : je suis sure que tu es avec lui, tu as l’air si épanouie ces temps-ci 


Elle : bon oui tu as gagné 


Moi : wahho ma sœur, il est si beau tu as de la chance tu sais 


Elle : je sais merci et il est si doux, attentionné et si bon 


Moi : j’espère qu’il ne te sert pas juste pour oublier ton mari 


Elle : bon, je reste quand même mariée à Maxime. Même si nous n’avons rien d’un couple, mais je ne veux penser à cela 


Moi : mais il y’a la réalité actuellement Maxime est en voyage et on vit bien. Mais s’il revient que feras-tu ? 


Elle : bof, je n’aime pas y penser 


Moi : mais comment peux-tu dire cela ? Andy t’aime et te rend heureuse deux semaines que tu nages dans le bonheur. Il ne fait que te faire des cadeaux te faire sortir et hésite de raconter à tous même à moi sa copine qu’il est avec toi car il respecte ta vie de couple et aussi te respecte toi 


Elle : je sais mais ce n’est pas aussi simple 


Moi : tu ne l’aimes pas ? 


Elle : hum il est si beau, si tendre, si doux et si intelligent. Il me voue un respect que seul Majid me vouait, il me fait revivre comment ne pas l’aimer


Moi : mais  alors ? 


Elle : mais pour moi il reste un rêve imagine que je me mette avec lui et que tout s’arrête 


Moi : ce n’est pas parce que ça n’a pas marcher entre toi et ton mari qui est le contraire de tout ce que tu as cité chez Andy que ça sera pareil, tu es grande femme et tu dois te décider. 


Elle : je sais mais je préfère ne pas y penser 


Moi : je suis si heureuse que tu sois avec lui, vous êtes si beaux ensemble 


Elle : merci mais nous ne valons pas toi et ton si beau mec 


 Moi : (riant) celui-là, ne m’en parle pas. Tu imagines qu’il veut que je l’épouse déjà


Elle : ah bon ? 


Moi : oui, oui. Sa mère ne fait que m’appeler tous les jours de ma vie  et veux que l’on fasse vite de se marier (riant) 


Elle : c’est super cela, tu as de la chance 


Moi : c’est trop tôt 


Elle : en amour on ne calcule pas le temps tu sais (souriant) 


Moi : ah ça tout ça c’est l’effet Andy 


KEVIN 


Je suis couchée et je cause avec maman. Ma mère est vraiment pressée et veut que je mette la bague à Marysa, sous prétexte que Marysa est trop belle, mais je ne sais pas si elle acceptera.  Cette femme est très belle mais réfléchie tellement que parfois j’ai peur avant de lui avouer mes choses. 


Je l’aime et veut vivre avec elle. J’ai acheté la bague pour lui offrir. Mais vraiment cette fille me fait peur, avec ces réflexions souvent. 


Elle : a quoi tu penses ? Aux résultats des élections ?  


Moi : oui j’avoue que ça me préoccupe vu comment les choses se déroule on parle de nouvelle machine à voter tout ca 


Elle : oh t’en fait pas, il gagnera tout le peuple le soutien mon amour (parlant de M.Ehouo notre candidat) 


Moi : alors comment va ma poupée ? 


Elle : la poupée que je suis irait mieux si tu venais l’aider à la cuisine


Moi : mais je t’ai dit que tout ce qui est vaisselle et ménage tu me fais signe mais pour la cuisine bébé je te laisse faire 


Elle : hum weh c’est ca 


Moi : tu sais ma poupée ? 


Elle : oui 


Moi : je t’aime tellement que je ne veux te perdre, j’ai envie de vivre chaque instant de ma vie avec toi (prenant sa main) 


Elle : moi de même mon doudou d’amour 


Moi : je veux donc que tu sois ma fiancée 


Elle : Kevin 


Moi : je t’en supplie je sais que c’est trop tôt mais j’aimerais au moins que tu portes cette alliance pour symbole qui prouve que nous sommes fiancés. Et si ça ne marche pas libre à toi de me la remettre mais si non, juste après  les résultats de la campagne je vais te doter comme il se doit. 


Elle : (m’offrant son plus beau sourire) ok mets la moi 


Moi : (heureux mais ahurie) sérieux ? 


Elle : mais oui je t’aime aussi et avec un tel discours tenu par un si beau mec je ne peux qu’accepter (m’embrassant) 


Je lui mis donc la bague et lui fis une photo pour l’envoyer à maman avec message « elle a dit oui »


Moi : nous irons à Assinie pour célébrer cela 


Elle : ok on peut inviter ma sœur et Andy ? 


Moi : biens sur mais nous dormirons est-ce qu’ils pourront ? 


Elle : je crois que ça peut se faire (souriant) 


Moi : ils sont ensembles ? (voulant vraiment comprendre) 


Elle : oui mon amour et ils s’aiment en plus je les soutiens 


Moi : j’espère juste que l’un  des deux ne souffrira pas car ta sœur est encore une femme mariée 


Elle : t’en fait pas, je suis sure qu’elle prendra la bonne décision (caressant ma joue) 


Moi : regardes maman appelle (décrochant) allô maman oui elle est là, tiens ma poupée elle veut te parler 


Elle : allô maman oui j’ai accepté 


JAMILA 


CE week-end à Assinie est vraiment parfait. Je n’y crois pas ma petites sœur va bientôt se marier. J’ai vu sa belle bague de fiançailles, je suis heureuse pour elle. Ce jeune homme est un homme bien  et j’ai confiance en lui. 


Lui : ma jaja pense à quoi ? 


Moi : A rien d’autres à part le bonheur de ma petite sœur 


Lui : oui Kevin est un bon gars et j’ai confiance en lui 


Moi : oui moi aussi alors comment les vois-tu dans deux ans ? (souriant) 


Lui : heureux, mariés et parents d’adorables enfants. Mais moi ma vraie question est comment nous vois-tu dans deux ans ? (me fixant) 


Moi : deux ans c’est loin (voulant changer de sujet) 


Lui : alors dans deux jours ? Ou demain lorsque l’on rentrera et que ton mari reviendra


Moi : (soufflant)  on s’était promis passés un bon moment sans tristesse ni histoires


Lui : tu sais ce que c’est que d’être dans ma place tu es toi-même déjà sortie avec un homme marié 


Moi : et ça recommence toi aussi prendra ce fait pour me parler 


Lui : (regard suppliant) ce n’est pas  ce que je fais, ni même ce à quoi je fais allusion 


Moi : (petite voix)  et c’est quoi alors ? Tu as quoi à parler d’une histoire qui me fait si mal je te l’ai déjà dit


Lui : (air triste et désolé) c’est juste pour que tu ressentes ce que je ressens. Tu es bien avec moi mais tu iras derrière lui dès qu’il reviendra 


Moi : ça n’à rien avoir, nous sommes encore maries et je ne peux déserter ma maison 


Lui : mais tu peux déserter mon cœur ? (me fixant) 


Moi : ça n’a rien à voir, je suis là avec toi et ce week-end c’est avec toi et deux autres magnifiques personnes que je les passes (prenant sa main) 


Lui : (se rapprochant) et tu crois que c’est suffisant ? 


Moi : (abaissant ma tête) je suis désolée 


Lui : ça va je ne veux pas te faire de la peine, viens dans mes bras 


Moi : je t’aime Didi crois moi et je réfléchis à comment trouver une solution rapidement. Je ne veux te faire mal (le serrant) 


Lui : chut, ça va (m’embrassant) je t’aime aussi Jaja 


Moi : merci mon Didi 


Elle : alors ça qui l’aurais cru (une voix que je reconnais) 


Lui : Julie ?  


Moi : (voulant rester polie) salut Julie 


Elle : (me snobant) salut, Andy je vois pourquoi tu ne me répondais plus sur whatsap (me relookant) 


Lui : je ne te réponds presque jamais sur whatsap Julie (la regardant à peine) 


Elle : (sourire jaune) Jamila ton époux est-il rentré de voyage ? 


Elle : euh non,non. (Bégayant)  


Puis il partit


Elle : alors ça, c’est un vrai scoop 


Moi : (partant vers lui) mais Andy 


Je suis sure qu’elle ira le rapporter à qui veut l’entendre. Mais actuellement ma préoccupation majeure est de rattraper Andy. 


Marysa : alors comment tu me trouves ? (descendant avec sa belle robe) 


Moi : (souriant)  très belle, tu n’aurais pas vu Andy rentré ? 


Elle : sisi, il est allé direct dans sa chambre, il y’a quelque chose ? 


Moi : Julie nous a surpris au bord de la plage en train de nous embrasser 


Elle : oh là là, j’imagine que ton mari le saura alors, vu qu’elle est une vraie salope de  rapporteuse 


Et aussi sa maitresse, mais c’est  seulement  moi  qui le sait. 


Elle : et Andy est fâché ? (me touchant) 


Moi : (soufflant)  je ne sais pas je sais juste qu’il est partit dès qu’il a senti mon trouble lorsqu’elle a parlé de mon mari 


Elle : alors là, tu veux que j’aille lui parler ? 


Moi : non, non. Va profiter de la soirée que va t’offrir ton fiancé dans ce beau restaurant près de l’eau. Je vais régler cela 


Elle : ok mais tu sais que tôt ou tard tu devras décider (me fixant) 


Moi : oui crois moi je le sais (la rassurant) 


Kevin : (venant) mon amour tu es juste belle 


Moi : vraiment et toi aussi mon beau frère tu es élégant 


Kevin : merci ma belle-sœur, bon je te l’enlève (attrapant la main de Marysa) 


Elle : ok je t’aime ma sœur et règle vite cela 


Kevin : Régler quoi ? 


Elle : rien de grave on y va ? 


Kevin : ok 


Je partis donc dans la cuisine et pris un grand verre d’eau pour boire.  En même temps je me rappelais de moi il y’a quelques années en étant la maitresse d’un homme marié. Et je comprenais ce que pouvais ressentir mon Andy à l’heure actuelle. Marysa à raison je dois me décider et je dois faire mon choix. Avec Maxime, je ne ressens plus rien, il n’a fait que me blesser, m’honnir, me tromper et me faire sentir au plus mal dans ma peau. Je ne peux rester avec lui, en plus il n’y’a aucune attache, aucun enfant alors je suis libre. Je dois être heureuse et vivre mon bonheur 


Moi : (entrant dans la chambre) je suis désolé mon Didi 


Lui : pourquoi ? (fixant le plafond) 


Moi : parce que tu as mal, et je sais ce que tu ressens. Je suis désolé Didi, je t’aime et nous avons besoin de vivre ensemble et heureux. C’est toi que je choisi le reste c’est juste des formalités c’est toi que j’aime et je veux 


Lui : (m’embrassant) moi aussi c’est toi que j’aime  et je te veux. Et pour moi juste toi t’avoir c’est l’essentiel, je ne veux te brusquer mais tu dois choisir ta vie et tu mérites d’être heureuse. 


Moi : et mon bonheur est avec toi  et je le sais. Je t’aime 


Lui : et moi aussi 


Je me jetai donc sur lui et l’embrassai je pouvais même arracher ces lèvres. Je ne  voulais le perdre. Il me déshabilla et là on fit une seule danse ensemble : la danse de l’amour. 


MAXIME BELY 


Moi : ok d’accord conservez bien cette carte mémoire là et mettez là en lieu sûr


Je raccrochais et étais vraiment content. Oui nous serons et resterons encore au pouvoir. Mon candidat gagnera. Et j’avais régler cette histoire,  moi, Neslie et des partenaires français avons fait en sorte que de nouvelles machines arrivent sur notre territoire et parmi ces machines une seule a pu faire notre affaire. Oui je sais ce n’est pas lui que le peuple veut comme président mais bon le peuple est bien trop bête. 


Maintenant je peux attaquer mon second soucis je peux même l’appeler ainsi, Jamila cette grosse femme que j’ai chez moi à oser me tromper et en plus avec son minable collaborateur. Si elle pensait se cacher longtemps elle se trompe vraiment. 


Elle : (entrant) bonsoir Maxime 


Moi : madame la trompeuse tu vas bien ? (la lorgnant) 


Elle : je vois que ta maitresse t’a informé  (petite voix) 


Moi : ne retournes pas la situation (hurlant presque) 


Elle : ok je vais donc dormir dans la chambre d’à côté 


Moi : sois contente que je sois d’humeur mais demain sois en sure on réglera cette affaire (autoritaire) 


*****


 Ah je suis de bonne humeur ce matin, car oui la CEI  a tranché et mon candidat est le président de la république, ce pays nous appartient encore pour 5ans : 


Je partis donc dans la chambre d’ami avec de l’eau bien  glacé et versa cela sur Jamila 


Elle : mais Maxime qui y’a t-il ? (se réveillant) 


Moi : figure toi madame la pute c’est que mon candidat qui est l’heureux élu, il a gagné 


Elle : comment c’est possible, tout le monde soutenait le mien (ahurie) 


Moi : (la giflant) parce que tu es une idiote 


Elle : maxime (attrapant sa joue) 


Moi : et une assez bête pour oser me tromper, tu te prends pour qui même ? (a poussant) 


Elle : mais Maxime, calme toi et écoute moi s’il te plait. 


Moi : (hurlant) non toi la ferme, tu es une moins que rien, que j’ai pris et que j’ai aidé à être ce que tu es aujourd’hui (la giflant encore plus fort)  et toi tu vas te la couler douce avec ton amant.  Tu n’es qu’une grosse idiote. Tu vas me la payer cher cela, je vais féliciter mon candidat et je reviens. (La poussant et la tapant avec mes pieds) 


Je sortis et je l’enfermai à double tour dans la chambre, non mais cette femme, elle va bien me connaitre. Oser me cocufier moi ? J’appelle son boss et je vais voir s’il ne peut pas renvoyer ce type pour moi. 


MARYSA


Je n’y crois pas, les résultats sont connus et nous avons perdus. Comment est-ce possible ? Pourtant j’étais sure que nous allions gagner. Mon chéri lui n’y crois aussi pas. La seule à se rejoindre ici c’est cette peste de Julie. 


Concernant ma sœur elle n’est pas encore venue. J’imagine aussi qu’elle st sur le choc, je l’appel depuis sans suite. J’ai envie de me rendre chez elle, mais son homme est rentré hier donc je préfère l’attendre ici. Maxime je suis mieux lion de lui. 


Je me remets donc au travail et oublie tout le reste. 


Moi : mon copain tu m’as envoyé à manger ? 


Lui : oui dis-moi tu as eu ta sœur ? (souriant bizarrement) 


Moi : non, non 


Lui : je m’inquiète pour elle, je l’appelle mais ce ne passe pas 


Moi : moi aussi mais je suis sure qu’elle va bien 


Lui : ok merci 


Moi : t’en fais pas, elle te contactera surement 


Lui : j’espère et j’espère aussi que cet idiot ne lui a pas  fait de mal 


Moi : non il n’a pas intérêt. Je passerai la voir à ma descente


Lui : merci vraiment et ton Kevin ? 


Moi : oh déçu de la défaite de notre candidat. Il dit mener des enquêtes. Le pauvre il s’en remettra difficilement


Lui : moi-même cela me dépasse aussi mais bon, le choix du peuple on ne peut que s’en soumettre 


****


Lui : Marysa tu n’as pas encore finie ? 


Moi : sisi, je vais aller dans peu de temps ? tu es encore inquiet ? 


Lui : un peu plus car Franck  vient de m’appeler pour me dire que M.Bely voulait  qu’il me renvoie mais il lui a dit que j’étais plus qu’un simple employer mais un partenaire 


Moi : quoi ? Il se prend pour qui celui-là (s’énervant) 


Lui : il peut se prendre pour qui il veut mais ma Jaja il n’y touche pas (ferme) 


Moi : calme toi je vais là-bas de ce pas 


JAMILA 


Je n’ai plus de batterie et ce fou de Maxime m’a enfermé. Je ne le comprends pas, je croyais qu’il s’en fichait de moi, mais M. vient, il me bat  et  il m’enferme. 


Lui : (voix hautaine) donc comme cela madame aime les riches ? D’abord un homme marié super riche je dirai même milliardaire,  ensuite le millionnaire que je suis et enfin ce richissime collaborateur car oui il n’est pas un simple collaborateur pour toi mais il est aussi un patron apparemment. Ton Boss m’a dit qu’il est actionnaire je comprends mieux tes apparitions à la télé maintenant 


Moi :…..


Lui : (hurlant avec une de ces voix) il a dû te dire quoi ? Qu’il t’aime malgré tes grosses formes et que ton corps vraiment si crasseux lui donne envie de te faire l’amour, ah oui l’amour, il a dû te faire l’amour et vu qu’il y’a vraiment longtemps tu as du gémir comme la pétasse que tu es devenue et jouir tellement que tu oses t’afficher à la plage avec lui (me giflant) tu veux me salir ? Salir ma réputation ? Tu crois que juste pour ton satané histoire de cul avec un patron tu as le droit de me faire honte en public (me jetant au sol) pétasse, prostitué, maitresse (il s’apprêta à me gifler encore) 


Moi : (attrapant sa main) je veux divorcer 


Lui : que dis-tu ? (pour une fois depuis longtemps je vis mon mari choqué) 


Moi : j’ai dit que je voulais divorcer (le regardant) 


Lui : (riant nerveusement)  parce que ton amant t’a promis quoi d’épouser si tu divorces ? Tu es vraiment une idiote Jamila 


Moi : je veux divorcer et pas pour lui mais pour moi. Je ne veux plus être avec toi (sûre) 


Lui : (hautain) si tu penses pouvoir m’avoir avec ça en voulant prendre ma fortune sache que tu n’auras rien 


Moi : je veux divorcer et être libre pas être riche 


Lui : (ahurie)  tu as la langue bien pendue, tu me défies ? Ok, apprête ou apprêtez-vous à me sentir 


Moi : (le fixant)  je t’ai aimé d’un amour pas si profond et si bête  pas comme Majid, mais je t’ai aimé (fermant mes yeux) et t’ai été entièrement dévouée comme femme. Tu n’as fait que m’humilier, me traiter de tous les noms et me tromper avec Neslie, Julie et bien d’autres. J’ai accepté tout cela, mais je veux divorcer sans soucis alors accorde moi cela (ferme) 


Lui : tu as bien réfléchie Jami ? (surpris) 


Moi : (surprise, depuis quand m’avait-il appelé Jami ?) oui je le veux Maxime 


Lui : (secouant sa tête)  je ne crois pas non. Tu veux t’en aller parce qu’un autre homme te dis ce que tu as toujours voulu entendre de ma bouche et te touche et te  fais plaisir aux endroits où tu as toujours désiré que je te touche mais partir et oublier tout ceci tu n’as pas encore bien pensé 


Moi : il n’y’a rien qui me retienne ici, nous n’avons pas d’enfants  (haussant les épaules) 


Lui : fallait faire un garçon  plutôt 


Moi : (le coupant) je veux divorcer 


Lui : je montrerai à tous que tu es une pute qui m’a trompé avec son collaborateur ou son patron, votre réputation sera vraiment salie et je m’arrangerai pour que cela passe sur toutes les chaines 


Moi : j’accepte ta condition 


Lui : quoi ? (ahuri) 


Moi : si c’est ta condition je l’accepte (le regardant) 


Je sais je suis folle certainement, mais je ne veux vraiment plus de Maxime. Je refuse de faire  vivre à Andy l’homme que j’aime ce que j’ai subi avec Majid, non jamais. Je veux divorcer, vivre seule ou avec ma sœur qui revient à vivre seule car elle est toujours avec son fiancé. Mais me retrouver et faire mon mea culpa et prendre mon temps avec Andy, mais Maxime non je ne le supporte plus. 


Lui : (passant une main sur son visage complètement dépassé) tu me dépasse Jami 


Moi : (sortant de la chambre) j’attends l’appel de ton avocat, merci Maxime pour tout mais il est temps que je vole de mes propres ailes 


Lui : c’est mon retour de flamme ? (me questionnant avec une voix plus calme) 


Moi : pardon ? 


Lui : tu me rends la monnaie de ma pièce à cause de la sextape de Neslie et mon histoire avec Julie ou autres choses que tu as découverte


Moi : je veux juste être divorcé de toi 


Lui : (haussant le ton)  bon sang pourquoi Jami ? Dis-moi ? 


Moi : (du tic au tac) parce que je peux 


Je ne crois pas avoir dit cela ? Je l’ai vraiment dit. Bon pas avec assez d’assurances mais je l’ai dit et en plus à Maxime. Je vais maintenant en chambre prendre quelques affaires et apprêter la seconde chambre car j’y vivrai maintenant. Je ne peux sortir d’ici maintenant, je dois parler avec l’avocat et voir comment tout cela se passera. 


MARYSA 


Moi : je veux voir ma sœur Maxime ? 


Lui : bonsoir à toi aussi Marysa, ta sœur est sous la douche


Moi : (le fixant)  j’espère pour toi qu’elle n’a rien et que tu ne lui a rien fait Maxime. Je suis certes une personne insignifiante pour toi ou insolente je m’en contrefiche mais si par erreur tu fais mal à ma sœur avec autre choses que des paroles je te promets sur la tombe de mes parents que tu me connaitras réellement et là au moins tu pourras me donner tous les surnoms insensés que tu veux car je les aurais mérités (ton menaçant) 


Lui : (surpris) Marysa je ne l’ai pas touché 


Moi : tu as intérêt et ne pense même pas à le faire (m’approchant de lui) 


Elle : (sortant) je suis là Marysa je vais bien 


Moi : (me jetant sur elle) j’ai eu si peur si tu savais


Moi : t’en fais pas ça va maintenant, je n’avais juste plus de batterie et ne retrouvais pas mon chargeur 


Moi : Dieu merci, maintenant que tu vas  bien je peux partir en paix car cette maison et son maitre ne m’enchante guerre


Elle : je te raccompagne 


Grande première M.Bely ne parlais pas. Il se contentait juste de prendre son verre et de boire. Ca faisait plaisir de le voir ainsi lui qui avait une si grande bouche. Elle me raccompagna et ensemble on appela mon copain. Il était plus rassuré et elle avait l’air si joyeuse. Ca me rappelait le bon vieux temps avec Majid, mais Andy au moins n’est pas occuper. 


ANDY


Presque 2 mois que je continue à sortir avec Jamila et je dois avouer que c’est un pur bonheur. Elle est encore chez son mari car selon l’avocat il risque de nous tendre un piège donc nous devons  nous méfier et être plus prudents. Et c’est ce que nous faisons, mais je  suis rassurer de savoir qu’ils ne partagent plus la même chambre et plus lorsqu’elle m’appelle la nuit et que nous nous endormions ensemble au téléphone. 


Son seul souci  reste son manque de confiance et sa timidité. Elle est vraiment timide quand elle veut et peut te bouder seule dans son coin. Vraiment le contraire de sa petite sœur qui peut faire une crise de jalousie à Kevin pour un tout petit appel suspect. 


Avec Jaja c’est diffèrent, elle me voit parler avec des filles un peu trop collante comme Julie oui car elle ne lâche rien et tout c’est empirer le jour où elle a su que je sortais avec Jaja, en dirait une concurrence. Mais bon lorsque Jaja me voit elle ne parle pas et peu me parler sans façon. 


Elle me dit qu’elle sait que je suis bel homme et que j’aurais besoin de plus présentable qu’elle, nous avons eu une discussion houleuse là-dessus, je l’aime et ne la tromperait jamais. Mais  faudrait quand même qu’elle enlève de sa tête qu’elle ne mérite pas mieux. Je crois que son mari l’a tellement habitué à la tromper sans lui donner de justifications ou d’excuses qu’elle pense que c’est normal. Et dire que je fais tout pour qu’elle puisse comprendre qu’elle mérite mieux et est une femme qui a de la valeur, mais bon petit à petit ca viendra je pense. 


Moi : (sms) tu as tardé aujourd’hui ? 


Elle : (sms) petit déjeuner de Maxime et je viens. 


Ce sont ce genres de messages qui me mettent hors de moi, oui vous l’avez bien remarqué je suis de nature jaloux et possessif. Pourquoi se jouer toujours les bonnes dames de M. si tu comptes divorcer de lui bientôt ? Je ne comprends pas. 


Je continue donc mon travail en ne répondant qu’aux questions de Jaja qui a compris que je suis fâché. Puis un numéro masqué m’appel : 


Moi : Bonjour à qui ai-je l’honneur s’il vous plait ? 


 Lui : M. Assi, je suis M.Bely Maxime et j’aimerais vous rencontrer pour affaire, si possible aujourd’hui. 


******


J’ai fini mon service et retournes chez moi. Ca fait maintenant deux jours que je zappe Jaja, je n’ai pas  encore digérer le fait qu’elle continue de se comporter en bonne épouse pour un homme qui ne la mérite pas. Un manipulateur et un hautain de première. 


Je suis rentrée chez moi et est fait un peu de rangement puis je suis tombé sur un symbole qui me tiens vraiment à cœur. Je l’ai regardé et me suis jurer de la remettre à Jaja afin qu’elle comprenne que je l’aime vraiment. 

J’ai mis mes spaghettis au feu et je suis allé ouvrir la porte vu que l’on sonnait 


Moi : toi ? (ahuri) 


Elle : (un peu troublée)  oui moi, je suis désolé de débarquer ainsi à l’improviste mais ma voiture est tombée en panne et je n’ai plus de batterie sur mon téléphone pour joindre mon mécano. Je peux brancher mon téléphone ici s’il te plait. 


Moi : oui entre 


Elle entra et je lui prêtai mon chargeur. Elle mit le téléphone en  charge et il ne démarrait pas. 


Moi : tu devrais laisser charger un peu 


Elle : oui tu as raison (souriant) 


Moi : alors de l’eau 


Elle : oui merci 


Moi : comment as-tu su que j’habitais ici ? 


Elle : je t’avais tellement dans la peau que je te suivais (riant) désolé 


Moi : ah je vois 


Je partis enlever mes pattes au feu. 


Elle : (s’approchant) tu sais je suis vraiment éprise de toi. Je fais toujours cet effet aux hommes mais un homme ne m’a jamais fait cet effet-là. Tu peux nous donner une chance (caressant mon bras) 


Moi : tu es une belle femme Julie et très élégante (elle sourit) je ne doute pas que tu fasses tant d’effets aux hommes, mais moi j’aime déjà une autre personne que tu connais bien, alors oublie cela 


Elle : (vexée) sérieux tu aimes vraiment Jamila ? Tu l’aimes ? Moi qui croyais que c’était juste pour faire mal à son mari qui a peut-être pu te faire ml à un moment de ta vie, mais l’aimer ? 


Moi : tu connais son mari ? 


Elle : oui c’est un millionnaire et en plus je vais bientôt travailler dans la communication du président de la république. Et ils sont amis donc pendant la campagne nous nous sommes assez vus


Moi : ah je vois, donc tu nous quitte 


Elle : oui et j’espérais emmener ton cœur avec moi (me souriant) 


Moi : dommage il est déjà avec quelqu’un 


Elle : (choquée) ok je crois que mon portable même est un peu chargé. Je vais partir. Mais laisse-moi te dire au revoir au moins 


Elle voulut me faire une accolade et sans que je ne vois venir quoi que ce soit elle m’embrassa, je voulais la pousser et là 


Elle : (entrant) Didi, tu es là ? Oh désolé du dérangement… 


Elle laissa tomber un paquet et pris ces jambes à son coup, je poussai rapidement Julie et me mit à courir derrière elle, je la rattrapais sur la route. Elle n’était apparemment pas venue en voiture. Oh merde, elle pleurait je n’aime pas cela. 


Moi : (voix suppliante)  bébé je t’en supplie ne pleures pas 


Elle :……


Moi : parle moi je t’en prie. Écoutes j’ai juste voulu l’aider et elle m’a embrassé je n’ai rien vu venir je voulais la repousser et tu es arrivé crois-moi (la suppliant) 


Elle : tu n’as pas à t’excuser pour cela. Tu es un homme (pleurant) 


Moi : non ne dis pas cela !  (m’énervant un peu) 


Elle : en fin de compte, ce sera du pareil au même après Maxime quel homme pourra se contenter d’une seule femme, en plus d’une obèse comme moi (pleurant) 


Moi : merde ne dis pas cela, je t’aime Jaja et tu le sais. Je suis désolé tu as du te sentir blessée par ma faute je t’en supplie 


Elle : oublions tout cela, je vais rentrer et oublier cette histoire avec toi 


Non mais de quoi elle parle ? Je l’aime bon sang, mais son manque de confiance 


Moi : (énervée) tu veux faire quoi tout annuler et retourner près de cet homme qui t’a maltraité et humilier pendant de années. Je t’ai déçu et trompé et je ne peux te demander t’avoir confiance en moi sur le champ mais au moins est confiance en toi. Les relations amoureuses normales sont blessantes mais on n’y fait face ensemble 


Elle : (voix tremblante)  si je dois quitter un mec accro aux femmes pour me retrouver avec un chaud lapin c’est que vraiment je n’ai rien fait de bon. Tu es comme lui, tu me trompes avec les mêmes femmes pourtant j’avais (elle éclata) 


Moi : (choqué)  non, je te permets tout. Mais ne me compare pas à ce mec, jamais si j’étais comme lui j’aurais accepté tout ce qu’il m’a promis me donner pour que je te quitte (des parts dans de grandes entreprise, de l’argent, une place de ministre ou conseiller) amis c’est toi que j’ai choisi car au-delà de tout ce que tu penses sur toi-même tu es le meilleur choix pour moi et faut bien plus que tout cela. (Voix douce et essuyant ces larmes) 


Elle : (pleurant) il t’a fait une offre pour me quitter ? (ahurie) 


Moi : oui (essuyant ces larmes) et je t’ai choisie toi, je t’aime et tu as certes eu mal, mais ne me compare plus à ce type je t’en  supplie. Je ferai tout pour te faire oublier ce qu’il t’a fait tant au plan psychologique que relationnel, mais ne pense pas qu’en retournant avec lui parce que tu es habituer à lui et ces coups bas qu’il t’a fait endurer ta vie sera plus simple. Tu es personne bien te tu mérites mieux que lui (me rappelant que moi aussi j’avais failli) non mieux que nous 


Elle : (me caressant la joue) je te mérite toi. Excuse-moi pour mes mots, mais tu te plein que je ne te montre aucun signe de jalousie et bien j’ai été maîtresse et je me dis que c’est la monnaie de ma pièce qu’on me rend à chaque qu’il me trompait et je pensais pareil pour toi vu comme tu es beau et bon. Et aujourd’hui je t’ai montré ma jalousie mais je t’ai blessé, je suis désolée, c’est encore nouveau pour moi, une bonne et vraie relation (souriant avec ces larmes qui avaient séchées) 


Moi : c’est moi qui suis désolé, on retourne à l’intérieur (prenant sa main) 


Elle : oui 


Moi : tu es venue en taxi ? 


Elle : oui, j’ai laissé ma voiture chez ma petite sœur pour plus de précaution 


Moi : merci tu as pris tant de risques (épaté par tant d’attention) 


Nous retournons donc à l’intérieur avec aucune trace de Julie et c’est mieux. Jaja me remit un paquet, il était emballé. C’était un paquet de chocolat avec un mot écrit dessus « I’m sorry Didi ». je lui souris et l’embrassa. Cette femme était vraiment une perle rare et ça me plait qu’on avance. 


Moi : je te sers ? 


Elle me sourit et m’embrassa je connais bien Jaja elle est trop timide pour m’avouer avoir envie de moi alors elle m’embrasse et devient plus câline et je sais que l’envie est présente en elle, je la caresse et elle frémit oh là, cette petite réconciliation sera plutôt coquine là. 


Je la mis donc sur la table à manger qui était bien vide, je la déposais et l’embrassait, elle poussait de petits gémissements. Pauvre chérie, elle avait vraiment envie. Je vais lui donner ce qu’elle veut et mérite car je lui appartiens. J’enlevai sa longue robe  en pagne et  pus apercevoir une belle lingerie bleu, (sourire) depuis qu’elle sait que c’est ma couleur préféré, elle en abuse. Et c’est à mon plus grand plaisir. Je faisais donc des suçons de partout et malgré les sous vêtements j’embrassai dignement chaque parti de son corps, elle ne put que gémir. Je l’aimais vraiment, elle était si douce et  belle et encore plus lorsque je la faisais gémir comme actuellement, désolé pour les voisins mais nous sommes au salon et il n’ay aucune musique pour calmer les gémissements et moi ces gémissements même me rendent dingue et plus excité. J’enlève tous ces sous-vêtements et vu sa mouille je compris qu’elle avait vraiment envie alors je me plongeai en elle et accélérait les coups de riens elle gémissait de plus belle. Et me marqua avec ces ongles car elle n’en porte pas de faux. Je lui dis donc à l’oreille : « jouis pour moi Jaja, vas-y fais le pour moi » et comme un ordre elle abdiqua sans broncher. 


Je me levais et la regardais dormir, je partis prendre l’objet de valeur que j’avais vu tout à l’heure.  Je vais la lui mettre et  la réveiller pour qu’elle rentre, il est presque 21h, l’avocat avait dit « prudence »


Elle : tu es réveillé ? (frottant ces yeux) 


Moi : oui, tu as pu récupérer un peu. (La souriant) 


Elle : oui


Moi : Jaja, tu sais je t’aime vraiment et te veux. Je suis prêt à beaucoup pour te le prouver et je ne veux ter brusquer même après ton divorce prends tout ton temps je t’attendrai, mais je veux que tu portes ou gardes ce bijoux qui me prouvera que ce sera toujours nous contre tous. (Pliant le genou) je devais le remettre à une personne chère et quand je t’ai connue j’ai su ce que c’était toi, je ne l’ai jamais remis à une femme, même celle que je devais épouser, j’avais acheté une autre bague pour elle sans savoir pourquoi ? Mais avec toi, je le sens je dois te la donner 


Elle : oh DIDI !!!!! (Émue) 


Moi : je t’aime 


Elle : (se mettant à genoux près de moi) je t’aime aussi et je veux vraiment faire tout pour que ça marche entre nous deux. Elle est si belle (regardant la bague)  


Moi : je peux la garder si tu veux vu que nous devons faire attention 


Elle : non je la mettrai sur l’autre doigt car elle est à moi et je dois la porter (me souriant) 


Moi : merci 


Elle : qui te l’a donné ? 


Moi : c’est ma mère qui me la donner avant de me quitter 


Elle : (émue) vraiment merci pour tout, merci beaucoup 


Moi : tu vas devoir rentrée maintenant 


Elle : non je reste ici cette nuit 


Moi : mais l’avocat a 


Elle : (me coupant) au diable l’avocat, et ces paroles. J’ai garé chez Marysa et j’appelle Maxime pour lui dire que je préfère dormir avec ma sœur. Ensuite soit très tôt tu me dépose chez elle, ou alors on trouvera un autre moyen et sinon on assume les répercussions. Mais ce soir c’est ma demande en mariage  et je dois en profiter avec l’homme que j’aime. (M’embrassant) 


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