Dispute
Write by R.D
SECRET DE FAMILLE
Chapitre 35
Ne jamais désespérer d’un échec quelque soit sa nature « Quand Allah ferme une porte à un serviteur par sagesse, il lui en ouvre deux autres par sa miséricorde ».
Mounas
Avec les explications de Fatima, je ne me suis pas perdue. Comme leurs maisons est en bordure de route, il a été facile pour moi de me retrouver.
Je suis donc montée chez elle, suivie d’Awa qui n’arrêtait pas de chialer en me disant que quoi qu’il arrive, cet homme lui reviendra.
Lorsque j’ai toquée à la porte, elle a prit quelques secondes avant d’ouvrir.
Fatima (souriante) : enfin tu….
Son visage a littéralement changé lorsqu’elle a posée ses yeux sur Awa.
Awa : ne me dit pas que ta meilleure amie c’est cette vermine.
Fatima (énervée) : que fait cette fille chez moi ?
J’ai l’impression d’avoir manquer un épisode. Qu’une personne m’explique svp parce que là, je suis complètement perdue
Moi (surprise) : je ne comprends pas.
Fatima (haussant le ton) : je te demande ce que fais cette fille chez moi.
Awa s’est carrément placée devant Fatima en pointant cette dernière du doigt.
Awa (ton menaçant) : je ne sais pas ce qu’une fille de la classe de Mounas fait avec un chiffon des bas étages comme toi mais je te préviens déjà. Tu as certes gagné la bataille, mais pas la guerre. Une femme comme toi qui se cache sous ses airs de sainte ni touche pour marabouté son mari mérite d’aller crever en enfer. Mais tes jours sont comptés et enfonce toi ça bien dans le crâne. Tes jours sont comptés.
Je n’en reviens pas du toupet d’Awa. J’assiste comme une téléspectatrice à leurs affronts en me demandant d’où ces deux là se connaissent.
Moi (essayant de calmer) : écouter les filles, j’ai besoin que quelqu’un m’explique ce qui ce passe.
Awa : cette fille devant toi est la femme de mon ex Ibrahim.
Bloquons d’abord. J’ai besoin d’un flashback. Ibrahim est l’ex qu’Awa veut reprendre coûte que coûte ?
Fatima qui étaient jusque là silencieuse c’est adressé à moi.
Fatima : je m’attendais à tout de toi, mais pas que tu me fasses ce genre de coup. Je t’ai toujours considérée comme ma sœur. Comment as-tu osez ?
Moi (tentant de me défendre) : mais…
Fatima : ouvre grand tes oreilles et je ne me répèterais pas. Que ce soit la première et la dernière fois que tu mets les pieds chez moi.
Awa rigolait comme une folle tandis que Fatima tremblait à la limite de rage. Je ne l’ai jamais vu si énervée.
Fatima (s’adressant à Awa) : ne prends pas mon silence pour de la faiblesse. Les femmes comme toi tu sais ce que j’en fais ? Je les multiplie par zéro parce que tu ne représente rien devant moi. Espèce de fille sans vergogne.
Awa a voulut lever la main sur elle mais Fatima a vite intercepté son geste en lui attrapant fermement le bras.
Fatima : ose et je te jure sur celui qui m’a créé que je te ferais avaler de la poussière.
Awa (fulminant de rage) : ne penses pas que j’en ai finie avec toi.
Elle a tournée les talons, me laissant complètement déboussolé devant une Fatima qui m’accuse de chose dont je ne suis même pas au courant.
Moi (tentant de me défendre) : il ya un malentendu Fatima. Je te jure que tu te trompes.
Fatima (criant) : comment peux tu emmené chez moi cette fille pour qu’elle me manque de respect ? Comment ?
Moi : je te jure sur ma vie que je ne savais pas qu’elle était l’ex de ton mari.
Fatima (hors d’elle) : ne remets plus jamais les pieds chez moi.
Bien avant que je riposte, elle m’avait déjà claquée la porte au nez.
Je n’en reviens pas. Que quelqu’un m’explique ce qui vient de se passer parce que je ne comprends absolument rien.
Comment aurais je su ou comment aurais je pu deviner que c’est Ibrahim son ex ? Comment aurais je pu faire le lien entre eux étant donné tous les milliers d’hommes qui se trouvent à Conakry ?
Une rage sans nom a pris possession de moi. J’ai dévalé les escaliers pour poursuivre Awa en espérant qu’elle n’ait pas encore pris un taxi. Je crois qu’entre elle et moi, des explications s’imposent.
J’ai dû la chercher des yeux durant quelques secondes avant de l’apercevoir de l’autre côté de la route.
Je me suis hâtée de traverser.
Moi : à quoi ai-je eu droit Awa ? Comment peux-tu insulter mon amie Devant moi ?
Awa (ricanant) : ton amie ? Cette poufiasse est ton amie ?
Je lui ai donné une gifle retentissante en y mettant toute la rage qu’elle avait réveillée en moi.
Elle a essayée de me rendre mais je lui en ai empêchée en attrapant son bras.
Moi : ose et je te casse la gueule correctement. Je te dis une chose que tu vas garder bien au creux de ta tête d’écervelée. Je ne veux plus jamais que tu t’approches de moi et si jamais tu oses t’en prendre à Fatima, je te jure que je ferais de ta vie un enfer.
Je m’apprêtais à y aller parce que les gens commençaient déjà à affluer autour de nous, lorsqu’elle m’a dit.
Awa : à toi de choisir entre Fatima et ton couple parce que crois moi que je ne me gênerais pas de tout dévoilé à Boubah.
Je me suis stoppé nette lorsque j’ai entendue ces menaces.
Moi (me retournant) : je n’ai pas bien entendue
Awa (sourire espiègle) : nettoie tes oreilles avec de la Javelle si tu veux. Mais si j’étais toi, je réfléchirais à deux fois avant de prendre partie.
J’ai envie de l’étrangler jusqu’à ce que mort s’en suive. Je suis tellement énervée que j’ai préférée héler un taxi.
Je n’arrive pas à croire qu’elle ose me faire chanter. Comment ai-je pu me lier d’amitié avec ce genre de fille ? Et Fatima dans tout ça ? Comment peut elle douter de moi jusqu’à ce point ?
Fatima
Je tremble toujours tellement je suis énervée. Je n’arrive pas à le croire. Non, j’aurais peut être pu cautionner ça d’une autre personne mais pas d’elle. Pas de Mounas.
J’ai l’impression qu’elle m’a plantée un couteau en plein cœur. Comment as t elle pu venir me narguer chez moi ? Sous mon propre toit avec cette fille ? Ne m’a-t-elle donc jamais considérée pour me faire subir une telle humiliation ?
Heureusement pour moi que maman était sous la douche lorsque cette peste est arrivée. Mais elle n’a pas manqué de voir mon désarroi dès qu’elle m’a trouvé au salon.
Maman : j’ai crû entendre des voix entrain de se disputer.
Ces mots tournent en boucle dans ma tête lorsqu’elle me demandait de faire attention à Mounas. Aujourd’hui je confirme que je suis une vraie idiote. Elle m’avait pourtant prévenue en me disant que je devais faire attention et voilà ce qui me tombe sur la tête. Ma meilleure amie alliée avec mon ennemie.
Moi : ce n’est rien maman dis je en tentant de ravaler une larme.
Quand je suis en colère, ce sont les larmes qui montent directement.
Maman : dis-moi ce qui ne va pas au lieu de cacher. Qui est venu ici pour se disputer avec toi ?
Lorsque je lui ai tout raconté, elle n’arrêtait pas de dire « Allahou Ackabr » « Allahou Ackbar » (Dieu tout puissant)
Maman (me sermonnant) : tu vois où ton entêtement te mène ? Que t’ai-je dis Fatima ? Pourquoi ne m’écoutes-tu jamais lorsque je te parle ? Hein ?
Moi : jamais je n’aurais crû qu’elle aurait pu me faire ce genre de chose.
Maman : et là tu n’as encore rien vue. Je t’ai déjà dis, tous le monde n’a pas un fond comme toi. L’amitié si parfaite que tu idéalise dans ton subconscient n’existe plus. Les gens sont mauvais Fatima, ils sont capables du pire pour atteindre leurs objectifs. J’espère que tu l’as remise à sa place.
Moi (dépassée) : je lui ai dit que je n’ai pas le temps de lui répondre.
Maman (ripostant) : mais on ne peut pas être si moue que ça voyons. Une femme viens jusqu’à chez moi pour m’insulter et je la laisse repartir sans rien ? Wallahi si elle n’a pas la jambe cassée, je ne suis pas Halimatou Bah.
Malgré le sérieux de la situation je n’ai pas pu m’empêcher de pouffer de rire. C’est vrai que maman est très dure de caractère, tout mon contraire.
Moi : lui répondre c’est lui accorder de l’importance.
Maman : elle a eu la chance qu’elle ne m’a pas trouvée. Je l’aurais frappée correctement pour lui apprendre ce que c’est que le respect. Je te jure qu’elle n’aurait jamais osé te parler encore de la sorte.
Elle a marquée un silence avant de continuer.
Maman : donc c’est ce qu’il disait….
Moi : qui ?
Maman : non personne….
Elle semblait perdue dans ses pensées avant de poursuivre.
Maman : tu dois te protéger.
Moi (décontenancée) : de quoi ?
Maman (énervée) : comment ça de quoi ? Tu crois que ces filles aux mœurs légères vont s’arrêter à un simple affront ? Elle va forcément vouloir te faire sortir de ton foyer.
Moi : néné, tu sais très bien ce que je pense de..
Maman (ton sec) : si tu continues dans ta lancée je t’assure que je vais te gifler. Mais qu’est ce qui ne tourne pas rond dans ta tête ? Tu penses que la vie se résume à manger et dormir ? Eh bien non ma fille, c’est loin d’être un conte de fée. C’est une lutte et une bataille continuelle. Si tu n’es pas armée, on te bouffera toute crue. Combien de personnes ont été victimes de sorcellerie et autres ? Y en a même qui sont devenus fou à cause de ça. Que penses-tu avoir mieux qu’eux ? Ou bien tu crois que c’était des païens ? Reste là à dormir. Le jour qu’elle te fera sortir de ton foyer, tu n’auras que tes deux yeux pour pleurer.
Elle m’a aussi laissée complètement anéantie avant de claquer la porte de la chambre derrière elle. Je ne comprends pas pourquoi toutes ces choses m’arrivent.
Qu’ai-je fait à cette fille pour qu’elle me haïsse autant ? Pourquoi les gens sont ils si méchant que ça ? Je dois reconnaitre que maman à raison.
Aujourd’hui j’ai eu ma confirmation que l’amitié n’existe plus. Que la sincérité est en voie de disparition et que seules ceux qui savent se montrer à la hauteur, s’en sorte. Maman a raison sur toute la ligne.
J’ai séchée les larmes qui coulaient sur ma joue avant de toquer à la porte de la chambre de maman pour m’excuser. Je sais que de tous les habitant de la terre, elle est celle qui ne me fera jamais du mal et j’ai compris à travers ce que je viens de vivre qu’il ne faut jamais douter des paroles de notre mère.
Voyant qu’elle ne répondait pas, je suis retournée m’asseoir. Je ressasse en boucle la scène de tout à l’heure. Où ai-je failli dans mon amitié pour que Mounas me tourne ainsi le dos ? Elle m’a littéralement ridiculisée devant cette fille. Que lui ai-je fais ?
J’étais perdue dans mes pensées lorsque j’ai entendu des coups à la porte.
Lorsque j’ai ouvert, j’ai vu Anta et Ibrahim.
Moi (souriant) : pour une surprise ? Rentre ! Sois la bienvenue.
Anta : comment vas-tu ma fille ?
Moi : je vais bien et vous ?
Je lui ai débarrassé du plat qu’elle avait en main. Elle m’avait appelée tout à l’heure pour me demander ce que je voulais manger et qu’elle allait se faire une joie de préparer cela pour moi.
J’ai alors commandé un de nos plats traditionnels faits à base d’igname, taro, tubercule on y met aussi du poisson avec de la viande séché qu’on pile, le tout dans de l’huile de palme.
Moi : il ne fallait pas te donner tout ce mal.
Ibrahim ne m’a même pas adressé un bonjour, chose qui m’a énormément étonner. J’ai cependant préférée m’occuper de mon invitée.
Il avait rendez vous avec le détective aujourd’hui et j’espère qu’il n’a rien découvert de grave.
Anta : tu t’en sors avec le ménage j’espère ?
Moi : oui Dieu merci, ce n’est pas trop difficile. Mais on veut embaucher une ménagère d’ici là. Comme on à confiance en toi, Ibrahim m’avait dis de te demander de nous aider à en trouver.
Anta : oui, il m’en a parlé. Je connais une de mes sœurs qui cherchent un boulot. Elle saura faire l’affaire.
Moi : je te fais confiance de ce côté.
La bonne odeur qui s’échappait du plat m’a directement réveillée l’estomac. J’ai une faim de loup.
Je me suis excusée auprès de Anta pour rejoindre Ibrahim dans la chambre et savoir s’il allait manger.
Je l’ai trouvée entrain de se déshabiller.
Moi (le titillant) : pas mal ce que je vois.
Il n’a même pas daigné me répondre.
Moi (inquiète) : qu’est ce qui ce passe ? Pourquoi me boudes-tu ?
Ibrahim (ton sec) : rien !
Je vois que monsieur est dans ses humeurs. Je préfère restée à l’écart, le temps qu’il se calme.
Moi : j’ai commandé du kétoun (nom du plat traditionnel) je te sers ?
Ibrahim : non !
Il me répond par monosyllabe que lorsqu’il est énervé. Pourtant je ne me rappelle pas lui avoir fait quelque chose.
Je suis ressortie de la chambre et je suis allée me servir avant de retourner au salon. J’ai trouvée maman et Anta lancées en pleine conversation.
Je me suis donc assise sur la table pour déguster le plat et c’était tellement bon que j’ai carrément vidé la moitié de la glacière.
Moi : Anta, c’est trop bon ! Il faudra me donner ta recette.
Anta (rigolant) : il n’y a pas de problème ma fille.
Je suis restée une trentaine de minute au salon et voyant que les dames parlaient de leurs problèmes, j’ai préférée rejoindre mon mari en espérant qu’il ce soit calmée.
Je me suis assise à côté de lui étant donner qu’il était allongé.
Moi (lui caressant la tête) : qu’est ce qui ne va pas mon amour ? Comment c’est passé le rendez vous avec le détective ?
Ibrahim : je n’ai pas envie d’en parler. Maintenant fait moi le plaisir de sortir de cette chambre, je veux être seule.
Je n’en crois mes oreilles. D’abord c’était Awa et cette fille dont je préfère ne pas mentionnée le nom, ensuite c’est maman et pour couronner le tout c’est mon mari qui me boude ?
Moi : pourquoi me parles tu de la sortes ? Si je t’ai fait quelque chose, dis le moi et qu’on règle au lieu de rester dans ton mutisme.
Il s’est levé du lit avant de se mettre debout devant moi.
Ibrahim (énervé) : figure toi qu’aujourd’hui encore je me suis rendue compte à quel point tu ne me respecte pas. J’étais allé voir Karim et Boubah pour leurs parler de ma situation, mais à mon grand étonnement, Karim sait mieux que moi ce qui ce passe dans ma vie. Comment veux tu que je le prenne ? Hein ?
Il a terminé sa phrase en haussant le ton. Je ne sais pas pourquoi il ramène ce sujet étant donné qu’on en avait déjà parlé.
Moi : mais je pensais m’être déjà excusée.
Ibrahim : et puis merde Fatima cria t il. Ce qui me fit sursauter.
Ibrahim (continuant) : si ce n’est pas mon père qui me manque de respect c’est ma femme ? Au fond vous êtes pareils. Vous ne me considérez pas du tout. Tu me prends pour qui ? Hein ?
Alors là, je n’arrive pas à digéré ce que je viens d’entendre. Vient-il de me comparer à son père ?
Moi (me levant à mon tour) : Ibrahim, je ne te permets pas de me parler de la sorte. Et moi, pour qui me prends-tu ? Je suis peut être ta femme, mais il y a un minimum de respect.
Il m’a regardé, ébahit pas ma réponse. Moi-même je suis étonnée par ce que c’est bien la première fois que je lui parle de la sorte. Mais non, là il est entrain de dépasser les limites. Comment peut-il me comparer à son père ?
Ibrahim : c’est à moi que tu parle comme ça ?
Moi (rétorquant) : toi tu es qui pour me parler comme tu veux et moi non ? Ou bien tu penses que parce que je suis soumise tu as le droit de faire ce que tu veux ? Et mon respect dans tout ça ? Hein Ibrahim et moi ? Tu penses que je suis une éponge qui absorbe tout et que je n’ai pas de cœur ? Comment peux-tu me comparer à ton père ? Depuis quand t’ai-je manqué de respect ? Pourtant ce n’était pas les occasions qui manquaient vu la manière odieuse dont tu te comportais avec moi. Seulement là, tu as atteins ma limite. Je ne te pardonnerai pas d’avoir osé me comparer à ton père. On avait déjà réglé le problème concernant Karim. J’ai reconnue mon tort et je me suis excusée. Pourquoi ramènes-tu cela sur le tapis en me balançant toutes ces choses aux visages ?
Ça y’est ! Je pleure bêtement. Je suis tellement énervé que les larmes coulent sur mes joues sans que je ne puisse y faire grand-chose.
Il a voulu me toucher mais je me suis écartée.
Moi : ne me touche pas ! Ordonnais-je.
Je me suis dirigée vers la douche pour m’enfermer à l’intérieur. Je me suis laissé tomber sur le sol en enfouissant ma tête entre mes genoux.
Je n’ai rien fait pour mériter ça. Il n’a pas le droit de me prendre pour une éponge qui absorbe tout ! J’ai un cœur et ces mots sont très poignants.
J’ai pleurée un grand coup avant de prendre une douche froide avec cette chaleur infernale.
J’ai fais mes ablutions par la suite et j’ai priée en me confiant à Dieu et lui demander de m’aider à supporter cet avenir qui me semble bien orageux.
Une fois après avoir finie, je me suis dirigée dans la cuisine pour prendre un verre d’eau. J’étais entrain de me servir à boire lorsque j’ai ressentie une vive douleur me traverser le bas ventre.
Je me suis tenue le ventre en me repliant sur moi-même. J’ai laissée tomber le verre qui s’est écrasée sur le sol tellement la douleur s’intensifiait.
Le bruit du verre écrasé sur les carreaux a attiré l’attention de maman. Une expression horrible c’est dessiné sur son visage avant qu’elle ne pointe mes jambes du doigt.
Maman : mais tu saignes.
En baissant la tête, je me suis rendue compte qu’une flac de sang venait de se former à mes pieds.
Lorsque j’ai relevée la tête, maman était déjà à côté de moi me tenant par les épaules pour ne pas que je tombe
Maman (criant) : IBRAHIM ! IBRAHIM ! Viens vite. Fatima est entrain de perdre son bébé
Je n’ai eu le temps que de l’apercevoir sur l’embrasure de la porte et ensuite ce fût le trou noir……………………………
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