DOMINEZ MOI MAITRE.

Write by Opale



   **Bradley Davis **


   Cela doit faire combien d'années que je n'ai pas pratiqué ? 10 ans , dix et demi ? Peu importe. Le plus important c’est la femme qui est arrêtée devant moi actuellement, ma femme ! qui fera office de ma soumise tout à l’heure. Ça m'excite tellement de voir son corps bien remplit être offert à ma merci. Actuellement je pense à comment je vais lui procurer un plaisir intense avec mes douces brimades et mes douces tortures. Je vais m'appliquer à la faire atteindre le « deep spot » le point le plus profond de l'orgasme. 


Moi(passant mon pousse sur ses lèvres) : tu me surprends de plus en plus tu sais Davis ! Je n'aurai jamais cru que tu accepterais d'être ma soumise.


Je passe mes mains sur ses gros seins que je masse. Je lui pince un téton au passage, elle a un petit cris étouffé…je continue mes caresses sur tout le long de son corps.


Moi : t'aimes ça hein ? Quand on te pinçote ainsi.


Angela(lâchant un gémissement) : hmmm…oui bébé…j’aime !


Moi(la voix rauque avec un emprunt d'autorité) : à partir de maintenant c'est « Maitre » une soumise ne doit pas appeler son maitre bébé…si tu continues ainsi, tu seras punis.


    Comme si cette phrase avait un effet sur elle, elle se mord la lèvre inferieur…


Angela (le plaisir dans la voix): oui maitre, c'est le gout de tes caresses expertes…


    Je lui caresse frénétiquement les fesses…elle ne peut réprimer un gémissement en me fixant droit dans les yeux.


Moi(la voix grave) : tu me vouvoies quand tu me parles, et tu baisses les yeux aussi. 


     Ce qu'elle fait, elle comprend vite. Cela a le don de m'exciter encore plus. La grosse bosse dans ma culotte en est la preuve authentique. J'envoie ma tête dans le creux de son cou en humant son odeur…


Moi(la voix rauque) : j'ai envie de te croquer, te mordre et ensuite te baiser à ma guise(bisou sur la joue)…


    Je lape et de souffler sur la partie, elle frissonne. Je sens très clairement qu'elle est excitée. 


Angela(soupirant d'aise après une caresse) : faites de moi ce que vous voulez maitre !


  La tonalité de sa voix est si sexuelle que je ne peux m'empêcher de baver encore plus sur elle…


Moi : tu n'as pas peur ? Que je te fasse mal avec mon appétit sexuel démesurée  et aussi avec ma queue un peu hors norme ?


    Durant tout ce temps son regard était baissé. Elle lève les yeux cette fois  en me fixant droit dans les yeux et de me répondre.


Angela : non, ta queue me fait voyager jusqu'au tréfonds du plaisir. Pourquoi avoir peur donc ?


Moi(passant ma main sous ses fesses): sais tu que tu mérites une petite correction ? Tu viens de me tutoyer.


     Elle se met soudain la main sur la bouche comme une petite fille, ce qui m'amuse intérieurement. Mais je ne le montre pas, mes traits durcissent et je deviens distant. J’arrête de la toucher. Ça fait partir du jeux. 


Moi (la voix grave) : vas t'installer sur le lit, je reviens. 


Angela : lequel maitre ?


Moi(m'en allant) : choisis celui qui te convient. 


Angela(se mordant la lèvre) : ok.


      **Angela Davis**


Pendant qu'il s'éloigne de moi, je me dirige de mon coté vers les deux lits qui se trouvent dans cette chambre. Entre le grand lit à coucher et le lit de massage, mon choix se porte sur le second. Je met mon cerveau en en mode off pour ne pas réfléchir au risque de me désister et de prendre mes jambes à mon cou. Je prend place donc sur ce minuscule lit d'une place en position droite et allongée comme celle des patients qui sont dans le bloc opératoire des hôpitaux.


Je ferme les yeux pour me détendre parce qu'a vrai dire plus les minutes s'égrènement plus j'ai le cœur qui bat à vive allure. C'est une découverte que je vais faire, et comme toute découverte elle est toute aussi excitante que palpitante. Une quinzaine de minutes de plus et il fait son entrée dans le donjon. Il sent bon la lavande. Je lève le regard sur lui, bonté divine ! Qu'il est sexy ! 


Brad : baisses les yeux…


Je m'exécute sous l'ordre de mon maitre. Je crois que je vais subir plusieurs punitions ici parce que je ne suis pas encore très habituée à ces fameuses règles(rire). Bref, pour ne pas me faire prendre encore une fois à le mater je préfère fermer les yeux en me détendant. C'est mieux ainsi. J'entend juste le bruit des objets qui sont décrochés sur le mur. Je ne sais pas lesquels mais quelques minutes plus tard je sens ses pas se rapprocher de moi. Et de sentir par la suite sa présence tout près de moi. Je sens juste après son souffle chaud sur la lobe de mon oreille droite. Il me le suce tout en m'intimant un ordre. 


Brad : assois toi.


     Il prend d'abord un bandeau parmi tout son arsenal et il me bande les yeux. Le bandeau est tout doux. Ça doit être en soi je crois. Puis il me menotte les mains dans le dos. Ce sont des menottes en matière soigneuse. Du genre, les matière que l'on prend pour fabriquer les nounours. Ça ne contient pas de fer. Il fais le toure pour vérifier que c'est bien mis. Après s'être rassuré, il vient me donner un long baiser sur le front. 


Brad : ça va ? pas trop stressée ?


Moi : ça peut aller maitre.


Brad(la voix rauque et grave) : allonges toi donc comme tu l'étais. 


      Sa voix ! Mon Dieu ! Une voix sexuelle et sensuelle, ça sera torride. Je le sens ! J'étais allongée complètement zen et offerte et aussi excitée. Je vais passer un fabuleux moment, c'est claire. 


     **Bradley Okafor Davis**


Je me saisis en premier du plumeau que je fais passer sur ses joues, ses lèvres, son cou et de m'attarder sur ses mamelons fièrement dressés. Elle semble apprécier car le plumeau est assez touffu pour créer des sensations agréable. Je descend sur son ventre, son bas ventre et sur son pubis. Elle se tortille de plus en plus. 


Moi(autoritaire) : arrêtes de bouger ainsi…


Elle s'exécute pendant que je continue ma besogne. Pour faire encore plus monter la température je me saisis du martinet que je promène sur tout le long de son joli corps. Je fais exprès de sorte que chaque lanière effleure soit sa grande lèvre ou sa petite lèvre ou même son clito. Elle sursaute en se tortillant de plus belle pendant qu'elle gémit doucement. Puis je passe les lanières sur ses pieds. Au fur et à mesure je monte jusqu’à ses cuisses joliment dessinées et dodues. Je poursuis mon  chemin entre ses cuisses sans toucher à sa cave. Je dépose enfin le martinet sur son lieu de plaisir. Je fais de sorte qu'il recouvre toute sa partie intime que je caresse à l'aide des lanières. Ses gémissements se font plus aigue. De ma main libre, je pinçote son clito gonflé. Elle lâche un cris de gémissement. 


Angela(excitée) : oooooh….hmmm….hannnn !


  Je masse à pleine main son inimité pendant que les lanières s'occupe de son bas ventre. Elle ne tient plus. Ses gémissements résonnent dans toute la pièce. Car les sensations sont exquises. Je continue de plus belle à m'amuser avec le martinet et ma main. Votre fille ne gémit plus seulement mais en plus elle ondule du bassin en venant à la rencontre de ma main experte. Preuve qu'elle est en veut plus. Dans son moment de gout, je lui donne un coup de lanière à la chatte. Elle grogne en se mordant la lèvre…son intimité est pleine de mouille. 


Angela : hmmm….hmmm


    Si je m'en tiens à ses mimiques, je peux donc en déduire qu'elle prend parfaitement son pied. Ce qui m'encourage à reprendre mon geste. Un deuxième coup de lanière vient s'abattre sur sa chatte luisante suivit d'un mini massage clitoridien.


Angela(excitée de ouf) : oooooh….maitre c'est bonnn….


   Je prend à nouveau le plumeau que je promène sur ses tétons. Pour encore plus l'exciter, je les titille avec le plumeau pendant que les lanières du martinet lui caressent le bas ventre. Je lui donne un autre coup après avoir effleuré sa chatte avec les lanières. Et d'y aller avec ma main….je la baise proprement avec mes doigts


Angela : Brad…maitre…c’est trop…c’est trop…


   D'une main je me saisis du plumeau que je passe sur ses cuisses et à l'intérieur de ses cuisses également…elle se tord dans tout les sens. Obligé de lui intimer l'ordre de rester tranquille au risque de tomber car l'espace sur ce lit est très restreint. Je me met en position accroupi. Je lâche le martinet que je remplace par ma bouche sur son clito que j'aspire pendant que le plumeau lui caresse les lèvres. 


Angela(gloussant fortement) : Aaaaahhhhhhh…Brad…maitre….tu vas me tuerrrrr….de plaisir


   Je la regarde être envahie par les vague du plaisir. 


Moi : ça va ?


Angela(entre deux gémissement) : oh…oui…


    Je n'ai toujours pas lâché son clito. Je la baise avec ma bouche en alternant avec les lanière du martinet jusqu’à ce qu'elle me donne tout ce qu'elle a dans le ventre. Elle me sort son précieux liquide…preuve qu'elle a sacrement pris son pied. 


    Je la laisse reprendre ses esprits pendant je me dirige vers le grand lit où se trouve le plateau à accessoire. Je prend la bougie de massage que j'allume. 


Angela : puis-je poser une doléance au maitre ?


   J’éteins la bougie pour lui prêter toute mon attention. Je me rapproche d'elle. 


Moi : oui je t'écoute. 


Angela : Si vous pouvez me faire changer de position cela me soulagerai. J'ai mal au bras.


   Je l'aide à se redresser et je lui retire les menottes. Je prend le temps de masser ses poignées pour la soulager un peu. Je prend un tissu en soi sur le plateau à accessoires et je lui attache les bras sur chaque pied du lit. De part et d'autres. Je fais attention à ne pas trop serer. 


Moi : c'est bon ? T'es alaise ?


Angela : oui maitre, nous pouvons continuer.


    Je souris, elle est tenace dis donc ! Mais voyons voir si elle tiendra à cette délicieuse douleur de la cire chaude au contact de sa peau. Je prend ma bougie de massage que j'allume. Je me rapproche d'elle et j'incline la bougie vers elle. Une goute de cire tombe au milieu de ses deux seins globuleux. 


Angela : ouchhhhhhhh !


    Elle ne dit pas « Namour » du coup je continue. Je suppose que c'est supportable pour elle. Je réitère mon geste, c'est fois elle gémit.


Angela(gémissante) : oh maitre…c’est bonnnnnhhh !


  Je fais couler la cire sur ses seins…


Angela : ouchhhhhhhh….


Cette fois, je plie ses genoux et je prend place en face d'elle. Je prend le soin de lui écarter bien les cuisses. Afin d'avoir une belle vue sur son entrejambe et sur sa chatte également. Je prend mes boules de geisha, elle sont cinq au total. Je fais encore couler de la cire juste près de sa chatte. Ce qui la fait frémir et encore plus mouiller. Je pose la bougie. Je lui met les boules une à une dans le minou et je commence à jouer de mes boules de geisha, elle gémit de plus en plus fort. Je me cambre juste à bonne hauteur pour prendre son clito en bouche. Cela lui fait du bien car elle veut tout à coup poser ses pieds sur mes épaules. Je le lui interdis car nous sommes en BDSM ici et c'est moi qui commande. 


Moi(autoritaire) : arrêtes de gémir ainsi.


Angela(folle de désir) : oooooh…bébé…c’est bonnn !


Elle vient d'enfreindre une des règles. Tellement envie de la punir que je me redresse en arrêtant tout mouvement. Je me redresse. Elle geint de frustration. 


Angela(frustrée) : maitre ?


Moi(sec) : tais toi.


     Je descend du lit et je vais lui détacher les mains. Et de lui intimer l'ordre de se mettre en position de levrette. Puis après je lui tend un petit bâillon en boule dans la bouche. Ses grosses fesses bien positionné devant moi, je me saisis de ma bougie. Je lui verse quelque gouttes de cire sur les fesses, au bas du dos pendant que de mon autre main je la baise avec les boules de geisha. La douce douleur de la cire chaude mêlée au plaisir des geisha la rendent folle de plaisir. Jusqu'ici elle n'a pas encore dit le fameux code de sécurité. Je sous entend donc que c'est supportable pour elle. La voir dans cette position de soumise avec les fesses bien relevées et le sexe luisant de mouille me rend dingue. Et ce qui est plus excitant c'est sa capacité à supporter cette douleur de la cire. Elle ondule du bassin preuve qu'elle prend grave son pied. Je lui verse encore une goutte de cire sur la fesse gauche en accélérant avec les geisha lorsque je la sens se cambrer un peu plus d'un geste sec, je lui retire les boules de geisha. 


      ***Angela Davis***


Lorsqu'il me retire les boules du minou, une vague indescriptible de plaisir vient envahir mon pauvre corps. Avec le bâillon dans la bouche je n'arrive pas à crier mon plaisir comme il faut. Sentant cela, je serre fort mon bâillon en coulant des larmes…heureusement que Brad vient me retirer mon bâillon n'empêche qu'il me fait toujours un petit massage des lèvres avec ses doigts, je perds complètement la tête. 


Moi(hurlant) : aaaaaaaahhhhhhhh !!


Quand il vient me donner une dernière claque sur les fesses, là il m'achève carrément car du fait de la cire chaude mais fesses sont devenues si sensible que j'explose dans un plaisir avec des milliers d’étoiles dans les yeux en étant éprise de frisons pendant que mes jambes deviennent coton sous moi. Obligée de m'allonger sur le ventre. Pendant un petit laps de temps je perd tout contrôle de mes membres en versant tout mon jus pendant que je suis dans une plénitude de plaisir qui ne dit pas son nom. C’est incontestable, je suis dans une jouissance parfaite. Je n'avais jamais vécu un tel truc aussi dément avec le sexe. Peut être que c'est le fameux deep spot, le niveau le plus élevé du plaisir. Plus j'expérimente ces genres de chose plus je deviens gourmande en redemandant. Car on va direct au delà du simple plaisir orgasmique.  Brad me laisse un bon moment pour reprendre mes esprits tout en me massant le dos, je me  délecte de ce plaisir qui selon moi est unique et rare. Je suis en mode out. 


Brad(me croquant la lobe de l'oreille) : tu dois être corrigée, tu le sais ça ? Tu as eu à m'appeler bébé ou Brad au lieu de maitre.


     Je suis plus concentrée sur la sensation que me procure ce suçon que les paroles qu'il me sort. Plutôt que de lui répondre, c'est un gémissement qui sort de ma bouche. Sans que je ne m'y attende, il me porte jusqu'au lit ordinaire. Malgré le faite qu'il semble très sérieux dans son rôle de dominant et de maitre, il ne manque pas d'avoir des gestes affectueux envers moi. 


Brad(m'embrassant dans le cou) : j'ai une grosse envie de te baiser en te punissant avec la cravache.


Moi(me mordant la lèvre) : dominez moi maitre.


    C'est comme si je venais de lâcher la bête en pleine nature, je savais qu'il allait me dévorer toute crue et c'est ce qui m'excitait le plus. J'avais envie de sa bite, je voulais la toucher, je voulais qu'il me la mette dans mon minou qui palpite rien qu'à l'entendre dire qu'il va me prendre. D'une main, il prend un objet à l'allure d'un fouet. Si je devais la décrire, je dirais que ledit objet est biforme. Le premier bout est plat, il est presque comme une spatule. Et le deuxième bout est mince et allongée. Je le regardais en cachette mais je crois qu'il l'a très vite sut car au lieu de se fâcher, il me dit ce que c'est.


Brad(la voix rauque) : c'est une cravache. Aller viens.


    Il m'aide à descendre lit, je me fais docile en le suivant. Son boxeur est plein à craquer et menace de s'éclater tellement le gars est excité. Il me conduit vers la seule table de ce donjon, et m'indique la position à adopter. Je me positionne d'abords de dos avec les fesses et le dos bien en évidence vers lui. Pendant que j'ai les mains posées sur le rebord de la table. Et de faire monter un pied sur ladite table pendant que l'autre est au sol. Un vrai sport (rire). Sans d'autres formes de procès, il se met à me pétrir les seins pendant que d'une autre main, il me caresse le bubis. Pendant que ses lèvres et ses dents vont s'implanter sur mon épaule gauche. Ce qui me fait frémir de plaisir. Je mouille sur le coup. Il tient sa bite par la base et tapote plusieurs fois son gland sur mon clito gonflé comme jamais. Celui-ci est tellement gonflé que ce simple geste provoque des décharges de plaisir dans mon bas ventre. Je frisonne à cela en cambrant encore plus mon postérieur afin qu'il n'est pas de difficulté à glisser en moi. Comme s'il lisait dans mes pensées, il plonge sa grosse queue dure dans mon minou bien trempé jusqu’à la garde. Je serre les dents car il n'est pas facile à encaisser non plus. L'effet provoqué par le contact entre nos deux sexes me rend tellement dingue que je me cambre encore une fois en allant à la rencontre de son bas ventre. C'est suicidaire parce que c'est comme s'il me passait de l'intérieur jusqu’à ma bouche. 


Il commence à me baiser fort, très fort comme si sa vie en dépendait puis de ralentir la cadence en y allant délicatement. C'est bon ! Puis il augmente encore la fréquence. Il me prend comme si c'était sa dernière fois de me faire l'amour. Et ça me plait. Il me baise avec une fougue phénoménale et je ne peux que m'empêcher de crier de bonheur. Cette position fait que je le sens tellement bien au fond. C'est jouissif !


Moi(gémissante) : oooooh…ouuiiiii…vas y baby ! Baise ta femme !


   Et là je reçois un coup de cravache sur la fesse gauche et dans le bas du dos. 


Brad(me baisant) : tais toi…t’as pas…le droit de gémir.


     Mon Dieu ! quel sentence ! dans un moment de plaisir aussi intense. Je me mords la lèvre fort, fort à sang même je dirai car c'est trop compliqué de faire ce qu'il me demande. Sa bite est extra et je ne crois pas pouvoir respecter cette restriction. 


Il y va encore plus fort, sa cogne est puissante, énergique et rude. Et je mouille comme une cinglée. Malgré moi, je crie et de plaisir et de douleur. Car chacun de ses coup me fait mal, mais c'est encore plus savoureux. Bonté divine ! On peut savoir baiser comme ça ? C'est trop bon. Mes yeux qui étaient fermés jusqu'ici s'humidifient et mes larmes coulent à flot. Oh my God ! Je jouis en pleurant encore une fois de plaisir. C’est dément ! C'est intense. Et il est vigilant car à chaque fois que je jouis mes pieds ne me portent plus. Ils deviennent en coton sous moi. Il me porte à bout de bras en grognant. 


Brad me pose sur le rebord du lit tout en gardant mes cuisses aux creux de ses bras. Il avance son visage vers le miens et il vient m'embrasser, il farfouille toute ma cavité buccale à sa guise. Je suis plus que pantelante. 


Brad(tirant sur ma lèvre inferieure) : tu veux que je continue ? Tu veux jouir encore ?


Moi(haletante) : oui…stp…svp…bébé


Brad : je ne te ferai plus jouir car tu m'as désobéis. 


   Seigneur ! L'enfant là est terrible. La frustration de ça. Il ne sait pas qu'à chaque fois que je jouis j'en veux toujours plus ?


Moi(la voix suppliante) :  svp maitre…ne me privez pas des largesses de votre bite.


Brad(massant mes seins) : t'aimes baiser hein !


Moi(soupirant d'aise) : oui…maitre, j'aime me faire baiser en subissant vos douces brimades et tortures.


     Cette phrase a le don de m'acquitter de mes chefs d'accusation car il me donne ce je désire en rentrant à nouveau en moi. Le plaisir est décuplé tellement c'est bon et intense. Je lui griffe le dos dans la foulée en lui enfonçant mes ongles dans sa peau. Il grogne en me possédant encore plus. Ses coups deviennent plus rapide et plus sec, preuve qu'il n'est pas loin de la jouissance lui aussi. 


Brad(serrant la mâchoire) : Fuck ! Ta chatte est spéciale ma femme !


Moi(ondulant du bassin) : attendez moi maitre, je viens.


    Il lâche mes jambes en joignant nos doigts. J'entoures mes pieds autour de sa taille automatiquement. L'atmosphère devient plus sensuelle et romantique. 


Brad(contre mes lèvres) : je t'aime mon ange.


Moi(le regardant droit dans les yeux) : je vous adore maitre !


   Il passe sa main gauche sur ma gorge pendant que j'ai les miens croiser autour de son cou. Dans cette position, il me tanne fort. C'est d'ailleurs dans cette position que nous atteignons le nirvana ensemble. C'est si beau. Il jouit en moi en me mordant dans le cou. Il me serre fort dans ses bras et de se dégager de moi pendant que je suis encore sous l'emprise des vagues du plaisir. 


Moi(jouissant) : Oh….nanourrrrr….nanourrrrr….


Brad : oh…qu’est-ce que tu veux me faire là ?


  Tout ce que je sais c'est que ma respiration n'est plus régulière et que je suis toute rouge. 


Brad(me caressant les cheveux) : fais ce que je te dis, respires…inspires…prends de grosses bouffées d'oxygène.


    Je m'exécute en suivant son conseil pendant prêt de dix minutes. Puis tout devient peu à peu normale. Il vient se coucher tout prêt de moi. 


Brad(me regardant) : ça va ?


Moi (hochant de la tête) : oui.


Brad(arquant un sourcil) : c'était quoi ça ?  T'as une idée ? 


Moi(souriante) : c'est le goût de ta bite baby.


Brad : je suis sérieux là, t'as faillit t'évanouir, tu te rends compte ?


Moi : c'était riennn !


Brad(sortant du lit) : plus de BDSM jusqu’à nouvelle ordre.


             Quoi ? Il est sérieux là ? Non je m'y OPPOSE !



Les Soeurs Porquet