Assandy Éloïse Natasha

 

-          Tu sais ce que je pense ? que tu es une folle. Me dis lady

-          Je ne suis pas folle, c’était une erreur, en plus il est fiancé. Je ne sais même pas ce qui m’a pris

-          Tu n’as pas aimé ? demande-t-elle en me lorgnant

-          J’ai aimé mais n’empêche que c’est une erreur

-          Ok, moi je parle plus fais comme tu veux. Dit-elle avant de sortir de la loge

Je la suivie dehors et on emprunta le même taxi qui me laisserai au domaine et elle allait continuer chez elle avec le taxi. Six semaine maintenant que j’évite Femi, Alexandre je veux dire, je l’évite parce que je ne sais pas trop quoi lui dire quand je serais en face de lui, est-ce que je dois me comporter  comme si de rien était ? Comme s’il n’y avait jamais rien eu ? Je sais vraiment pas comment me comporter, en plus lui aussi ne m’appel plus. Le lundi qui a suivie la nuit que nous avons passé ensemble il a voyagé, je gérais donc l’émission avec monsieur Tanoh. Il est rentré quelques semaines après mais je l’évitais, quand t-il passe à la maison voir les enfants je sors. Je sais que c’est enfantin mais bon je ne sais pas quoi fais d’autre.

Lorsque l’émission fini, je vais déjeuner avec Oscar, lui et moi nous entendons très bien, nous somme juste amis même si les autres nous taquine concernant notre relation. On est entrain de manger quand je vois Alexandre entrer avec sa sœur, qu’est-ce qu’ils font ici ? C’est pas le genre d’endroit qu’ils sont sensé fréquenter, surtout sa sœur, cette fille se comporte comme si elle ne marche pas sur le sol, alors ça m’étonne de la voir dans un coin aussi simple. J’essayais d’ignorer sa présence même si de temps à autres je leur jetais un coup d’œil, il portait un pantalon gris et une chemise blanche dont il avait retroussé les manches, il a surement laissé sa veste au bureau, il est toujours beau et bien mit. Je ne sais pas comment il fait pour être sexy et posé à la fois, sérieux je ne comprends pas. Je vois une fille les rejoindre, il lui sourie et lui tire la chaise ; elle est très clair de peau et assez en forme, elle est vraiment jolie. Mon cœur se serre sans que je ne sache pourquoi, attend tu as cru quoi ? Y’a longtemps qu’il est passé à autre chose, tu as sûrement était le coup d’un soir pensais-je le cœur serré

-          Ça va ? me demanda Oscar

-          Oui oui, ça va, juste fatiguée

-          Tu as le temps d’aller te reposer avant ton émission de ce soir

-          Oui, j’ai besoin d’un bon somme.

-          Alors tu parles de quoi ce soir ?

-          Ce soir c’est pour les hommes, comment faire jouir une femme, sans pénétration

-          Toi tu vas nous tuer. Dit-il en riant

On mangea et je rentrais ensuite chez moi essayé de dormir mais je repensais à Femi et la fille du resto, c’est une fille assez chic et belle. C’est surement son genre de femme, mais est-ce à dire qu’il n’est plus avec sa fiancée ? C’est vrai que la rumeur courait qu’ils avaient rompus mais comme je ne fais pas dans le kongossa au boulot je n’ai pas cherché à en savoir plus. A mon réveille je fis la cuisine avec Mila sur le dos parce que maman était sortir, j’avais trempé les haricots avant de dormir donc ça n’a pas mit du temps à cuir, je fis un beans stew avec de l’huile rouge, ça sera accompagner d’alloco. Les enfants sont arrivés pendants que je mélangeais les haricots et la pâte de tomate au poisson fumé que j’avais fais

-          Bonsoir maman. Firent-ils en cœur

-          Bonsoir mes anges, ça va ?

-          Oui, on mange quoi aujourd’hui ? demanda Bryan

-          Allez d’abord déposer vos affaire et vous changez, votre maitre vient aujourd’hui non ?

-          Oui à 19h. réponds Aurélie

-          Donc changer vous, prenez un pot de dêguê chacun avec des biscuits ensuite à la douche, il est déjà presque 18h

-          D’accord, maman. Disent-ils en s’en allant dans leur chambre.

Je posais Mila qui à présent faisait ses premiers pas, elle les suivit comme elle put, c’était trop drôle de la voir dandiné ainsi. J’avais finis par aménagé une chambre pour eux et je partageais la mienne avec maman, je ne dors jamais à la maison la nuit de toute façon donc ce n’était pas vraiment un souci. Le répétiteur m’appela pour me dire qu’il ne pourra pas venir aujourd’hui, je les aidais donc à faire leur devoir quand maman est rentrée. J’étais entrain de servir la nourriture quand on sonna, je demandais à Bryan d’aller ouvrir.

-          Demande qui c’est avant d’ouvrir lui criais-je.

Je suis sortir de la cuisine, pour trouver Femi assis entrain de chatoyer Aurélie et Mila et elles riaient aux éclats pendant que Bryan se moquait d’elle. Mon cœur rata un battement, je posais les plats et j’ajoutais une assiette pour lui

-          Bonsoir. Dis-je simplement

-          Salut. Répondit-il à son tour

Il mangea avec nous et complimenta ma mère sur le plat, celle-ci voulait rectifier mais je l’interrompis, il n’a pas besoin de savoir que c’est moi qui ai cuisiné. Je les laissais pour allez m’apprêter pour le boulot, il est déjà presque 21h. J’embrassais les enfants avant de m’en allé sans rien lui dire, qu’est-ce que je peux même dire.

 

L’émission était particulièrement drôle parce que certains hommes trouvaient qu’il ne peut pas avoir jouissance sans pénétration

-          Allo bonsoir ! nom et commune

-          Je m’appel Rolland, j’appel de Koumassi

-          Bonsoir Rolland, vous allez bien j’espère. Alors pour vous est-il possible de faire jouir une femme sans la pénétré ?

-          Oui effectivement je pense que c’est possible mais pour cela faut connaitre sa partenaire, savoir ce qu’elle aime, ses points sensible.  Dit-il

-          Exactement, merci d’avoir partagé votre avis avec nous Rolland

-          Sinon Nana tu me plais hein, j’aime vraiment ce que tu fais, j’aimerais tellement te rencontrer.

-          Merci Rolland, bonne soirée, pour la rencontre un jour peut-être dis-je avant de raccrocher

C’est très courant les gens qui appel pour me déclarer leur flamme ou pour dire combien il aime l’émission, et avec ses personne faut toujours se montrer courtois sinon on trouve que tu prends la grosse tête.

-          Allo bonsoir ! votre nom et votre commune svp

-          Je suis Yves, j’appel de Port-bouet

-          Bonsoir Yves, alors que pensez vous du sujet

-          Moi je pense que ce n’est pas possible de faire jouir une sans la pénétré

-          Ah bon ? pourquoi demandais-je

-          C’est lorsque que le pénis et le vagin se croise qu’il y’a plaisir alors comment une femme peut jouir s’il n’y a pas de pénétration ?

-          Mais les préliminaires aussi peuvent faire jouir une femme, la lécher, lui sucer les seins la toucher là ou il faut

-          Pourquoi je vais aller mettre ma bouche dans le vagin d’une femme ? je peux jamais faire ça je suis maudit ou bien ?

-          Ce n’est pas une question d’être maudit mais c’est une question de faire plaisir à sa partenaire, je suis sûre que vous aimeriez qu’on vous suce la bite

-          Oui mais pas par ma femme, se sont les putes qui font ça, la bouche des vrais femmes ne font pas des trucs comme ça, donc si je veux me faire sucer je vais chez une pute

-          Ah ok, je vois. Merci d’avoir partagé votre opinion avec nous.

Y’a des hommes qui pense comme ça au 21^ème siècle là hein, hummm, vraiment on vas tout entendre, y’a des gens même qui appel pour me dire que je dois me faire délivrer parce que je raconte des choses sales, pourquoi le sexe est si tabou dans nos mœurs pourtant nous le pratiquons, mais dehors nous nous jouons les saints. Je prends encore d’autres appels avant de conclure

-          La semaine dernière j’ai parlé de ce que les hommes aiment, comment les femmes doivent satisfaire leur homme, avec les petites gâteries au boulot et tout. aujourd’hui c’est le tour des femmes, beaucoup d’hommes ne prennent pas le temps de connaitre le corps de leurs femmes, tout ce qui leur importe c’est la pénétration, mais le corps de la femme c’est comme un instrument de musique, il faut appuyer au bon endroit pour avoir le bon son. Et se n’est pas parce que Pascaline était sensible des seins que Sabine l’est aussi, chaque femme à sa zone de plaisir, et le clitoris n’est pas un bouton sur lequel on appuis pour faire jouir une femme, non c’est un organe qu’on dorlote, qu’on titille tendrement, ce n’est pas une télécommande sur laquelle on appui et on attend que l’autre jouisse c’est plus délicat que ça. alors les gars apprenez à faire plaisir à votre partenaire. Faite lui l’amour, parlez lui, dites lui des mots doux, tout ça c’est très important. On s’attrape la semaine prochaine, c’était votre émission préféré ‘’ Entre Adultes’’ avec votre Nana, bon week-end chez vous. La bise.

Je déposais le casque alors que Oscar et Laetitia applaudissais, je souris gêné

-          Wep tu maitrise le sujet. dit Laetitia en riant

-          Je t’assure, tchiaa, faut que tu me donne des cours hein. Renchérit Oscar

-           Foutez moi la paix hein, ce que vous connaissez est-ce moi je connais même le quart

-          Hummm pardon, avec le cours tu viens de donnez là.

-          Tu vois c’est le problème ça Laeti, parce que j’en parle cela signifie que je suis douée ou gâté, je ne parle pas forcement en fonction de mes expérience mais en fonction de ce qui doit être normalement

-          Aoh, mais tu ne vas pas dire qu’un homme ne t’as jamais fais sentir comme tu décrivais ? insista-t-elle

-          Effectivement, un homme m’a déjà fais sentir comme ça, et c’était juste merveilleux je t’assure. Dis-je en passant à Femi

-          J’imagine vu la tête que tu fais. Dit Oscar

-          Arrêtez de m’attacher orr, je m’en vais à lundi

-          C’est ça fuit, j’espère que tu sais que la production veut ajouter les samedis et les dimanches à ton programme. Ajoute Oscar

-          Quoi ? comment ça ? pardonnez hein, c’est mon temps de repos

-          Ah l’émission plait tellement qu’il envisage faire ça du lundi au dimanche oh. Dit-il

-          Noon, ça sera même plus chic, ah eux aussi

-          En tout cas y’a une réunion lundi pour en parler

-          D’accord, bon je file. Dis-je en prenant mon sac à main

Je sors à peine du domaine que je vois la voiture de Femi garé, mon cœur commence à battre mais j je marche jusqu’au niveau de la voiture et je la dépasse, il démarre et vint me bloquer le passage

-          Monte. Dit-il simplement

-          Non merci, je vais me débrouiller

-          Éloïse ne me fais pas me répéter, monte dans cette voiture

Est-ce que j’ai encore le choix ? Je monte en serrant bien mon visage. il apparait de nulle part comme ça que monte, tchrrr.

 

Alexandre Oluwafemi Adéléké

 

-          Mets ta ceinture dis-je avant de démarrer

Elle ne dit rien et mit sa ceinture en ayant le visage toujours attaché. Je m’en fiche, je lui ai laissé assez de temps pour réfléchis, depuis 6 semaines maintenant elle fait tout pour m’éviter et même quand je vais chez elle voir les enfants elle sort, j’ai laissé faire mais là ça suffit, les gars ont raison faut que je creuse l’abcès, comme ça je suis fixé, si elle ne veut pas d’une relation avec moi je sais au lieu de jouer au chat et à la sourie, je n’ai pas la patience pour ça.

En parlant des gars, on c’est beaucoup rapproché ses derniers temps, j’ai même eu l’occasion de rencontrer leur épouses, Annissa la femme de Morel nous a invité à un barbecue chez eux il y’a deux semaines, c’est une femme assez simple et poser, pas comme cette folle de Meliane mais bizarrement je suis plus proche d’elle, elle m’appel et me chahute tout le temps sur mon célibat, elle veut même me brancher à une de ses collègues, que si celle qui me plait ne veut pas de moi de ne pas m’inquiéter elle règle ça en un rien de temps. Elle ne veut pas que je gâte son mari et que je l’entraine dans des choses pas clair donc elle veut me caser, une vrai folle, mais elle est très ouverte et facile à aborder. Je ne m’attendais pas à me faire des amis en allant au bar ce soir là, je suis vraiment content de les avoir. Morel à confié la gestion de tout ce qui concerne les tics de sa boîte à Michael, on essais de s’aider comme on peut en ce qui concerne les affaires.

Je me gare dans le parking, je descends et j’attends qu’elle en fasse au tant avant de verrouiller la voiture, on monte ensuite à mon appart.

-          On fait quoi ici ? je dois aller travailler monsieur

-          Appel pour dire que tu as un empêchement. Dis-je en allant dans la cuisine me prendre une bouteille d’eau

Je la trouvais en train de communiquer, j’allais à la chambre enlevez mon t-shirt et mettre et débardeur avant de revenir au salon

-          Je t’apporte à boire ?

-          Non, je veux uriner

-          Les toilettes sont au fond du couloir

Elle se leva pour aller uriner, je regardais ses fesses remuer, elle portait une robe droite et assez près du corps de couleur mauve. Elle revint prendre dans le fauteuil, j’étais entrain d’écrire à Meliane pour lui dire que j’étais bien rentré, son mari est en voyage et elle m’avait appelé pour me dire qu’elle voulait des cornichons, DIEU merci j’en ai trouvé pour elle, je la trouvais chez elle entrain d’écouter l’émission de Nana, qu’elle dit adoré, qu’elle aime son franc parler et tout mais je li ai pas dit-il qu’il s’agit de la fille que je veux.

-          Tu ne m’as pas fais venir ici pour manipuler ton téléphone n’est-ce pas ? dit-elle les bras croisés sur sa poitrine la mine toujours serré

-          Désolé, je devais écrire à quelqu’un. Dis-je en posant le téléphone. Comment tu vas ? lui demandais-je

-          Je vais bien. Dit-elle un peu surprise

-          Détends toi, je veux qu’on parle alors arrête d’être sur la défensive.

-          Je ne suis pas sur la défensive

-          Ah oui ? regarde ta posture, on dirait que tu es prête à me tombé dessus si je fais un truc

Elle se détendit un peu et s’assise un plus confortablement, je la regardais et je ne pu m’empêcher de sourire

-          Quoi ? demanda-t-elle

-          Tu ressemble à Mila qu’on lui refuse un truc et elle est sur le point de pleurer

Je la vois qui essais de ne pas sourire

-           Ou tu veux que je te chatouille aussi ?

-          Tu n’oserais. Dit-elle avec un certain ton de défi dans la voix

-          Ah bon ? dis-je en me rapprochant d’elle, Elle sauta du fauteuil en riant

-          Arrête ça Femi, tu as dis que tu voulais qu’on parle. Dit-elle en étant à la porte de la cuisine

-          Viens t’asseoir alors. Dis-je en riant

-          Non tu vas me chatoyer

-          Non je ne le ferais pas promis, allé viens.

Ce petit intermède a eu l don de détendre l’atmosphère. Elle vint reprendre sa place initiale plus détendue

-          Avant tout je voudrais te poser une question. Lui dis-je

-          Vas-y

-          Pourquoi tu es partir comme une voleuse après la nuit que nous avons passez ensemble, répond moi franchement

-          Je… je ne sais pas, j’ai paniqué. Dit-elle en baissant la tête

-          Tu as paniqué ? ok et après ça ? tu as passé ton temps à m’ignorer, à m’éviter comme la peste, c’était pour quoi

-          Je ne sais pas

-          Elo regarde moi et réponds moi stp

-          Je ne savais pas comment réagir, tu… tu es mon bosse, en plus tu es fiancé, je me suis dit que pour toi c’était une erreur, j’ai considéré ça comme une erreur

-          Tu as considéré la nuit que nous avons passée comme une erreur ? tu n’as pas sentis toute la passion avec laquelle je t’ai fais mienne ? tu peux considérer ça comme une erreur ? demandais-je en la fixant alors qu’elle baissa de nouveau les yeux

-          Je ne sais pas, je ne suis pas dans ta tête, peut-être que pour toi c’était que le coup d’un soir et je ne voulais pas me faire d’illusion, tu as déjà quelqu’un dans ta vie et moi je ne veux pas être la cinquième roue du carrosse

-          J’étais effectivement fiancé mais elle et moi avons rompu depuis bientôt trois moi, je ne te considère pas comme le coup d’un soir, loin de là sinon le fait que tu m’ignore ne m’aurais pas dérangé

-          Je ne t’ignorais pas, je ne savais juste pas comment réagis, en plus toi tu as commencé à m’ignorer bien avant cette nuit

-          Ok, passons. Tu me plais Éloïse et pas qu’un peu, peut-être  c’est mon comportement comme tu l’as dis qui t’a fais réagis de la sorte mais moi je ne t’ignorais pas, j te parlais n’est-ce pas ?

-          Oui mais j’ai cru qu’on était amis, et un coup plus d’appel plus de message, rien et au boulot tu me calcule à peine

-          Je suis désolé, j’essayais juste de me contrôler parce que comme je te l’ai dis tu me plais, je venais à peine de rompre avec ma fiancé et toi avec le père de tes enfants alors je voulais créer une certaine distance entre nous, mais après cette nuit, tout fut un peu plus claire pour moi.

-          Comment ça. dit-elle comme si elle avait peur de ce qui allait suivre

-          Est-ce que je te plais ? je veux dire est-ce que tu as des sentiments pour moi ? aussi minime soit-il

-          Euh… tu es mon boss et je ne veux p…

-          Réponds stp, oublis cette histoire de bosse, je suis devant toi comme un citoyen lambda qui voudrais avoir une chance avec toi, donc réponds stp

-          Tu… tu me plais aussi… beaucoup je dirais. Dit-elle en baissant la tête

-          Regarde moi Elo, regarde moi, sinon j’ai l’impression que tu ne penses pas ce que tu dis

-          Je le pense, tu me plais Femi. Dit-elle en me regardant cette fois

-          Lors tu es d’accord pour qu’on essaye ? lui demandais-je

-          Oui, pourquoi pas. Dit-il en souriant

-          C’est oui ou non Éloïse

-          C’est oui Oluwafemi

-          Que je sois ton camarade n’est-ce pas ? dis-je en riant alors qu’elle me tirait la langue. Alors en couple ?

Elle hocha la tête

-          Je veux te l’entendre dire

-          Oui on est en couple. Dit-elle en souriant timidement

Je l’attirais vers moi pour l’embrasser, ouf enfin !