Men's club

Write by Yayira Bénédicte

Alexandre Oluwafemi Adéléké

 

Je me lève et je me retrouve seule couché sur la moquette dans le salon, je jette un coup d’œil autour de moi mais il n’ya personne, je me lève et je vais dans la salle de bain visiteur rien, la cuisine pareille, elle n’est nulle part. Elle à dû s’en aller, mais pourquoi ? regrette-elle ce qui s’est passé ? Que dois-je faire ? Je prends mon portable, je lance l’appel vers son numéro mais elle ne prend pas j’essais à plusieurs reprises mais rien. Je vais prendre une douche et je vais à la salle de sport qui se trouve au ré de chaussé. Je suis entrain de faire mes exercices en pensant à la nuit que nous avons passé hier, c’était juste hot, j’ai couché des femmes mais ça n’avais rien de pareil, je l’ai pris dans tout les sens pendant des heures avec des pauses bien sure, elle criait délivrance mais je n’arrivais pas à la laisser, son corps… ses courbes… sa poitrine si ferme, comme si elle n’avait jamais allaité, le goût de sa chatte… faut que je me calme, je ne sais pas pourquoi elle s’en est allé sans rien me dire, peut-être qu’elle regrette. Je vais lui donner le temps de se calmer et on va en reparler.

A 14h je m’apprête pour allé au domaine, je dois personnellement superviser toute les trois interviews de Burna Boy, j’aurais aimé que ma sœur soit là parce qu’elle est celle qui s’est battu le plus pour qu’on ait cette interview, c’est une connaissance à elle donc c’est elle qui l’a convaincu de venir. Je sais qu’elle ira à son concert donc ce n’est pas bien grave, elle pourra le voir là-bas, je ne sais pas encore si j’irai, j’aime sa musique mais je suis as du genre à allé dans les concerts, surtout vu le nombre de personne qu’il y’aura et tout, c’est mieux de se faire une soirée à la maison, en plus faut que j’aille voir les enfants, je pourrais les sortir avec leur mère si celle si est d’accord bien sur.

Je mets un jeans, une chemise à manche longue bleu ciel, une montre au bras et mes mocassin, c’est dimanche donc je m’habille relaxe, même si c’est pour allé au boulot, je mets mon parfum ‘’ homme raffiné’’ je prends mes clés et je sors de l’appart. Je me gare dans l’enceinte du domaine ‘’ The Gist’’ au même moment je la voir avec Oscar entrain de rire alors que celui si lui touche l’épaule. Je suis pas un gars jaloux loin de là, je trouve que la jalousie c’est pour ceux qui n’ont pas de confiance en soit, c’est juste qu’à cet instant je me rends compte qu’elle ne ris pas autant avec moi, pourtant on dit pour qu’une femme soit amoureuse fau la faire rire. Mais pourquoi je veux qu’elle soit amoureuse de moi ? Est-ce que je lui plais même pour qu’elle soit amoureuse de moi ? Je mets tout ça dans un coin de ma tête, ce n’est pas le moment. Je descends et me dirige vers eux, elle se fige quelque seconde en me voyant arrivé et s’en fuis à l’intérieur.

Les trois interviews se passent bien, et une heure plus tard l’artiste repart avec son équipe. Je demande à voir nana mais on m’informe qu’elle s’en est allé avec Oscar. Ça commence à bien faire, je m’en vais en étant énerver, je ne sais même pas pourquoi. Je prends ma voiture je me rends chez elle mais elle n’y est pas. Je passe le reste de la soirée avec sa mère et les enfants, jusqu’à les mettre au lit vers 21h parce que demain est lundi et qu’ils ont cours mais toujours pas de trace de Nana. Je l’appel mais cette fois son numéro ne passe pas, je suis super énervé, je suis énervé comme tout et je ne sais pas pourquoi, je rentre dans ma voiture frustré, je ne n’ai même pas d’ami avec qui je pourrais sortir ou un truc du genre. Je décide d’allé dans un bar prendre un verre, ça me fera peut-être du bien.

Je suis assis au comptoir, je commande un whisky que je bois d’un trait, je suis entrain de me demander ce qu’elle fait en ce moment, est-ce qu’elle est avec Oscar ?

-          Je peux vous tenir compagnie ? fit une fille assez mince et clair, elle est plutôt jolie

-          Non merci. Dis-je en reportant mon attention sur mon verre

-          Je suis très discrète et je ne parle pas beaucoup, je suis d’une charmante compagnie. Insista-elle

-          Mademoiselle…

-          Linda, je m’appel Linda

-          Linda, merci mais je ne suis pas intéressé, bonne soirée.

-          Mais v….

-          Veuillez sortir de mon bar mademoiselle, fit un monsieur qui apparu derrière elle

-          Mais je n’ai rien fais de mal ! se défendit-elle

-          Vous voulez que j’appel la sécurité ?

-          Ça va c’est bon je m’en vais !

Il la raccompagna jusqu’à la sortie et revint vers moi

-          Désolé pour le désagrément monsieur, on essai de faire de notre mieux mais ces filles viennent toujours d’une manière ou d’une autre

-          Ne vous en faite pas, ça arrive

-          Michael, Michael Aman, je suis le propriétaire du bar

-          Enchanté, votre nom me semble familier, moi c’est Alexandre Adéléké

-          Adéléké de The Gist ? fit-il surprit

-          Ne le répété surtout pas. Dis-je sur le ton de la confidence en souriant

-          Enchanté, je suis j’espère que vous passez une bonne soirée

-          Plus ou moins

-          Problème de cœur ? demanda-t-il en souriant

-          Plus ou moins

-          Ses femmes, elles vont nous rendre chèvres, je me suis pris la tête avec la mienne, une vrai tête de mule, je suis donc venu voir comment ça se passe au bar

-          Pourra-t-on les comprendre un jour ? demandais-je

-          J’en doute. Dit-il en prenant place à côté de moi

On se mit à discuter de tout et de rien, c’est comme ça que j’ai su qu’il était le propriétaire de la boite informatique AMTIC, ce sont eux qui gère ce qui concerne l’informatique chez nous mais bizarrement on ne s’était jamais rencontrer, j’ai toujours traité avec son DG un certain Jules Bantou. On était entrain de discuter quand un gars vint s’assoir au bar et commanda une vodka, son portable se mit à sonner il regarda le numéro, l’éteignit ensuite et le mit dans sa poche.

-          Je suis sûr qu’une femme est derrière ça. dit-il en riant

-          Pardon ? demanda le monsieur

-          Oh je dis juste que les femmes vont nous rendre chèvre. Dit Michael

-          Mouton même je dirais. Dit le monsieur

On se mit à rire

-          Morel Bah, dit-il en tendant la main

-          Michael Aman

-          Alexandre Adéléké

-          Enchanté les gars. Dit Morel

On finit par prendre un salon VIP, on commanda du champagne et on se mit à discuter de tout, boulot, foot, la complexité des femmes. C’est ainsi que j’appris qu’il était tout deux marié et père de famille

-          Moi je n’ai même pas encore un chiot pour dire un enfant. Dis-je en riant, pourtant on a la même tranche d’âge hein les gars

-          Wep mais tu es le plus friqué ici, ne te plains pas trop. Réponds Michael

-          C’est quoi le fric quand tu n’as pas une femme merveilleuse et des petites terreurs qui t’attendent chaque soir à la maison. Dit Morel

-          Tu as raison bro. Dis-je, celle qui me plait à déjà trois enfants que j’aime beaucoup et je crois qu’eux aussi m’aiment, mais leur mère c’est un autre championnat, on a été ensemble hier et ce matin elle est partir comme une voleuse, je l’ai appelé en vain

-          La mienne me prends la tête, parce qu’elle vient de découvrir qu’elle est enceinte, elle dit j’ai fais exprès pour l’empêcher de voyager. Dit Michael

-          La mienne est fâché pour le contraire, on a des jumeaux de 3ans et elle essai de tombé enceinte parce qu’elle dit qu’elle veut avoir ses enfants vite et profité de la vie, maintenant elle dit que je n’arrive pas à la mettre enceinte donc elle m’en veut ! dit Morel

-          Ahiiii ? faisons Michael et moi dépassé

-          Ah vous voyez non ? dit Morel

-          Vraiment les femmes c’est quelque chose deh. Dis-je dépassé

-          Dis encore bro, dit encore

On parla jusqu’à vers deux du mat quand la femme de Michael une certaine Méliane vint le chercher, il nous la présenta, elle nous saluait en nous regardant bizarrement

-          J’espère que vous n’étiez pas entrain de planifier les salles chose ici hein

-          Chéri tu exagère. Fit son mari en lui prenant la main

-          En tout cas DIEU vous voir oh, bon rentrer chez vous hein, des hommes marié ne doive pas rester dehors jusqu’à cette heure

-          D’accord maman. Répondit Morel en riant

-          On y va chéri, laisse les gars tranquille

-          Non, on rentre tous, les gars on s’en va. Dit-elle en croisant les bras sur sa poitrine

On se regarda tout les trois surpris, Morel et moi on éclata de rire avant de nous lever pour les suivre. On échangea nos numéros et chacun pris sa voiture. Quand je suis rentrais j’ai pris une douche et je me suis couché, je leur envoyais un message pour leur dire que j’étais bien rentré. Morel proposa qu’on crée un groupe, ce qu’il se chargea de faire, on parla un moment avant que je ne me déconnecte. Je n’ai eu aucune nouvelle de Natasha, mais au final ma soirée à été super. Demain est un autre jour, une nouvelle semaine, je verrais comment je l’aborde. Mais je compte lui laisser le temps, je ne peux pas la poursuivre comme si nous étions des ados, nous avons eu des rapports entre adulte consentant, ce n’était pas prévu je suis d’accord mais quand c’est comme ça on en parle, on ne se lève pas au petit matin pour s’en fuir comme une voleuse ; non mais !

 

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