moi j’étais toute paniqué par cette discussion qui dégageait des tensions nerveuses, je fis un signe de la main à l’endroit bryan afin qu’il puisse arrêter mais il l’ignora, ensuite s’avança encore près de lui et dit « détrompe toi petit !! un ce n’est pas ma petite amie mais ma femme, deux tu es son salopard d’ex et trois je n’aimerai plus que tu l’as contacte pour quoi que ce soit est-ce bien entendu »

Depuis le lycée, bryan avait toujours eu un caractère à double figure, calme et bagarreur alors dès qu’il se sent menacer direct il n’hésite pas d’agir ; cette réponse d’anael l’a mis hors de lui, il se rapprocha de anael le fixa du regard et engagea la bagarre.

Anael et bryan se battaient si fort, il amocha la gueule de bryna le mis au sol en le frappant de coups serrés, la nouvelle parue à la salle de fête direct etan et sa clique se sont empressés de rejoindre leur ami en profitant de tabasser bryan avant de séparer anael de lui.

Cette m’était familière, me voici au centre de disputes amoureuses à l’université

bryan le pauvre était tout amoché, sa copine qui l’avait invité le ramena chez elle ; quant à moi j’étais derrière la clique de anael, on se rendait à l’hôtel où ils séjournaient tous, je voulais simplement les déposer à l’hôtel et ensuite rentrer chez moi car j’étais toute effrayé de ce qui pouvait m’arriver me retrouvant seule à la compagnie de anael ;

durant le chemin, j’écrivais un message pour l’envoyer à majoie disant « ma puce je suis en route pour l’hôtel rose avec anael et sa clique s’il te plaît appelle moi pour prendre de mes nouvelles j’ai peur » avant de pouvoir l’envoyer que anael m’avait déjà retiré mon téléphone entre mes mains et je n’osais pas m’oser.

Leur chauffeur nous déposa à l’Hôtel ; le temps qu’on nous remette les clés respectives des chambres, etan et moi parlions, il me dit « je te sent effrayé pao qu’est ce qu’il y a ? » j’hésitai de lui exprimer le fond de ma pensée de peur qu’il le rapporte à son meilleur alors je luis dis « je n’aimerai pas décevoir anael tu sais.. et je ne veux pas qu’il dépose la main sur moi » il se mit à sourire puis il me répond « jamais je ne permettrai que l’un de mes amis déposent la main sur une fille surtout pas sur toi et concernant anael je répète encore il n’a jamais bagarré pour une fille encore moins exprimé une telle jalousie, mais je le comprends qui ne tomberai pas sur ton charme »

Après ces quelques mots réconfortants, je dépose ma tête sur torse car j’étais soulagé par ce que je venais d’entendre.

Dès qu’on nous a remis les clés, je rejoignis anael qui était assis près de la fenêtre les yeux larmoyants, moi j’ai cru que c’était la douleur qui lui faisait de la peine ; alors je ne lui ai posé aucune question jusqu’à ce qu’on soit tous deux dans la chambre.

Il entre dans la chambre avant moi, j’entre à mon tour puis Je ferme la porte derrière moi ;, il tenait mon téléphone entre mes mains qui ne cessa de sonner, il le déposa au chevet son coté du lit, je n’avais même pas le courage de lui demander cela tellement la frayeur m’accablait ; je m’assis sur mon espace du lit, endehors de la frayeur de ce qui c’était pass tout à l’heure, j’avais aussi peur de mon intimité car ça devait être ma première fois de passer une nuit entière avec un garçon ; je ne savais pas comment me comporter surtout qu’il était encore sur ses nerfs.

L’ambiance était tellement tendue alors je lui dit tendrement :

-je suis vraiment désolé bébé

-pourquoi es tu désolé paola dit-il d’une voix basse et tendrement

-de ne pas t’avoir écouté et d’avoir engendré cette altercation

-non du tout ma puce en réalité ce n’est pas de ta faute, dès lors que tu m’as dit que c’était ton ex je me suis sentit menacé et j’en ai fait une affaire personnelle et j’ai juste peur de te perdre

même cette discussion me paraissait familière, ses propos, ses actions m’ont l’air familier « pourquoi faut toujours que je gâche tout » me dis-je en moi-même puis il rajoute :

« je t’aime profondément paola, c’est vrai qu’on vient à peine de se connaître et je sais que tu ne me fait pas encore confiance car on apprend toujours à se connaître mais je ne veux rien gâcher et je veux t’aimer comme il se doit et toujours être là pour toi »

Je me lève du lit en me rapprochant délicatement vers lui, il était assis au bord du lit tête baissé, jambes légèrement écartées, je me place entre ses jambes puis je me penche en avant en passant mes mains entre ses cheveux, je dépose tout en douceur mes lèvres sur les siennes, je l’embrasse langoureusement, en essayant de passer mes jambes pour envelopper ses hanches.

il répondit en m’embrassant somptueusement, ses mains parcouraient mon cou puis le long de mon dos, tandis que je déboutonnais peu à peu son chemisier, ensuite je retirai les bretelles de ma robe, il profita pour me pencher en arrière pour embrasser langoureusement mon ventre, mon nombril ensuite il se leva brusquement du lit m’attrapant fermement sur lui, tout en caressant mes fesses puis sous ma lingerie.

l’adrénaline monta, il était existé, son corps chauffait, je percevais son pouls près de mon corps, la chaleur m’animait et me faisait perdre la raison, chose que je n’avais pas ressenti auparavant, l’intensité grimpa car il mordit les lèvres et je continuais à prendre goût.

Je ressentis ses muscles se contracter, il me plaqua contre le mûr, me déposa sur une surface plane, qui était la table de l’entrée, puis il glissa sa main droite tout en douceur sur mon vagin tandis que l’autre était accolé à mon sein, l’un de ses doigts effleura mon clitoris qui m’a fait gémir sur l’instant et griffé son dos.

Ça m’a fait chaviré, je perdais mes sens, je perdais tout contrôle, je l’ai serré contre moi et glissa ma main entre sa braguette son pénis était en érection,je ne pensais car le diriger vers le mien et il murmura « vas y ma puce »

Soudainement la raison me frappa, je me suis ressaisit, retira ma main sous ma braguette ainsi que la sienne sur mon sexe puis je le regarda fermement dans les yeux et dit « je suis encore vierge et pour avoir des rapports sexuels avec quiconque je veux m’assurre qu’il soit le bon pour moi »

 il était complètement refroidit, ne fit aucun geste brusque, il continuait à me caresser et il avait à maîtriser ses impulsions, il me répliqua d’un air abattu « promet moi une chose », « vas-y je t’écoute » répondis-je « promet moi que je serai le premier paola promet le moi s’il te plaît ! » dit-il d’un regard fixe et sincère.

Je mordis mes lèvres pendant quelques secondes, j’abaissai ma tête car j’avais peur de lui faire une telle promesse, il releva mon menton et dit « je veux une réponse s’il te plaît » ; je pris une bonne inspiration et rétorque « oui je te le promet à condition que tu m’es fidèle » il acquiesça, on s’embrassa une dernière fois puis on se rhabilla.

On passa la nuit corps à corps, ses caresses me donnaient des frissons et je ressentais l’envie de le sauter dessus mais une autre partie de moi me retenait et me rappelait à une bonne conduite.