Je t'aime
Write by Boboobg
.... Farah Odongo....
Voix : Farah réveille toi ! Farah hooo ! Mais la fille si est vraiment partie loin hein !
Voix : en tout cas, moi aussi j'ai eu du mal à me réveiller ! Farah !
J'ouvre fébrilement les yeux pour rencontrer deux visages aux yeux remplis de cernes qui me regardent en souriant !
Moi : ou suis je ?
Janis: toi au moins tu ne t'es pas réveillé sous la table de la cuisine !
Binta: en tout cas, c'est la dernière fois que je bois au travail jeux ou pas ! (rire) le réveil est trop brutal !
Moi (me levant) : que c'est il passé ? Je ne me souviens plus de rien !
Binta: t'inquiète quand tu vas rentré chez toi, après une bonne douche tu te rappelleras même si on a rien fait de spécial à part gagné du fric en s'amusant !
Janis : ho oui pour s'amuser, ça on l'a fait d'ailleurs mademoiselle Sara s'est trouvé un vieux.
Binta: je les ai vu s'éclipser moi aussi !
Moi : il est quelle heure ?
Janis (me tendant mon sac) :tiens je t'ai mis ta deuxième enveloppe. Il est sept heure et quart et comme promis par Karl, une voiture nous attend dehors !
Moi : hooo je me rappel qu'il nous avait demander d'arrêter de travailler pour nous joindre à la fête. On devrait aller le remercier !
Janis : il est partie y'a quelque minutes, c'est lui qui nous a indiqué où te trouver !
Moi : d'accord, allons y alors !
Nous avons rejoins une grosse voiture noire qui nous attendait dehors.
J'ai été la deuxième a avoir été déposé.
Orelie(m'ouvrant la porte) : Fafa, si ce n'était pas toi, je jurerais que tu as la gueule de bois !
Moi : j'ai un mal de crâne terrible !
Orelie: n'oublie pas que tu as un vol à quinze heures !
Moi : s'il te plaît réveille moi, deux heures avant !
C'est comme une grosse masse que je suis allé me jeter sur le lit à côté de Belle qui ronflait.
(....)
Il est treize heures quand Orelie vient me tirer du sommeil.
C'est au pas de course que je me suis laver.
Moi (prête) : on peux y aller !
Arrivé à la grande avenue, il n'y a pas un seul taxi qui s'arrête.
Les gars ne prennent même pas la peine de te répondre. Dès que tu dis, Aéroport 1500, il accélère et s'en va. Tchrrrr comme si l'argent ça se ramasse.
C'est en voyant l'heure avancé que j'ai ajouter cinq cent. On a fini par trouver un taxi.
Orelie: c'était bien de vous avoir à la maison. A Noël s'il te plaît envoie moi Erica et Belle!
Moi : et Naomie alors ?
Orelie: haa laisse moi ça, cette fille est le portrait craché de sa mère et comme je n'aime pas sa mère, je préfère l'avoir loin. De plus, c'est à cet âge là que maman m'a eu!
Moi : tu es parano ! (l'embrassant) si Erica travaille bien comme d'habitude, tu les auras ! Et merci pour tout !
Orelie: je sais que je suis l'aîné et que c'est moi qui devrait m'occuper d'eux mais bon j'ai trop de rancune envers Sandrine Odongo pour m'occuper de ses enfants comme toi tu le fais. Mais s'il te plaît, appelle moi si besoin !
Moi :hum
Elle a fait de gros bisous à Belle et je suis allé faire les enregistrements.
(....)
A peine quarante cinq minutes, l'avion a déjà atterri sur Brazza. C'est bien different, avec le train c'est vingt quatre heures et là c'est quand vous n'avez pas rencontrer de problèmes !
Je prends nos valises et nous sortons de l'aéroport.
Je suis sur le point d'approcher un taxi quand j'entends quelqu'un m'appeler. C'est là que Belle lâche ma main pour aller se jeter dans les bras de Ed !
C'est là que je me rappelle avoir rêvé de lui cette nuit et je souris.
Édouard s'avance tout souriant vers moi avec Belle à son épaule.
Moi (lui faisant la bise) : comment as tu su ?
Ed : Je suis passé chez toi ce matin et Erica me l'a dit!
Moi : cette fille a trop la longue bouche!
Ed(me fixant) : depuis avril et c'est juste une bise sur la joue que je reçois ?
Moi (regardant Belle) : pas devant ma fille !
Et pourtant il sait bien que je n'aime pas faire ce genre de chose en publique. Je ne suis pas comme lui, je n'ai pas été élevé dans une famille où on montre son affection.
Chez nous, on dit que cela c'est pour les blancs. Lui a été élevé par sa mère qui est métisse et a toujours côtoyé sa partie blanche de la famille. Moi, mon côté toubab je ne l'ai qu'avec ma peau si non, je suis cent pour cent noir !
Ed(montrant la voiture) : on y va ?
Moi :oui
Il a conduit en silence. En prenant la route de Mukondo pour nous éviter les embouteillages.
Il a été le premier à sortir de la voiture après s'être garé. Il a tiré nos valises à l'intérieur de la cour où Erica est sortie en courant pour se jeter dans mes bras.
Moi : tu n'as pas fait de bêtises hein ?
Erica (prenant Belle) : non même pas !
Moi : et elle est où ta sœur ?
Erica : au salon!
Moi : hum
C'est quand j'arrive devant ma porte qu'Edouard en ressort.
Moi : tu ne restes pas ?
Ed (sec) : je n'ai pas envie de rester pour ensuite me faire chasser dans la nuit !
Je m'assure bien que nous soyons seul dans la cour avant de le prendre dans mes bras et de lui rouler une pelle.
Moi : tu m'as manqué Ngoma et si tu restes, je te montrerai comment j'ai rêvé de toi toute la nuit !
Ed(soupirant d'aise) : je ne sais jamais sur quel pied danser avec toi. Si je reste, tu me laisse passer la nuit.
Moi (me détachant) : tu sais bien que je ne peux pas !
Édouard soupire un moment avant de me faire un bisous dans les cheveux et de s'en aller.
Je ne sais pas ce qu'il veut. A chaque fois c'est pareil.
Moi (entrant) : madame ma mère ça va ?
Naomie (venant me faire la bise) : maintenant que tu es là ça va. Yaya je suis désolé pour l'argent !
Moi (la regardant) : ça va maman ! C'est Orelie qui a raison, tu ressemble tellement à ta mère. C'est toi qui aurait dû porter son prénom, d'ailleurs où est Sandrine ?
Naomie : elle est partie ce matin. Disant qu'elle n'avait pas envie de t'écouter lui faire la morale !
Moi: lol ! Vos affaires d'école et des vêtements sont dans la valise. Rangez les, moi j'ai besoin de dormir !
Naomie : d'accord.
Je les ai laissé en train de se jeter sur la pauvre valise, contentes de tout ce que j'ai pu acheter. Ce voyage à ponton à été très fructueux. Je sais déjà que je pourrai débuter le trimestre calme parce j'ai assez d'économie pour affronter les dépenses quotidiennes.
J'ai juste enlevé tous mes vêtements, ici il n'y a pas de split comme chez Orelie, avec ce climat tropical, le toit en tôle n'arrange pas du tout. Il fait chaud comme dans un four.
.... Édouard Ngoma....
J'ai juste fait l'aller retour pour prendre ses cadeaux qui étaient chez moi et la rejoindre.
Je suis le seul enfant de mes parents et pour ça, j'ai toujours été chouchouter. Depuis le début de ma relation avec Farah, je fatigue tellement ma mère en lui parlant d'elle que j'ai promis par excès de zèle que je l'emmènerai à la maison avant mon retour à Johannesburg.
Je lui ai acheté un nouveau téléphone, une paire de louboutin et un parfum Gucci.
Je me suis bien garé avant de sortir de la voiture les paquets en main.
Mme Lambert : encore de retour mon petit ?
Moi (souriant) : oui maman !
Mme Lambert : quand Farah sera de retour, je lui raconterai comment tu t'occupes bien des petites !
Moi : d'accord maman !
Cette kongosseuse ne doit pas encore avoir vu Farah. Quand je penses que l'an passé, elle envoyait sa fille cadette me faire du rentre dedans (rire).
Je toques et c'est Naomie qui vient m'ouvrir.
Nao: elle est dans la chambre !
Moi (lui glissant un billet de mille francs) : surveille Belle s'il te plaît, on doit parlé !
Nao(souriant) : seulement parlé hein!
C'est en souriant que j'ai rejoins Odongo dans la chambre.
Elle s'est couché avec juste son string, le ventilateur en marche.
J'ai juste enlever tout mes vêtements avant d'aller me placer entre ses jambes et de me mettre à lui manger la foufoune.
Farah (gemissant) : Ho Édouard!
Je m'y suis appliqué d'autant plus que cela fait pour moi une éternité que je n'y ai goutté. Farah est capable de te refuser le sexe simplement parce qu'elle doit se reposer. C'est le coup qu'elle m'a fait aux vacances de paques passé. Madame était trop fatigué après les sessions donc pas possible de coucher (rire) c'est un démon ce petit bout de femme.
Je lèches l'entrée de sa caverne au même moment que mon doigt titillent son clitoris. Farah se met à bouger les hanches comme pour accompagner dans mes mouvements.
Je presse encore plus sur son bouton, je sais qu'elle adore quand je m'en occupe.
Farah (se redressant) : Ed ferme la porte, Belle peut entrer à tout moment !
Moi (la retournant) : t'inquiète, c'est déjà fait !
Couché sur le dos, Farah bouge son corps au rythme de ma langue sur sa fleure. Ses gémissements à moitié étouffer, me font bander de ouf.
Moi (la regardant) : à quatre pattes !
Elle s'exécute sans poser de question, c'est seulement au lit où madame accepte mes ordres !
Moi (voix roque) : tu m'as manqué bébé et maintenant je vais te baiser pour que plus jamais tu ne t'en ailles ainsi !
Farah (bougeant ses fesses) : vas y Ed, fais moi comme dans mon rêve ! Fais moi mal !
Il ne fallait pas plus pour que je la prenne avec toute la fougue emmagasiner.
J'ai beau couché avec Amanda et autres, jamais je ne ressens ce que je ressens quand je suis entre ses jambes à elle. Le sexe est toujours différent avec la personne qu'on aime.
Farah (rouge de plaisir) : je t'aime Édouard !
Moi (lui tirant les cheveux) : je t'aime aussi bébé !