Chapitre  15 :  L’anniversaire (dernière partie)

***Suzanne***

Depuis la semaine dernière je n’ai pas vu le père de mon fils, il appel tous les jours pour prendre des nouvelles de sont fils et quand j’ai voulu le voir pour discuter, il m’a fait comprendre qu’il était prit et ceci toute la semaine mais qu’il me fera signe dès que possible. Je suis couchée dans ma chambre quand Carine est venu m’annoncé qu’il y a un visiteur dans le salon. Maman est sortie avec Kenny.

Moi  : qui est-ce ? 

Carine  : C’est tonton Alex 

Moi (me levant) : Okay dit lui que j’arrive

Carine  : d’accord

Je me suis débarbouillée, j’ai enfilé une robe avant de descendre. Alex c’est l’un des mes nombreux cousins. Nombreux parce que j'en ai tellement.  Bfff c'est le fils du petit frère à papa. Je l’ai trouvé assis dans le séjour, la zapette en main.

Moi (souriante) : le grand

Alex (se levant) : La grande, tu es toute rayonnante.

Il m’a fait la bise et j'ai prit place en face le lui.

Moi: merci

Alex (s'asseyant): tu es rentrée depuis trois semaines et ce n’est qu’aujourd’hui que je l’apprend ? Et par qui ?

Moi (arquant les yeux) : humm par qui ?

Alex : par tata, elle était à la maison tout à l’heure avec ton petit.

Moi : Oh ne te fâche pas

Alex : sinon ça va ? 

Moi : oui et toi, le travail  ? 

Alex : on est là

Moi : super

Alex: tu penses rester combien de temps ? 

Moi (m’adossant) : je n’en sais rien Alex.

Alex : Tu fais quoi ce soir ?

Moi : rien comme tu peux le voir, je n’ai rien de prévu, j’attends le retour de maman pour me mettre au lit.

Alex : Non toi Suzanne ? Au lit à 20h  Tu m’étonnes qu’est ce qui t’a changé ?

Moi (riant) j’ai un enfant maintenant.

Alex (amusé) : Hé ben. Bah moi je t’invite ce soir, j’ai été invité à l’anniversaire de mariage des parents d’un pote à moi.

Moi : Vieux couple ?

Alex : on peut dire ça, 40ans de mariage

Moi : ça alors!

Alex : ouais et tu seras ma cavalière ce soir.

Moi (rigolant) : tu faisais comment avant ?

Alex : Oh non toi-même tu sais.

Moi (ironique) : vas les chercher alors

Alex : Non je veux rendre jalouses ce soir

Moi : et tu veux te servir de moi

Alex (sourire en coin) : Mais non tu es ma cousine adorée

Moi : c’est ça oui

Alex (regard de braise) : Alleuuh 

Il a finit par me convaincre (sourire). En même temps ce n’était pas une mauvaise idée, depuis que je suis arrivée je ne suis pas sortir m’amuser. Alors ce soir je vais me changer les idées et dégourdir les jambes. J’ai appelé maman pour lui dire que je sortais avec Alex, J’ai discuté avec mon fils, je lui ai demandé la permission c’est mon mari ah vous voulez quoi. 

Alex m’a conduit d’abord chez lui, soit disant qu’il doit se changer,  il trainait on dirait une femme. Il a finit par sortir au bout de 30 minuites et nous avons puis bouger. Il s’est arrêté devant une belle et immense villa. Rien que des voitures de luxes stationnées inh. Il s'est démerdé pour chercher une place et se garer 

Alex (coupant le moteur) : voilà, tu peux descendre

Moi : Monsieur AGUIAH vous ne jouez  pas dans la cour de petits hein ?  

Alex (rire) : madame descend.

On est descendus et je suis passée de l’autre côté, il m’a tendu le bras et je me suis accrochée. On faisait un vrai couple [lol] 

Moi (le pinçant): tout ceci pour traumatiser le cœur des enfants d’autrui.

Alex : Ouuuch

Moi (rire) : N’importe quoi 

On a fait notre entrée dans cette somptueuse demeure bras dessus bras dessous. Il m’a présenté à tous ses amis comme étant sa cousine. Il y’a avait quelques jeunes filles aussi. Arrivés à leur niveau, il ne m’a pas présenté comme sa cousine inh mais comme une amie voyez moi cet enfant. On s’est installés quelques minuites plus tard un couple à sonné pour attirer l’attention. La dame était dans une robe fait-en en pagne qui lui descendait aux genoux et qui laissait entrevoir légèrement sa poitrine, elle avait les cheveux nappi qui brillait de loin. Le mari aussi portait le même tissu dans un ensemble qui lui allait à ravi. Ils étaient sur leur trente et un. Ça sentait l’argent de loin rien qu’a voir la demeure. Le monsieur a prit la parole en remerciant l’assemblée, avant de se lancer dans un beau discours. Et pour finir  de donner feux vert à la fête. 

J’ai gouté à un peu de tout hein, quand j'ai senti le champagne me monté à la tête, j’ai déposé ma coupe et je me suis mise sur la piste de danse, en laissant libre court à mon corps. J’avais juste envie de bouger et de m’éclater. J'ai dansé jusqu'à....oh Sans faire attention en tournant j’ai faillit tomber mais j’ai juste eu le temps de ressentir les bras qui m’enveloppait

Lui : Attention à ne pas tombé

Moi : ah désolée

Lui (souriant de toutes ses dents): Je vous tiens 

Moi (me détachant) : Lâcher moi maintenant merci.

Lui : OH doucement !

Je ne sais pas pourquoi mais j’ai eu comme l’impression avoir déjà vu ce visage quelque part. J’ai mit fin à ma danse en allant m’asseoir. Alex qui m’a amener ici ne se souciait même plus de moi, il était entrain de discuter avec une jeune femme. Si ça peut lui faire plaisir tant mieux. 

Voix derrière  : Vous dansez très bien

Moi (me retournant) : encore vous ?

Lui (désignant une chaise vide) : Je peux ?

Moi (haussant les épaules) :  

Lui (prenant place) : Merci

En le regardant, je me suis rappelée de l’endroit où je l’avais croisé pour la première fois.

Moi : Mais oui, le type de l’aéroport.

Lui : Pardon ?

Alex (apparaissant) : Suzy ! Euh (au type) vous permettez ?

Lui : bien sûr

Bien sûr. comme si j'étais à sa merci. Je ne lui ai plus accordé aucune importance, je me suis levée, Alex m’a entrainé de l’autre côté vers la jeune femme. Cette dernière était gonflée comme un pain. La jalousie hein [rire]

Alex (la regardant) : voilà je te présente ma cousine Suzanne Aguiah ; Suzy, je te présente Clarisse ma copine.

Moi (souriante) : Enchantée Clarisse

Elle : De même madame

A l’instant la colère à laissé place à un joli sourire sur son visage. C'est pas mieux maintenant ? Mon cousin et ses choses inh, c’était vraiment pour rendre jalouse qu’il m’a amené ici. La fête à continuer jusqu'à une heure et je suis restée bien loin du type de l'aréoport. 

C'est uniquement parce que je veux rentrer que Alex m’a ramené à la maison avec sa copine. Directement je suis montée dans ma chambre mes talons en mains pour ne par reveiller la maison. Je me suis deshabillée et j'ai jetée mon corps sur le lit sans même me doucher. Je suis épuisée.

***Daphnée***

A deux heure , il ne restait plus personne, enfin la majorité était fatiguée et se sont excusées auprès de moi. Il ne restait que l’autre groupe qui faisait la fête, se ne sont rien que des jeunes, c’est normal. De notre côté, il y avait que mon frère, Karl, Aldr et moi. On était les derniers à quittés juste après le départ de Cindy et Orlando. Mon frère est parti de son côté c’est le chauffeur qui les avaient amenés avec le véhicule de papa. 

Arrivés à la maison, Aldr ne s’est pas garé à l’intérieur, ce qui est bizarre, il a coupé le moteur et m’a dit de descendre.

Moi : mais pourquoi tu ne fais par entrer le véhicule ?

Lui (ouvrant le portail) : Parce que je n’ai pas envie, 

Moi : Oh c’est nouveau ?

Lui (me cédant le passage) Oui c’est nouveau, vas y entre

Moi (entrant) : ah là tu m’éton….

Je n’ai pas pû terminer ma phrase, je me suis retournée vers lui

Moi (me retournant vers lui) Elle est à qui ? 

Lui (agitant une clé devant moi) Joyeux anniversaire Daphnée Doris Houefa ALAMBI

Moi : NON  C’est énorme

Lui : tu mérites plus que ça.

Non ce n’est pas vrai, il vient de m’offrir…. Non ouuuulala une VOITURE, je n’arrive pas à y croire. Je lui ai sauté dessus en l’embrassant avec toute la passion qui m'habitait, 

Moi : Merci chéri,

Je me suis mise à contemplé la voiture, c’est une Volkswagen de couleur blanche, ma préférée. 

Moi : c’est vraiment un cadeau énorme chéri

Lui ; tu mérites plus que ça, je préparais ce cadeau depuis longtemps 

Moi : Ah bon ?

Lui (bisou) : oui mon rayon de soleil

A cet instant il ne restait que nous deux sur la terre, je me suis perdue dans son regard, nous nous sommes mis à nous embrassés avec toute la force qui nous habitaient, il m’a soulevé jusqu’a l’intérieur en claquant la porte de l’entré avec son pied. 

Il m’a déposé sur le lit. Tellement on étaient pressés que je ne su à quel moment nous nous sommes retrouvés en tenue d'Eve. 

[…]

Le lendemain je me suis levée avec une migraine atroce, mais quand je me suis rappelée de la veille, automatiquement la migraine à disparue, j’ai fait ma toilette et je suis sortie de la chambre en prenant quelques billets,  sans faire de bruit parce que Aldrich dormait encore. J’ai remarqué que la porte de l’entrée était très bien fermée, j’ai prit la clé de mon véhicule sur la table (sourire) et je suis sortie. Le véhicule de mon homme était garé juste à côté du mien, je ne me suis même pas rendu compte de quel moment il avait fait entrer son véhicule et fermer le portail. J’étais toute excitée que j’ai ouvert le portail, je suis montée à bord de ma voiture toute souriante et je suis sortie de la concession en refermant le portail à clé. C'est avec fierté que j’ai roulé tout doucement jusqu’à  «J’adore » prendre du pain et des viennoiseries. Je peux bien les prendre tout près mais non, je suis trop excitée. Tellementj’ai bombé le torse au volant, lol, je n’envie personne. Je suis rentrée et j’ai fait le même manœuvre en garant à l’endroit où je l’avais prise. 

J'ai trouvé Aldr à la cuisine entrain de faire les œufs.

Moi (souriante) : bonjour, depuis quand tu fais à manger

Aldr (me regardant) : Depuis que je me suis levée et je ne t’ai vu nul part dans la maison.

Moi (posant ce que j’ai en mains) : j’étais partie prendre du pain

Aldr (souriant) : Je sais

Moi : comment tu sais ?  

Aldr : parce que je n’ai pas vu le véhicule dans le garage, et je sais que tu étais allée loin.

Moi : Oui je suis allée à J’adore

Aldr (me tirant vers lui) et pourquoi jusque là-bas ? 

Moi (rire) : Parce que j’en avais envie.

Ce n’est que le soir qu'on est sortis pour une promenade à bord de ma Volkswagen. Bien sûr c’est moi qui était au volant. Aldr qui me traitait de torture parce que je roulais doucement tchiip.

A suivre…