La bague magique (chapitre 26-27)

Write by Verdo

*La bague magique* (série littéraire)


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  *****Chapitre 26, 27 : L'hypnose****


                   ****Linda****


Mon cœur ne fait que l’appeler. Dans son infini chagrin, là où il l'a laissé tomber. Il lance ses appels de détresse. Mon cœur est en mille morceaux dans son immense douleur. Vide ses larmes jours et nuits, Car il ne voulait que son amour. Mon cœur, meurt tout seul. La blessure fut fatale. La flamme s’éteint dans mon âme. Je pleure en regardant le ciel. Je pleure pour toujours.


L’amour n’est pas un jeu. L’amour est un trésor et tout l’enjeu c’est de ne pas le perdre, on peut faire beaucoup pour gagner un Cœur. Mais tellement peut pour le garder…et quand l’amour part reste le chagrin et la tristesse d’un cœur brisé. Je voulais pas que cela arrive. Je ne voudrais pas le détester à jamais. Je l'aime et chaque jour qui passe me fait penser plus. J'ai longtemps parlé avec Faïza et elle m'a convaincu qu'il n'est pas encore tard d'arranger les choses. Car selon elle, Victor Hugo a dit que "La véritable indulgence consiste à comprendre et à pardonner les fautes qu'on ne serait pas capables de commettre." Car les erreurs sont toujours pardonnables si celui qui les a commises a le courage de les admettre. Je devais donc essayer de passer l'éponge la dessus. Je l'ai déjà avec moi ici et plus personne ne viendra me le prendre. Il souffre aussi que moi. La responsabilité est partagée dans cette histoire mais pour moi, un contrat est un contrat. Une promesse est une promesse. Et je me sens trahie. Mais n'empêche pas que j'aille au moins le voir et discuter. Cette vieille a réussit à me convaincre. Il était là toute seul le regard plongé dans le vide à la recherche d'une compagnie. La grande prêtresse étant un peu absente, il devait s'ennuyer. Je portai Luc dans mes bras. Je pris une longue inspiration et expiration et je m'approchai de lui. Lorsqu'il me vit, il me donna de la  place à coté de lui et je m'assis. Il prit son fils, et commença à lui parler. J'ai pitié de lui malgré ce qu'il m'a fait.  Ses blagues, et autres me manquent. Je sens qu'il a le poids du monde sur lui. Il pensera sûrement à Adelle et son enfant. Je lui demandai de m'accompagner ce qu'il ne refusa pas. On marcha dans l'invisible jusqu'à l'hôpital là où elle fut hospitalisée. Il y avait la présence de sa mère, ses deux soeurs, Patrick et Luc. Ils sont tous inquiets pour Adèle ; et sa disparition. Elle dormait tranquillement dans le lit et les autres sont assis à côté en train d'attendre qu'elle se réveille du coma dans lequel elle s'est de nouveau plongée. Je regardai Johny et je pouvais lire la tristesse qui traversait son visage. Je sens qu'il souffre autant que moi. Mais je ne peux plus le laisser s'en aller. Faut que je pense aussi à moi. 


Moi : Ils sont inquiets pour toi. Regarde comment tu les as mis dans de sales draps? Si seulement tu m'avais attendu rien de cela ne serait arrivé.


Lui (….)


Moi : Je ne suis pas si méchante comme tu le penses. Je ne l'ai jamais été sinon je t'aurais tué depuis. Je suis loyale envers toi. C'est plutôt toi qui dégammes. Je peux rendre la vue à Adelle si tu me promets que tu l'oublieras pour de bon. Je sais que ta famille prendra bien soin de Luc en ton absence. Ils  le font déjà. Tu en dis quoi? Juste pour te prouver que je ne suis pas la mauvaise. Je fais tout ça par amour pour toi. Te voir triste me rend triste aussi.


Lui : (SNIF) Je ne sais pas quoi dire Linda. Je n'ai pas les mots. A présent je sais que ton amour est sincère, pure et limpide. Une promesse est une promesse. Alors je promets de respecter la mienne à partir de maintenant. C'est un choix difficile à faire mais je crois que le mieux est que je porte cette croix seule. Je te suivrai Linda et je serai prêt à tout faire pour que notre fils soit heureu.


Moi : Hum, pourquoi tu parles comme si j'etais en train de te forcer la main? C'est un choix que tu avais fait il y'a longtemps de cela. Ou bien ce n'était pas sincère ? Si tu ne veux pas de moi, ni me suivre, dis-le moi en même temps. Je suis prête à te pardonner mais il faut que tu sois sincère avec moi. Plus de cachotteries s'il te plaît. Tu veux qu'on emprunte ensemble ce chemin ou pas?


Lui :  (je ne sais pas  comment serait sa réaction si je lui disais non. J'hésitai et à vrai dire, je ne suis plus sûr de l'aimer comme avant. J'ai plus peur d'elle que de l'aimer. Je pense à ma famille et tout. Je veux qu'ils vivent en paix sans qu'elle s'en prenne à eux alors je dois faire ce sacrifice pour eux même si le prix a payer est toute ma vie. Luc est aussi mon fils. Alors je vais la suivre.) Oui Linda. Je veux bien emprunter  ce chemin avec toi. Mais Promets-moi de ne plus leur faire de mal.


Moi : Ne t'inquiète pas pour ça. C'était ce que je voulais entendre. Je t'ai déjà alors ils peuvent vivre en paix. Maintenant regarde seulement et laisse moi faire.


Je levai ma main droite  et la dirigeai  vers d'Adèle sur le lit. Je fis venir son âme devant nous. Johny pouvait aussi le voir. Il fait parti déjà de mon monde.  Je lui dis.


Moi : Avance un peu plus 


Elle s'avança.


Tu vas voir à compter d'aujourd'hui, mais tu oublieras Johny pour de bon. Tu oublieras qui s'est passé ce soir là. Tu ne m'as jamais vu, ni mon bébé. A ton réveil, tu feras comme si de rien n'était. Mais gare à toi si tu te mettais  à la recherche de Johny, je te tuerai sur le champ. 


Elle accepta par un hochement de tête.


Et par la technique d'hypnose et de mes pouvoirs, je lui effaçai sa mémoire pour de bon tout en lui redonnant la vue.


          **** Flash back Tanti****


Madame Afiwa est une bonne amie à moi. Je l'ai rencontré pour la première fois il y a trois mois de cela et nous sommes devenues de bonnes amies. Elle était venue faire des achats. Je l'ai enregistré puis elle est partie. C'est à son départ que je me rendis  compte qu'elle avait égaré son porte monnaie qui contenait tout ses papiers et une colossale somme. Je l'ai rappelé et elle me fit savoir qu'elle est déjà loin du super market et qu'elle ne pouvait revenir qu'après deux jours. Je pris alors le porte monnaie que je gardai soigneusement jusqu'à ce qu'elle ne vienne le récupérer. Elle me remercia de tout son coeur et me fila cent mille francs que je refusai d'accepter. Je ne l'ai pas fait pour l'argent mais juste pour la bonne cause. Elle m'invita alors prendre un pot. On a commencé à discuter et avec le temps, on s'est famililiarisé. C'était une vieille femme  qui sera dans les soixantaines  environs mais sa peau ne laissait voir aucune trace de rides ou de vergetures. C'est quelqu'un qui aime prendre soin de son corps et de sa personnalité. Tout ses enfants sont en Europe et son mari est décédé il y a de cela cinq ans. Donc elle ne devait que profiter de la belle vie. Son domicile me laisse bouche bée. Je l'admirais beaucoup parce qu'elle aimait bien mes gosses. Els étaient avec moi au supermarché un soir où elle passait et je les lui présentai. Elle les a en retour invité chez elle pour passer un week end et les connaitre un peu plus. C'est quelqu'un de bien alors lorsqu'elle est venue ce soir faire des achats, je l'aidai à transporter les sachets pleines d'un peu de  tout jusqu'au dehors où un zémidjaman qui avait l'habitude de le remorquer devait arriver. Son chauffeur était malade et elle ne voulait pas non plus conduire,  pour cela elle était venue à moto. On discuta tout en marchant lentement. Lorsqu'on arriva près du Zman qui était garé à vingt mètres du supermarché. Je levai les yeux pour lui remettre les sachets et qui est ce que je vois?  Eric!  Je sentis un coup de point dans mon cœur. Mais je me retins. Eric qui fait taxi moto? Quoi ? C'est impossible. Je n'arrive pas à le croire. Je commençai à rire au point où madame  Afiwa me trouvai bizarre. Elle me demanda si tout allait bien et je lui répondis par un hochement de tête. Je riais à un tel point qu'il se sentit mal à l'aise. Puis je m'arrêtai. Je lui remis les sachets de madame.


Moi : Excusez-moi madame Afiwa pour ce que je vais faire. Mais je vous expliquerai plus tard.


Je saisis les cols d'Éric et je lui donnai simultanément deux bonnes gifles. Je m'excusai auprès de madame  et je les laissai. Eric me regardait sans rien dire jusqu'à ce que je ne disparaisse complètement. J'entendis la dame lui demander ce qui se passait mais il n'arrivait pas à lui répondre. Lorsque j'atteignis le comptoir, la colère commença à me monter à la tête. Si je repense à tout le mal qu'il m'a fait. Je n'ai qu'une seule envie de le tuer mais je pense à mes enfants, ma mère et au merveilleux Koffi kodjo que je viens de rencontrer et je me ressaisis. Eric ne mérite pas que je me mette en colère. Il ne va pas gâcher ma journée d'aujourd'hui. S'il croit qu'il va revenir dans ma vie demander d'après mes enfants, qu'il se détrompe en même temps. Je le tuerai de mes propres mains s'il ose s'approcher d'eux. J'ai souffert seule pour qu'ils arrivent à ce niveau aujourd'hui. Il ne les a jamais vu ni rencontré. Il me sautait seulement comme bon lui semblait. Moi idiote que j'étais, je ne savais pas qu'il profitait juste de moi. Je dois protéger mes enfants de lui.


                    ****Sika****


Cela fait vingt ans que mon mari m'a laissé ici au village pour aller chercher de l'argent avec nos cinq enfants. Eric ne m'a plus donné de nouvelles jusqu'à ce jour et voilà que nos fils ont grandi sans son amour. Koffi Kodjo lui est partie il y'a trente ans et je ne sais plus à quoi il ressemble. Je ne me suis plus remariée. J'ai  attendu mon mari tout ce temps et la vieillesse m'a prit. Je pense souvent à lui. Mais je n'ai que des photos de sa jeunesse. Comment est il maintenant ? Vit il encore? Je crois qu'il est temps de retrouver le père de mes enfants. Mon fils aîné Jacques a maintenant vingt ans. Je l'envoyerai en ville trouver son père. Je vais fouiller dans mes archives voir si je peux encore trouver cette adresse de la ville qu'il m'avait  autrefois donné il y a de cela vingt ans. Les enfants ont besoin de connaitre leur père. Je suis devenue la risée de tout le monde dans le village. Ils traitent mes fils de bâtards et moi de prostituée. Il est tant que cela cesse.  Je dois leur prouver qu'Éric est le père de mes enfants et le seul homme avec qui j'ai eu des rapports dans ma vie. Je l'aime toujours. Et j'espère le revoir. 


                     ****Eric****


Je ne me suis jamais sentis humilié et honteux dans ma vie. Tanti m'a giflé et actuellement mes trente deux dents ne sont plus bien en place. J'ai un mal de crâne et même Doliprane ou la morphine ne pourra rien pour moi. Je devais m'attendre à ça. Ça devait arriver un jour. Et c'est le moment de récolter la tempête. J'ai semé le vent en  voulant  fuir mais les mauvaises actions  rattrapent toujours. Je n'ai pas pu donner une explication à madame Afiwa. Celle qui me portait du respect. Comment pourrais lui dire que j'ai enceinté trois fois de suite une femme mariée ?  Comment me trouverais t elle? Elle coupera tous les ponts avec moi sur le champ alors lorsqu'elle m'avait demandé ce qui se passait, je me suis tu comme un mouton et je demarrai mon Caracas de moto. Actuellement je suis assis sous un arbre les mains aux mentons en repassant à ce qui s'est passé. Mon regard plongé dans les airs, je regarde défiler devant moi mes plus graves folies. J'ai tout d'abord abandonné ma première femme au village après la mort de mon père et le départ de mon grand frère. J'ai alors pris le chemin de la ville pour trouver un travail et subvenir à leur besoins. C'est en ce moment que je suis tombé sur ma blanche qui a accepté de  m'aider. J'ai tout d'abord recommencé les études jusqu'à avoir un diplôme en finance  et ensuite elle m'a trouvé un bon boulot. C'est par après qu'on s'est envolé à Paris pour se marier. Ma situation s'est améliorée mais j'ai mis un trait sur mes cinq enfants et mon ancienne femme. Je ne leur ai plus contacté. Je profitais bien de mon nouveau mariage, des voyages par ci et là jusqu'à ce que je ne tombe sur Tanti qui aussi m'a amené dans une relation de sextape. Je savais au fond de moi que jamais je ne l'épouserai, jamais je ne quitterai ma femme pour elle mais pourtant je lui faisais sans cesse l'amour sur son lit conjugale. Premier enfant, deuxième enfant jusqu'au troisième. Je ne faisais que la mettre enceinte tout en oubliant qu'elle a un mari. Je lui ai promis de m'occuper d'elle et de ses enfants après avoir chassé ma femme. C'était juste des foutaises. Moi même je le savais. Je l'ai blessé dans son amour propre et je l'ai ensuite largué avec mes trois enfants. Plus tard, ma femme aussi m'a plaqué parce qu'elle s'est rendue compte de ma vie de débauche.  Voilà moi. Tout ce à quoi je pense maintenant. Tanti vient de me trouver dans mon état. Elle s'en est moquée. Je ne lui donne pas tord. Mais faut qu'elle s'attende à me donner mes trois enfants parce que je ferai tout pour les récupérer.


              ****Maman Tanti****


Je sortis de la douche lorsque mon téléphone commença à sonner. C'était ma fille. Je décrochai 


Moi : Tanti, comment tu vas?


Elle : Mal maman.


Moi : Quoi, qu'est ce qui se passe?


Elle :  Je l'ai vu par ici aujourd'hui. 


Moi : Qui ça ? De qui parles tu?


Elle : Le père de mes enfants. Il était en train de faire Zémidjan.


Moi : Hum, Quoi? N'est ce pas toi qui disais qu'il est à Paris?


Elle : C'est ce que je croyais aussi. Mais ce n'est pas ça le problème. Il m'a fait ressortir ma colère.


Moi : Ma fille, calme toi. Après tout ce que tu as traversé, il  ne mérite  plus que tu lui verses ne serait ce qu'une seule larme. Tu as maintenant un travail qui te permet de nourrir tes enfants et un homme qui est prêt à t'épouser. Alors ne laisse plus ta vie se gâcher par cet irresponsable.


Elle : D'accord Mami. Mais j'ai peur. Et s'il venait réclamer ses enfants?


Moi : Ses enfants? Sera t il malade ou  a t il   eu un électrochoc dans la tête? Où était il avant lorsque tu souffrais avec les gosses? Les connaissent il? Portent ils son nom de famille ? Ne t'inquiète pas pour ça. On ne le laissera pas faire cette fois ci. Je suis derrière toi et je te soutiens.


Elle : Merci maman. Je me sens rassurée. Je dois à présent te laisser.


                     ****moi****


Je ne laisserai plus ce farfelu détruire une fois encore la vie de ma fille. Je ne sais pas qu'elle  pouvait  tout surmonter et avoir maintenant une situation stable. Alors qu'il n'ose même pas s'approcher d'elle et mes petits fils. J'accepte de commettre l'irréparable  et d'aller en prison. En plus il fait Zemidjan (rires). Le monde est petit. Après avoir profité de ma fille et détruit son foyer, il ne peut que devenir zémidjan man. La nature pait toujours aux méchants et profiteurs comme lui. Les enfants ne doivent même pas faire sa connaissance. Ils ont assez soufferts comme ça. Avoir de nouveau ce farfelu dans les pattes ne leur fera aucun bien. Alors qu'il reste à l'écart de ma famille.


          ****Flash back Adèle****


C'était comme un rêve que je faisais. Il y avait une puissance invisible qui m'appelait. Je me levai du lit d'hôpital et me dirigai vers lui. Son visage commença à me devenir familier lorsque je me suis bien approchée. C'était Linda. Il était avec Johny qui tenait le bébé en main. Je ne pourrais pas lui parler ni le toucher parce que mon corps  souffrait sur ce lit 

d'hôpital avec les bouteilles d'oxygènes qui emcombraient mon visage. Elle me demanda de l'oublier, elle et Johny pour toujours et de ne plus jamais chercher à le voir. Si j'accepetais, je retrouverai immédiatement la vue. Je me tournai une fois encore en regardant mon corps giser de douleur et tout ce monde qui attendait que je me réveille. Alors je lui répondis oui par un hochement de tête. Et après, je repris ma place dans mon corps et quelque instants après, je me réveillai dans la réalité toute faible et de nouveau avec la vue.  Mélanie et les autres sautèrent de joie et firent venir les médecins. Après qu'ils aient finis de m'examiner, ils me laissèrent se reposer. Je ne me souvins plus de rien. De ce qui s'est passé ni de ce que je fous dans cet hôpital. Tout me parait étrange. Je reconnus Mélanie, maman et Antivi mais pas Luc. Je ne me rappelle pas d'être tombée enceinte  ni de celui qu'ils appellent  tous Johny. Les médecins disent que c'est peut être le choc qu'a connu ma tête en tombant qui aurait causé un dommage à mon cerveau.  Je devais suivre une thérapie et un traitement histoire que ma mémoire  revienne.


                 ****Mélanie****


Je suis triste au plus profond de mon âme ainsi que ma famille. On ne sait même pas ce qui s'est passé cette nuit là et ça rend tout le monde nerveux. Johny n'est toujours pas réapparût. Il est injoignable. Ses affaires sont intactes. Rien n'a disparu dans la maison pour que la police ne parle de vol. Personne ne sait rien. La seule personne qui peut nous donner ces informations c'est Adèle et voilà qu'elle aussi vient de perdre la mémoire. Elle ne reconnait même plus son propre fils.  Maman ne fait que pleurer. Son seul fils a disparu dans la nature. On ne sait plus quoi faire. Nous sommes tous les jours à l'hôpital pour aider Adèle psychologiquement à aller mieux. On espère qu'elle trouvera vite la mémoire pour nous dire ce qui s'est passé. Les photos de Johny passèrent en boucle dans toutes les télévisions et dans les rues de la ville. Il y a même des communiqués radios en parlent. Patrick essayera de contacter la presse ce soir. On n'en peut plus de ce calvaire. Johny, où es tu? Où que tu sois, ne t'inquiète pas. On viendra te chercher. Tiens bon. On t'aime tous.


                    ****Koffi****


Moi je n'ai eu que des égratignures. Mais ce n'est pas le cas d'Adjovi. Elle est dans le coma. Les autres vont bien. Personne n'est décédé.  Remercions Dieu pour nous avoir protégé. Je sais qu'il guérira ma femme.  C'est une vrai battante . je suis assis à ses côtés sur le lit d'hôpital lorsque j'aperçus  une demoiselle passer on dirait Antivi. Qu' est ce qu'elle fait ici dans cet hôpital ? Je me levai et  la suivis.


            ****Madame Afiwa****


Je n'ai jamais vu un truc aussi ridicule de ma vie que ce matin. Tanti qui gifle Eric et ce dernier qui ne broncha même pas. C'est louche. Cette histoire. Cache quelque chose et je vais le découvrir.


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