La maison hantée chapitre 8

Write by Verdo

*Les chroniques de Verdo Lompiol*



*La force de l'écriture*



*LA MAISON HANTÉE* (Série littéraire)


Likez avant lecture.




****Chapitre 8 : Je suis un prêtre violeur ; et alors ?****





                    *Ville de Tsévié*



            ****prêtre Joseph****

Dans quelques heures, je recevrai Rachel dans mon bureau et comme d’habitude, je pris à la pharmacie du Mogadon et du Nuctalon sans qu’Ella ne soit au courant. D’ailleurs, elle n’a jamais su que je les prenais, sinon elle me posera un tas de question puisqu’elle est la responsable de la pharmacie. Il est à noter que ces deux médicaments sont les plus puissants somnifères au monde. Le nitrazépam est une substance chimique de la famille des benzodiazépines notamment commercialisée sous le nom de Mogadon, ainsi que sous forme de médicament générique. Comme toutes les molécules de sa famille, elle possède des propriétés anxiolytiques, hypnotiques ou sédatives, anticonvulsivants, et myorelaxantes. Mais elle est surtout utilisée comme hypnotique. Le nitrazépam est une molécule aux propriétés hypnotiques puissantes, au délai d'action relativement rapide (Temps max de 2 h environ) et à demi-vie longue (de 16 à 48 h environs). Hypnotique à durée d'action très longue, il peut avoir des répercussions éventuelles diurnes.  Ainsi que l'estazolam qui est une substance chimique de la famille des benzodiazépines notamment commercialisée sous le nom de Nuctalon qui a les mêmes caractéristiques que celui cité dessus. J’ai l’habitude de prendre deux comprimés chacun que j’écrase avec une boule en les mettant dans un petit  flacon  que je garde en poche. A son arrivée, je ferai comme d’habitude. C’est-à-dire que je la recevrai dans mon bureau puis ensuite je partirai chercher le rafraichissement que j’aurai déjà préparé avec soin. Aujourd’hui, c’est aujourd’hui. Elle s’aura que les prêtres aussi doivent satisfaire leurs désirs sexuelles. Cela fait longtemps que j’attends ce moment. Thuram doit savoir que j’ai l’obligation de goutter à sa fiancée avant qu’il ne lui passe l’anneau au doigt. C’est le prix à payer pour toutes ces fois que je leur ai prodigués des conseils et mis sur le droit chemin. Pour cela, je dois bien la niquer et profiter de son joli corps qui me fit souvent perdre les pédales toutes les dimanches à la messe. Quelqu’un sonna à la porte. Je me précipitai pour ouvrir.


Ella : mon père, mademoiselle Rachel est ici pour vous voir.


Moi : D’accord, fais la entrer. J’ai un rendez-vous avec elle.


Elle : D’accord, tout de suite



Peu de temps après, elle entra. Je la fis assoir dans le divan en face de moi. Elle était vêtue d’une robe rose qui couvrait bien ses genoux. Bien coiffée, son maquillage laissait voir la clarté de son visage et les traits fins noirs qui lui servaient de sourcils. Sur ses lèvres, on pouvait voir du rouge à lèvre qui embellissait son sourire éblouissant. Elle est sans doute très belle. Le seigneur l’a bien dessiné au repos je crois. Des fois, je me demande pourquoi même je suis devenu prêtre laissant vagabonder dans la nature toutes ces jeunes demoiselles  qui ne me donnent que des fantasmes. Avec un joli sourire, je lui souhaite la bienvenue.


Elle : C’est la première fois que je viens vous retrouver au bureau mon père. D’habitude, nous devons vous attendre au moins une heure de temps.


Moi : Oui ma chérie. Je n’ai pas assez de travail aujourd’hui raison pour laquelle j’ai demandé à ce que tu viennes. A présent, laisse-moi te servir un rafraichissement.


Elle : (C’est bizarre, pourquoi m’appelle-t-il chérie ? c’est la première fois qu’il m’appelle comme ça.) Tout ce que vous vouliez mon père.


Moi : (je rentrai alors chercher le jus de fruit bien préparé. Je déversai toute la poudre qui se trouvait dans le flacon dans l’un des verres que je remuai avec soin. Puis je reviens au bureau. Je lui tendis le verre bourré de somnifères qu’elle but profondément. On commença à discuter et dans peu de temps, elle s’endormit. Je l’amenai dans la chambre qui se trouvait à côté de mon bureau et la déshabillai sur le champ. Sans protection, je profitai de son joli corps au moins cinq heures de temps. Tout d’abord, je la posai sur le ventre au lit et je commençai à caresser doucement avec mes deux mains ses ronds popotins et au fur à mesure que j’y passai ma main, les mouvements s’accentuaient. Ce ne firent plus de simples caresses mais on dirait que mes mains donnaient à sa paire de fesse de chocs électriques. J’enlevai ma soutane que je jetai rapidement sur une chaise pas loin du lit et avec mes doigts, j’attrapai le bas de sa robe que je tirai lentement vers le haut jusqu’à son abdomen. Etant immobile, je ne pouvais pas le déshabiller complètement sinon je risquais de mal le rhabiller après lui avoir fait toutes mes conneries. Alors je le fis à moitié.  Elle avait un slip blanc et sur la bande était inscrit en majuscules ADIDAS. Sa hanche était bien ornée de jolies perles noires mélangés du blanc jaune et bleu. Je me déshabillai complètement avec mon pénis qui regardait ses fesses bien superposées sur le lit. Sous l’un des oreillers du lit, je tirai un lubrifiant que je passai sur ma machine et ensuite avec ma main, je l’introduisis en retour dans son vagin histoire que la pénétration soit facile. Après l’avoir bien mouillée, j’enfonçai mon pénis au plus profond de ses entrailles et je commençai à faire des vas et viens.  Tchié, pourquoi nous prive t-on de ce qui est le plus doux au monde ? Le plaisir sexuel ! De toutes les façons, nous sommes tous les créatures de Dieu et nous devons avoir des droits équitables. Si l’église nous refuse cela, ça n’engage qu’eux. Moi je niquerai et violerai autant de fois que l’occasion se présente. Mes deux mains posées sur sa colonne vertébrale, je lui mis au niveau du ventre un oreiller, ce qui fit projeter un peu en haut et par derrière ses fesses. Je n’eus plus de soucis à bien la pénétrer. Fallait juste que j’écarte bien ses deux jambes et le tour est joué. Ayant bien joui de cette position, je la fis coucher sur le dos tout en mettant ses deux pieds sur mes épaules toujours avec l’oreiller sous ses fesses et je la pénétrai de nouveau pendant plus de soixante minutes. Je sentis mon cœur battre comme celui d’un athlète en plein marathon aux jeux olympiques. Mon cerveau me disait seulement de continuer et ma conscience à son tour me fit savoir que je n’ai rien à perdre. Je la baisai à un tel point que même si elle était éveillée,  elle aurait crié stop mon père, stop. Je m’arrêtai après avoir joui en elle. Après, je la rhabillai et la ramenai dans le canapé où elle était logée à sa venue.  Je pris rapidement une douche et reportai ma soutane. Peu de temps après, elle se réveilla et je lui servis une boisson énergisante qui l’aida à aller mieux. Lorsqu’elle me demanda ce qui s’était passé, je lui répondis qu’elle s’est sentie faible et je l’ai aidé à s’allonger.



                         ****Rose****


Cela fait deux mois que mon mari Florent ne m’a pas rendu visite. Quand bien même que Lomé se trouve juste à trente cinq kilomètres de Tsévié, il trouve toujours des excuses genre le boulot. J’en ai marre de ce mariage. Je dirai que c’est lui qui me pousse à faire des conneries ici. Si j’ai des vues sur Thuram, c’est d’une part sa faute. Mais je ne baisserai pas les bras. Je réussirai à l’avoir dans mon lit. J’ai un plan en tête que je mettrai dorénavant en exécution car à l’heure là, ma chatte pleure de désir et je risque de commettre une folie. Je sais que Florent se tape les nanas de Lomé raison pour laquelle il n’aime plus revenir à la maison. Même si je programme aller le voir, il cherche toujours une excuse pour m’éviter.



                           ****Ella****


Père Joseph devient de plus en plus bizarre ces derniers temps. Tout d’abord, il prend des médicaments à la pharmacie sans m’en parler et maintenant il s’enferme plus de quatre heures de temps dans son bureau avec une fidèle. Qu’est-ce qui se passe au juste ? Ce n’est pas normal. De toutes les façons, je ferai tout mon possible pour savoir ce qui se trame.



                    ****Thuram****


Que fait Rachel depuis tout ce temps ? N’a-t-elle pas encore fini de discuter avec le père ? Ou bien elle a encore dévié de chemin comme d’habitude. Si c’était moi, elle m’aurait déjà appelé plus d’une centaine de fois avec des crises de jalousies par ci et là. Hum les femmes. Je l’attends ici. Je verrai ce qu’elle me donnera comme explication à son retour. Je ne suis pas sûr que c’est le prêtre Joseph qui l’a retenue jusqu’à l’heure là. En attendant, je vais remplir les dossiers du bureau que j’ai rapporté la fois dernière.




     ****Flash back Rachel****


C’était le dimanche passé après nous avoir prodigué des conseils que le prêtre Joseph m’a demandé à l’écart de venir le voir à son bureau pour discuter de quelque chose. Etant donné qu’il est notre père spirituel, Thuram n’a trouvé aucune objection à ce que j’y aille. Il nous connaissait parfaitement car c’était lui qui résolvait tous nos problèmes de couples quand bien même qu’on n’était pas encore marié.  Il est d’ailleurs celui qui célébrera notre mariage dans moins d’un mois. Pour cela, je me suis apprêtée et je suis parti le voir. Il était au bureau. Ella m’annonça et il me reçut. C’était la première fois qu’il était à l’heure à un rendez-vous.


Elle : C’est la première fois que je viens vous retrouver au bureau mon père. D’habitude, nous devons vous attendre au moins une heure de temps.


Moi : Oui ma chérie. Je n’ai pas assez de travail aujourd’hui raison pour laquelle j’ai demandé à ce que tu viennes. A présent, laisse-moi te servir un rafraichissement.


Elle : (C’est bizarre, pourquoi m’appelle-t-il chérie ? c’est la première fois qu’il m’appelle comme ça.) Tout ce que vous vouliez mon père.


Plus tard, il apporta deux verres de jus de fruits que nous avions commencé à boire. Quelques instants après, j’ai commencé à me sentir faible. C’est de tout ce que je me souviens. A mon réveil, j’étais allongée dans le divan et il était à mes côtés avec une boisson énergisante qui me fit du bien. Il me fit savoir que j’étais faible et je me suis allongée pour me reposer. Moi-même, je ne me souviens plus de ce qui s’est passé alors il me raccompagna à la maison. Thuram était à la fenêtre observant lorsque je sortais de la voiture. Père Joseph m’accompagna jusqu’à la porte où Thuram vient nous rejoindre.


Prêtre Joseph : Bonsoir mon fils.


Lui : Oui mon père. Vous me l’avez pris toute la soirée.


Prêtre Joseph : Ah oui, je suis désolé pour ça. Elle a même eu un petit malaise ce qui nous a un peu retardé, mais avec un peu de repos ca va lui  passer. Je crois qu’à partir de maintenant, les querelles seront terminées.


Lui : (rires) Après avoir passé toute une soirée à écouter vos conseils, je pense que ça ira.


Moi : Je l’espère.


Il repartit après. Nous rentrâmes Thuram et moi. Il avait la mine froncée à notre arrivée mais lorsqu’il m’a vu avec le père, il a commencé à sourire. Selon lui, j’étais passée autre part. Il a fait la cuisine et m’attendait avec impatience. Je lui demandai de me laisser prendre un bain avant le repas. Je m’empressai de rentrer sous la douche en me déshabillant. En enlevant mon slip, je me rendis compte que je suis mouillée et que je puais le lubrifiant. J’enfonçai la main dans mon sexe et je ressortis du sperme. Quoi ? Aurai-je couché avec quelqu’un ? Le prêtre ?




*A suivre*



*Koffi Olivier HONSOU*


*Les chroniques de Verdo Lompiol*


*Blogdeverdo.wordPress.com*


*Twitter : Verdo*


*Muswada :  Verdo*


*Wattpad : Les chroniques de Verdo Lompiol*


*Whatsapp: 00228 90 50 98 82*


*Copyright : Janvier 2018*


*Tous droits réservés*

La maison hantée