La maison hantée Saison III Chapitre 10

Write by Verdo

Les chroniques de Verdo Lompiol


LA MAISON HANTÉE (Série littéraire)


SAISON III


**** Chapitre 10 : Le Meurtre ? ****


**** Village de Zogbédji  ****


**** Leley ****


Dovaldo et moi avions passé une nuit fantastique. Des trucs coquins, nous en avions tellement faits que je ne pourrais oublier ses douces mains qu’il passait sur mon corps. Uuhm ! Que c’est beau de passer une si fabuleuse nuit dans les bras de son bien-aimé. Ce matin, il m’a fait le petit déjeuner pendant que je dormais encore. Cela fait un bail qu’un homme s’est occupé de moi comme il le fait maintenant. Après avoir pris le temps de savourer ses délicieux mets, nous essayâmes une seconde fois de remettre les pendules à l’heure genre faire l’amour une deuxième fois. Ce vieux là a une sacrée endurance hein ! Mais nous nous sommes rendus compte de quelque chose.


Dovaldo : Je crois qu’il y’a un souci chérie.

Moi : lequel ?


Dovaldo : T’as pas remarqué que mon petit bonhomme ne fait plus aucun mouvement ?


Moi : Figé ? Non. C’est peut-être parce qu’il a trop gesticulé dans mon putain de (…) cette nuit.  En plus nous ne sommes plus des jeunes. Laisse-moi faire. Je vais essayer de le relever.


Dovaldo : Ah d’accord. Je te le laisse. J’espère qu’il t’écoutera au moins toi ! (Rires).


Moi : Comment est-ce que mon propre bonhomme avec qui j’ai l’habitude de jouer depuis des années refusera de m’écouter ? Laisse-moi m’occuper de lui.


Il me céda le passage mais bizarrement je n’arrivai plus à me mettre sur mes deux pieds. J’avais du mal à me mettre debout. A vrai dire, je ne pouvais pas me lever du lit malgré tout l’effort que je faisais. Je ne sentis plus du tout mes pieds et aussi ma hanche. Lorsque Dovaldo essaya de me mettre debout, je m’écroulai au sol comme un bébé. Mais qu’est-ce qui se passe ? Sans perdre de temps, Dovaldo s’habilla et m’amena directement chez Prisca, la guérisseuse du village. Je ne saurai vous dire ce qui s’était passé. Infirme ? Je ne l’étais pas la veille ! Et Dovaldo non plus n’avait pas des problèmes d’érection. J’espère que Prisca réussira à faire quelque chose pour nous parce que je ne supporterai pas me voir sans rien faire.


**** Ville de Lomé ****


**** Karl ****


(Moi, hurlant de toutes mes forces en sortant de ma voiture et en m’approchant de ma fille et des deux farfelus qui se battent pour elle.)


Moi : Mais Thérèse ! Qu’est-ce qui se passe ici ? Peux-tu me l’expliquer ? Ne devrais-tu pas être à la maison dans ta chambre ? D’ailleurs qui t’a autorisé à sortir et pourquoi te mets-tu ainsi en scandale devant tout le monde ? Ne t’ai-je pas demandé de ne plus revoir ce jeune homme ?


Elle : Pa- Pa- Papa au fait, ce n’est pas ce que tu penses. Maman m’a envoyé à la boutique pour lui faire quelques achats et ce jeune homme (en pointant Nick du doigt) m’a suivi malgré que je le lui aie interdit. Il me harcèle depuis un moment et je ne sais plus quoi faire. Là nous sommes tombés sur Fabrice aussi qui voulait me parler et tout est parti en vrille.


Moi : Ah bon ? Tu as le culot de te mettre devant moi et de me raconter toutes ces âneries ? Avant que je ne ferme les yeux, je veux te voir dans la voiture ! (Se tournant vers Nick et Fabrice) : La prochaine fois que je vous reverrai à cent mètres de ma fille, c’est au cimetière municipal qu’on enterrera vos corps. Alors tâchez de ne pas l’oublier surtout toi jeune homme (Fabrice).


Elle : Je suis désolée père de te foutre à nouveau la honte. Mais ce n’est pas de ma faute. Je t’assure que je n’ai rien fait de mal.


Moi : Je t’ai demandé de rentrer dans la voiture ou tu veux que je te colle une baffe !


**** Augustine ****


A peine je débarque en ville qu’un si mignon garçon me pose le grappin dessus. Il est super craquant ; ça je ne saurais le nier mais n’empêche de dire qu’il est plus âgé que moi. Pourquoi est-ce que je pense même à ces genres de choses ? Nous nous sommes juste échangés les numéros rien de plus ! En plus je dois me focaliser sur mes études. C’est la raison de ma venue ici en ville et je dois carrément m’y consacrer corps et âme. Si je laisse ces hommes commencer à me séduire, ils me détourneront de mon véritable objectif. 


(Je reçus un appel. Le numéro est inconnu)


Moi : (Décrochant) Allô !


La voix : Alors ma belle princesse aux caraïbes ne reconnait plus ma voix ?


Moi : Luciano ? C’est toi ?


La voix : Bien-sûr que oui. Lui-même en personne en chair et en  os.


Moi : Ah super. Je suis flattée par tes paroles. Elles sont néanmoins profondes.


La voix : Ah, ce n’est que la partie visible de l’Iceberg. Pour toi je peux m’imbiber en poète.


Moi (Rires) : Je ne connaissais pas ce côté si romantique de toi.


La voix : J’ai pleins de choses à te faire découvrir ma chérie, si tu le permets bien-sûr.


Moi : Ça, on verra.


La voix : D’accord. Ce serait un grand plaisir. Je voulais juste m’assurer que tu es bien rentrée.


Moi : Ah merci, c’est gentil de ta part Luciano. Je suis bien arrivée. Là je dois prendre ma douche.


La voix : Okay d’accord. Je te laisse te peaufiner alors. Une si jolie créature comme toi en a besoin.


Moi : Ah Luciano ! Arrête avec tes flatteries. Je dois te laisser maintenant.


La voix : A plus alors.


(Je déposai le téléphone sur la table. Nick entra haillonneux avec des bleus partout).


Moi : Qu’est-ce qui s’est passé frangin ? Qui t’a amoché de la sorte ?


Lui (S’asseyant dans le petit divan) : un abruti qui n’arrête de me saouler. Il ne s’est pas aussi tiré facilement comme ça. Mais ce n’est pas fini cette histoire. Je le retrouverai et l’écraserai comme un sale chien.


Moi : Frérot ! T’es pas sérieux là ! Regarde l’état dans lequel tu es et tu envisages encore aller le battre ? Mais tu es malade ou quoi ? D’accord, je peux savoir la raison pour laquelle vous vous êtes battus ?


Lui : Arrête avec tes remontrances sœurette. Pour le moment, je n’ai pas envie d’en parler. Contentes-toi de me servir une bière.


Moi : Mais arrêtes d’être pathétique ! Tu te crois dans un bar ici ou quoi ? Bah si tu veux te saouler, il y’a justement un bar à côté.


Lui : Depuis quand tu me donnes des ordres toi ici ?


Moi : Depuis que tu te comportes en un irresponsable !


Lui : Tu me saoules Augustine. D’ailleurs, je m’en vais. Restes seule ici !


Moi : Et où est-ce que tu vas à une heure pareille de la nuit ?


Lui : Cela ne te regarde pas. Laisse-moi respirer bon sang !


**** Luciano ****


Fabrice entra tout pétrifié.


Moi : Mais qu’est-ce que tu as frangin ? On dirait que tu t’es battu contre toute une armée !


Lui : Eh bien c’est le cas. J’étais parti voir Thérèse et ce Nick était là à la malmener alors j’ai dû agir.


Moi : Quoi ? Fabrice ? Qu’est-ce que tu as au juste ? Avec tous les conseils que je te donne, tu ne fais qu’à ta tête ? Qu’est-ce que tu es parti foutre chez Thérèse ? Ne t’ai-je pas dit de ne pas mettre pieds là-bas le temps où tout se calme ? Ça ne va pas chez toi ?


Lui : Et le pire dans tout ça c’est que son père nous a surpris en plein Battle.


Moi : (Hum…)


Lui : Je suis désolé frangin mais c’était plus fort que moi et je ne supporte pas que cette situation se règle  toute seule. C’est pour cette raison que je suis parti la voir mais ce Nick vient de tout gâcher.


Moi : Toujours insolent comme d’habitude ! Il y’a pas longtemps Channel t’a parlé de sa grossesse et le lendemain tu cours te jeter dans les bras de Thérèse et implorer son pardon ! Au final qu’est-ce que tu veux? Je ne te comprends plus. Va falloir redonner un autre sens à ta vie car là tu es en train d’aller à la dérive.


Lui : Hum. T’as raison mon frère. Je ne contrôle plus rien. Au fait, je n’arrive pas à me faire l’idée que Channel soit enceinte de moi. Et pour Thérèse, je ne sais plus où j’en suis et je ne sais pas comment réagirait-elle si elle parvenait à le découvrir.


Moi : Si Channel est vraiment enceinte de toi, il va falloir te comporter en un homme responsable en commençant par préparer la venue des bébés et aussi dire la vérité à Thérèse. Si elle te pardonne ça tant mieux ; au cas contraire, tant pis. Je ne te laisserai plus te promener de femme en femme. Tu dois t’assumer.


**** Gladys ****


Lopez m’a téléphoné. A vrai dire, je ne sais pas où elle a déniché mon tél. Elle veut me parler de quelque chose d’important qui me concerne. Je vous avoue que si c’était avant, je l’enverrai balader mais la prison m’a beaucoup instruit et changé alors je suis venue ici dans ce restaurant pour la rencontrer. Elle était même d’avance et s’était couverte d’un voile pour cacher son visage.


Elle : soit la bienvenue Gladys. Prends place s’il te plaît.


Moi : Merci.


Elle : Je t’en prie.


Moi : Pourquoi t’as un voile sur la tête ? A ce que je sache, tu n’es pas une musulmane.


Elle : Au fait je n’ai pas assez de temps. Je me cache de quelqu’un qui veut me faire du mal.


Moi : Quelqu’un qui veut te faire du mal ? Qui est-ce ? Et en quoi cela me concerne ?


Elle : Eh bien cette personne est ton père.


Moi (Abasourdie) : Quoi ? Comment ça mon père ?


Elle : Ecoutes, tu dois garder ton calme et m’écouter attentivement. J’ai collaboré avec lui pour mettre Kyrielle en prison et maintenant je crois qu’il veut se débarrasser de moi.


Moi : Je ne te comprends toujours pas. Tu peux être un peu plus explicite ?


Elle : Dans cette enveloppe, il y’a tout ce qui te fera comprendre. Je suis désolée pour tout ce qui s’est passé Gladys. Kyrielle est un vrai crapule mais il ne mérite pas ce qui lui arrive. Garde l’enveloppe et j’espère que tu sauras ce qu’il faudra faire. Je dois vraiment te laisser.


Moi : Quoi ? Et où est-ce que tu vas ? Nous n’avons pas terminé !


Elle : Je n’ai pas assez de temps Gladys. Je te laisse.


Moi : Okay, okay(…)


(A son départ)


**** Moi****


Mais putain, qu’est-ce qui vient de se passer là ? Je ne pige toujours rien ! Mon père associé à Lopez pour mettre en prison Kyrielle ? Cela ne m’étonne pas mais que fait Lopez dans tout ça et pourquoi papa s’en prend à sa vie? Est-ce vrai tout ça ? De toutes les façons, l’enveloppe me dira plus. Il faut que je dégage d’ici avant que quelqu’un me voit.


**** Madji ****


Au poste de police.


M. le commissaire : M. Madji est-ce que toutes les clauses du contrat vous conviennent ?


Moi : Bien sûr Commissaire. Même si ce n’était pas le cas, nous n’avons pas d’autres choix que de les accepter. (Se tournant vers Naomi) Ou bien Naomi ?


Elle : Euh oui monsieur le commissaire. Tout nous convient.


M. le Commissaire : Okay d’accord. Problème résolu. Je vais de ce pas signer les documents qui permettront votre liberté. Mais une dernière chose, vous devez respecter à la lettre les clauses au cas contraire, vous me verrez encore chez vous et cette fois ce sera la prison directe. J’espère qu’on n’arrivera pas là ?


Moi : Non commissaire. Je veillerai personnellement à ce qu’elle ne fasse pas d’erreur.


M. le Commissaire : Parfait.


Moi : Merci monsieur le commissaire pour tout.


M. le Commissaire : Ne me remerciez pas. Faites-le plutôt au docteur.


**** Naomi ****


Hum, je viens de me rendre compte que je me suis mise dans un sacré merdier. Moi, nettoyer cette clinique pendant six longs mois ? Matin et soir je dois m’y rendre sinon le commissaire reviendra pour me mettre derrière les barrots. Et mes enfants ? Que deviendront-ils ? Qui va s’en occuper ? Ce Madji ? Je ne crois pas. Lui qui ne peut même pas laver ses propres dessous ! Oh Seigneur ! Qu’est-ce qui m’avait pris d’aller me battre avec cette satanée de fille ? J’aurais pu éviter tout ça mais mon comportement d’insolente ne m’a pas permis de me tirer de ces emmerdes. Dorénavant je réfléchirai mille fois avant de poser mes actes. Je dois penser au bien-être des enfants. Si Madji veut coucher avec toutes les femmes de cette ville, il a mon feu vert. Après les six mois de travail à la clinique, je repartirai au village où je reprendrai mes tâches de commerçante. Je ne resterai plus ici pour subir du mépris, de la malhonnêteté et d’infidélité d’un homme qui n’en vaut pas la peine. Car si je ne quitte pas, je risque de mourir très jeune et laisser moisir de faim mes cinq enfants.


**** Madji ****


Mes erreurs ont conduit aujourd’hui ma femme dans tous ces problèmes. Je ne sais pas comment est-ce que je m’en sortirai pendant tous ces six mois qu’elle sera presque absente. Je dois changer et devenir un homme responsable et pour ça il faut que je commence à me faire pardonner.


**** Agnès ****


Mais pourquoi ces deux farfelus ne veulent pas laisser ma sœur vivre en paix ? Voilà qu’à cause d’eux, elle est à nouveau punie et cette fois-ci jusqu’à nouvel ordre. Papa a voulu lui changer de ville. Si ce n’eut pas été l’intervention de mère et moi, elle serait déjà dans la ville de Tsévié chez Thuram, l’ami de papa. Moi je pense que la faute va à tout le monde et père aussi a une part de responsabilité dans ce qui arrive mais je ne peux même pas oser en parler. Il est sur ses nerfs depuis le jour où il a surpris Thérèse en train d’embrasser Fabrice et la bagarre d’hier-là n’a pas arrangé les choses. Mais je pense à une chose qui pourrait bien aider ma sœur.

Je dois ce matin, faire le ménage avec Thérèse dans l’appartement du feu Gérard. Depuis sa mort, personne n’a osé s’approcher de là à part la police mais avec le retour de père, nous lui donnerons un nouvel éclat.


**** Channel ****


(Moi dans la salle de visite)


Fabrice : Bonjour Channel.


Moi : Bonjour Fabrice. Que me vaut l’honneur de ta visite ?


Fabrice : Je suis venu m’assurer que tu vas bien et voir aussi l’état de ta grossesse.


Moi : Hum. C’est un peu difficile à croire vu comment t’as réagi la dernière fois lorsque je te l’avais annoncé.


Fabrice : Oui. Je sais. Je suis venue m’excuser pour ça aussi. Tu sais, je veux faire maintenant les choses bien. Alors j’ai pris la décision de te soutenir toi et les jumeaux. Ce sont aussi mes fils et je dois m’en occuper. T’en dis quoi ?


Moi : Je suis flattée Fabrice. Je ne sais pas si tu es sincère ou pas et je veux plus m’aventurer dans des histoires qui se terminent mal avec toi.


Fabrice : Ecoutes Channel, même si entre toi et moi ça ne marchera plus, nous devons nous entendre pour le bien-être de nos futurs enfants. Et cette fois-ci, je suis sérieux.


Moi : Je ne te crois toujours pas Fabrice, prouve-le-moi si tu es réellement sincère.


**** Karl ****


Depuis un moment, j’ai commencé à écouter des bruits et des cris bizarres la nuit provenant de nulle part. Blandine a aussi fait la remarque et je ne sais pas ce que c’est. Lorsque nous éteignons par exemple la lumière la nuit pour dormir, a notre réveil le matin, elle est allumée. Je pensais que c’était Blandine qui le faisait mais ce n’est pas le cas. Alors qu’est-ce qui peut bien en train de se passer dans ma maison ? Ma fille Thérèse aussi qui ne cesse de me foutre la honte (…)


Je vis Blandine arriver.


Elle : Chéri, il y’a quelqu’un qui veut te voir.


Moi : Qui ça ? Qu’il entre.


Elle : Okay.


Un instant après je vis entrer Madji. Ce sale enfoiré à qui je voulais casser la gueule depuis un moment.


**** Le grand maître ****


Florent nous a humiliés une première fois. Nous ne lui permettrons plus cela une seconde fois. Dès ce soir nous recommencerons à le hanter et récupérer son âme. Nous lui enverrons tous ses démons. Comme ça il saura qu’on ne se fout pas de notre gueule de la sorte.


**** Lopez ****


Après avoir quitté Gladys, je pris directement un taxi pour le poste de police. Sébastien n’a cessé de m’appeler mais je l’ai envoyé balader. Je savais bien ce qu’il prévoyait me faire lorsque je serai partie le voir. Il me tuera sans doute car cet homme est capable de tout. C’est pour cette raison que j’ai remis une photocopie des preuves à sa fille au cas où il m’arriverait quelque chose. Mais malheureusement je n’arriverai pas au poste de police. Le conducteur du taxi fit un autre détour et m’amena dans une cabane avec une arme sur ma tempe. Quelques minutes plus tard, Sébastien arriva avec un pistolet aussi en main.


Lui : Alors sale garce ! Tu penses me fuir pour toujours ?


Moi : Non monsieur. Je… Je… Je venais justement vous voir.


Lui : Je ne suis pas né de la dernière étoile. Un ami à la police m’a dit que tu viendrais témoigner. A présent c’est ton cadavre qui ira le faire (…)


A suivre


Recap du chapitre : 


1- Prisca arrivera-t-elle à sauver Dovaldo et sa femme?


2- Quel avenir pour Nick, Fabrice et Thérèse ?


3- Fabrice est-il vraiment en train de changer?


4- Une histoire d'amour entre Luciano et  Augustine? Réactions de Nick et Fabrice au cas où ils seront au courant...


5- Madji et Naomi se repentiront vraiment ?


6- Lopez morte?


Ne ratez pas le chapitre 11. À très prochainement.


Par Koffi Oliver HONSOU


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