La maison hantée Saison III Chapitre 3
Write by Verdo
Les chroniques de Verdo Lompiol
La force de l'écriture
LA MAISON HANTÉE (Série littéraire)
SAISON III
**** Chapitre 3 : Le passé qui rattrape****
*Village de Zogbédzi*
****Augustine****
Je viens de finir de faire ma valise. Reste que le vieux me donne le transport. Pour ce qui en est des autres charges, il me les enverra plus tard. Que ce village va me manquer ! Je l’avoue. C’est la première fois que je le quitte pour autre part. Mais quand on vit, il faut aller de l’avant. Il n’y a plus d’avenir pour moi ici. Père, assit sous l’arbre au milieu de la maison sa pipe posée sur une petite table à coté attendait mon départ pour ensuite aller rejoindre ma belle-mère (Leley). Traînant mes valises jusqu’à devant chez lui, je m’agenouillai pour qu’il me donne sa bénédiction. Il posa sa main droite sur ma tête et me prodigua un tas de conseils avant de me demander de me relever. Il m’escorta ensuite jusqu’à la station où je pris le bus pour Lomé.
*Ville de Tsévié*
**** Rachel****
Après que Thuram et moi avions passé un bon moment avec Francine, dans la salle de soins de l’hôpital, je sortis en les laissant seuls. C’est vrai que j’en ai après elle mais dès fois, il faut savoir faire la part des choses en laissant nos égos de côté. Elle a mal agi sans doute mais ne mérite pas ce qui lui arrive. Alors je la soutiendrai tout le temps de sa convalescence s’il le faut. Quant à Thuram, je ne sais pas exactement quoi faire à son sujet. Je crois avoir été claire avec lui. Mais ce n’est pas ce qui m’importe pour le moment. Il faut que j’aille retrouver mes parents. C’est la première fois qu’ils me passent un coup de fil me demandant de rentrer au bercail. Je suis sûre qu’il y’a quelque chose qui ne va pas et je ne tarderai pas à le découvrir. Je passerai chez Arsène l’avertir de mon départ. Je ne crois pas qu’il le prendrait bien mais il faut que j’aille les voir et savoir ce qui se passe. Ce qui est sûr je ne ferai pas plus que trois jours donc et je crois qu’Arsène pourrait bien se débrouiller en mon absence.
**** Détective Abdul****
Il est vrai que vous ne me connaissez pas. Mais laissez-moi me présenter à vous. Je suis Abdul ; détective privé comme profession. Les gens me font appel pour des recherches et enquêtes au cas où ils ne veulent pas de la police. Et souvent mes résultats sont on ne peut plus irréprochables. Quand c’est ton gagne –pain, il faut bien en prendre soin alors je fais bien tous tâches que me confient mes clients et de plus, je respecte à la lettre les délais de livraisons. C’est ma spécialité car souvent, la plupart de mes collègues peuvent passer tout le temps convenu avec un client sur une enquête sans trouver la moindre piste et ils sont obligés de mentir pour obtenir un prolongement de délai. Moi Abdul, je ne suis pas de ce monde là. J’accepte un travail parce que je suis capable de le faire et dans un délai précis. Au cas contraire, je refuse carrément l’affaire. C’est pour cette raison que j’ai accepté de retrouver la fille de cette femme prisonnière Rose. Je vais dans peu de temps me lancer et rassembler les pièces du puzzle.
****Commissaire Amandine****
Chez Ella à la paroisse.
Ella : Donc commissaire, c’est pour cette raison que je voulais vous voir.
Moi : D’accord. Je pense aussi que c’est une bonne idée. Là je dois retourner à l’hôpital m’assurer que Francine va bien. Depuis je n’ai aucune nouvelle d’elle.
Ella : Ne t’inquiète pas, le seigneur la sauvera.
Moi : Je l’espère ma sœur. (Mon téléphone sonna, je décrochai). Allo !
La voix : Bonjour commissaire, ici le commandant de la prison civile de Lomé. Nous lançons une alerte générale parce que le célèbre prisonnier que vous avez fait déférer ici vient de s’échapper avec l’un des plus dangereux criminels du pays. Nous sommes à leurs poursuites. Veuillez rester sur vos gardes et faîtes le nécessaire à votre niveau en renfonçant la sécurité.
Moi : Merci commandant. C’est noté. (Me tournant vers Ella). Je dois vous laisser ma sœur. Le prêtre Joseph vient de s’enfuir de prison.
Ella : Quoi ? Comment est-ce possible ? Seigneur !
Moi : Je n’en sais rien. Je vous en dirai plus-tard. Il faut que j’aille au poste pour prévenir mes agents et aussi faire revenir Thierno et Johannita.
Ella : Okay commissaire. Mais comment peut-il s’échapper de la plus sécurisée des prisons du pays ? Oh seigneur protège-nous contre ce malfaiteur ! Il va vouloir nous tuer pour de bon.
Moi : Calmez-vous ma sœur. Ça n’arrivera pas. On vous protègera. Je dois partir. Je vous tiendrai informer.
**** Thuram****
A Francine :
Moi : Comment te sens-tu maintenant ?
Elle : Que des douleurs à la tête.
Moi : Oui c’est normal. Cela peut être dû au choc de l’accident. Tu dois bien te reposer. C’est ce qu’a dit le docteur. Ça va aller.
Elle : Merci d’être présent à mes côtés en ces moments. Sincèrement je n’imaginerais pas que Rachel viendrait ici me voir vu la manière dont elle s’est adressée à moi l’autre jour.
Moi : Ah, c’est que tu ne connais pas bien ton amie. Elle n’est pas au fond rancunière même si c’est ce qu’elle laisse paraître à l’extérieur. Tu verras peut être qu’elle nous pardonnera pour de vrai.
Elle : Je l’espère. Je peux te poser une question ?
Moi : Bien-sûr que si.
Elle : Et tu me promets de répondre ?
Moi : Si. Je te le promets.
Elle : On sait très bien que c’est à cause du bébé que t’es avec moi. Maintenant qu’il n’est plus là, qu’est-ce qui arrivera à notre relation ? Tu vas retourner avec Rachel ?
Moi : (…) Humm, je ne sais pas. A vrai dire je n’en sais rien Francine. Je ne sais pas là où j’en suis moi-même. Mais l’important pour le moment c’est que tu te rétablisses complètement.
Elle : (…) Comme tu voudras.
(Mon téléphone sonna, c’est Amandine).
Moi : (En décrochant) Salut commissaire, quoi de neuf ? Où êtes-vous passé ?
Elle : J’avais un truc urgent à faire. Quelles sont les nouvelles ?
Moi : Elle s’est réveillée il y’a une heure trente. Le doc aussi te réclame.
Elle : Dieu merci. Un problème de moins pour la journée. Ecoute, je dois passer au poste avant d’arriver parce qu’on vient de m’informer que Joseph et un quelconque Florent se sont enfuis du centre pénitentiel de Lomé. Les collègues de l’autre côté sont à leurs poursuites mais j’ai cette intuition qu’ils viendront ici. Il va vouloir se venger de toute personne qui lui aurait causé du tort.
Moi : Quoi ? Ce n’est pas possible ! Comment ont-ils pu arriver à berner les agents et à mettre si facilement en défaillance le système sécuritaire de cette prison ? Merde, le seul fait de penser que cet homme vagabonde librement dans la nature me donne la migraine. Je n’imagine pas ce que ressentirait Rachel.
Elle : Avec Joseph, ça ne m’étonne sans doute pas. Qu’est-ce qu’il ne fera pas pour assouvir ses plans machiavéliques ?
Moi : Hum, je crois qu’il faut rester sur nos gardes et protéger les anciens témoins.
Elle : Exactement. Et j’aurai besoin de votre aide.
Moi : Vous pouvez compter sur moi (raccrochant, Francine me demanda) :
Elle : Qu’est-ce qui se passe ?
Moi : Il s’avère que le prêtre s’est tiré de la plus sécurisée des prisons de la capitale. Je dois m’en aller.
Elle : Hum, quel homme de Dieu celui-là ! Okay. On se voit plus-tard.
**** Francine****
Hum, avec cet homme qui s’est échappé, Thuram et Rachel vont de plus en plus se rapprocher l’un de l’autre. Toutes mes tentatives ont été vaines. Le seul moyen pour le garder auprès de moi était le bébé et voilà que je l’ai aussi perdu
**** Arsène****
A Rachel :
Moi : Donc comme ça tu vas partir pour trois jours au Nord du pays ? Je ne savais pas que tes parents y habitent.
Elle : Oh que si. J’y ai aussi passé toute mon enfance et adolescence.
Moi : C’est super ça. J’ai toujours eu envie de visiter le Nord et voilà que j’ai quelqu’un qui me fera visiter.
Elle : Y’a aucun souci pour ça, je te ferai visiter.
Moi : Mais tu vas me manquer. A part toi je n’ai aucun ami.
Elle : Oui je sais, c’est pour cette raison que j’ai apporté ton film préféré pour qu’on passe un peu de temps ensemble avant que je ne parte. Je t’assure que tu ne te sentiras pas seul parce-que je te bombarderai de coups de fil tous les jours.
Moi : (Rires) J’attends voir ça. (M’approchant d’elle en prenant ses deux mains). Tu sais, j’aimerais te remercier du fond du cœur pour tout ce que tu as fait pour moi. Tu es une personne spéciale avec un bon cœur et je te serai reconnaissant toute ma vie.
Moi : Non Arsène, c’est plutôt à moi de te remercier de m’avoir sauvé la vie. T’es aussi un type bien au fond et je suis fière d’avoir un ami comme toi. Je te porterai dans mon cœur où que je sois.
Moi : Je suis touché par tes paroles Rachel.
Mes mains dans les siennes, involontairement nos visages se rapprochèrent et sans hésiter ce fut nos lèvres qui se collèrent. Avec passion je me laissai envahir complètement par le goût de ses baisers. Je l’embrassai comme si c’était ma première fois. Glissant mes mains dans ses cheveux, elle s’allongea dans le divan dans lequel nous sommes assis histoire que je puisse bien prendre position sur elle. C’est avec tendresse et une certaine délicatesse qu’elle accueillit tout mon corps souple sur elle. Je me sentis comme dans les nuages ou au paradis mais lorsque vint le moment de la déshabiller, elle m’arrêta avec sa main droite et me prit de me lever sur elle. Je le fis sans aucune hésitation.
Elle : Je ne crois pas que c’est une bonne idée, je dois m’en aller
Moi : Quoi ? Comment ça t’en aller ? Tu viens à peine d’arriver.
Elle : Oui mais s’il te plaît ne pose pas de questions.
Je la regardai remettre ses boutons et ensuite s’en aller après avoir pris son sac sur la table centrale.
**** Thierno****
La patronne vient de m’informer de l’évasion de Joseph. Nous devons donc sur le champ partir. Nous qui avions prévu passer des congés en bonne et due forme. Hélas que nos durs labeurs de ces derniers mois sont tombés à l’eau parce-que ce fou est de nouveau libre. Il va vouloir vraiment se venger et je ne serai pas tranquille sans de nouveau le coffrer. Johannita et moi devons sur le champ prendre la route pour Tsévié.
**** Rachel****
Qu’est-ce que je viens de faire ? Comment ai-je pu laisser Arsène m’embrasser ? Je n’ai même pas eu la gentillesse de le repousser ! Me plaît-il vraiment ou je veux juste me faire oublier Thuram ? Mais pourquoi me sens-je si mal ? J’ai l’impression de l’avoir trompé pourtant lui et moi sommes plus ensemble ! Humm. Je me rends compte que suis toujours amoureuse de lui.
*Ville de Lomé*
**** Karl****
Moi : (Garant ma voiture sur le côté, je klaxonnai à un tel point qu’ils sursautent tous les deux) Thérèse ? N’es-tu pas supposée être en train de réviser tes cours à la maison ? Que fais-tu ici en pleine ville avec ce jeune homme ?
Elle : Euh papa ! Je… Je… Je…
Moi : (Je baissai complètement la vitre pour voir le jeune homme en question et sur qui je tombe ! Ce farfelu pour qui Channel m’avait largué à l’époque. Toi Entre vite dans la voiture si tu ne veux pas que je brise la nuque !
Fabrice : Thérèse, c’est ce monsieur ton papa ?
Elle : Oui
Fabrice : Eh merde !
Moi : Eh merde ? C’est tout ce que tu trouves à dire (rires). Que le monde est petit ! Ecoute petit, tu as chance que j’ai tourné une autre page de ma vie mais je ne te veux plus roder autour de ma fille ! Est-ce compris ?
Fabrice : Mais… Mais…
Moi : La ferme ! Je t’ai prévenu. Oses et tu verras ! (Sur ce je rentrai dans le bolide et remontai les vitres. Me tournant vers Thérèse). Je vais régler ton cas à la maison toi !
Elle : Je suis désolée, papa.
Moi : Je ne veux plus t’écouter.
**** Thérèse****
Pourquoi papa s’est comporté de cette manière envers Fabrice ? Se connaissaient-ils auparavant ? C’est vrai qu’il a le plein droit se mettre en colère contre moi mais pas aussi contre lui. C’est louche son attitude. Hum mais vaut mieux que je pense à la punition qui m’attend. Pauvre Fabrice…
**** Fabrice****
Comment est-ce possible que ce monsieur soit le père de Thérèse ? Humm ! Je suis dans de sales draps ! Vu la manière dont Channel et moi l’avions traité ce jour-là, je ne suis pas sûr qu’il me laissera approcher sa fille même à 100m. J’ai proféré des injures à son égard et j’ai failli même lui coller une baffe ce jour-là sur les ordres de Channel. Voilà ce passé qui me rattrape. Humm ! Que le monde est petit. Maintenant me voilà amoureux de sa fille. Tous nos actes rattrapent toujours. Que faire ? En tout cas, pour l’amour que je porte à Thérèse, je suis prêt à tout subir venant de son père.
**** Nick****
Depuis ce jour-là, je n’ai plus vu Thérèse nulle part. Elle m’a même interdit de venir poireauter devant chez eux. Mais je trouverai un moyen pour la séduire et la conquérir et même si possible la kidnapper. Parce-que la dernière fois elle s’est montrée désintéressée vis-à-vis de moi. Si je ne peux pas l’avoir pour moi seul, alors personne ne l’aura ni son macaque de copain qui se croît tout permis. Le paternel m’a appelé ce matin pour m’informer que ma petite sœur sera à la station à midi trente. Je vais donc m’apprêter pour aller l’accueillir.
**** Madji****
J’ai fait le tour de la ville mais je n’ai pas réussi à trouver les deux cent et quelques mille francs pour payer les soins médicaux de ma femme. Humm ! Je ne sais plus quoi faire. Le voisin aussi vient de m’informer qu’un homme dénommé Karl est venu me chercher. Il vient faire quoi chez moi celui-là ? Je suis sûr que c’est pour venir me faire la morale parce-que j’ai couché avec sa femme. Mais franchement, qu’est-ce qui m’a pris de faire un truc pareil même ? Pourquoi ne peux-je pas garder au frais mon zizi une seconde? Et il faut que je saute sur tout ce qui bouge ! D’une part, je suis à la base de tout ce qui m’arrive. Assis en train de cogiter, un de mes gosses, torse nu, le ventre ballonné vient vers moi.
Lui : Papa, nous avons faim. Ça fait deux jours que nous n’avons rien avalé.
Moi : (Je regardai son ventre et j’ai failli l’abattre avec un coup de poing) Avec ton ventre là on dirait le tronc d’un baobab, tu vas me dire que t’as rien mangé depuis deux jours ? Impoli là, si tu ne déguerpis pas devant moi sur le champ, tu sauras que janvier est plus élancé que février. N’importe quoi ! Ne venez pas me casser les tympans avec vos conneries quand moi j’ai de vrais problèmes. Venez tous me transformer en nourriture. Votre mère vous a tellement bousillés de bol de pâtes que même si vous mangez cent fois dans la journée, vous n’avez rien avalé. J’attends le prochain qui viendra encore se tenir devant moi pour se plaindre de faim. Dès fois moi-même je doute de ma paternité. Je me demande si ce n’est pas par hasard un conducteur de pousse-pousse ou un zedman qui a engrossé sans cesse votre mère et elle est venue me faire porter le chapeau à chaque fois. Façon dont vous mangez on dirait des chiens affamés ! Tsrou.
**** Cella****
Aujourd’hui j’ai ordonné à ce qu’on rouvre tous les shops de ma grande sœur. Vu que j’ai repris les cours à la fac, je ferai des sauts tous les week-ends pour le contrôle. C’est le moins que je puisse faire pour elle. Malgré ce qu’elle a fait, elle demeure ma sœur. Les liens de sang sont indéfectibles ; le dit-on souvent.
**** Kyrielle****
Depuis qu’ils m’ont amené ici au commissariat, les flics ne font que me tabasser sans raison. Tout d’abord ils m’ont forcé à labourer tout le commissariat et à arroser toutes les fleurs. Puis vient le moment où je dois laver la voiture de l’officier qui se chargeait de l’affaire. Ça saute aux yeux qu’il a été payé par cette fille. Ce qui ne m’arrange pas c’est lorsque le père de Gladys faisant des course m’a retrouvé ici. Il s’est personnellement chargé de dire au commissaire que c’est mon habitude. Qu’à cause de moi, sa fille croupit derrière les verrous. Dans les instants à venir je me présenterai devant le juge. A vrai dire je ne sais pas si je m’en sortirai. Mes pauvres parents n’ont pas les moyens pour me procurer un avocat. Ils me colleront sans doute un d’office mais je ne crois pas en leurs systèmes judiciaires. Les actes rattrapent toujours. Même si je n’ai pas demandé à Gladys de braquer sur nous son arme, je sais que je payerai pour cela. Quant à cette fille qui a accepté de son propre gré qu’on couche ensemble, je ne saurais quoi lui dire après m’avoir accusé de viol.
**** Florent****
Et enfin je suis libre physiquement et spirituellement. Tout ça grâce à Joseph et je serai éternellement reconnaissant envers lui. Aujourd’hui je l’ai accompagné quelque part où il rompu son pacte avec le seigneur. Il s’est désengagé vis-à-vis de sa mission qui constitue à sauver les âmes et à prêcher la bonne parole.
Il a aussi renoncé à sa soutane. A présent qu’il est devenu un homme comme moi, nous pouvons maintenant prendre les deux villes en otage. Nous prévoyons engager les cinq militaires qui nous ont aidés à s'évader. Une grosse somme d’argent leur fera renoncer à l’uniforme. C’est maintenant que va se former le clan des assaillants.
**** Gladys****
Elle : Donc tu veux me dire que c’est ce même Kyrielle qui a brisé le cœur de ma sœur ? Et toi aussi tu te retrouves en taule à cause de lui ?
Moi : Oui madame. Cet enfoiré s’est foutu de nous.
Elle : Hum, les hommes ne changeront jamais. Appelle-moi Channel.
Recap du chapitre :
1- Que pensez-vous du comportement de Rachel face à Arsène ? Ou vice versa.
2- Fabrice a-t-il eu ce qu'il mérite?
3- Madji a-t-il le droit de s'en prendre à ses propres gosses? Réussira-t-il à payer les soins de sa femme?
4- Karl a-t-il raison de se comporter ainsi?
5- Kyrielle mérite ce qu'il lui arrive?
Que pensez-vous de ce chapitre ?
Ne ratez pas le chapitre 4 de La maison hantée
Par Koffi Olivier HONSOU
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