La maison hantée Saison III Chapitre 7

Write by Verdo

Les chroniques de Verdo Lompiol


La force de l'écriture


LA MAISON HANTÉE (Série littéraire)


SAISON III


**** chapitre 7 : Enfuis comme toujours****


                               *Ville de Tsévié*


                               **** Martin ****


Moi (en train d’écouter Francine et cet homme à la porte).


Lui : Salut ma chérie. Ça va mieux ? Comment te sens-tu maintenant ?


Elle : Je vais de mieux en mieux.


Lui : Dieu merci. Ravi d’entendre cela. Tu verras que dans peu de temps tu retrouveras toutes tes forces.


Elle : Je l’espère aussi Thuram. Dis-moi. Et  à propos de l’évasion du prêtre, tu as des nouvelles ? 


Lui : Non. Pour le moment nous n’avons pas de pistes solides. Pour ce qui est de Rachel, je ne lui ai pas encore dit. À vrai dire, je ne sais pas comment m’y prendre. Je lui avais promis que cet homme passera le reste de sa vie derrière les barreaux  et voilà qu’il s’est enfui à peine deux semaines d’incarcération.


Elle : Tu n’as pas à te culpabiliser mon chéri. Ce n’est pas de ta faute. Il s’est échappé d’une autre prison, pas la tienne. En plus, j'ai déjà informé Rachel.


Lui :  Quoi? 


Elle : Je suis désolée. C'est venu comme ça.


Lui: Bon c'est pas grave. L'essentiel est de le retrouver maintenant.


Elle : Tu y arriveras. Je crois en toi.


Lui : Merci


Elle : Dis, à propos de ce dont on avait discuté l’autre jour ? Tu y as pensé ? Moi je t’aime vraiment Thuram et j’aimerais savoir. Il y a ne serait-ce qu’une minuscule chance pour que tu te remettes avec moi ? Je veux le savoir s’il te plait. Peu importe mon état de santé, dis le moi. Je sais que l’évasion de ce prêtre vous rapprochera une fois de plus tous les deux (toi et Rachel). Alors dis-moi si je dois m’arrêter d’avoir de faux espoirs.


Lui : Ecoute Francine, tu es une femme sympathique. Mais je n’ai aucune envie qu’on ait cette discussion ici. Nous sommes dans un hôpital, bon sang ! Et tu es en convalescence. Tu dois t’entourer de positivité pour vite te rétablir. Alors s’il te plait, on aura bel et bien cette discussion mais pas ici. Une fois que tu seras à la maison.


Elle : Okay, j’ai compris. Il faut que je te dise aussi quelque chose sur moi qui ne peut plus attendre.


Lui : Quelque chose sur toi ?


Elle : Oui.


Lui (son téléphone sonna. Il décroche) : Un instant Francine s’il te plait. Je dois prendre ce coup de fil, c’est urgent.


Elle : D’accord.


Lui : Allô ! Qu’est-ce qui se passe élément ? 


Élément: Chef, il faut que vous veniez au centre pénitentiaire tout de suite.


Lui : D’accord. J’arrive dans cinq minutes (se tournant vers Francine). C’est le boulot et je dois partir. Mais je reviendrai un peu plus tard pour qu’on reprenne cette conversation. Okay ?


Elle : ça marche. Prends soin de toi.


Lui : Toi aussi (lui faisant la biz).


(Après son départ)


                          **** Francine ****


Si seulement il peut se remettre avec moi ! Je ne peux pas compter le degré d’amour que je porte pour lui malgré tout ce qui s’est passé. Je ne veux pas réactiver  un conflit avec Rachel une fois de plus mais c’est plus fort que moi et aussi avec Martin qui a débarqué de je ne sais où là. Ça ne m’arrange pas vraiment. Je dois gérer cette affaire avec une certaine prudence. Je ne veux en aucun cas que Thuram le découvre par lui-même ou les ouïes dire raison, pour laquelle je voulais  moi-même lui en parler. Hum, ce passé me rattrape.


                             **** Martin ****


Donc Francine est amoureuse de cet homme qui vient de sortir de sa chambre ? Elle ne se soucie même pas de ce que moi, je peux ressentir au fond de moi ! On verra bien qui gagnera cette guerre. Je vais personnellement me charger de cet homme ! Pas question qu’il mette à l’eau mon plan. Je suis venue ici pour la ramener à Paris parce qu’elle demeure toujours ma femme aux yeux de la loi. Et ce monsieur ne sera pas une entrave à mes plans. Elle m’a fait souffrir je l’admets mais au fond, mes sentiments n’ont pas bougé d’un poil. Je pensais le contraire mais après que je l’ai revue, tout est maintenant devenu clair dans ma tête. Je l’aime toujours.


                           **** Honorine ****


Moi à mon frère Andréas.


Moi : Andréas, tu passes à quelle heure me chercher à la paroisse ?


Lui : Aux alentours de dix-huit heures trente. J’ai un rattrapage programmé à seize heures, raison de ce retard.


Moi : D’accord. Mais cela signifie que tu vas manquer la thérapie de ce soir.


Lui : Oui exact. Je dois valider cette matière, au cas contraire, rendez-vous l’année prochaine. Parlant de la thérapie, pourquoi cela n’avait pas eu lieu le mercredi dernier comme d’habitude ? Je voulais justement te demander.


Moi : Le prêtre n’était pas disponible. Bon je vais m’apprêter et partir. On se dit à dix-huit heures trente. Ne tarde pas comme la dernière fois s’il te plait.


Lui : Okay grande sœur, c’est compris.


(Deux hommes armés firent irruption chez nous. L’un d’entre eux, le pistolet chargé, il le pointa sur nous deux : Vous allez nous suivre sans broncher sinon, c’est la mort directe. Allez, avancez sans faire de bruit ! Gare à celui d’entre vous qui l’ouvrira.


Nous les suivîmes sans riposter jusqu’à leur vanne au bord de la route. Ils nous firent porter un masque en direction de je ne sais où.


                          **** Off Désiré ****


Moi au procureur et Amandine : 


Moi : je sais où se cache Joseph mais avant de vous le dire, vous devez me faire sortir d’ici.


Procureur (rires) : Ecoute, je ne suis pas venu ici pour m’amuser. Ces deux criminels sont dans la nature, alors dites-moi où ils sont et on verra le reste après.


Moi : Quoi ? Non…non. On se connait dans ce système. Je vous file le coup de main puis vous m’oubliez après. Pas question !


C. Amandine : Et qu’est-ce qui nous fait croire que tu nous dis la vérité ?


Moi : J’ai travaillé toute ma vie pour cet homme et je suis au courant de tous ses plans. Soit, vous me croyez ou pas, je voulais juste vous porter un coup de main. Cet homme m’a trahi et je veux qu’il paye tout ce qu’il a fait ! Tout comme vous voulez aussi ma peau. Alors vous me faites libérer oui ou non ?


C.  Amandine au procureur : Monsieur sera-t-il possible de le faire libérer ?


Lui : Pas facile  mais pas impossible non plus. Je vais passer un coup de fil. (A Désiré) Gare à toi si tu te moques de nous. Je m’assurerai personnellement que tu retournes derrière les verrous mais cette fois dans une prison plus sécurisée. Est-ce clair ?


Moi : Très clair.


                            **** Thuram ****


Moi : Oui élément qu’est-ce qui se passe ?


Lui : nous avons vérifié  tous les domaines que nous a confiés Rose. Ils sont tous au nom de Florent mais ils ne se sont cachés dans aucun d’entre eux. Ceux de Lomé, d’ici et de tout le pays.


Moi : Hum, retour à la case de départ. Je vais prévenir Amandine.


Lui : Ah j’ai oublié de vous informer qu’elle est ici avec monsieur le procureur. Dans peu de temps, l’officier Désiré sera libre.


Moi : Quoi ? Comment ça ?


Lui : Paraît qu’il sait où peut bien se cacher le prêtre mais en retour, il veut une mise en liberté.


Moi : Et pourquoi je ne suis pas au courant de tout ça mais ils sont où ?


Lui : En salle d’interrogatoire.


Moi : Okay, je pars les rejoindre. Mets tous les rapports sur mon bureau.


Lui : Okay chef.


(En salle d’interrogatoire.)


Moi : Je ne savais pas que vous serez là !


Procureur : Ah c’était tellement urgent que nous ne vous avons pas prévenu. Toutes nos excuses.


Moi : Je vous en prie monsieur. Tant que c’est pour la bonne cause (….). Alors quoi de neuf ? De mon côté les pistes n’ont rien donné.


C. Amandine : On en a une nouvelle. Désiré nous l’a vendue contre sa libération.


Moi : Ce fils de pute a profité de la situation.


C. Amandine : On ne peut rien. L’essentiel c’est de retrouver ces malfrats.


(Le téléphone d’Amandine sonne, c’est Thierno.)


C. Amandine : Allô Thierno, tout s’est bien passé ?


Lui : Oui chef. Nous avons fait ce que vous avez demandé. Mais nous avons un souci.


C. Amandine : Lequel ?


Thierno : Les deux gardes qui assuraient la sécurité d’Honorine et de son frère viennent d’être abattus devant chez eux. Et plus aucune trace d’eux.


C. Amandine : Quoi ? Sans doute l’œuvre de Joseph. Contactez Ella et allez la chercher.


Thierno : Trop tard chef. Personne ne sait où elle est non plus. Son numéro ne passe pas comme celui des autres.


C. Amandine : Okay reçu. On se voit tous au poste dans trente minutes.


Procureur : Qu’est-ce qui se passe commissaire ?


C. Amandine : Tous les témoins ont disparu et deux de mes hommes sont tués.


Thuram : Joseph tout craché. Ça prouve qu’ils sont ici dans notre ville.


C. Amandine : Oui, vous avez raison. Désiré a dit que Joseph dispose d’une cabane en forêt et d’une maison secrète. C’est sûrement là où ils les ont amenés.


Procureur : Okay, ne perdons pas de temps. Allez me choper ces enfoirés. Ramenez-les-moi ici.


C. Amandine : Okay monsieur. (Se tournant vers Thuram) Vos hommes s’occuperont de la cabane et les miens de la maison secrète.


Thuram : Parfait. Allons-y. ces malades mentaux ne nous échapperont plus cette fois-ci


                                 **** Steve ****


Vous m’avez oublié ? Eh bien je suis le commandant de la prison civile de Tsévié. C’est moi qui commande si Thuram est absent. J’ai mérité ce poste parce que Désiré m’avait aidé à empêcher Joseph de s’évader. En ce temps je n’étais qu’un simple gardien. C’est après ça que je suis monté en grade. Comme toujours, les besoins de l’homme sont illimités et insatiables alors après avoir empêché Joseph à s’évader,  je me suis familiarisé avec lui et devenu son ami parce que j’ai ouïe dire qu’il est très friqué. Qu’est-ce qu’on ne peut pas faire pour l’argent ? Au début, il me détestait puis tout d’un coup, il s’est intéressé à moi. Il ne cessait de dire qu’il aura besoin de mes services un jour ; ce que je ne comprenais pas mais aujourd’hui en écoutant les chefs discuter, j’ai tout de suite compris qu’il sera fait prendre. Je me suis souvenu de sa fameuse phrase « j’aurai besoin de tes services un jour » et sans résister, je l’ai contacté et raconté tout le plan de sa capture. Il me remercia tout en me promettant de bien me récompenser.


                        **** Prêtre Joseph ****


Comme ça ils sont au courant du plan ! Bien avant qu’ils ne viennent, nous allons remballer. Les contacts ne me manquent jamais.


                               **** Rachel ****


Ma mère vient s’asseoir auprès de moi devant le portail.


Elle : El le moral ma fille ? Ça peut aller ?


Moi : Je n’en sais rien du tout, maman. Je me sens tout d’un coup enragée. Pourquoi dois-je porter tout le poids du monde  sur mes épaules? Avec tout ce que j’ai traversé dans ma vie, pourquoi a-t-il fallu que ça soit de nouveau moi ? Qu’ai-je fait au bon Dieu ?


Elle : Des fois nous ne pouvons pas expliquer les choses qui nous arrivent. De la pure métaphysique. Je sais que tu es une femme forte et je suis fière de toi. D’avoir élevé une personne aussi courageuse et optimiste comme toi. Tu n’as jamais baissé les bras face à une situation alors ne laisse pas celle-là te détruire. Quoi qu’il arrive, je demeurerais toujours ta maman. Celle qui a guidé tes pas ; celle qui t’a appris à parler et celle qui t’a couvert de tout son amour. Tu as tout mon soutien et saches que j’approuverai tout ce que tu prendras comme décision dans cette affaire. Mais moi je crois que tu dois la retrouver et lui demander des comptes. Le pourquoi elle t’a abandonné et qui est ton père. Je sais que ce sera difficile à accomplir comme tâche. Mais si tu ne le fais pas, cela te hantera à jamais.


Moi : je ne sais pas encore maman. Tout ce que j’éprouve en ce moment pour cette femme, c’est de la haine même si je ne la connais pas. Quelque soit ce qu’elle  avait eu comme souci, mais me laisser devant un portail ! Mère ! Tu ne te rends pas compte que c’est ignoble ?


Elle : Oui je le sais ma fille. Tout acte posé a des motifs bien précis. C’est vrai, c’est ignoble mais ne portes pas encore de jugement du moins avant de l’avoir rencontrée.


Moi : C’est le cadet de mes soucis. Je ne suis pas sûre de pouvoir y arriver.


Elle : Le temps te le dira ma fille. N’oublie pas ce proverbe africain qui dit que les pieds finissent toujours par suivre là où le cœur va. Les liens de sang sont toujours indéfectibles. Prend tout le temps qu’il te faut pour mettre de l’ordre dans ta tête et on verra après.


Moi : Merci mère. Que serais-je sans toi ? Merci pour tout ce que tu fais pour moi.


Elle : C’est mon devoir de mère. Tu n’as pas à me remercier. Viens par ici.


                           **** Procureur ****


Ces malfrats nous ont encore une fois échappé. Désiré avait dit vrai, ils étaient bel et bien à la cabane parce que leurs empreintes y figuraient. De même à la maison secrète non loin de la cabane. Je n’arrive toujours pas à comprendre comment ont-ils pu nous échapper ! Nous étions à deux doigts de les capturer. Ceci ne m’est pas clair. Le prêtre, peu importe son intelligence ne pourrait pas deviner que nous allons débarquer. Seuls moi, Amandine, Thuram, Désiré et le commandant de la prison étions au courant. Cela veut dire qu’il y a une taupe parmi nous. Quelqu’un d’ici les informe de nos faits et gestes ! Mais qui ça peut être ? Et pour quelle raison le fait-il ? Ces deux hommes viennent d’enlever trois innocents et leurs vies ne tiennent qu’à un bout de fil ! Je dois tout faire pour mener à bout cette enquête. C’est plus compliqué que je ne le pensais. C’est pour cette raison que je prends sur le champ les commandes. La première des choses à faire c’est de démasquer ce traitre qui vend nos informations.


                              *Ville de Lomé*


                              **** Florent ****


Moins un, les flics nous auraient coffré. C’était le coup de fil de Joseph qui nous a épargné. Nous avons donc remballé nos affaires pour la ville de Lomé dans un coin très reculé où personne ne pourra nous soupçonner d’être. Il faut que je fasse une dernière chose. Retrouver ce Jason et lui enfoncer un bois dans son putain de trou qui lui sert à faire ses besoins. Pour cette raison, je suis parti à sa recherche. J’avoue qu’il est difficile à trouver mais comme vous le savez, moi Florent, j’obtiens toujours ce que je veux alors je l’ai finalement choppé dans un hôtel en pleins ébats sexuels avec un autre vieux avec un gros ventre.


Moi : Tiens… Tiens.. Jason ! Pas facile de  te retrouver hein ! Tu ne perds rien pour être défoncé !

L’homme avec qui il était : Putain ! C’est qui cet homme et que fait-il ici ?


Moi : Je te donne deux conseils. Tu te tires gentiment ou je te colle une de ces balles en plein crâne ?


Lui : Okay sans rancune mec ; je me tire.


Moi : Mieux pour toi. Gare à toi si tu dis un mot à quelqu’un et pire la police. Mes hommes que tu vois là, te poursuivront et ils ôteront la peau de tes os.


Lui : D’accord c’est pigé. Je ne dirai rien. Je n’ai rien vu.


Moi : Alors dégages d’ici ! (Me tournant vers Jason) Jason, Jason ! Alors comment vas-tu mon vieil ami ?


Jason : (….) Euh…. Eh… Euh…


Moi : t’as perdu ta langue hein ! Pourquoi Jason ? Tu ne répondras pas à ton vieil ami ? Tu as filmé nos ébats et m’a menacé avec et lorsque je n’ai pas répondu à tes ententes, tu as balancé la vidéo sur le net. A présent je dois me cacher d’autrui. Tout ça à cause de toi mon cher Jason. Mais ce n’est pas grave, je te pardonne tout. Sans rancune.


Jason : Euh….. (…) Merci monsieur…… Je… Je…


Moi : Non, tu n’as pas à t’excuser. Je comprends parfaitement tes actes et je ne te juge pas. Tu voulais juste profiter de la situation, ma faiblesse. Ça peut arriver à tout le monde non ? Ou bien Jason ?


Jason : Euh (…..)


Moi : Tu vois que je suis un homme compréhensif ? Bon je te laisse. Mais pour le temps accordé, ce fut un plaisir pour moi d’avoir éclairci tout ça avec toi. Nous nous reverrons dans une autre vie.


Jason : Qu……. Quoi ? Monsieur Florent s’il vous plait !


Moi (à mes hommes) : Défoncez-le et après liquidez-le. Je vous donne quinze minutes. Bon Jason profites bien de ton voyage dans l’au-delà.


Jason : Monsieur Jason, je vous en supplie. Pitié ! S’il vous plait ! Je vous demande pardon pour tout ce que je vous ai fait. Ne me tuez pas (pleurs) Pitié ! Pitié !


                                **** Gladys ****


Pourquoi père a-t-il fait cela ? Enfermer Kyrielle ? C’est vrai que je le déteste mais il est le père de mon enfant et je n’aimerais pas lui raconter un jour que je suis la responsable de l’incarcération de son père ! Que faire ? Hum.


                              **** Madji ****


Je suis reparti à la clinique bredouille voir si je peux trouver un arrangement avec le docteur pour éviter que Naomi se retrouve en prison ! Hum. Villageoise un jour, villageoise toujours. A son retour à la maison, elle doit retourner d’où elle vient. Trop c’est trop. Je n’en peux plus.


Recap du chapitre :


1- Que pensez-vous de l'attitude de Martin? A-t-il bien fait d'écouter aux portes?


2- selon vous, Francine racontera vraiment son passé à Thuram? L'aime-t-il vraiment ?


3- Honorine et son frère de nouveau enlevés?


4- Steve pense-t-il bien faire en vendant le plan à Joseph?


5- Le procureur arrivera-t-il à faire démasquer la taupe ?


6- Florent a -t-il bien fait de tuer Jason?


7- Un avenir pour Gladys et Kyrielle ? Qu'en pensez-vous?


Que pensez-vous de ce chapitre ?


Rdv Mardi pour la suite


Par Koffi Oliver HONSOU


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