La maison hantée Saison III Chapitre 8

Write by Verdo

Les chroniques de Verdo Lompiol


La force de l'écriture


LA MAISON HANTÉE (Série littéraire)


SAISON III


****Chapitre 8 : Confession****


                             *Ville de Tsévié*


                               ****Blake****


Le docteur : Monsieur Blake, enfin nous avons établi moi et mon équipe un véritable diagnostic. A présent nous savons ce dont vous souffrez.


Moi : Alors dites-moi docteur ce que j’ai.


Le docteur : Vous n’êtes pas censé venir avec quelqu’un ? Pour ces genres de nouvelles, il faudra quelqu’un à vos côtés pour vous soutenir.


Moi : Oui mon fils mais il est actuellement occupé par une enquête de police. Il a promis de me rejoindre plus tard. Mais je vous assure que je suis plus coriace que vous ne le pensez. Quelque soit la nouvelle, je supporterai. Regardez-moi, j’ai soixante quinze ans. J’ai déjà vécu la majeure partie de mon existence. J’en ai plus rien à perdre. Si c’est la mort, ne vous inquiétez pas.


Le docteur : Okay. Les analyses médicales et l’IRM ont révélés que vous avez une tumeur cérébrale. Vu son emplacement, nous ne pouvons pas pratiquer une opération chirurgicale. Vous serez donc obligé de vivre avec. C’est la raison de vos étourdissements et évanouissements ces derniers mois. L’opération chirurgicale risque de vous tuer ou soit de vous faire perdre toutes vos facultés mentales et physiques.


Moi : Hum, cela ne m’étonne pas. J’avais des pressentiments qu’une de ces pires atrocités m’arriverait un jour. Dites-moi docteur, quelles sont mes chances de survivre à cette opération dont vous parlez ?


Le docteur : Comme je vous l’avais dit, les chances sont très minimes. A moins d’un pour cent.


Moi : Et sans l’opération, combien de temps me reste-t-il à vivre ?


Le docteur : Avec les médicaments que je vous prescrirai, ça empêchera la tumeur de se développer pour un moment mais sans vous mentir, vous ne passerez pas le cap des deux mois. 


Moi : Okay. Ne vous en faites pas. Je tiendrai le coup. Mais bien avant que ce temps arrive, je dois me racheter de quelque chose que j’ai faite dans mon passé.


                            ****Moi****


Je suis Blake ; le père de Thuram que vous connaissez bien.  Merci à l’auteur de m’introduire dans cette saison. Si je suis là, c’est juste pour me faire racheter d’un truc ignoble que j’ai fait dans ma jeunesse. Et comme vous le constatez, j’ai une tumeur cérébrale inguérissable et il ne me reste que deux mois à vivre alors il faut que je me fasse pardonner de mes péchés. Disons que je ne regrette pas de mourir. J’ai soixante quinze ans. Je remercie beaucoup le ciel de m’avoir accordé cette longévité.


Dans ma jeunesse, je n’ai pas été un enfant de chœur. J’avais une bande à l’époque avec laquelle on se prenait le vilain plaisir de faire tout ce qu’on voulait ; bonnes ou mauvaises. On fumait, buvait et se droguait et vu le statut de nos parents, personne ne nous faisait des reproches par peur d’entrer en palabre avec eux. Ils couvraient sans cesse nos actes machiavéliques. On était des intouchables. J’avais dix huit ans et Thuram n’était même pas encore né. Une jeune femme me plaisait à l’époque. Elle s’appelait Rose et lorsque je lui ai fait part de mes sentiments, elle m’a humilié devant tout le lycée, mes camarades et tout. Moi, qui ne me laissais pas marcher dessus, moi que tout le monde respectait, voilà qu’en seulement une minute cette fille s’est foutue de ma gueule en me rabaissant devant tout le monde alors j’ai décidé de lui faire payer cela.


C’est ainsi qu’un soir aux alentours de dix huit heures, moi et ma bande, cagoulés l’avions apostrophé derrière le lycée où se trouvait une brousse et je l’ai violé proprement dit. J’ai déversé en elle toute ma rage ; l’humiliation qu’elle m’a fait subir et la colère que j’avais en moi. Ensuite nous l’avions laissé crailler seule de toutes ses forces. Après cela, je ne l’ai plus jamais revu de ma vie. C’est un secret que j’ai gardé pour moi seul pendant toutes ces années mais lorsque je me suis marié et que Thuram est venu au monde, la culpabilité a commencé à m’envahir mais je ne voulais pas que mon fils me voyait comme un monstre sanguinaire alors je me suis tu. Mais il est temps qu’il le sache.


Rose ; je n’ai jamais oublié son visage et pire ce que je lui avais fait cette nuit là. Méchant et crapuleux, je le suis. Malgré le fait qu’elle me suppliait de toutes ses forces, moi et mes amis sous l’effet de l’alcool et des amphétamines accentuaient dans tout ce que nous faisions. Eux, l’ont attrapé et moi je l’ai violé. Cela m’a hanté toute ma vie mais je n’ai pas eu le courage d’en parler à qui que ce soit. Après, je me suis mise à sa recherche histoire de me faire pardonner mais pas de ses traces nulle part et à présent que je suis sur le point de mourir, mes deux mois doivent servir à la retrouver si elle est toujours en vie. Je ne sais pas comment le dire à mon fiston mais il est la seule personne qui peut m’aider à la retrouver. Qu’est-elle devenue cette Rose ?  Et Thuram pour qui j’ai toujours été un père modèle ! Comment me verra-t-il dorénavant ? Même s’il doit me détester, je n’ai plus le choix que de lui avouer tout ça. Je dois affronter mes actes. Je prends mon téléphone et lançai l’appel.


Moi : Allô fiston. 


Lui : Bonjour père. Désolé de ne pas venir. J’ai trop de pressions ici au travail. Quelles sont les nouvelles ?


Moi : Ne t’inquiète pas fiston. Le travail avant tout comme je te l’ai enseigné. Ecoutes, passe me voir si tu te dégages un peu on va discuter c’est mieux.


Lui : Okay. Je suis en plein réunion actuellement. Dès que je finisse, je viens.


Moi : Okay ça marche.


Lui : A plus alors père.


Moi : A plus fiston.


                             ****Martin****


Il faut que je sache un peu plus sur cet homme avec qui discutait Francine l’autre jour. Celui qu’il est, son domicile, profession et autres. Je dois savoir à qui j’ai affaire raison pour laquelle je le suis partout sans qu’il ne  sache. Je ne le laisserai pas ruiner mon plan.


                                ****Rachel****


Moi à mes parents : Il faut que je reprenne la route mes parents adorés. Il y a pleins de choses qui m’attendent chez moi. Je vous remercie d’avoir été là pour moi et aussi de m’avoir dit la vérité. Je ne vous promets rien mais je ferai de mon mieux pour surmonter cette histoire et me refaire. On ne sait jamais. Après avoir écouté tous vos conseils, je me lancerai peut-être à sa recherche.


Mère : D’accord ma fille. Je suis très ravie que tu aies pris cette décision. N’oublie pas que quoiqu’il arrive, ton père et moi sommes avec toi et n’hésite pas à nous demander de l’aide en cas de besoin. Nous serons toujours là pour t’épauler. Tu es si courageuse, brave et forte et je sais que tu surmonteras tout ça.


Père : Ta mère a raison ma fille. Nous serons toujours à ta disposition. La seule chose que nous voulons c’est ton bonheur alors tache pas à nous faire signe en cas de besoin. Que le seigneur t’accompagne durant tout le trajet.


Moi : Merci papa et également toi mère. Venez par ici dans mes bras. Que je profite une fois de plus de votre chaleur avant de partir.


                              ****Francine****


Dans cette affaire, tout le monde me croit fautive parce que Martin vous a bourré le crâne avec ses niaiseries. Que je l’ai abandonné tout en le faisant souffrir lorsqu’il avait le plus besoin de moi. Vous ne pouvez pas comprendre ce qui s’était réellement passé néanmoins je vais prendre mon temps pour vous l’expliquer. 


Martin est un menteur hypocrite certifié et légalisé. Jamais de ma vie je ne m’enfuyerai avec l’argent d’un homme qui en plus est maladif. Il était au bord du gouffre bien avant qu’on lui détecte son cancer car, ayant investi tous ses fonds dans des actions frauduleuses, la police a fait raquette et tout est parti en vrille. Ce nous a amené à rester sur la paille et à se contenter du peu qui nous restait dans notre compte en banque commun. Pendant que moi je bossais ardemment pour garder notre situation financière à flow, il se prenait plaisir d’investir de nouveau sans mon consentement le peu de notre compte commun dans la construction d’une entreprise familiale. Sa famille ne m’a jamais apprécié ni aimé. Pour elle, je suis une putain de black profiteuse qui n’a d’yeux que pour l’argent de leur fils or moi je me fichais complètement de tout ce qu’il possédait à l’époque. Je gagnais bien ma vie avant de le rencontrer. La preuve, je ne quémandais pas. Je suis de race noire mais je connais ma valeur. Mon père m’a toujours appris de me contenter du peu que j’ai. Ses parents se sont opposés farouchement à notre mariage mais lui, me rassurait que l’essentiel c’est ce que nous ressentons l’un pour l’autre alors en dépit de tout ça, je suis restée avec lui. Je n’ai aucun problème avec eux. C’est plutôt eux qui ne cessaient de me diffamer, m’insulter et me traiter de tout chaque jour alors pourquoi Martin s’est permis d’investir le reste de notre argent dans leur entreprise ? Celle qui me déteste et qui ne veut même pas de moi ? Cet argent n’est pas à lui seul ! Mes durs labeurs aussi y sont inclus. Toutes mes économies. Ce qui m’a le plus énervé c’est qu’il ne m’en a même pas informé. Alors quand je l’ai appris, je me suis enflammée et nous nous sommes disputés et il m’a copieusement tabassé ; que si ça ne me plaisait pas, de dégager de chez lui. Eh bien, c’est ce que j’ai fait. Je ne peux pas rester avec quelqu’un qui me méprise autant que sa famille. Ça m’était devenue inconcevable et irrespectueux. Alors ce soir là, il m’a fait des excuses que j’ai acceptées partiellement et à l’aube lorsqu’il dormait toujours, je suis partie en douce. J’ai fait un tour à la banque et j’ai remarqué qu’il y avait plus un centime alors j’ai puisé dans un compte que j’ai crée secrètement sans qu’il ne le sache et je suis rentrée chez moi au pays.  Le reste de cet argent m’a servi à trouver un logement et de quoi manger avant que je ne décroche ce boulot au centre hospitalier régional de Tsévié. Donc tout ce qu’il vous a raconté me concernant ne sont que des absurdités pour ternir mon image et entacher ma réputation vis-à-vis de mes amis. Je l’ai quitté  parce qu’il me manquait de respect lui et sa famille. En aucun cas je ne retournerai avec lui.


                        ****Off Désiré****


Après tout l’effort que j’ai fait pour que l’on attrape ces criminels, ils se sont encore échappés moi qui pensais être en sécurité à ma sortie de prison ! Voilà qu’ils se lanceront aussi à ma poursuite. Joseph m’en veut. Je le sais bien raison pour laquelle je dois rester sur mes gardes. Amandine n’acceptera plus aussi que je fasse de nouveau parti de l’équipe vu que j’ai trahi l’uniforme.


                              ****Thuram****


Je devais aller à l’hôpital retrouver mon père mais la tension qui régnait à mon service ne me l’a pas permise. Raison pour laquelle je vais accuser un peu de retard. J’espère qu’il ne m’en voudra pas. Vous ne savez pas à quel point je me fasse des soucis pour lui. Je prie ardemment le seigneur qu’il retrouve sa santé. Je suis la seule famille qui lui reste et vice versa. 


Après la réunion, je me suis vite dépêché chez moi histoire de prendre une bonne douche et aller le rejoindre mais un vieil homme blanc fit irruption devant moi au portail.


Moi : Bonjour monsieur.


Lui : Bonjour


Moi : Que puis-je faire pour vous ? Cherchez-vous quelqu’un ? 


Lui : Oui, c’est vous que je veux voir.


Moi : Dans ce cas rentrons. Je suis un peu pressé mais je vous accorderai cinq minutes de mon temps.


Lui : Ce n’est pas la peine monsieur. Laissez-moi me présenter. Je suis Martin. Le mari de Francine et je ne veux plus vous voir roder autour d’elle.


Moi : Quoi ? Mari de Francine ?


Lui : Eh bien oui. Avez-vous un problème avec ça ?


Moi : Non pas vraiment. Je suis un peu étonné c’est tout. Elle ne m’en a jamais parlé.


Lui : Maintenant vous le savez alors prenez vos distances vis-à-vis d’elle ! Les choses ne se sont pas tellement bien passées entre nous de par le passé mais cette fois ci je suis venu tout arranger et l’amener à Paris.


Moi : Et en quoi cela me concerne ? Si vous avez un souci, allez régler ça avec elle au lieu de me faire perdre mon temps monsieur. Ce n’est pas du tout convenable de venir aborder ce sujet avec moi d’autant plus que je ne vous connais même pas. Si vous avez un problème avec Francine, bah, réglez ça avec elle.


Lui : (Rires) Vous vous tapez ma femme et vous voulez que je vous laisse respirer ? Espèces d’imbécile ! Pas question ! Je vous ai écouté l’autre jour dans la chambre de l’hôpital. Pour moi vous êtes un obstacle et chez nous en France, les obstacles on s’en débarrasse. Gare à vous si je vous revois dans cet hôpital.


Moi : Quel culot vous avez ? Vous sortez de nulle part et venez m’insulter chez moi ? Vous croyez me donner des ordres ? Où croyez-vous ? En France ? Savez-Vous qui je suis ? 


Lui : Je me fiche complètement de votre statut social. Savez-vous qui moi je suis ? Ne vous approchez plus de Francine où vous allez le regretter amèrement.


Moi : Est-ce une menace ? 


(Bien avant que je ne termine ma phrase, il me donna une raclée.)


Vous me giflez ? 


Lui : Oui. C’est tout ce que vous méritez !


Moi : On dirait que vous ne connaissez pas le pays dans lequel vous êtes. (L’attrapant par derrière, je lui passai les menottes.) Monsieur Martin, je vous arrête pour avoir porté main sur un militaire qui de surcroit est capitaine. Sans procès, je vous conduis moi-même directement en prison.


Lui : Quoi ? Qu’est-ce que vous faites ? Vous n’avez pas le droit de faire ça ! Vous allez me le payer cher.


Moi : C’est ce qu’on verra sale blanc ! Ici ce n’est pas la France où vous pouvez traiter nous les noirs comme vous le voulez. Allez oups on y va.


                                 ****Moi**** 


Il se prend pour qui celui là ? Me gifler devant chez moi ? Oh il va regretter d’avoir posé un tel acte. A cause de Francine en plus ! Je ne permettrai pas cette humiliation. Il croupira derrière les verrous jusqu’au moment où je déciderai de le faire libérer. Ça lui apprendra de respecter les gens qu’il ne connait pas. Pour Francine, je règlerai son cas plus tard.


                                 ****Fred****


Après avoir fait mes valises, je montai en taxi direction l’aéroport où je m’envolerai directement aux îles caïmans pour une vida loca pas possible. Je ne resterai pas là pour que les flics viennent me coffrer. Malheureusement ils m’attendaient déjà à l’entrée de l’aéroport. Mes rêves sont partis en fumée.


Sergent : Vous êtes Fred ?


Moi : o..u..i


Sergent : Il y a un mandat d’arrêt émis par le bureau du procureur contre vous. Vous n’avez aucun droit de quitter le pays. Veuillez nous suivre.


Moi : (…) Ma ….ma mère est malade au Ghana c’est pour ça je voyage sinon je ne fuyais pas.


Sergent : Vous allez à Accra avec tous ces sacs et valises ? Allez, vous allez expliquer tout ça à monsieur le procureur.


                              ****Steve****


Aujourd’hui c’est mon jour de repos. Je suis donc au calme chez moi espérant que le prêtre et son accolite me fassent le virement convenu lorsque des flics débarquèrent en défonçant ma porte comme dans les films américains. Ils me passèrent les menottes et me conduisirent au poste de police. Je suis dans pain les gars. Je n’ai même pas pu profiter de l’argent pour lequel je vais en prison.


                              ****Thierno****


Ils se sont enfuis mais après tout la guerre n’est pas encore terminée. Nous allons les traquer comme des bêtes sauvages. Le seul souci est qu’ils ne tuent pas ces innocents. Hum.


                            *Ville de Lomé*


                            ****Channel****


Moi à Fabrice : 


Je suis enceinte raison pour laquelle je t’ai fait venir. Ce sont des jumelles.


Lui : (…) Et combien de temps le sais-tu ? Qu’est-ce qui prouve que je suis l’auteur de ta grossesse? 


Moi : Je ne l’ai su il y a seulement une semaine. Tu crois que j’ai couché avec quelqu’un d’autre à part toi ? De toutes les façons avec l’évolution de la médecine tu peux faire tous les tests pour confirmer ta paternité. Mais laisse-moi de prévenir que c’est peine perdue.


Lui : Euh (…)


Moi : Je veux que nous enterrons la hache de guerre pour nos filles.


Lui : (Se lève) J’ai besoin de temps pour digérer une nouvelle pareille.


Moi : C’est pas grave ; prends tout le temps qu’il te faut. Ça ne changera pas le fait que ce sont tes enfants.


                          ****Sébastien****


A présent que Kyrielle est en prison, ma fille Gladys peut sortir tranquillement chercher un travail et s’occuper de sa grossesse. Pour cette fille Lopez,  je dois me débarrasser d’elle ou la faire quitter le pays. En aucun cas je n’aimerais pas avoir après des soucis. Je dois à tout prix protéger ma famille.


                             ****Lopez****


Je voulais qu’il soit incarcéré ce Kyrielle mais depuis que c’est fait ma conscience me dérange. Il est innocent et ne mérite pas de vivre dans un endroit pareil. Je dois faire quelque chose par peur d’être rongée par la culpabilité à vie. Je suis à l’abri avec l’argent du père de Gladys mais je ne laisserai pas ce poids sur mes épaules jusqu’à la fin de mes jours. Je pense aller tout raconter à la police. Parce que lorsqu’ils se rendront compte de la vérité eux même, c’est moi qui prendrai la place de Kyrielle. Cet homme m’a même fait des faux papiers pour intuber la cour sur le fait que je suis mineure. J’ai vraiment peur.


                              ****Fabrice****


Comment est-ce possible que Channel tombe enceinte de moi à ce moment précis ? Un problème de plus. Cette nouvelle vient carrément tout détruire. Si Thérèse l’apprend, ce sera définitivement mort entre nous deux. Merde de merde.


*Recap du chapitre :


1- Blake le violeur de Rose réussira-t-il à la retrouver et à se faire pardonner?


2- Thuram pardonnera à son père un tel acte?


3- Finalement Francine a-t-elle bien fait de quitter  Martin?


4- Que pensez-vous du comportement de Martin envers Thuram?


5- Bien fait pour Fred et Steve?


6- Fabrice acceptera-t-il la grossesse de Channel?


7- Sébastien tuera-t-il Lopez?


Ne ratez pas le prochain chapitre de la *Maison hantée*. Rdv le mardi prochain.


Par Koffi Oliver HONSOU


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