La plus belle déclaration d'amour
Write by Nasty girl
------------- Une semaine plus tard...---------
Ce soir, je suis plongé dans une série américaine, "The Mentalist", que j'apprécie énormément. Je m'étais procuré la dernière saison un peu plus tôt dans la journée et sans plus attendre j'ai commencé à la regarder. J'étais captivé à tel point que je n'ai pas remarqué que la nuit était déjà tombée. L'arrivée de Fleur me ramena sur terre. Nous devions aller à une soirée ensemble et on avait convenu qu'elle se ferait déposer par sa soeur afin que nous nous y rendions de chez moi.
- Toc toc toc.. C'est Fleur.
Je me leve du canapé pour lui ouvir et lui souhaiter la bienvenue.
- Mais tu n'es pas encore prêt! ...Oh toi et cette fichue série! Tu vas finir par nous mettre en retard, fait- elle en reconnaissant le personnage principal de la série sur l'écran plasma de ma télévision.
- Oh! ...Madame est en colère et elle le déverse sur moi? Si ma mémoire est toujours bonne c'est plutôt toi qui est en avance...très en avance même! lui répondis-je en fronçant la mine, signe que je n'approuve pas du tout son agressivité.
- Pffff excuse-moi, c'est juste que je suis un peu nerveuse.
- Et puis-je savoir pourquoi madame est nerveuse?
- Arrête de m'appeler comme cela!
Cette fois je ne réponds pas et reprends simplement ma place sur le canapé. Je continue donc à regarder ma série quand elle se décide à rompre le silence.
- Charbel?
- Oui? Fis-je sans détourner les yeux de la télé
- Il faut qu'on parle !
A son ton sérieux, je tourne la tête vers elle. Elle aurait pu s'asseoir à mes côtés dans le canapé mais elle a préféré s'asseoir dans un des fauteils. Avant je l'aurais invité à s'assoir à mes côtés mais étant le nouveau "moi", je n'ai pas bronché. En l'observant, je remarque qu'elle est vraiment nerveuse vu la façon dont elle se tord les mains.
- Oui je t'écoute " Fleur" dis-je en insistant bien sur son prénom. De quoi veux-tu me parler?
- Qu'est ce qui ne vas pas Charbel?
- . .....
- Dis-moi ce qui ne vas pas!
- Mais quoi donc? Répondis-je. Je ne comprends pas ta question.
- Je te parles de nous, de notre relation!
- Oui et?
- Arrête de faire comme si tu ne savais pas Charbel!
-............
Elle poussa un soupir d'exaspération, se leva et se mis à faire des allers et retours.
- Écoutes, ça se voit que tu es trop nerveuse pour formuler des phrases alors je vais aller prendre en même temps ma douche. A mon retour j'espère que tu te seras calmée.
Sans attendre sa réponse, je me dirigai vers ma salle de bain qui est attenante à ma chambre. Une fois hors de sa vue, je sautai de joie. Cette occasion, voilà une semaine que je l'attends. Je fais juste une courte prière pour qu'elle n'en profite pas pour s'éclipser et filai sous la douche. Je fais exprès de m'y attarder plus que d'habitude. Je joue avec le feu mais je ne veux pas lui faciliter de trop non plus la tâche.
Après m'être séché, je mets un boxer blanc (elle m'avait avoué il y a longtemps que les vêtements blanc me rendaient infiniment plus sexy à ses yeux) et l'invite à venir m'aider à choisir ma tenue de ce soir. Nous jouions souvent à ce jeu.
Quand elle rentre dans la chambre, elle marque une hésitation. C'est un bon début je me dis car elle n'est pas insensible à la vue très sexy que je lui offre et il faut aussi dire que mon sexe commençait à se gonfler. Elle ne m'avait jamais vu ainsi et son regard s'est attardé sur mon entre-jambes. C'est vraiment un bon début.
Elle se ressaisit tout de même et s'approcha de mon dressing. Pendant qu'elle s'occupait à choisir mes tenues je revins brusquement sur le sujet qu'elle avait abordé plus tôt :
- Alors de quoi voulais-tu qu'on parle ?
La voyant emportée par une brusque frénésie, je me rapprochai d'elle et posai ma main sur les siennes pour l'arrêter et la pousser à s'assoir sur le lit. Je pris place moi-même sur l'accoudoir du fauteuil unique que j'avais dans ma chambre pour lui faire face. Je sais que cela lui fait de l'effet de me voir ainsi, vêtu uniquement d'un boxer mais je suis décidé à la faire craquer.
- Je suis tout à toi Fleur. Je t'écoute.
Elle pris une inspiration et se lança:
- Tu as changé
- Je n'ai pas changé.
- Si tu as changé. Tu n'es plus le même.
- ....
- Mais enfin tu vois bien de quoi je veux parler!
-...
- Charbel! Lança-t-elle au bord de l'exaspération.
- Si tu veux que je comprennes ce que tu veux dire alors parles!
Elle se remis aussitôt debout et débita dans un seul souflle:
- Lorsqu'on est ensemble tu n'as envers moi qu'une froide politesse. Tu as toujours l'air ailleurs, comme si tu pensais à quelqu'un d'autre. Tu ne m'embrasses plus comme avant et tu as toujours l'air d'être pressé de t'en aller à chacune de nos rencontres. Tu ne me prends plus dans tes bras et on dirait que tu évites tout contact avec moi... comme si j'avais la peste! Tu ne peux pas nier!
- Non je ne peux pas le nier, lui repliquai-je du tac au tac.
Elle fut surprise par l'intensité de ma voix et je vis un voile de tristesse tomber sur ses yeux. J'y lu de l'exaspération mêlée à de l'angoisse. Je décidai qu'il était temps que j'abattes mes cartes...les dernières que j'avais dans ma manche.
- Je veux savoir pourquoi Charbel...
- ...
- Réponds-moi stp! Fit-elle avec un sanglot dans la voix.
- Tu veux savoir pourquoi ?
- Oui
- T'en es sûre?
- Oui!
- Alors approche.
- Quoi?
- Approche répondis-je en étant toujours assis sur l'accoudoir du fauteuil. Mon calme était apparent alors que mon coeur s'emballait: j'avais conscience que je jouais au fil sur le rasoir.
Après quelques secondes qui m'ont paru durer une éternité, elle s'avance et s'arrête à quelques pas de moi. Je l'attire à moi jusqu'à ce que nos jambes se touchent. Elle détourne la tête.
- Fleur, regarde-moi.
- ...
- Mon amour..., ma fleur, je t'en prie... regarde-moi.
Après quelques instants, elle releva la tête et je pus plonger mon regard dans le sien. Je la sens aussitôt frissonner des pieds à la tête... J'écrase une larme qui glissait sur sa joue et posai mon front contre le sien pour maintenir le contact avec son corps. Je la sentis frisonner de plus belle et trembler légèrement. Je prends une de ses mains, y pose un baiser avant de la reposer sur ma poitrine pour qu'elle sente les battements saccadés de mon coeur. Elle parut s'en étonner. Cette fille me rend vraiment dingue...
- Je t'aime Fleur tu le sais n'est ce pas? Fis-je, mon regard toujours plongé dans le sien.
- Oui parvint-elle à dire.
- Alors que veux-tu de moi ?
-...
- Réponds-moi ma chérie. Parle-moi.
Je lui fais un bisou sur le front et descends à la quête de ses lèvres que j'effleure légèrement tout en resserrant l'étreinte de mes bras. J'étais tellement excité et ma verge était tellement tendue que le tissu de mon boxer donnait l'impression qu'il allait bientôt craquer. Je ne me gênais pas pour me presser contre son corps pour qu'elle sente à quel point je la désire. Elle se mit à trembler. Je lui fais encore une bise dans le creux de sa main que je gardais sur ma poitrine et la posa ensuite sur mon sexe. Elle voulut retirer sa main mais je la maintins fermement tout en lui imprimant un mouvement de caresse.
- Mon amour est ce que tu me sens?
- Oui parvint-elle à dire dans un souffle.
- C'est l'état dans lequel tu me mets à chaque fois que je te touche ou que je t'embrasse...
Je continuai en lui soufflant à l'oreille:
- J'ai envie de toi chérie... Me comprends-tu? Je désire jusqu'au plus profond de mon être te faire mienne, bouger en toi, sentir les parois de ton sexe autour de ma verge... Je suis tout à toi et je veux que tu sois toute à moi!
Tout en lui parlant je m'étais mis à la caresser. Je lache donc sa main et lui prends le visage à deux mains pour l'embrasser. Petit à petit elle se détends commence à répondre à mon baiser. Je fais alors glisser une de mes mains à sa poitrine et lui pinça le bout d'un sein. Je l'entends gémir... C'est le signal que j'attendais.
Je me leve et l'attire vers le lit tout en continuant à l'embrasser. Je fais glisser la fermeture de sa robe et elle apparut en sous vêtements. Je parsème tout son corps de bisous en m'attardant dans son cou et sur la zone autour de son bassin. Je la sens réagir à mes caresses. Je dégrafe alors son soutien-gorge et prends à tour de rôle ses seins dans ma bouche. Je les suçe tendrement en faisant rouler les pointes entre mes lèvres. Ma Fleur n'arrêtait plus de gémir. Je la fais se coucher sur le lit, lui enlevai son string et me couchai à ses côtés. Pendant que je continuais à lui malaxer les seins d'une main, je lui suçait les lobes d'oreilles. Mon autre main entrepris un voyage sensuel jusqu'à son bas-ventre. Après avoir tracé des sillons autour de son bassin, mes doigts se faufilèrent dans son intimité pour titiller son clitoris. Le son de ses gémissements était si doux à mes oreilles que j'en perdais la tête. Je m'étends sur son corps et lui murmure à l'oreille combien je la trouvais belle.
Ma chérie n'était désormais que tremblements et gémissements car après lui avoir écarté les jambes, je me suis mis à lui caresser le clitoris avec mon pénis tout en continuant à lui sucer les seins. Elle s'agitait sous moi et essayait de m'empaller mais je tins bon. Je suis au supplice et je meurs d'envie de la pénétrer et de me fondre en elle mais il me faut encore une chose.
- Mon amour regarde-moi...ne fermes pas les yeux..., regardes- moi lui ordonnai-je.
Elle ouvrit ses yeux et planta son regard dans le mien.
- Acceptes-tu de faire l'amour avec moi? Elle remua la tête mais je persistai encore. - Dis le moi, je veux t'entendre me le dire...
- Fais-moi l'amour Charbel. Je veux te sentir en moi, me répondit-elle avant de capturer mes lèvres et de me pincer les tétons.
Il n'en fallu pas plus pour me faire perdre la tête. Je lui ecartai encore plus les jambes et la pénétrai d'un coup sec jusqu'à la garde. Je la sentis se raidir un peu car mon pénis était gonflé à bloc. Déjà que je suis d'une taille au-dessus de la moyenne alors pour lui permettre de s'habituer à moi je commençe à bouger lentement mais très vite ma chérie prends les choses en main.
Elle soulevait son bassin et devançait mes coups de reins m'invitant à me perdre toujours plus loin au dedans d'elle. Nous n'étions plus que grognements et gémissements. J'avais tellement espéré ce moment et c'était mille fois mieux que dans mes rêves les plus fous! Bientôt je sentis venir la jouissance quand elle me cria elle aussi qu'elle allait jouir. Dans un ultime coup de reins nous atteignîmes ensemble l'orgasme.