Le doigt dans l'engrenage - Episode 15 (Final)
Write by chrochro241
Suite directe de l’épisode 14 et
dernier épisode
Voilà 2 minutes que Rom conduit après le départ du
restaurant le CIGALOU à Owendo. Il roule en direction de chez lui au quartier
Batterie 4. Il se concentre sur la route et jette par moment un petit coup œil
sur les cuisses dénudées au trois-quarts de Savana. C’est la manière dont elle
bouge doucement les cuisses, en les frottant un peu trop sans cesse l’une
contre l’autre, qui attire l’attention dessus. La belle est assise de profil,
les jambes légèrement repliées, les cuisses serrées. Elle regarde tantôt la
route devant elle, tant le paysage défilant sur sa droite à travers la vitre de
la portière, côté passager avant.
Ils arrivent à destination. Rom se gare devant l’entrée de
son portail qu’il va ouvrir avant de faire entrer son véhicule qu’il gare
devant la maison. Il coupe le contact et descend pour ferme le portail. Savana
sort du véhicule et suit Rom du regarde jusqu’à ce qu’il vient vers elle.
- Tu n’as pas de gardien ? demande-t-elle.
- Si ! Il est en vacance.
- Ah ok !
Rom va ouvrir la porte d’entrée et
pénètre le premier dans son salon. Savana lui emboite le pas. Il va directement
dans la petite pièce du toilette visiteur, à côté du salon. Il urine sans
fermer la porte. Savana le regarde de loin pendant il est debout en train de se
vider les couilles de son urine, en tournant le dos à la porte ouverte du
toilette visiteur. Il pousse un léger soupir de bonheur en sentant sa vessie se
vider car c’est toujours un plaisir de pisser. Au moment il se tourne pour
sortir du WC, Savana détourne les yeux de lui. Elle attend qu’il vienne à sa
hauteur avant de le regarder.
- Je peux utiliser le WC visiteur là ?
demande-t-elle en désignant le WC visiteur.
- Bien sûr ! Fait comme chez
toi ! dit Rom, avec un sourire.
- Merci !
Il s’efface devant elle pour la
laisser passer et entrer. Mais lorsqu’elle veut fermer la porte du toilette
visiteur, il l’empêche en la bloquant.
- C’est comment ? dit-elle en
regardant Rom avec un air surpris.
- Bah, laisse la porte ouverte !
- Oh ! Tu rigole j’espère !
dit-elle avec étonnement.
- Non !
- Je ne peux pas laisser la porte
ouverte ! En plus tu es là !
- Tu n’as pas à avoir honte de moi.
- Si tu le dis ! Mais là, je besoin d’intimité
pour me soulager. dit-elle en poussant la porte.
- Fait avec la porte ouverte !
dit-il en repoussant la porte de force pour l’ouvrir.
- Non ! Je ne peux pas !
dit-elle en poussant la porte.
- Pourquoi ? dit-il en repoussant
la porte de force pour l’ouvrir.
- Parce que je ne veux pas ! En
plus devant toi.
- Lol ! Tu veux cacher
quoi ? Je t’ai vu sous ta robe. Je sais que tu es nue en dessous.
- Savoir que je suis nue en dessous
c’est un fait acceptable. Mais te laissez me voir en train de me soulager n’est
pas possible.
Sur ces mots, elle pousse la porte
pour fermer. Mais Rom l’en empêcher en repoussant la porte aussitôt pour
l’ouvrir.
- Pourquoi ? dit Rom en
repoussant la porte de force.
- Je ne peux pas. En fait je ne veux
pas.
- Pourquoi tu ne veux pas ?
- Mais c’est gênant, toi aussi !
- Lol ! Après ce que tu faisais
avec ton pied sous la table, il n’y a plus de quoi être gêner entre nous.
- Si tu le dis ! Bon laisse-moi
me soulager ! dit-elle en poussant la porte.
- Laisse la porte ouverte ! dit-il en
repoussant la porte de force pour l’ouvrir.
- Ah ! Non ! Pas
question ! dit-elle protestant vivement en poussant la porte.
- Si ! Si ! dit-il, amusé, en
repoussant la porte de force pour l’ouvrir.
Et il s’en suit une lutte entre les
deux lorsque Rom repousse de force la porte du toilette que Savana tente tant
bien que mal de fermer. Elle ne comprend pas cet entêtement vicieux de Rom. Il
réussit a l’a repoussée largement et ouvre complètement la porte devant elle.
Il entre par la suite à l’intérieur de la petite pièce qui sert de toilette
visiteur et comprenant un WC, un lavabo avec un miroir au-dessus. Savana se
retrouve face à Rom affichant un sourire et un air triomphant. Son regard sur
elle la fait froid dans le dos. Elle recule d’un pas en tremblant de peur.
- Sort, s’il te plait ! dit-elle.
- Relaxe, cocote ! On ne fait que
jouer !
- Ce jeu n’est pas drôle !
- Pour moi c’est drôle !
- Pas pour moi ! Arrête ça !
- Quand tu jouais avec ton pied sous
la table au restaurant, je t’ai laissé, non ?
- …
- Là, c’est mon tour et à ma
manière !
Sur ce, il se saisit du pan de la
petit robe légère à mi-cuisse de Savana. Il remonte la robe au-dessus des
cuisses de la belle.
- Oh ! Qu’est-ce que tu
fais ? dit-elle surprise par le geste sournois et inattendu de Rom.
Elle recule de deux pas en abaissant
vite sa robe d’un coup adroit. Rom rigole, la mine amusée. Elle le dévisage
mais elle reste troublée. Ce qui amuse Rom.
- Tchuips ! Tu trouves ça drôle ?
demande-t-elle, en le dévisageant.
- Oui ! Ta comédie là ! dit-il
en souriant.
- Quelle comédie ?
- Tu joues la sainte. Or, toute à
l’heure au restaurant tu n’étais pas sainte du tout avec ton pied.
- Au restaurant c’était
différent ! Juste une exception !
- Ahahahah ! Vraiment ?
- Oui !
- Et si on jouait encore ?
- Quoi ? Non, merci ! dit
Savana en secouant en signe de refus.
- Jouons !
Sur ce, Rom se tourne et ferme
rapidement la porte de la petite pièce. Savana se retrouve coincé entre lui et
le WC, sans aucune échappatoire. Elle ne doute pas de ce que Rom à bien
derrière la tête. Mais c’est justement ça qui la fait peur.
*** Dans la tête de Savana ***
Mon Dieu ! Qu’est-ce se passe
dans la tête de Rom en ce moment ? Il devient fou ou quoi ? A peine
a-t-il fermé la porte du toilette derrière lui, il se tourne et se tient face à
moi. Je me rends compte que j'ai vraiment peur là. La situation dépasse tout ce
que j’avais imaginé comme situation inconvenante avec lui. Je tremble presque
devant lui. Je veux sortir mais me barre le passage avec sa stature. Il ne
semble pas vouloir que je sorte d’ici. Je veux sortir... enfin je ne sais plus
là car je suis perdu, totalement surprise par ce revirement de situation. J’ai
déjà imaginé vivre des situation avec lui mais pas ce moment actuel. Son
comportement est brusque et soudain. Il m’effraie en agissant de la sorte. Je
ne sais pas trop à quoi m’attendre maintenant. Tout peut arriver !
Partagée entre peur et surprise de
taille, mon esprit bouillonne tandis que mon cœur s’emballe. Mes yeux se sont
relevés vers lui, croisant son regard presque avide de moi. Mes bras se sont
croisés, mes mains posées sur mes frêles épaules formant une sorte de barrière
face à mon agresseur présumé. Mes jambes tremblent seules.
Il a comblé en une fraction de seconde
la courte distance qui le séparait de moi, poussant mon corps à reculer
spontanément. Il me tient par la taille. Je me fige sans bouger. Je sens ses
doigts bouger doucement sur mes reins et retrousser dans le même temps la robe
jusqu’au-dessus de mes rondes petites fesses. Ces dernières se retrouvent nues
à l’air avant que je sens les mains se pose dessous pour les empoigner doucement
puis fermement. Je pince doucement mes lèvres en fuyant son regard. Ses mains
viriles s’activent franchement pour masser et malaxer mes fesses. Ces
attouchements ne sont pas pour le moins désagréables d’un point de vue. Je
n’aime pas cette situation de domination mais je le laisse me dominer malgré
moi. Je me dis que c’est la seule solution dans ma position délicate. J’espère
qu’il va s’arrêter en voyant que ce qu’il me fait n’est pas bien. Mais s’il
continue, je ne peux franchement rien faire. Tenter de me défendre ne ferait
que l’encourager à se défouler sur moi. Je n’ai pas à tenter de résister car je
sais que Rom est plus fort que moi vu comment a réussit à repousser la porte du
toilette que je poussais de toutes mes forces contre lui pour m’enfermer ici
afin d’être pour me soulager.
Je ne fais rien même lorsque je sens
un de ses doigts se glisser entre mes fesses et venir titiller mon petit trou
puis s’attarde. Plus cela se fait, je ressens des pressions et de frottement
sur l’anus. Je serre instinctivement les fesses sous l’insistance du doigt qui
frictionne l’anus, créant dessus des frottements incendiaires qui stimulent lentement
une douce chaleur.
Je pousse un léger soupir, en
ressentant un brin d’excitation naitre en moi. Je concentre mon attention sur
le doigt frictionnant la peau fripée de mon anus qui frétille. J’ai la
sensation d’avoir un peu comme le feu au cul, tellement je sens une espèce de
chaleur que le doigt semble stimuler savamment par ses frottements sur mon
anus.
Je frissonne mais surtout je me mords
les lèvres pour ne pas gémir car j’ai vraiment envie de gémir, de lâcher un son
qui veut sortir de ma bouche, à force de sentir ce doigt diabolique qui
commence sérieusement à me chauffer. De surcroit, par le trou cul. Je ne pensais
pas ressentir cela mais je dois l’admettre que je commence vraiment être
excitée.
J’en viens à comprendre que mon trou
du cul est une zone sexuellement érogène. Moi qui croyais que l’anus ne sert
qu’à chier. Bien stimuler comme en ce moment cette zone entre les fesses excite
vraiment. Je me surprends à vouloir me faire doigter par l’anus pour savoir si
ça fait du bien. Je n’ose pas parler pour le demander à Rom. J’ai peur de la
douleur et crains qu’il en profite plutôt pour me sodomiser.
Inconsciemment, j’ai légèrement
fléchies les jambes et pousser mes rondes petites fesses vers l'arrière,
accentuant ainsi de manière infime creux de mon dos et sensiblement les
attouchements du doigt titillant sur mon petit trou que je sens comme un petit
cratère d’un volcan. Je ne peux m’empêcher de pousser un soupir et d’émettre un
raclement de gorge.
Le doigt se retire et les mains qui
étaient sur mes fesses remontent sur mes reins et retrousse le pan de ma robe
dans le même mouvement avant de me saisir par la taille, en laissant mes fesses
nues à l’air. Me tenant ainsi, Rom me fait tourner sur la gauche, en déplaçant
mon corps sans je lui oppose la oindre résistance. Il me coince entre son corps
et le lavabo à côté du WC. Je sens aussitôt mes fesses, restées nues à l’air, être
pressées contre la froideur du bord du lavabo qui me fait légèrement
frissonner.
Alors qu’il me domine nettement de sa
haute taille, Rom se penche sur moi pour m’embrasser. J’ai le réflexe de tourner
la tête sur le côté. J’évite son regard alors que je suis effrayée et pourtant
soumise. Ses mains quittent de ma taille et prennent mes mains pour les enlever
de mes frêles épaules, en décroisant mes bras. Je me sens comme une marionnette
dont il peut faire ce qu’il en veut. Il pose les paumes de mes mains dociles
sur mes cuisses, de part et d'autre de mon corps, avant de caresser mes bras
doucement. Je me surprends à aimer ce geste tendre. Ses mains se posent sur mes
épaules dénudés et les pouces agrippent chacun la fine élastique accrochées sur
moi comme les bretelles d’un soutien-gorge. Rom tire ensuite ces bretelles, les
dégageant de mes épaules, et les fait descendre le long de mes avant-bras. Je
déglutis de gêne avec un sentiment s’impuissant. Je baisse simplement la tête
pour regarder les bretelles descendre sous mes coudes tandis que je vois le
bustier de ma robe descendre dans le même temps et mouvement. Ma poitrine en
balcon se dévoile lentement mais surement, montrant peu à peu mes mamelons
dénudés et lourdement chargés. Je ne peux voir les tétons car ils sont cachés
par mes avant-bras qui sont rapproché l’un vers l’autre sur ma poitrine. Mais
je peux sentir mes bouts durcis.
Les mains de Rom descendent mes
bretelles jusqu’à mes poigner. Le bustier de ma robe a suivi le mouvement
jusqu’à ce qu’il se trouve sous mon ventre et me ceinture sur le bas
ventre. Je lève les yeux vers le visage
de Rom pour voir l’expression de son visage et le supplier de regard pour qu’il
arrête car j’ai vraiment peur de la suite s’il continue.
A peine je le regarde en face et que
qu’on se fixe, les yeux dans les yeux, je vois son visage se rapprocher
lentement du mien. Ce n’est que lorsqu’il est très que je réalise qu’il a
penché sa tête en avant et de plonger son visage dans le mien puis que nos
bouches sont sur le point de se toucher. Je détourne mon visage. Rom s’arrête
et pousse un soupir. Je crois l’avoir frustré mais je ne m’en tiens pas rigueur.
Contre toute attente, il me tient
ferment et tourne brusquement sur moi-même. Je me retrouve dos à lui mais
toujours coincée bord du lavabo. Je suis face au miroir au-dessus du lavabo. Le
miroir montre mon reflet et celui de Rom face à mon dos. La seconde suivante,
Rom colle sa bouche sur ma nuque offerte pour y déposer des bisous et respirer
dans mes cheveux défaits où je sens les souffles chauds de sa profonde
respiration. J’apprécie cela et aurais aimé ça dans une autre situation
beaucoup moins stressante qu’actuellement.
La bouche de Rom vient sur mon cou
dégagé pour y déposé des baisers humides. Dans le même temps, ses mains sont
entreprenantes sur mes mamelons lourdement chargés qui sont violemment pétrit
et vigoureusement malaxer. Je frissonne et geins, ne sachant plus où donner la
tête. Je me tortille alors que je ne suis plus que soupirs et gémissements d’excitation.
Instinctivement, j’attrape les mains viriles accrochées sur mes mamelons
durement maltraités et mon geste ne fait rien de plus pour arrêter les mains
qui ne cessent de jouer avec mes seins et pauvres nerfs car je suis sensible de
seins. Je bascule la tête en arrière en lâchant un gémissement de d’excitation
et désespoir. J’halète en fermant les yeux avant de pencher ma tête en avant et
la pousser lentement vers celle de Rom pour empêcher sa bouche de continuer de s’attaquer
à mon cou avec ses baisers qui sont une douce torture puis un supplice qui commence
à me rendre folle de plaisir. J’ai peur que tout ceci continue comme ça et que
je perde le control de moi-même car c’est trop d’émotions qui me submergent en
temps. Ce trop-plein d’émotions ce n’est pas mon pauvre coeur dont je sens l'accélération
perceptible des battements qui cognent frénétiquement dans ma poitrine,
soulevant celle-ci au même rythme, alors que deux mains virils, empoignant ma
poitrine sans tendresse, pétrissent et malaxent les mamelons lourdement chargés
au point de me faire mal aux tétons qui pointent leur bouts durcit par mon
excitation grandissant.
Sentant ma tête repousser sienne dont
la bouche assaillit mon cou de baiser brulants, Rom glisse une main dans mes
cheveux défaits et les enserre violemment en fermant ses doigts dedans. Il tire
mes cheveux qu’il tient, forçant ainsi mon visage à lui faire face dans la
glace en face de nous. Je le supplie du regard alors que mon visage est dévasté
par l’émotion qui sème en moi. Il me regarde avec un mépris perceptible et une
perversité palpable. Il me dévisage ainsi plusieurs secondes, ses lèvres
formant une moue arrogante. Je me fige pendant deux secondes en ne
reconnaissant plus Rom, cet homme charmant pour qui j’ai laissé parents et amis
à Lambaréné pour le suivre à Libreville que je ne connais pas et où je ne
connais personne à part lui.
Je suis certaine d’une chose je
ne rêve pas ! Je suis bien éveillée. J’aurais souhaité que ce soit encore
un rêve mais je vis vraiment l’instant dont j’ignore tous les détails de la
suite même que je ne doute pas de ce qui pourrait arriver et qui de toute les
façons arrivera dans les secondes, les minutes qui suivent.
FIN… DE LA PREMIÈRE PARTIE !
A SUIVRE……………………………..
Mot de FIN : Ceci n’est pas la
fin de l’histoire complète. Je tenais à écrire une histoire typiquement
sensuelle et non purement sexuelle comme j’ai eu l'habitude de le faire dans mes histoires précédent celle-ci. J’espère que vous avez aimé cette
première partie dont le titre est très évocateur et dont le déroulement laisse
place au comble du suspense qui, je pense, depuis le début à agacer certaines
lecteurs/lectrices espérant lire quelque chose sexuellement bandant et
mouillant. Je me rattraperais ce point précis et sensible dans la seconde
partie qui arrive et s’annonce prometteuse, passionnante et plus palpitante.
Merci de patienter en attendant ! Rassurez-vous, Savana et Rom seront de
retour sur votre petit écran pour une suite mémorable.
A bientôt ! Et restez connectez sur ma page Facebook ‘’Histoires intimes d’une vie’’ pour me suivre et surveiller mon actualité .de chroniqueur