Le doigt dans l'engrenage - Episode 5

Write by chrochro241

Je regarde les amis de mon best en me pinçant les lèvres en m’étonnant moi-même de mon audace pour leur glisser une telle idée lubrique. Je ne sais ce qui me prend mais peu importe ce qu’ils pensent, j’ai envie de me défouler. Je croise les doigts pour qu’ils ne dégonflent pas sinon se serait gâchis.

 

Ils me regardent un instant. Je crois qu’ils sont un peu décontenancés par mon initiative, et par l’amusement qu’elle me procure actuellement. David s’approche et se plaça tout contre moi. J’ai eu un peu peur mais je suis restée sereine pour ne rien laissé paraitre, malgré mon cœur qui bat à la chamade.

 

Voyant que je suis là à le regarder en souriant, il pose ses mains sur mes hanches avant de les descendent très vite sur mes fesses qu’il palpe à travers le tissu de ma courte robe… Par mon manque de réaction, je l’invite sans grande conviction à toucher mes globes arrière à sa guise. Il le fait en les empoignants biens à pleine mains. Il joue avec mon derrière et moi, excitée et effrayée à la fois, je suis là à me laisser faire. Alors qu’il vient de remonter un peu ma robe pour caresser mes fesses à même la peau, sous le regard des 3 autres qui nous observent, il me glisse à l’oreille :

 

- Tu es nue sous ta robe là…  

 

Mon rire est sa seule réponse alors qu’il vient de s’apercevoir de ma fantaisie vestimentaire que beaucoup de femmes font en s’habillant.

 

- N’est-ce pas ou je me trompe ? ajoute t-il.

- Tu te trompes ! dis-je avec un sourire espiègle

- Hey ! Vous parlez de quoi à l’oreille ? lance Mathieu.

- Elle est nue en dessous.

- Ah ça, Manou c’est vrai ?

- Non ! dis-je avec assurance.

- Tu as quoi en dessous ?

 

Comme réponse je me détache de David pour reculer de 2 pas et je soulève lentement le pan de ma courte robe jusqu’au-dessus de mon nombril, dévoilant à à ces messeux mes reins et mon bas ventre habillé du joli string dentelle violet dont la lisère est échancré au-dessus de mes reins. Mon dessous orne harmonieusement cette partie basse de mon corps qu’il habille avec maestria. Les 4 garçons regardent mon string qui semble les fasciner, y compris ce qu’il semble cacher et qui fait ma dignité et ma plus grande fierté. Franck siffle d’admiration, ce qui me fait flatte et me fait sourire.

 

La main inquisitrice de David pose sur mon bas ventre avant caresser doucement mon pubis de haut en bas à travers mon string au tissu léger et doux qui accentue la sensation agréable que ce geste de main me procure. Les doigts de David glissent jusqu’à ma fente. Ce contact sur mon sexe me donne la chair de poule et me fait tressaillir. Effrayée et émoustillée à la fois quand je sens les doigts tenter de se glisser entre mes grandes lèvres, je repousse la main de David mais elle revient à la charge. Je la repousse vivement

 

- Arrête David ! dis-je pour protester.

 

Je recule avant de remettre ma courte robe en place. Les garçons me regardent remballer ma marchandise. Ils semblent surpris de mon attitude. 

 

- Quoi ? Vous voulez ça ? Dis-je avec vivement en posant ma main sur mon pubis.

- Manou tu…

- Non ! Ça ne marche pas comme ça avec moi. Dis-je pour renchérir.

- Oh…

 

Persuadée que je viens, par cette réplique amusée, de les « refroidir » instantanément et qu’ils vont laisser tomber tout ça, je m’aperçois à l’instant que je suis complètement trempée, réellement mouillée et surexcitée. Je les laisse et vais rapidement à la cuisine boire un verre d’eau, j’en ai besoin car je sens mon cœur s’affoler. J’ai peur tout un coup de cette situation incongrue que j’ai provoqué et dont je n’ai pas le control. Je me sens comme une gosse effrayé mais amusée.



J’avale un second verre d’eau devant la paillasse, tournant le dos à la porte d’entrée de la cuisine, je quelqu’un entrer dans la pièce. Je sais que c’est eux mais n’ose me retourner. Je sens soudain des mains se poser sur ma taille.



- Manou ? Dit Nico que je reconnais par sa voix.

 

C’est lui qui me touche la taille et je ne peux y croire… Gardant ses mains en place, il s’approche de moi. Je sens alors, en bas de mon dos, au travers du tissu de ma courte robe, son sexe bandé et manifestement libéré de toutes contraintes vestimentaires. Je baisse ma tête et serre les fesses brusquement, en ne sachant quoi faire d’autre. Je suis d’autant plus surexcitée et effrayée à la fois.



Restant de dos et sentant ce truc dur entre mes fesses, je tends lentement les bras derrière moi. Mes mains tombent sur ses cuisses et ses hanches nues. OMG ! Mes sens sont états d’alerte rouge ! Je me retourne alors doucement. Ils sont tous là… deux sont à la porte d’entrée et habillés… les deux autres sont nus en face de moi. Ces derniers bandent… leurs sexes sont bien gonflés et tendus. Mon cœur qui s’était un peu apaisé par les verres d’eau que je viens d’avaler, s’affolent dans ma poitrine.

 

Appuyée sur le rebord de la paillasse, je regarde Nico et Franck, ces deux-là qui sont nus et tendus devant moi. Je sens que j’ai chaud. Je ne parle pas de la chaleur mais de ce qui va m’arriver. Comment cette soirée va elle finir? Je ne peux plus renoncer car tout se joue maintenant et j’ai envie de voir jusqu’où ça peut aller, juste pour le fun.



Nico ne me laisse pas le temps de placer un mot, il prend mon visage entre ses mains et m’embrasse avec gourmandise. J’essaye de le repousser doucement. Mais sa bouche reste contre la mienne qui se fait dévorer par la sienne très entreprenante. Je ferme les yeux et subit son baiser fougue auquel je finis par y répondre. Tout en m’embrasse il me déplace doucement dans la cuisine. Franck, en un instant, se colle contre mon dos et pétrit mes seins au travers de ma robe sans grand ménagement. Je me dégage et ne trouve aucune échappatoire lorsque je me retrouve de dos, appuyée sur mes deux mains sur la petite table qui sert de plan de travail et collant mes fesses dessus. Je tente de résister en vain à la pression des deux males dominants qui semblent s’être donné le mot pour me prendre en sandwich sous le regard spectateur de Mathieu et David qui se tiennent loin.

 

Presque assise sur le plan de travail, mes pieds ne touchent plus le sol que de la pointe. Tout en m’embrassant, Nico remonte tranquillement ma robe sans que j’ose m’y opposer. Il parvient à se glisser entre mes jambes qui se sont ouvertes d’elles même et s’avance lentement en glissant entre mes cuisses rapidement écartées. Franck pousse doucement sur mes épaules pour m’amener à m’étendre sur le dos et me coucher littéralement sur la table de plan de travail.

 

Sentant ça va trop loin et trop vite en besogne, je tente une nouvelle fois de m’échapper aux griffes de mes deux bourreaux ; on dirait deux loups affamés qui prennent une proie en chasse. Ils me retiennent avec plus de force. Je suis maintenant étendue de dos sur la table et plan de travail, jambes pendantes et cuisses écartées. Nico, entre mes cuisses, caresse d’une main lente mon bas-ventre orné de mon string. De son autre main, il a empoigné son sexe bandé et tendu puis en frotte le gland dur contre mon sexe plus qu’humide à travers mon string mouillé. Franck me caresse les seins au travers du tissu de ma robe. Il remonte sur mon visage, mes épaules, tout en maintenant doucement mes mains au-dessus de ma tête.

 

Le temps semble suspendu… les deux garçons me regardent en souriant, tendrement. Je ne sais plus si j’ai peur, si j’ai envie ou plus du tout… D’un seul coup, Nico s’enfonce en moi. Je l’ai pas senti écarté mon string avant de pénétrer ma fente sans une hésitation, ni sans autres préliminaire. Il est gros en moi alors que je le sens m’envahir, pousser pour aller plus loin et s’enfoncer dans mon ventre jusqu’à la garde. Je ne peux m’empêcher de crier tellement ce coup est venu brusquement et d’une façon pas du tout tendre. Lorsqu’il m’a prise sans crier gare, il se met à aller et venir lentement, profondément, provoquant un hoquet qui m’échappe. Je relève ma tête pour le voir bouger entre mes cuisses… Ce n’est pas si désagréable malgré la grosseur de son membre qui va et vient en coulissant en moi avec une de ces facilités justifiées par toute la mouille produite par ma chatte en ébullition. Je referme les yeux et serre mes jambes autour de lui pour l’emprisonner et l’inciter à me baiser à fond, jusqu’à l’épuisement ou jusqu’à ce que je tombe en syncope.



La bouche entrouverte, je soupire d’aise sous les coups de butoir de ce cher Nico. Et pendant que j’encaisse ces coups qui me font du bain dans mon ventre, ma tête dépasse le bord de la table et pend dans le vide. Je vois à l‘envers. Franck vient devant mon visage en tenant son sexe bandé. Il tapote le gland sur ma bouche que j’ouvre instinctivement. Je le laisse faire entrer son gland dans ma buche et la referme doucement autour de sa verge dure dont il guide le mouvement en bougeant un peu le bassin en posant une main sur ma tête qu’il tient pour l’immobiliser. Il est lent et doux dans ses mouvements du bassin qui font des lents mouvements de sa queue dans ma bouche, la faisant entrer de plus en plus profondément vers ma gorge.



Je suis impuissante et prise des deux côtés. Mais étonnamment j’aime ce qu’ils me font et le fait d’être à leur merci. Nico accélère et me prend plus fort. Je gémis avec la bite de Franck dans la bouche. Mon corps bouge sensiblement sur les coups de butoir que Nico flanque sur mon entrejambe. Il me lime longuement et mon ventre commence à manifester d’étranges sensations de chaleur à la suite des frottements constants de la bite dans ma chatte qui semble s’embraser. Je gémis de plus en plus et m’accroche, laissant mes deux partenaires m’utiliser à leur guise comme un objet de leur plaisir et de leur jeux. Ce sentiment, inconnu jusqu’à présent, de femme passive mais surtout soumise de force, me ravie au plus haut point.

 

Mon corps est pris de soubresauts et spasmes incontrôlable qui m’animent alors que je perds pied et jouis intensément en perdant presque la raison.  Nico s’arrête en me regarde dévasté par le plaisir qu’il vient de me donner. Il me sourit tendrement et je ne peux m’empêcher de lui sourire aussi comme idiote.

Frank qui s’est retiré de ma bouche il y un instant s’adresse à Nico :

- Tu me la passes ? dit Franck.

- Pas de problème mon pote. Dit Nico.



Nico se retire de moi. Je tente de me relever un peu… À ma grande surprise, Frank m’aide à me mettre debout. Il me sourit et frotte son gland à l’aide sa main qui tient sa bite que je regarde. J’ai soudain envie de la sentir en moi… je suis très curieuse de savoir ce que ça fait de la sentir en mouvement dans ma chatte. Je lève les yeux et ne retiens pas de lui chuchoter un « prend moi aussi ! ».



Pour seule réponse, il me retourne fermement et me plaque de face sur le bord de la table où j’étais allongée. Dans cette position debout, il ne se prive pas pour passer ses mains sous ma robe et  caresser mes fesses exposées après qu’il eut retroussé ma robe sur mon ventre. D’un geste son pied, glissé entre les miens, il écarte mes jambes. Je le fais docilement et pose.



Se collant de face derrière moi, il cale mon string sur le côté et glisse son gland sur le chemin dégagé sous mes fesses pour caresse mon sexe humide avec son gland qui menace de me pénétrer sans crier gare. Il se présente sur l’entrée de ma fente et presse doucement pour se glisser entre mes grandes lèvres gonflées et frémissantes de désir. Puis il s’enfonce lentement en moi, me faisant frissonner de plaisir tellement cette entrée en moi est doux et jouissif.

 

À son tour, bien logé dans mon antre, il commence à se mouvoir avec lenteur et doucement. Franck me travaille en douceur pendant que son complice Nico profite de ma bouche après m’avoir forcé à me pencher en avant vers son bassin pour le sucer. Je sens Franck allé crescendo et taper très fort contre mes fesses et aller très profond en moi. Ce rythme bestial m’arrache un sourire de joie car c’est si bon, vraiment bon. Cette position m’a toujours procurée beaucoup de bien quand je me faisais prendre ainsi par mon best dans un coin de la maison que soit à terre, sur le canapé ou le lit ou là contre la table. Des frissons de plaisir parcourent mon corps qui se réveille.

 

Mes jambes, peu à peu, tremblent sensiblement et me portent difficilement pendant que je me fais sauter sauvagement par ce cher Franck qui me tient par le bassin et me cogne de plus en plus vite pour me culbuter contre la table. Mon ventre, assaillit par les frottements du au va et vient, irradie une chaleur terrible annonciatrice d’un heureux évènement pour moi. J’ai chaud, très chaud. Mes cheveux volent devant mon visage, collant parfois à mes lèvres. Je gémis de plus en plus, coup sur coup, au fur à me mesure que je me fais sauter comme une chienne… Mes gémissements deviennent de véritables cris… J’ai toujours été plutôt expressive quand je ne fais baiser âprement comme à présent… Il m’est de plus en plus difficile de me consacrer au sexe que je dois sucer alors que tous mes sens sont concentrés sur la bite qui va et vient dans ma chatte prise d’assaut… Mes seins bien dans ma robe, sont écrasés sur la table autant que ma poitrine, et font résonner mon cœur qui bat de plus en plus vite au même rythme que les coups de queue que m’administre Frank qui semble très chaud et veut me faire ça dure… Je l’encourage la voix et cela accompagnés de râlements qui s’échappent de ma bouche tellement ses coups de butoir me semblent être presque douloureux mais ô combien savoureux.

 

Je me tourne vers Frank pour le regarder derrière moi, par-dessus mon épaule. Ce cher Franck est comme un étalon lancé au galop et me sourit sans cesser de me donner de ces coups de bite qui m’arrache un son de plainte. Son visage exprime la joie comparé au mien dévasté par la douleur du coït brutale… la douleur se mêle lentement au plaisir de l’acte sexuel… je suis vite dans un état second… Je l’observe un instant, derrière moi, pendant qui me pilonne sans pitié… Je subis sa fougue tout en serrant les dents autant que ma main qui empoigne le sexe de Nico que j’ai cesse bien longtemps de sucer. Mon sexe que contracte tandis que je jouis en criant et me tortillant. Frank se met à gémir avec une puissance savoureuse. Soudainement, comme cela devait arrive lorsqu’on baise pour atteindre le plaisir une fois l’excitation au summum, un flot de liquide chaud gicle soudain et se déverse pour se répandre dans mon vagin brulant. Nous jouissons à l’unisson sans retenu. . Je le laisse paisiblement se vider en moi, sentant sa liqueur m’envahir dans ma chaleur. Une fois la tempête orgasme passée, je reprends lentement mes esprits et mon souffle. Je sens que ça coule le long de mes cuisses tremblantes…



Tout en restant prise par à Franck qui me tient les hanches, ma tête est dirigée de force vers ce sexe que je tenais mais qui n’est plus dans main. Je lape le gland en tenant la verge à la base, avant de l’engloutir. Suçant Nico avec une attention redoublée comme pour me rattraper à mon devoir de le sucer et me faire pardonner. Je me délecte de sa bite dure qui coulisse dans ma bouche humide. Nico me caresse les cheveux, gémissant doucement alors que je suce goulument et le pompe bien profond. Façon je le suce là on dirait que je veux manger sa bite. Il m’attrape la tête pour m’arrêter dans ma fougue puis il bouge soudain son bassin pour m’imposer le rythme de la fellation. Je perds le control de tout mais je garde la bouche lorsqu’il commence à me baiser oralement. Je manque de m’étouffer et retire sa bite. Avant d’avoir le temps de bien reprendre une bouffée d’air, je le reprendre dans ma bouche pour procurer tout le plaisir d’une bonne pipe et je le branle énergiquement à la base. Il grogne et jouit entre mes doigts, giclant son sperme sur ma joue et manque d’arroser mon visage … Effleurant mon nez, son foutre se répand sur mon front et entre mes yeux que je ferme par reflexe. J’achève de le vider dans ma bouche, patiemment.



Quelques secondes ont passées. Mes deux partenaires de circonstances se retirent de mes trous qu’ils ont conquis par l’art et la manière. Je tente de me relever, titubant un peu en redescendant ma robe. Ils m’aident à marcher et nous faisons, ensembles, quelques pas pour rejoindre le salon où m’asseoir lourdement sur le canapé en soupirant profondément, entre ravissement et épuisement. Nico et Franck s’y installent, l’un sur ma gauche et l’autre sur ma droite. Dans les bras de mes deux hommes, je suis gentiment caressée en sentant une main sur l’intérieur de mes cuisses écartées.

 

Je laisse Franck essuyer, avec douceur, mon masque de sperme. Je croise le regard de Mathieu et David… Ces deux-là je les ai complétement oublié… je sors de ma torpeur et ferme vite mes cuisses impudiquement ouvertes sous les regards voyeurs de Mathieu et David. Je me sens soudain très gênée par eux quand je pense qu’ils ont eu le temps de regarder mon entrejambe. Je réalise qu’ils aussi été là et m’ont vu pendant que je suis fait baisée à la cuisine.

 

Franck m’embrasse soudain longuement. Un long frisson me parcourt quand je sens une main se glisser entre mes cuisses fermées pour en caressant l’intérieur, me procurant un de ces délices de sens. Une autre paire de mains vient se poser sur mes genou et remontent sur mes cuisses nues. Je vois que c’est Mathieu et David qui s’y mettent eux aussi. Ils m’ouvrent lentement mais fermement les cuisses et les écartent doucement, laissant mon entrejambe mon cache sexe. Je peux encore tout arrêter, mais j’en étais incapable bien que la peur m’envahit du fait de me retrouver prise par  4 mecs en chaleur.

 

Passive, ou plutôt soumise volontaire, je me laisse caresser les hanches, les cuisses, les seins. Mes mains parcouraient leurs torses nus, s’attardant sur un sexe gonflé au travers des pantalons des deux nouveaux acteurs en face de moi. L’un d’entre eux se met à genoux et je sens ses mains parcourir mes jambes, depuis mes chevilles jusqu’en haut de mes cuisses dont l’intérieur n’avait plus de secret pour ses 4 potes de mon best. Dans la foulée, je me contrôle plus rien. Je suis comme manipulée par mes amants. Mon string est glissé et descendu le long de mes cuisses pour finir sur les chevilles de mes pieds écartées alors que je me fais doigter par un doigt inquisiteur et explorateur de deux mains différentes, l’une de Mathieu et l’autre de David. Ils me doigtent très fort en même temps me faisant gigoter sur place. Je ne sais plus au donné la tête, entre leurs deux doigts qui me défoncent, la main malaxant mon sein droit et cette bouche qui me dévore le cou sur la gauche.

Je sens que je deviens folle tellement je suis dépassée à force d’être utilisée de force et émoustillée jusqu’à devenir surexcitée pour ne pas dire excitée au plus haut point. Je pousse des soupirs et gémis doucement en fermant les yeux pour savourer cette attaque de partout qui me rend folle de désir… Gardant les yeux fermés, je sens des langues se succéder dans ma bouche et mon cou…. Des doigts qui entrent en moi incessamment... Je sens maintenant des corps nus se coller à moi avant de me retrouver bientôt avec un sexe dans chaque main, essayant de les branler doucement à tour de rôle…

 

J’ouvre doucement les yeux au moment où une bouche, entre mes jambes, entreprend de me brouter à m’en faire geindre de vive voix. Levant la tête, j’admire désormais mes 4 amants, entièrement nus, debout face à moi, le sexe dressé, caressant mes cheveux, sans trop croire eux-mêmes à ce qui leur arrivait et moi ce qui m’arrive à cet instant presque irréel mais digne d’un de mes fantasmes sexuels des plus dingues.

 

Une légère pression sur mes mains m’invite me lever du canapé puis une autre pression sur mes épaules m’invite à m’agenouiller. Je m’exécute docilement… Une fois en place, je me redresse légèrement, et, avec méthode, commence à déposer quelques baisers sur une des 4 queues tendues vers mon visage. Elles sont toutes belles ces bites bandées et me mettent l’eau à l’eau. Mes doigts, allongés par ongles, les saisissaient délicatement, les uns après les autres, parfois deux en même temps avec je ne sais quelle prouesse.

 

J’entreprends des fellations en série pour les faire bander bien dur, aspirant au tour à tour leur sexe dans ma bouche… Certains que je pompe prennent un malin plaisir à se saisir de ma tête entre leurs mains pour faire de légers va-et-vient dans ma bouche à l’aide de mouvement du bassin… Mes lèvres s’ouvrent au mieux et laissent glisser en longueur chaque queues qui coulissent dans ma bouche et grossissait démesurément. J’en masturbe une délicatement. Puis je relève une autre queue, et glisse ma langue sur ses couilles. Mon partenaire apprécie en connaisseur, écartant un peu les jambes pour me faciliter l’accès de ma bouche avide. Puis ma bouche chaude et humide glisse sur une autre bite dont le bâton de chair est bien dur. Alternant les petits coups de langue coquins, voire vicieux, les suçons torrides, les pompages bien profond en règle, je me délecte sur chaque bite aussi dure que tendue et agréable à sucer, tout en léchant et suçant les boules.

 

Manifestement les gars apprécient mon art. Et entre deux soupirs évocateurs qui se répètent, j’entends l’un dire :

- Putain ! Elle est bonne.

- Je te dis man, une vraie bouche à bite.

- Regardez, comment elle suce ! Et bien hein.

- Quel professionnalisme !



Encouragée de la sorte, j’appuie un peu plus mes caresses buccales, et en quelques coups de langue subtils, des regards vicieux.

 

A moment, ils me relevèrent… Moi, au milieu d’eux, je sens des mains me toucher de toute part… David s’allonge à même le sol et me tire brusquement sur lui pour que j’empale sur son membre dressé... Je ne pus résister à cet appel et l’envie de le chevaucher sans hésiter pour le baiser… Ah oui nos les femmes nous pouvant très bien baiser un homme et le faire jouir en rien de temps grâce à notre Tchang (botte secrète) à base de la danse orientale du ventre, le twerk ou l’ikoku (danse traditionnelle gabonaise) et faire ça j’aime trop.

 

Donc tout en m’accroupissant pour m’installer à califourchon sur David et face à face, je soulève ma courte robe jusque sous mes seins avant de guider son sexe en moi... Les 3 autres garçons me regardent m’empaler sur David qui sourit de bien-être… Instinctivement, je mets à 4 pattes et  commence à balancer mon bassin pour le faire aller et venir sa bite tandis qu’il me tient fermement par les hanches et me donne une tape aux fesses pour m’inviter augmenté la cadence de notre emboitement.

 

Pendant que je le chevauche de plus en plus vite à 4 pattes, tout en me cambrant et tendant ma croupe en l’air, des mains me caressent les fesses… Un doigt s’immisce entre mes fesses et glisse sur ma raie... Puis un autre doigt titille mon anus le presse pour pénétrer ma rondelle légèrement avant de la titiller vigoureusement… Je regarde celui qui me fait ça et c’est Nico. Je le vois se baissé derrière moi et face mon cul… Je sens son souffle sur mes fesses en mouvement avant d’avoir l’étrange surprise de sentir sa langue lécher mon anus.. C’est la première fois qu’on me faisait ça… Il fait une feuille rose (anulingus) et au fur à mesure qu’il le faisait j’apprécie cette attention particulière sur mon petit trou… Le bout de la langue habile de Nico me chatouille presque en léchant délicatement et humidifie ma rondelle qui se contracte quand je ressens par là un brin de plaisir…

 

Nico cesse soudain de me lécher et s’installe accroupi derrière moi en rapprochant son bassin de mes fesses… Il se positionne comme s’il a l’intention de me pénétrer mais ma chatte était déjà prise. J’avais un pressentiment sachant que mes fesses et ma rondelle lui sont offertes. Je sentais qu’il veut m’enculer et là j’ai commencé à avoir peur de la suite… Comme je le pensais et le craignais, le grand classique de la double pénétration apparu sans tarder… Je sens le gland de Nico presser contre mon anus… Je ne n’ai jamais été prise par là et il risque de me faire mal. Je veux me relever mais David sous moi me maintient en place. Je ne peux pas bouger. Je veux pousser un cri de protestation et de refus catégorique rapidement, mais Nico m’enfonce d’un coup son gland dans mon anus qui s’étire et s’ouvre sans que je ressens une douleur … Au départ, mon petit trou du cul s’ouvre naturellement, reçoit le gland qui l’étire et qui disparait dans mon rectum… Il s’enfonce doucement et profondément… Je me sens complètement remplie par derrière et élargie au maximum avant de sentir une douleur m’assaillir du fait que mon anus est trop ouvert… Je crie de douleur en poussant de la main le bassin de Nico. Il se retire partiellement, puis revient à la charge, s’enfonçant de plus belle et plus vite avant de se mouvoir dans ma rondelle pour m’enculer franchement…

 

Je veux me débattre mais David, sous moi, m’immobilise en fermant ses bras autour de ma taille et commence se mouvoir dans ma chatte. Nico me tient par les épaules et continuer sa sale besogne qui m’arrache des geignements de douleur. Sans plus du tout se soucier de moi, ils se mettent à bouger ensemble lentement leur bassin et cherchant à synchroniser leurs mouvements d’emboitement.

 

Je subis la double pénétration avec peine… Avoir ces deux bites en même temps est une première. Elles vont et viennent mais aussi se croisent en moi… C’est renversant ! J’ai la sensation que tout mon ventre remonte. Je me gémis et suis incapable de se fermer ma bouche, tant l’épreuve est émouvante et éprouvante.

 

Mathieu et David, qui n’ont la chance de me sauter à l’instant me forcent à leur faire fellation. Je les suçais à tour de rôle comme je le pouvais, malgré les soubresauts de la double pénétration des deux autres en moi qui m’agitent en permanence à cause leurs coups de butoirs que j’encaisse passivement.

 

Mathieu, que je suçais en autre, jouit le premier… Il m’envoie une grosse giclée de sperme dans la bouche, puis une seconde sur la joue quand j’ai reculé ma tête sur un sursaut de dégout. J’ai eu un peu de mal à avaler ce que j’avais reçu dans la bouche et je n’ai pas faire autrement. Nico sort de mon cul défloré, me faisant pousser un soupir de soulagement, juste avant temps de le sentir verser sur dos et l’entendre jouir dans un cri de plaisir. Il quitte derrière moi et je peux enfin me redresser. J’ai recommencé à chevaucher David, allongé sous moi. Je le baise d’une certainement manière.

 

Franck saisit ma tête et m’introduit sa bite dans la bouche puis me force à bien le pomper. Je m’exécute docilement en m’asseyant sur le bassin de David dont la bite s’est enfoncée en moi jusqu’à la garde. Alors que j’applique à pomper ce cher Franck, il pose sa main sur ma tête et me dit :

 

- Suce la bien Bordelle (salope) ! dit-il

 

J’ai horreur de ce langage et de ces manières, et en temps normal je l’aurai planté là, mais ce coup-ci, je l’ai un peu cherché quand même. Alors, je subis cette humiliation. A deux mains il me tient la tête et enfonce sa bite dans ma bouche. Il s’en sert comme une vulve au point de manquer de m’étouffer. Il ne me laisse pas le loisir de lui montrer la douceur de mes caresses buccales, le plaisir d’une vraie pipe, le délice du sexe oral. Tel un primate, il entre et sort assez brutalement de ma bouche. Je creuse mes joues, et suis le mouvement en l’aspirant à chaque introduction. En à peine une dizaine de coups de reins, il éjacule au fond de ma gorge et dit :

 

- Avale tout, stp.

 

J’avale pour lui faire plaisir mais avec peine. J’ouvre la bouche et sort la langue pour lui montrer que j’ai tout avalé. Il me sourit et me fait un bisou sur la bouche. Juste après son éjaculation dans ma bouche, sa bite débande doucement et se laisse caresser par ma langue. Je le nettoie puis je le laisse pour chevaucher David empalé en moi. Ce dernier m’agrippe les hanches et me donne de violent coup de bites avant de pousser un cri et se verser son foutre dans mon vagin.

 

Haletant ensemble, nous prenons quelques instants pour récupérer notre souffle avant de nous relever. Une fois debout, je titube. Mathieu me tient par la taille et me fait sentir sa bite entre mes fesses. Il avait repris de sa vigueur et se place derrière moi, appuyée contre le bord de la table du salon.

 

- Non… ça suffit ! Dis-je faiblement.

 

Il ne m’écoute pas et me tient ma taille solidement, guide son sexe bandé sous mes fesses et l’enfonce d’un coup dans mon vagin aussi profondément que possible. Il me force à me pencher en avant au-dessus de la table. Sous la force des coups de butoir qui s’en suivent, je m’allonge littéralement sur la table et me laisse prendre sans opposer la moindre résistante. Il plaça sa main sur ma nuque pour me maintenir plus fermement en me saisissant par les cheveux qu’il tire vers lui. Je me cambre sous le coup en poussant un long soupir et appréciant cette position de soumise. Je ne tarde pas à ressentir le plaisir m’envahir à nouveau sous l’assaut de mon bourreau qui en veut tant à ma chatte qu’il défonce à grands coup de butoir comme s’il n’attendait que ça depuis trop longtemps.

 

Voyant David prendre son pied dans ma chatte, Mathieu s’en plaint car il veut aussi me sauter vu qu’il bande à nouveau. Il s’en d’une petite dispute, mais assez brève puisqu’elle termine par un accord entre les garçons. Accord selon lequel chacun passera me faire ma fête pendant 60 secondes avant de céder la place. Il me demande même pas mon avis et commence leur délire. C’est ainsi que David céda sa place dans ma chatte à Mathieu qui n’en fut que très heureux. Il me pilonne dès son entrée… Puis à contrecœur, il céde son tour.

 

Je geins en fermant les yeux, sentant les va et vient de plus en plus insupportable des différentes bites qui se succèdent en moi. Chacun de mes 4 amants de circonstance me culbute dès le départ pour prendre suffisamment de plaisir avant de devoir passer le tour au suivant qui lui assi s’y met à fond pour me défoncer le trou.

 

Je me sens impuissante et réduite au rôle de trou de balles, je tends mon postérieur et mes fesses me font mal pendant qu’ils cognent dessus pour, semble-t-il, bien me sauter. Ils me culbutent et me pilonnant comme des brutes. Jamais je n’ai été baisé de cette ma manière. Ils pourront s’en vanter ces salops.

 

Les tours des mecs sur moi s’enchaînaient constamment toutes les 60 secondes… ils s’y mettent de plus de plus vite et plus fort. J’ai l’impression qu’ils ne faiblissent pas, contrairement à moi qui me sent éreintée. Quand l’un me bourre, les autres mis sur la touche sont impatients et certains deviennent de plus en plus brutale avec moi une fois face à mon postérieur où ils cognent fort et tapent leur bassin dur en s’enfonçant dans ma chatte offerte qu’ils défoncent avec un plaisir malsain.

 

Tout mon être est partagé entre plaisir émotionnel et douleur physique. Je subis leur folie en silence ou en gémissant, attendant avec impatience quand ce supplice sera fini. Je n’arrive plus à contenir mes gémissements qui deviennent des cris s’échappant de ma gorge à mesure que je me faisais sauter si durement par mes quatre bourreaux.


Courbée, parfaitement soumise, pénétrée si durement et sauvagement mais aussi empêchée du moindre mouvement, mon cœur bat à tout rompre alors qu’une irradiante chaleur envahir mon ventre où d’interminables va et vient de bites dures se font avec une intensité qui devient presque insupportable.

   

*** De longues minutes plus tard… ***

 

Je pousse un soupir de soulagement en m’adossant contre la porte d’entrée que je viens tout juste fermer et verrouiller. Le pas lent et les jambes chancelantes, je marche dans le salon et me dirige vers la chambre. Je ramasse au passage mon string qui gisait au sol.

 

J’entre la pièce où dort à point fermé celui qui me sert de possible copain depuis quelques mois sans vraiment être mon copain mais davantage mon meilleur ami bref mon best. Je ne m’attarde pas sur lui alors qu’il dort. C’est même bien puisqu’il dort. Je n’aurais à le sentir et il ne constatera pas mon état de fatigue après les 2h de sexe que je viens de passer. J’espère qu’il n’apprendra pas ça aussitôt.

 

J’enlève lentement mon ma robe qui était encore sur moi depuis et pendant ces 2 dernières heures. Le tissu me colle à la peau. Il faut que je prenne une douche car j’ai chaud, très chaud même. Mon corps éreinté par l’effort de tout à l’heure est couvert de sueur et ma peau colle, chose que je n’aime du tout. En plus je suis toute poisseuse.

 

Après une bonne douche froide qui m’a redonné un peu de force, je reviens dans la chambre toute nue. Je fouille dans mes affaires que j’ai ici et prend un boxer (petit short) blanc que j’enfile en tirant la lisière de l’élastique bien haut sur mes reins. Je glisse mes doigts entre les globes de mes fesses pour tirer un peu le tissu qui est trop rentré dedans au point d’être coincé contre ma rondelle endolorie.

 

Je monte sur le lit à côté du gros dormeur là et me couche malgré mes cheveux humides… Je m’allonge sur le ventre en plaquant mes seins nus dont les bouts frottent le drap soyeux de couleur bleu et blanc. C’est toujours un plaisir de m’allonger presque nue pour dormir. Je ne trouve le sommeil une fois que je me suis positionnée sur le côté en relevant et pliant ma jambe qui est au-dessus de l’autre.

 

Je regarde mon best dormir paisiblement. Notre amitié n’est plus que purement sexuelle mais m’en voudra-t-il pour ce que je viens de faire avec ses amis. J’espère que ces derniers fermeront leur bouche. Je ne m’en veux pas pour ce que j’ai fait. Je ne regrette rien après tout ça car ce qui est fait est fait. Et puis j’en avais envie mais je m’étonne de m’être taper 4 mecs. Quelle audace ! Cela reste au moins une bonne expérience même si au fond ce n’est pas bien.

 

 Je suis avec mon best dans une relation libre, basé sur le sexe. Je ne suis pas sa petite amie qui lui doit fidélité mais plutôt son ami en publique et la fille qu’il se tape en privé. Moi cela me convient bien et m’arrange beaucoup car dans tout ça il n’y pas d’engagement formel ni de contraintes en dehors du sexe dont je m’en sers pour le garder. Il ne sort pas vraiment et n’est pas fêtard à ma connaissance. Quand je viens chez lui pour passer du temps il est là et y reste pour s’occuper de moi. Je m’occupe de lui aussi, lavant son linge, faisant le ménage, lui préparant la bouf, bref je suis la femme de maison où il aime bien me voir trainer en boxer ou en collant que j’enfile exprès pour le perturber et l’allumer. Je sais qu’il voir mon cul donc j’use de tout pour le mettre en valeur. Résultat il me saute souvent préliminaire et me doigte. Ce qui n’est pas pour déplaire, bien au contraire. Il arrive qu’on se dispute mais on se réconcilie après un break, une trêve et une bonne baise. Je ne sais pas pourquoi, mais je l’aime pas. J’ai essayé de l’aimer mais rien. J’aime juste être avec lui. Vu qu’il vit seul et comment il est bien avec moi, surtout gentil et attentionné, je profite seulement au maximum. C’est carpe diem ! Et j’aime ça !

 

C’est sur cette pensée que je m’en dors en prenant soin de garder les cuisses ouvertes.

 

A SUIVRE ! 

Le doigt dans l'engr...