le jour de verité 1

Write by Ndobis

*********************JAMES***********************

 Je rentre chez moi ce soir avec l’esprit un peu embrouillé. Je ne sais pas si je dois  donner une explication à Alice pour ce qu’elle a vu ou alors rester tranquille. Mais la connaissant déjà  je m’attend à un tsunami  à peine elle va me voir. Je suis surpris de trouver la maison dans le noir  et je me demande bien ou elle peut etre à cette heure. Je prends une  bonne douche  et descends  réchauffer le repas qu’elle a sorti et mis dans le frigo pour qu’il se dégivre.
 C’est quand je suis entrain de manger une part du  tiramisù que j’ai trouvé au frigo que la bonne dame fait son entrée.je me prepare mentalement pour la dispute qui je sais va suivre.

-        Bonsoir et bon appétit

-        Merci ,bonsoir. Je peux savoir d’où tu viens à cette heure de la nuit 

-        Désolé, j’ai eu une urgence et je n’ai pas vu le temps passer

-        Ok

-        Bon je vais prendre une douche avant de venir manger

 Elle monte sans attendre ma reponse. Je suis vraiment choqué là . mais qu’est ce qui lui arrive ?Ah les femmes enceintes avec leurs humeurs c’est à ne rien comprendre. Je finis, rince mon plat  et vais m’installer devant la tv.Elle descends me trouver au salon et s’assoir sur le canapé en face de moi avec son ordinateur . une quinzaine de minutes apres alors que je suis concentré sur mon film,  son téléphone se met à sonner. Elle le prend,  le regarde en souriant et le repose alors qu’il continue de sonner .la sonnerie s’arrete et le telephone signale l’arriver d’un message. Elle pose son ordinateur et prends son telephone pour se plonger dans un echange de message interminable. Elle sourit comme une maboule  , j’aimerai bien savoir avec qui elle parle en ce moment.


 Après Le petit déjeuner  ce matin , nous sortons tous les deux pour faire les achats du trousseau.  Madame est perché sur son téléphone  et se contente de me guider  pour m'indiquer  le premier  magasin. De temps en temps elle pianote sur son téléphone  et sourie. Je me  demande avec qui elle  parle  au point d'être si souriante.  Une fois que je gare devant la boutique,  je sors l'aider à descendre . Elle ne me le dit certes pas mais ça se voit que la grossesse  commence  à  lui  peser. Je prends le chariot  et nous commençons les achats.  A ce moment  là  ,comme  si nous avions passé un accord  muet, nous faisons  les achats pour notre enfant comme  si aucune situation  de froid  n'existait  entre nous . Une fois les vêtements  choisis,  nous allons du côté des séches  linge, seaux et autres .que nous prenons tous de couleur blanche.elle  est si contente et touche son ventre à chaque instant.  Malgré  sa tetutesse  et son obstination,  je n'ai aucun doute sur le fait qu'elle fera une excellente maman. Une fois tout cela chargé dans la voiture  je démarre  direction maison, le berceau et certain cadres nous serons livrés directement à la maison. En cours  de route une idée  me vient .


 -ça te dirait  qu'on change la peinture dans la chambre du bébé ?


 -oui pourquoi pas. Tu as une couleur  en tête ?


 -du rose pâle


 -oui ce sera beau et les meubles  blancs viendrons   lui donner un aspect  douillet  et chique


-je ne savais pas que tu t'y  connaissais en décoration


 -je ne m'y connais  pas ,j'ai juste fait des recherches
 -ok


 Nous nous arrêtons pour prendre la dite peinture avant de rentrer à  la maison. Je sors dans l'après-midi  car j'ai un programme  avec Édouard  . Quelle  n'est pas ma surprise de rentrer   le soir et trouver un énorme  bouquet de fleur sur la table avec des chocolats  qu'elle à même  déjà entamé. Je veux poser la question  mais je me retiens.  Je la salut et elle me repond  sans toute fois tourner la tête dans ma direction.  Je monte me changer et je la trouve entrain de dresser la table. Nous mangeons en silence  comme  tous les soirs maintenant. Elle reçoit une notification  sur son téléphone, le prend  et lit en souriant.  Elle fait ensuite  une photo de son plat et depose le téléphone  pour continuer  de manger comme  si de rien  n'était.


 Je l’aide à débarrasser, laver et ranger avant de la retrouver  sur le canapé  pour lui faire son massage comme  j'en ai pris l'habitude.Cela fait, je  vais dans mon bureau appeler jobrel.

-bonsoir ma miss


 -bonsoir le grando..


 -comment  vas tu?
 -Très bien et vous là-bas ?


 -ça va , on ne se plains pas


 -dis à ta femme de ne pas trop manger hein,


 -hahahahahahaha, tu as oubli qu'elle mange pour deux?
 -les fausses  excuses.bref je vais l'appeler demain, depuis là  je n'ai pas eu le temps de l'appeler.


 -d'accord .je voulais juste prendre de tes nouvelles  et cavoir comment  a été la reprise


 -merci c'est gentil. Bon je te laisse  ,ma pause est terminée  et tu connais les gens ci quand il s'agit de travailler


 -vas y et beaucoup  de courage. Prends soin de toi.
 

Si ce n'est pas à sa sœur à qui parlait t'elle ?

Deux semaines que dure ce manège. Je sens la presence de quelqu’un d’autre chez moi. Entre les fleurs, les cadeaux et autres je  ne compte plus. Elle qui au début essayait d’arranger les choses entre nous n’a plus fait aucune tentative.

Aujourd’hui je reste à la maison  . je compte bien la surveiller et épier  ses moindres faits et gestes. Je finirais par avoir une idée  de ce qui se trame. Vu que la Mandy ne vient pas aujoudhui je me retrousse moi-même les manches . je passe l’aspirateur , la serpillere, essuie les poussières et range comme je peux, De toute les façons c’est déjà en ordre. J’en profite pour ramasser les feuilles morte dehors .pendant ce temps elle cuisine et à l’odeur je devine que c’est du Mbongo. J’entre à la cuisine pour prendre un verre d’eau et constate qu’elle est au telephone. Je traine les pieds espérant capter quelques choses mais rien , elle ne repond que part des oui et non. Je sors de là et vais ranger le linge qui a séché.

Alors que je suis  devant la télévision en mangeant, elle vas prendre son bain et revient avec une robe qui lui colle comme une seconde peau. Cette dernière laisse voir ses seins qui ont pris du volume. dans mon pantalon je suis à l’étroit. Elle est bandante  à chier. Elle ne me gère toujours pas pour autant et je fais pareil. Apres le repas, alors que je range, elle monte et troque sa robe contre une autre plus ou moins identique.  Jai envi de lui demander d’aller se changer mais je me retiens.

-        j’arrive

 -        et je peux savoir où tu vas ?

-        depuis quand ça t’intéresse

-        tu portes mon enfant

-        ah !

-        oui Ah !

-        je vais me coiffer

 elle me plante là et s’en va. j’appelle Edouard pour lui en parler et l’idiot se moque de moi. Je finis par raccrocher encore plus frustré qu’avant.
 

********************Alice*******************

 

-        ah ma cherie  vas doucement avec lui oooo

-        il n’a encore rien vu. Il ne voit que du feu

-        Weh le pauvre

-        Pauvre avec quoi ? je lui ai demandé de me pardonner il n’a pas voulu . maintenant je suis obligé d’utiliser la methode forte.

-        Courage mais tu ne vois pas que ca a assez duré ? là tu ne suis plus le plan de maman. Il ne faudrait pas  que ça se retourne contre toi.

-        Non t’inquiete je vais boucler ca le weekend prochain

-        Ok. Tu as interet.

-        Tu me crois si je te dis qu’il a lui-même peint la chambre de l’enfant

-        Heinnn

-        Comme tu comprends la

-        Ah ca !quand ca concerne son enfant il ne blague pas hein

-        Non non. Il a dit qu’il fera venir quelqu’un pour faire certains dessin au mur

-        Les choses qu’on voit seulement à la télé. Une histoire digne d’un papa poule

-        Hahahahhahahahahha mouf laisses mon mari en paix

-        J’ai laissé ooooo

-        Je vais lui donner le coup de grâce ce weekend et après ca on passera définitivement à autre chose

-        J’espere que tu as appris de tes erreurs cette fois ci

-        Oui coach Tiya ,et je ferais tous pour ne plus  commettre les mêmes erreurs. Ma sœur mon cœur a chauffé quand j’ai vu ces photos. J’ai cru que j’allais mourir

-        Hahhahhahahahhhhhh l’amour quand tu nous tiens

-        Parle pour moi. Toi-même tu es déjà maboule  de Edouard.

-        C’est arrivé sur moi maintenant ?

-        Oui oui jusqu’à ca a même dépassé. Bon je rentre chez moi.

   

                      ***************James*****************

 

Je ne sais plus quoi penser. Je ne sais toujours pas avec qui elle se voit. Je l’ai même  filé à maintes reprises mais rien.je suis assis sur le lit entrain de manipuler mon téléphone sans rien regarder de précis. Ma tette n’est pas tranquille . elle  est surement passé à autre chose. Mais comment ?avec qui ? qui est l’idiot qui sort avec ma femme au point de lui offrir les cadeaux couteux ?. demain je crois que je vais faire appel à Hamidou pour qu’il lui colle un agent aux trousses. Je ne supporte pas de rester dans le flou. Quand on parle du loup on voit sa queue. La sorcière en question passe devant moi avec une espèce   culotte ainsi qu’un débardeur  qui ne couvre point entièrement son ventre. Elle est tellement sexy et belle. Putain si cette affaire continue je vais mourir non seulement de frustration mais aussi de  jachère .elle fait des tours dans la chambre et hors de cette dernière  seul Dieu sait ce qu’elle cherche. Je suis tellement à l’étroit dans mon pantalon que je crois que mes bourses vont exploser. N’en pouvant plus, je me lève et vais m’enfermer dans la salle de bain. Je l’écoute éclater de rire ce qui m’énerve encore plus : elle se paye ma tête. Quand je vais la récupérer, je vais tellement la limer qu’elle ne pourra même pas marcher.

Toute la semaine  je l’ai fait suivre mais rien . soit ils sont braves à se cacher soit cet homme est un fantôme. Je ne l’ai pas inventé je vois ses appels  et les entends parler  tout le temps.

Elle se lève pour aller chercher je ne sais quoi à la cuisine et son téléphone se met à vivrer.la curiosité me pousse à me lever et   le nom de l’appelant  est Apollon

Mon cœur fait boom et je  commence à avoir des palpitations. APPOLON ? sans blague ?  je retourne rapidement à ma place quand j’écoute les bruits de pas dans le couloir.  Je sors et vais à la piscine nager un peu . Apres  une quarantaine de minutes je suis toujours aussi frustré, j’entre donc à la maison et vais la retrouver dans la chambre ou elle se trouve

-        C’est qui Appolon ?

-        Pardon ?

-        J’ai demandé qui est Appolon ?

-        Ou as-tu écouté ce nom ? attends je rêve ou quoi ?tu as osé fouiller mon téléphone ? tu t’es réduit à cette bassesse ? hurle-t-elle

-        Tu n’a toujours pas répondu à ma question

-        Réponds tout seul

-        Ne me pousse pas à bout Alice

-        De quoi m’accuse-t-on ?

-        D’infidélité

-        Voyez moi ca, tu crois que c’est tout le monde qui traine dans la boue comme toi ?

-        Oui c’est ca, tu n’as que ca dans la bouche

-        Tu m’as encore entendu te parler de ça ? je t’ai demandé les excuses combien de fois pour cette affaire ? tu ne voulais même pas m’écouter donc s’il te plait ne viens  pas bavarder dans mes oreilles. Tu voulais la liberté et je t’ai laissé tranquille. Que me veux- tu d’autre ? dit – t-elle en hurlant

 

-        JE VEUX QUE TU ARRETES DE FAIRE LA PUTE AVEC MON ENFANT DANS TON VENTRE.

La gifle qui suit me fait comprendre que je suis allé trop loin.

 

-        Je ne te le permet pas  tu comprends ? jamais plus tu ne me traites de pute . entre toi et moi il n’ya plus rien donc je suis libre de faire ce que je veux avec mon corps  et toi pareil donc rentre toi ca bien dans le crâne.

 

Je reste là comme un con à la regarder s’en aller . Comment avons-nous fais pour en arriver là ?tout allait pourtant si bien avant le début de cette histoire.

Le reste de la journée chacun est resté dans son coin.  Même manger je n’ai pas pu car j’ai l’estomac noué.

Nous sommes vendredi et ce matin je n’ai nullement envie d’aller au travail. Alice est sortie  ce matin en m’ignorant royalement . Même le simple bonjour qu’on s’échangeait jusqu’ici il n’y a pas eu.  Elle a passé la nuit sur le divan  au salon. J’ai voulu la réveiller pour lui demander d’aller dans la chambre mais je n’ai pas eu le courage.

 Je suis tiré de ma  rêverie à l’environ de 11h alors que j’essaie tant bien que mal de me concentrer sur un projet en cours. Le gardien m’informe qu’il y a un livreur à l’entrée. Je sors et je vois un jeune homme avec deux énormes bouquets de fleurs et un gros sac en carton. Le gardien m’aide à tout faire entrer et déposer au salon . A peine il s’en va que  j’ouvre le sac en question . il contient un gros carton scellé ainsi qu’une boite de chocolat Ferrero Rocher. Mon regard est attiré par la carte qui se trouve sur le plus gros bouquet.je veux faire fi et l’ignorer mais c’est plus fort que moi.je le prends en tremblant et le cœur battant .

Une larme s’échappe de mes yeux quand je lis le contenue.

« Des belles fleurs pour la plus belle des femmes, j’ai hâte d’être avec toi demain soir. Tu me manque ma  tigresse . A »

J’avais donc raison, il ya un autre homme. Jusqu’à cet idiot appelle ma femme MA TIGRESSE. Ma femme à moi. Si j’avais ce petit emmerdeur en face de moi maintenant je lui aurais cassé la gueule. Je suis sur le point de tout détruire  quand une idée me passe par la tete.si je les détruit elle ne les verra pas et n’ira pas au rendez-vous et par conséquent je ne saurais pas qui il est . je ravale donc mes nerfs  et prends sur moi pour jouer la carte de l’indifférence.je range tout comme c’était et j’essaie de m’occuper comme je peux. Elle rentre le soir et range ses choses . Ma bouche me démange, les oreilles bourdonnent et j’ai envie de l’étriper mais je prends sur moi.je  passe une nuit blanche sur le canapé du salon en regardant Games of Thrones que je n’ai jamais eu l’occasion de terminer.. Le matin je sors et vais jouer au foot. A mon retour  elle a fini de faire a manger. Elle me sers et va prendre un bain . elle redescend vêtu d’un mini kaba

-        J’arrive

-        A quoi bon me dire que tu arrives sans me dire ou tu vas ?

-        Je vais me coiffer et me faire bichonner un peut au spa

-        Hummm

-        Quoi ?

-        Rien

-        Ok. Ensuite elle s’en va .

J’appelle le petit du quartier qui est sensé la suivre partout aujourd’hui pour lui dire de se tenir prêt car elle est sur le point de sortir. Il me confirme sa position avant de se tenir prêt. Une fois finie, je lave et range tout avant de  monter dans la chambre pour faire la grosse commission. Qu’elle n’est pas ma surprise de voir une robe rouge ouverte de  partout accrochée sur un cintre ainsi qu’une de ses babouches qu’elle appelle Mule.

Elle ne fait vraiment pas dans la dentelle, entre coiffure, spa ,robe, les petits plats ont vraiment été mis dans les grands.

 

Environ quatre heures plus tard elle rentre. Elle est encore plus belle que d’habitude. Elle entre juste et va prendre une douche. Pendant ce temps Edouard arrive.

-        C’est comment man ?

-        Gars ça ne va pas . Dis je en chuchotant. Le go est vraiment passé à  autre chose.

 Je lui raconte ce qui s’est passé hier et aujourd’hui sans omettre le moindre détail.

-        Man c’est chaud hein… ca ne sens pas bon du tout tout ca.

Des bruits de talons  se font entendre. Lui et moi tournons la tête presqu’au même moment  pour voir une Alice métamorphosée en déesse apparaitre. Elle descend les marches avec une élégance et une prestance que même son ventre qui pointe ne réussit pas à dissimuler. Walaye si nous n’étions pas sous tension actuellement je l’aurais ramené dans la chambre pour la faire mienne et ensuite je lui aurait demandé de changer cette robe illico presto.

-        Bonsoir Edouard

-        bonsoir ma BS(belle soeur). Tu es magnifique

-        Merci

-        Tu es là depuis ?

-        Non non je suis arrivé il y a peu

-        Ok . bon je te laisse. A bientôt et surtout tu feras un coucou de ma part à Tiya.

-        Je n’y manquerais pas.

-        Je peux savoir où tu vas ?

Pour unique réponse elle me regarde sans mot dire, porte le petit sac qu’elle avait deposé et s’en va

-        Hummmmm tu la laisse s’en aller ainsi ? attends tu n’as pas vu ce que j’ai vu ?

-        Calme-toi j’ai très bien vu.

-        Et tu ne fais rien .moi à ta place je ne la laisserais pas sortir d’ici car c’est clair qu’elle va à un rendez vous

-        Je le sais. Ne t’inquiète pas elle connait toutes les voitures de cette maison si je la suis je risque me faire griller .il y a un petit du quartier qui le fera à ma place . Quand elle arrivera à destination il me ferra signe et je n’aurais qu’a y aller.

-        Ah ok. Vraiment désolé, je n’aimerais pas être à ta place en ce moment.

 

Je l’écoute sans rien dire , le cœur battant à se rompre. Je contrôle mon téléphone chaque seconde pour voir si le gars m’a envoyé un message mais rien. Je me lève , me sers un verre de whisky  et le bois d’une traite. Je sens la gorge qui me brule mais cette douleur ne réussit pas à attenuer la peine que j’éprouve en ce moment. Je me serre un second verre mais je ne le bois qu’a moitié.

-        Heeee vas-y molo molo (doucement) . si tu te saoule maintenant tu ne pourras pas aller la retrouver là-bas. Calme toi-même si je sais que c’est plus facile à dire qu’à faire.

Mon téléphone que j’avais posé sur la table se met à sonner .je le prends les mains fébriles et le met à l’oreille

-        Allo

-        Oui grand

-        Du nouveau ?

-        Oui , elle s’est arrêté au super marché pour acheter les chocolats , du  champagne si je ne me trompe avant de remonter dans sa voiture pour se rendre à l’hôtel Belle vie.je l’ai suivie à chaque étapes. Je suis même entré dans le super marché.

 

-        Elle était seule tout ce temps ?

-        Oui grand, elle est entrée avec ses achats et un petit sac

-        Ok je vois. Bon envoi-moi ta  position et reste sur place, j’arrive

-        D’accord grand

-        Surtout garde les yeux ouverts

-        Je  t’inquiète pas grand.

 

Je ramasse mes clés sous le regard de ED.

 

-        L’heure de vérité a sonné

-        Tu veux que je t’accompagne ?

-        Non non merci mais ne t’inquiète pas . s’il y a quoi que ce soit je  te ferais signe.

-        Ok. Surtout fais attention et ne fais rien que tu pourrais regretter plus tard.

 

Nous sortons, je ferme la porte et chacun de nous monte dans sa voiture. Je ne sais pas comment j’ai fait pour conduire jusqu’à cet hotel. J’ai garé un peu plus loin avant de faire le reste du trajet à pied. Je sens qu’un cadavre va mourir aujourd’hui.

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