Le Pain sans levain
Write by Shayanna225
1m92
Native du mois de Juin
Couleur de peau : Métisse ++
Sport favoris : La bagarre
Corps de militaire
Yeux rapproché de couleur
Sourire communicatif
Qualité : Spontanée et perspicace
Gildas HEYDARI, papa n'a pieux. Le beau gosse à la peau laiteuse, il est rempli de principe et ne supporte pas qu'une femme veuille le mener à la baguette, il a le sens de la famille. Un peu vieux jeu sur les bords, il s'est donné pour vocation le détournement de l'enfant d'autrui ????. Sa bouche est très pointue, faites gaffe à ne pas le provoquer, ce qui risque d'y ressortir fait plus mal qu'un coup de fouet ????. Hormis tout ça c'est une perle rare ????.
Il est pilote à Emirates Airlines. Né d'un père Turc et d'une mère Ivoirienne, il fait ses débuts dans le monde de l'aviation militaire avant d'intégrer le monde des vols commerciaux. Il a 35 ans et est célibataire, du moins en cheminement avec une femme qui se croit en couple avec lui. Chrétien fervent, son souhait est de rencontrer une femme partageant ses aspirations chrétiennes. Monsieur HEYDARI réside dans un duplex situé à Cocody Les Deux Plateaux Vallons, Rue des jardins. Il est très bagarreur et s'énerve vite. L'extrait qui suit en est la parfaite illustration.
" — Monsieur HEYDARI, intervient le directeur. Nous pouvons arranger cela. Les jeunes de nos jours font des erreurs. Vous convenez avec moi que Nour et Zahia sont des femmes à peine adultes.
Il défend ces pestes sans perdre des yeux la plus teigneuse.
— Monsieur le directeur, ma décision restera sans équivoque. À moins que vous preniez des décisions correctionnelles à leur égard, nous irons au procès.
— Monsieur HEYDARI, voyons ! Essayons de trouver un compromis. Cette affaire ne s’ébruitera pas. Vous avez ma parole. Mais laissez tomber et oubliez ce fâcheux malentendu.
— Attendez ! Qu’avez-vous dit ?
Comme toute réponse j’obtiens son silence. Monsieur le directeur devient subitement inconfortable dans son siège. Il prend la serviette à sa disposition et la passe minutieusement sur chaque millimètre de son front plissé. Je pince l’arête de mon nez pour réduire la sensation de picotement dans mes yeux.
Je me lève de mon siège en fracas, les lèvres tremblantes. D’un mouvement rapide, je me rapproche de lui et saisis l’encolure de son vêtement. Je le soulève de son siège. Un cri furtif résonne de la bouche de l’une d’elles. D’un regard meurtrier, je la réduis au silence. Elle se ferme la bouche des deux mains. L’autre se crispe sur son siège. Sa respiration s’accentue tout comme celle du directeur. À voir la mine effrayée qui a remplacé son attitude compatissante, mes yeux doivent être sur le point de sortir de leur orbite alors que je le fixe avec toute ma rage.
— Mon pénis a fait le tour des hôtesses et même des stewards. De quel compromis me parlez-vous ? "
Ma grand-mère m'a toujours dis qu'un homme c'est en bas. Alors si le machin du monsieur de promène comme ça, ça veut dire que chose donc truc… bon vous avez compris le film. Que nous réserve monsieur HEYDARI, celui que j'ai nommé Pain sans levain ? Quel homme à ce siècle attend encore le mariage pour faire crac crac boom boom ? Du genre, il est solennel. C'est uniquement à la pâque qu'on a le droit de le manger.
Jj-3