Les nuits de jambes à l'air 2

Write by Verdo

LES NUITS DE JAMBES EN L'AIR (nouvelle)


Deuxième partie. (Likez avant lecture)


Je plongeai bien mon regard dans le rideau tout en les observant bien se chatouiller. Tchiéee ma soeur ! Où a t-elle appris toutes ces techniques de jambes en l'air? Tout d'abord après s'être étendue à moitié sur le canapé tournant ses fesses vers John, elle changea de position et cette fois ci, elle fit le contraire en s'allongeant sur le dos et en mettant les jambes sur les épaules de ce dernier. C'est ainsi qu'il eut le vilain plaisir d'enfoncer son kiki au plus profond de ses entrailles. Elle tournait sa hanche on dirait Amber Rose dans ses vidéos populaires sur youtube. Je ne savais pas qu'elle était déjà devenue  hyper gâtée. Elle appliquait à la lettre tout ce qu'on regardait à la télé et dans les films. Si seulement quelqu'un mettait les yeux de notre père ici cette nuit, je crois que quelqu'un ira en prison. Je restai immobile tout en gardant ma place sans faire de bruit. Je sentis la lourdeur et des douleurs dans mes biceps. C'était le début d'une crampe. Ooooh! Merde. C'est quoi le problème de cette crampe? Elle  est mal tombée. Quoi qu'il arrive, je ne bougerai pas d'ici. J'entendrai la fin de leur sextape. Je m'accroupis un moment puis je me relève. Ils n'ont pas encore terminé. C'était toujours la même position qu'avant. Humm, mon canapé préféré. C'est sur ça eux ils s'envoient en l'air. Je vous jure que je leur ferai payer quoi qu'il arrive, j'essayerai de trouver un moyen. 

Un instant après, elle déscendit du canapé.  John était toujours debout dans sa position d'avant. Cette fois ci, elle sauta dans ses bras, les deux mains autour de son cou et ses jambes entrelassées autour de sa hanche. Il attrapa ses fesses et recommença à faire les mouvements de vas et viens. Cette fois ci, ils firent le tour de tout le salon. John criait ainsi qu'elle.  Cela me mettait mal à l'aise et commençait à me taper sur les nerfs. La crampe est revenue et tout d'un coup, je glissai sur mes pieds et tombai  tout en faisant du bruit. Je remarquai qu'ils se retournèrent tous les deux les yeux fixés dans ma direction. Près du rideau où j'étais, se trouvait la porte de la cuisine. Il y avait des sacs de charbon de bois ouverts et d'autres fermés.  Je me cachai derrière l'un des sacs fermés. John et ma soeur tout nus se dirigèrent vers moi avec une torche à la main. Arrivés devant la cuisine, elle alluma la lumière et sans le savoir frôla un des sacs de charbon  qui se renversa complètement sur moi. Mes cris se firent entendre. Je me suis couvert partout. Je ressemblais à un vampire ou un zombie. Ma vue devenait floue. Ma soeur cria sur moi tout en oubliant qu'elle était nue. John était retourné au salon s'habiller.


- Qu'est ce que tu fais à cette heure là ici? Tu devais être au lit. 


- Moi au lit? Et toi tu fais quoi toute nue devant moi?


- (C'est en ce moment qu'elle se rendit compte) Elle courut rejoindre  John en enfilant ses tenues.


Je les entendis discuter.


-Qu'est ce qu'on va faire maintenant ? Je suis sûr qu'il nous a vu. Fit John.


-Oui, je crois. Je ne sais pas. Et s'il racontait tout à mon père ? Non seulement il va me tuer mais toi, ton cas sera pire.


-Évitons de parler de ça maintenant et cherchons une solution. Et si on essayait de l'amadouer? Je vais lui donner de l'argent voir s'il peut la fermer.


-Si seulement cela peut marcher. Mon frère est très intelligent. Papa nous tuerai toi et moi s'il apprenait cela.


Je les entendis faire leur plans tout en souriant. Je les attends. Ils n'ont qu'à venir. Peu de temps après, ils s'avancèrent tous les deux vers moi. Je réussis à me rincer le visage.


- Raoul, viens s'il te plaît. On a à te parler.


Je m'approchai.


- Raoul, fit John. Je sais que tu as vu tout ce qui s'est passé. Tu n'es plus un petit garçon. J'aimerais que tu ne dises rien a ton papa. 


- Oui Raoul s'il te plaît. Ne dis rien à papa sinon il va me tuer fit ma soeur.


- Et pourquoi je ferai ça ? 


-Parce que tu es mon frère. Et on doit se protéger.


-( Je commençai à rire). Donc je dois te laisser te faire sauter par le voisin dans le salon comme bon lui semble. Je dois me taire et ne rien dire?


- Hum, Raoul s'il te plaît. Ne dis rien à ton père. Je ferai tout ce que tu voudras. J'ai de l'argent. Je t'en donnerai.


-Argent? Je n'ai pas besoin de ton argent monsieur le pervers. Je vais le dire à mon père ce que vous avez fait tous les deux. Ce n'est quand même pas normal que vous abusez du salon comme ça avec vos techniques bizarres. Et vous John? Papa  vous a laissé louer cette chambre pour que vous puissiez nous protéger et  nous surveiller lorsqu'il est absent pas pour envoyer en l'air ma grande soeur. N'avez vous pas honte?


- On est désolé Raoul. On ne le fera plus. C'est la dernière fois. Je t'en supplie, ne dis rien à votre père.


- Et puis ce qui est gigolo, ma soeur voulait m'embobiner avec une histoire de massage. Vous pensez que je suis bête à ce point?


- Je suis désolé petit frère. C'est venu comme ça. On a pas pu s'empêcher. Je t'ai toujours protégé. C'est maintenant à toi de faire le même.


- Okay, arrêtez. Vous avez plusieurs fois commis l'irréparable. Y' a plus de retour en arrière. Mais je peux vous faire une faveur. Ramassez tous les draps sur lesquelles vous avez fait vos cochonneries et lavez les tout de suite. Ensuite nettoyez le salon cette nuit même. Monsieur John,  vous allez nous amener chaque jour à l'école jusqu'au retour de papa. Laver nos assiettes et nous faire la vaisselle. Peut être que j'aurai la gentillesse de ne rien dire.


- Quoi Roul? Quelle méchanceté ? Comment peux-je faire tout ça? Et mon travail? 


- Fallait y penser avant de commettre le sacrilège dans notre salon. C'est ça ou rien.


Au début, il refusait mais ma soeur l'a finalement convaincu. J'étais là a les regarder sortir les draps et les laver. Il sonnait vingt trois heures trente. Tout le monde était endormi. Je les regardais tout en souriant. Si on leur demandait de refaire un truc pareil, ils n'auraient plus jamais oser même pour un million. Ma soeur me regardait méchamment. Dans sa  tête, je crois qu'elle est en train de se dire qu'elle m'aura. Mais je suis le plus malin comme elle même l'avait dit. Je partis me coucher et lorsque je me réveillai le matin, ils n'avaient pas encore fini de nettoyer le salon. Tchiéee. Je les ai eu.


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