L’histoire du Cote d’Andira
Write by Honorable FOM
Je le regarde en même temps qu’il conduit, j’analyse tous les traits de visage comme un chirurgien. Il a une vilaine blessure sur la joue gauche, je me demande comment cela lui est-il arrivé. Son menton est bien carre, ses fossettes lorsqu’il sourit sont irrésistible. Ses yeux noir et ronds sont légèrement enfoncés. Ses sourcils sont copieux et cintrés. Son regard est expressif et franc. Il est mince, élancé, costaud et très coquet. Un nez saillant. Pendant ce temps mon cœur bat la chamade. Mon dieu que ce qu’il est beau. Il me fascine comme nul autre pareil. Je vibre comme les cordes d’une guitare mexicaine, qu’un virtuose est en train de jouer. Il me jette un regard de curieux, seigneur a quoi pense-t-il ? Est-ce la même que moi ou bien pure.
-Tu vas bien ? Me demanda-t-il
Il plaisante ou quoi ? Non rien ne va. Tout mon corps est ton feu et il ne se rend pas compte qu’il est la seule chose qui pourrais l’éteindre ou le fait-il express. Je voudrais être à genoux devant lui, sa queue coincée entre mes lèvres, mes mains enfoncées dans sa chevelure noire, allant et venant dans la tanière humide de ma gorge.
-Oui tout va bien.
On continue de roule en direction de chez moi. Il me tarde d’arriver, c’est un moment intenable. Ca cogite dans ma tête, je ne contrôle plus rien. Si je pouvais me détourner pour ne le dévisager, je ne sais pas où regarder. Il n’y a qu’une route, des lampadaires et des bâtiments que tu vois a peine. Pas le temps de les admires alors mon regard restera sur lui.
Nous arrivons finalement chez moi, on descend. J’ouvre la porte, à peine qu’on traverse le salon. Je commence à monter l’escalier qui mène à la chambre comme une gamine de 15 ans. Il me suit en prenons les marches deux par deux. J’imagine ce qui se passe dans sa tête comme ce qu’il se demande Que ce que je suis bonne ! Mon cul est bien ferme et facétieusement gonflé, ma courbe douce l'hypnotise, au point que la braguette de son pantalon risque de péter sous la pression de son érection.
On pénètre dans ma chambre et qu’Il m'empoigne par la taille, me plaque contre la barrière de mon lit puis met sa langue dans ma bouche. Ses mains me pétrissent les fesses, le voilà qui fourre son nez entre mes seins. Mes seins trop délicats deviennent chauds comme de la braise. Puis il descend sa langue, comme du papier de verre dans mes entrailles, me lacère jusqu'au plus profond de moi-même. Pendant ce temps, Je mets a caressée ses muscles noueux d'une main incertaine. Je ne réfléchis plus à rien, je ne suis plus personne, sauf que c’est tellement bon. Il est embrasé et farouche. Dans ses bras, je me perds à l’extrémité du paradis. Je ne contrôle plus rien. C'est divin.
Je veux qu'il me morde, qu'il me dévore. Oui, je veux qu'il m'engloutisse le plus profondément possible sous sa peau. Qu’il me pénètre comme une lame aiguisé. Mon corps le demande. Il se déshabille après m’avoir mis toute nue et me jette sur le lit. Mes mains glissent sur sa queue prise d'une érection tellement forte que cela me fait sourire. Je mets des petits coups de langues sur son gland qui s'écarte de plus en plus. Je le suce délicatement, puis accélère le rythme, à telle point que je suis tout proche de m'étouffer.
Il me renverse, me met sur le dos, écarte mes jambes et commence à me pénétrer. Par ses coup de reins, c'est comme s'il me brisait. Je me tords de douleur et de plaisir. La seule que j’ai pu dire est juste vas-y continue fais-moi mal. Cet homme est un virtuose de l'extase. Mon sexe abonde de fluide vaginale comme une rivière. Je n’ai jamais été aussi chaud, je brûle. Je me consume. Mes cendres se dissipent, se brouillent, s’entrechoque.
Il me crache à l'intérieur de l’anus pour y donner un aspect glissant pour y glisser son doigt.
Lorsqu’il commence à jouir, il lève la tête en poussant des cris. Je sens la force de jet de son sperme dans mon utérus.
Il se laisse tomber près de moi, le souffle couper. Il respire à plein poumon, je le regarde et le contemple. Mais que ce que je suis heureuse, j’ai pris un plaisir fou à faire l’amour ce soir. Je pense que je ne pourrais plus me passer de lui à partir de ce soir.
- Tu fais l'amour amplement bien, dis-je. Ton sexe est tellement énorme. Tu m'en as presque percé de tous les côtés.
- Tu n'as pas tout vu! Je vais t'en faire voir de toutes les couleurs.
Je me retourne, me dorlote contre lui. J’embrasse tous son thorax et lui me caresse le dos. Je peur qu’on recommence.
Oups. J’ai carrément oublie de me préoccuper de ma fille. L’envie de s’envoyer en l’air avec un beau Don Juan, m’a fait perdre la tête. Je sors de la chambre les fesses en l’air, je vais au toilette, prend une robe de chambre et va voir ma petite chérie. Elle est bien endormie sur lit et nage un sommeil profond. Ce petit être est ma raison de vivre, ma joie, ma tendresse, mon cœur tout simplement. Chacune de mes inspirations, chacun de mes rêves, chacune de mes larmes de joie sont destinés à elle. Je ne vis que pour elle, je considère qu’elle est la mission pour laquelle je suis dans ce monde.
Je reviens retrouver Benadir toujours allongé dans le lit.
-Est-ce que tout va bien ? Me lança-t-il
-Tout va extrêmement bien. Que demande de plus lorsque je de viens faire l’amour comme une bête et que ma petite dors comme une petite princesse.
-Alors monte sur le lit et viens prend de moi. La machine a encore de rentrer dedans jusqu'à t’éclater le vagin.
-C’est vrai, moi aussi j’ai encore soif.