....le lendemain..... 

Voici un nouveau jour s'élève mais la souffrance que je ressens ne s'estompe pas, l'on dit souvent que le temps guéri les blessures mais je crois que la personne à oublié de signifier dans quel cas cela est effective,dans la perte d'un être cher cette phrase ou expression n'a pas sa place, hum, moi osiko, qui était pleine de vie, moi que les gens traitaient de fille à papa à cause de mon je m'en foutisme, moi qui riait pour tout et à tout moment, moi qui suis rarement abattu par ce qui se passe dans cette vie, me voilà avec plein de questions sans réponses, voilà moi je ne trouve plus de sommeil depuis ce fameux soir, et merde mais Dieu cette fois ci tu as fait fort, on dit tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu mais la la, seigneur je te redemande en quoi ceci concours à mon bien où  a celle de ma mère ou de mes frères ? 

C'est sur ces pensées que je me lève pour aller brossé mes dents, prendre une douche et je met une longue robe blanche avec des sandales, je descends au salon mais il y'a personne, je remonte et vais vers la chambre de ma maman ,au fuir à mesure que je m'approche j'attends des sanglots, ah c'est pas vrai, c'est sur que maman a encore passé toute la nuit à pleurer papa avec l'une de ces photos en mains malgré que l'on a essayé de dégagé les effets de papa elle trouve toujours quelque qui se rattache à lui pour se rappeler de leur moment et pleuré, hum, enfin de toute les façons tout ce qui est dans cette maison nous rappelle papa, même quand je vois son stylo sur la table, j'imagine quand il travaille ces projets et nous venons le dérangé et il se plaignait de nous a maman, et maman le traitait de bébé, ah mon Dieu que c'est douloureux, 

-toc toc toc maman c'est moi je peux entrer 

-oui mon bébé rentre (avec une voix larmoyant ?)

-et maman arrête de pleurer, tu me fais encore plus de la peine quand je te vois ainsi (en me jetant dans ces bras

-mon coeur tu ne peux pas comprendre pour le moment, ton père mon seul et unique amour, nous nous sommes construis seul, tu sais j'ai connu ton père depuis que j'ai quinze ans et on ne s'est plus quitter jusqu'à, maintenant (pleurant de plus bel),lui il avait que dix sept ans, on s'est rencontré au lycée j'étais en seconde et lui en terminale, il était le meilleur élève du lycée, il a eu des tableaux d'honneur, et quand il m'a dragué la première fois, j'ai été retissante, je croyais qu'il allait s'amuser avec moi ,mais il a été si persévérant ,on a passé par tant d'épreuves, la vie n'a pas été facile pour nous ma chérie, mais notre amour à survécu, je l'ai aimé une fois, je l'ai aimé pour toujours, j'ai jamais été voir ni à gauche ni  à droite, il a été mon tout comme je l'ai été pour lui, les filles courait derrière lui ,mais il n'avait que d'yeux pour moi, je me rappelle il y'avais des filles qui venaient même l'embrasser devant moi, mais jamais je n'ai fait fi parce que j'avais totalement confiance en mon homme, des problèmes oui nous en avions eu mais jamais personne n'a eu à entendre nos disputes, jamais l'on ne disputé longtemps, ton père est l'homme le plus doux, le plus compréhensif que j'ai connu, il ne m'a jamais porté mains, il n'a jamais levé la voix sur moi hors notre chambre, jamais il ne m'a rabaissé, il était l'un des rares hommes que je peux traiter d'exeptionelle, mes amies me racontaient leur déboires mais moi jamais je n'ai eu à dire, mais voilà mon bébé, il m'a laissé seul à ces vautours de frères et soeurs, ils n'attendaient que ça j'ai prié Dieu de nous gardé, mais est ce eje peux imposé ma volonté à Dieu ? Hum j'ai le coeur qui saigne ma fille,il y'a une partie de moi qui s'est éteinte, la souffrance me consume à petit feu, parce que ton père était celui qui egayai ma vie, il était mon frère, mon ami, mon amour, mon tout, oui il était mon tout, je souffre mon bébé 

hum à force de l'écouter je pleure tellement, hum papa, pourquoi, regarde cette femme qui nous faisait tellement rire avec ces anecdotes bizarre que tu aimais tellement écouté,regarde ces yeux de la ou tu es, et dit quelque chose, hum

-toc toc toc 

-oui c'est qui ? 

-c'est moi maman oncle Gaspard est la(repond praising) 

-ok je vais aller voir, vous restez dans la chambre d'accord ? 

-oui mammy (répondons nous) 

........

-praise je vais resté dans les escaliers voir qu'est-ce qu'il lui veut, 

-d'accord mais te fais pas prendre, tu sais que maman n'aime pas qu'on la désobéisse 

-oui t'inquiète 

..........

-Pauline c'est comme je t'ai dit, moi je veux seulement t'aider hein

-mais Gaspard toi aussi, toi que moi je prenait pour le plus sérieux ? tu ose venir me dire de t'epouser pour que la famille ne puisse rien m'arracher, mais vous êtes surprenant da's cette famille, toi qui est comme le jumeau de mon mari ? 

Quoi ????? Tonton Gaspard aussi s'y met ? Oh nous sommes vraiment fini ooo, l'homme est un loup pour l'homme, merde lui que moi je prenait pour le plus sage d'entre eux, il nous bien berner celui la, le corps de papa ne s'est même pas encore refroidi que nous voyons le visage de chacun d'eux 

Cc mes amours, liké et commenté pour dire ce que vous pensez, pardonné oooo abonné vous, je vois bisoute