Mariée et amoureuse

Write by Lulu-marie

Chapitre 12 : Mariée et amoureuse
***Solènne***
Tous ce que je souhaite, c'est de me libérer (reniflant) mais cet petit ingrat refuse de sortir maintenant, j'ai eu des contractions toute la nuit. Ces médecins m'ont juste fait des injections en me demandant de patienter le temps que les contractions ne s'estompent. Et maintenant on me renvoie à la maison, huit mois et deux semaines n'est t'il pas suffisant ? 
Moi (péniblement) : Je n'en peux plus ooh je n'en peux plus, même la grossesse de Kriss ne m'a pas autant déranger.
Dylan (me regardant) : ça va ?
Moi (le dévisageant) : vraiment tu me demandes si ça va ? 
Adèle : Solènne pas la peine de t'énerver c'est toujours comme ça et tu le sais (se levant) je vais te faire une bonne tisane.
Je ne lui ai accordé aucun regard, que personne ne m'énerve. Une bonne tisane tchrummm elle m'agace de jour en jour celle la avec sa présence, toujours à vouloir me contrôler et Dylan sait que c'est ce que je n'aime pas. Ils m'ont ramené une petite fille disant qu'elle va m'aider ici, est-ce que je leur ai dit que j'en avais besoin ? Vivement que celui ci sorte de mon ventre pour que je mette mon plan en exécution.
Adèle : Je vais passer la nuit ici avec vous.
Moi : non pas question 
Dylan (me regardant) : So
Moi : Je veux dire ne vous gênez pas maman, la petite Nanou est là et j'ai appelé ma soeur aussi qui est en chemin.
Adèle : je peux rester ici ça ne gêne pas 
Moi : en plus c'est juste une chambre nous ne serons pas à l'aise.
Adèle (insistant) : mais ça ne gêne pas 
Dylan : maman 
Qu'elle dégage d'ici, c'est tous ce que je veux
Adèle : mais elle est presque à terme 
Moi (fermant les yeux) : ma soeur est en chemin
Adèle : dans ce cas nous allons l'attendre 
Dylan (regardant sa mère) : moi je passe la nuit ici. Je vais te déposer et revenir 
***Mélissa***
Lara : voilà 
Régina : C'était vraiment simple comme je le voulais 
Moi : et tu parlais de gratuité je n'ai pas compris. 
Régina : demain mes cinq premières clientes ne payerons rien pour leur coiffure.
Lara : ah là je viendrai ici demain très tôt 
Régina : mais non vous vous êtes mes soeurs 
Moi : En parlant de soeur, elle est où Sonia ? 
Régina : ah celle là, je ne la gère pas. 
Lara : heureusement qu'on a pensé à faire les emportés et chacun est parti avec.
Moi : oh oui sinon on se serait mise à lavé les plats
Lara : bon on dit quoi les dames ? 
Moi : je vais devoir vous laissez comme je suis avec Pavel 
Lara : de même que moi, Elyed va me déposer à la boutique 
Régina : humm je ne dis rien ooh...en tous cas (me regardant) on doit parler tu sais ? 
Moi : oui mais on se verra toutes les trois ici demain 
Lara (me regardant) : tu me donnes la permission ? 
Moi : bien sûre et tu le sais. 
Régina : bon on se dit à bientôt moi je reste encore un peu
Moi (lui faisant la bise) : d'accord 
J'ai rejoint Pavel dans son véhicule et nous avons quittés les lieux. 
Pavel (droit devant) : tu veux vraiment que je te dépose chez toi ? 
Moi (le regardant) : oui 
Pavel (me regardant) : d'accord. Ton mari est rentré ? 
Moi (regard dans le vide) : toujours pas 
Pavel (me regardant): ...
Moi : qu'y a-t-il ? 
Pavel : tu veux que je te dise ce que je pense au fond de moi ? 
Moi (détournant le regard) : tu gardes ça pour toi s'il te plaît 
Pavel : la vérité blesse
Moi (haussant le ton) : quelle vérité ? C'est ma vie c'est mon choix merde
Pavel : baisse d'un ton avec moi 
Moi : gare la voiture 
Pavel (ne me calculant pas) :...
Moi (donnant un coup sur le volant) : garde cette putain de voiture Pavel 
Pavel (freinant) : tu m'arrêtes ça Mélissa 
Moi (essayant d'ouvrir la portière) : tu m'énerves 
Pavel : Mélissa... Mélissa 
Moi : fous moi la paix
Je ne l'ai plus entendu prononcé un mot, il a cherché une place en se garant sur le côté, il a ensuite débloqué les portières et je suis sortie du véhicule en claquant bien fort la portière. Sans aucun regard, il a engagé la route en me dépassant à vive allure. 
Moi (me parlant à moi même) : tu crois que je n'ai pas de véhicule ou quoi, va au diable. 
N'ayant aucune envie de marcher sous ce chaud soleil, j'ai appelé un zem et sans discuter le prix, je suis montée. Ce dernier me déposa quelques minutes plutard devant ma maison. 
J'ai claqué toutes les portes en me jetant sur le lit. Est-ce le fait de l'entendre me le dire qui me met tant en colère ou est-ce le fait de penser qu'il a raison. Il sait, qu'il n'avait pas le droit d'entamer le sujet qui fâche "Mathis". Au cours de ses trois derniers mois, nous nous sommes considérablement rapprochés Pavel et moi au point ou je n'arrivais plus à me passer de lui. Nous sommes devenus très complice cette complicité qu'il n'y a pas entre mon mari et moi. Je peux passer des heures avec lui sans me lasser. C'est un homme attentionné, doux, tendre et compréhensible. Un homme qui sait prendre soins de moi et se soucie de mon bien être. Pavel bien qu'il m'ai dit ouvertement que je le plaisait, respecte mon statut de femme mariée. Il n'a jamais eu de geste déplacé à mon égard. J'en ai parlé avec Régina elle m'a demandé de m'éloigner j'ai essayé en une semaine je ne pouvais pas ; une semaine sans le voir ; une semaine sans entendre sa voix ; une semaine sans lui parler ; c'était au dessus de mes forces. Ne pas entendre sa voix au réveil chaque matin était difficile. Je suis amoureuse de cet homme mais je me le refuse à moi même. Je l'aime et j'en tremble. Et aujourd'hui rien que le simple fait d'imaginer qu'il me dira que je ne suis pas heureuse dans mon foyer m'a mise en colère contre moi et contre Mathis. Depuis qu'il est parti, je peux compter au bout des doigts le nombre de fois il a donné de nouvelles. Trois mois loin de sa femme, toujours occupé par le boulot.
Je me lève en essuyant les larmes qui coulaient sur mon visage. Je pris mon téléphone et lança le numéro de mon mari et comme je m'y attendais, la ligne ne passait pas. 
[...]
A mon réveil, j'espérais tout au moins un message pas de mon mari mais de Pavel, même un appel. Je me suis mal comporté tout à l'heure et me fâcher contre lui n'avait pas son sens. Il faut que je m'excuse de vive voix. C'est pourquoi je suis garée devant son portail. 
Lui (passant la tête) : ah bonjour madame 
Moi : ton patron est là ? 
Lui : oui madame 
Bruit de portes 
Lui : bienvenue madame 
Moi (passant la porte) : merci
Pas besoin de signaler ma présence à son patron, je suis venue plusieurs fois ici. Pavel à une somptueuse demeure un peu comparable à la mienne. Une fois au seuil de la porte j'ai donné deux coups j'ai patienté un moment avant de taper encore. J'actionne le poignet et à ma grande surprise la porte s'est ouverte. la télé était allumée, c'est sa lumière qui éclairait la salle d'ailleurs. Je lisais dix neuf heures et quarante sur l'horloge posé contre le mur qui me faisait face.
Moi : Pavel.... Pavel... 
Toute les fois où je venais ici, je me limitais au salon, je n'avais j'amais mis les pieds plus loin. J'ai franchi les escaliers en longeant le couloir, c'était calme et ça sentait bon dans l'ensemble.
Moi : Pavel ? 
N'entendant rien ; je fais sortir mon téléphone en l'appelant ça sonnait dans le vide. Poussée par la curiosité, je longe le couloir en entrant dans la seconde chambre qui était entre-ouverte à ma droite. J'entendis le son de l'eau qui coule sous la douche, les vêtements qu'il portait tout à l'heure étaient dans le canapé en face et une serviette était posé sur le lit. Je suis restée un moment à contempler. Je sortais quand sa voix m'interpella 
Pavel : Mélissa ? 
Moi (me retournant en sursaut): oh... (fermant les yeux) tu es nu Pavel
Pavel : je suis chez moi 
Moi (lui tournant dos) : désolée... je... je t'attends à l'extérieur 
Pavel : c'est bon tu peux te retourner 
Moi (oeil à demi ouvert): tu ne t'habilles pas ? 
Pavel : ouvres les yeux je ne suis pas nu.
J'ai ouvert totalement les yeux pour ne pas paraître ridicule. Il avait noué la serviette à la taille. De petites gouttelletes sur son corps lui donnait un air séduisant, son corps était désireux, ses seins se soulevaient au rythme de sa respiration. Je vis ses lèvres bougées mais aucun son ne sortait de sa bouche ou du moins je ne faisais plus vraiment attention à ce qu'il disait. J'avala rapidement la salive et sortis de la chambre. 
Pavel : Mel 
Moi : je t'attends en bas 
Je suis descendue à toute vitesse. Qu'est ce que je suis venue faire ici me suis je demandé. 
Pavel : Mélissa 
Moi (la gorge serrée) : oui ? 
Il avait mit un short bleu et une chemise dont il avait laissé les boutons ouvert. 
Pavel (très calme) : ta colère est passée ? 
Moi (honteuse) : je suis là pour m'excuser
Pavel (s'asseyant) : c'était quoi ça ? 
Moi : je suis desolée c'est que juste le simple fait d'imaginer que tu as peut être raison...
Pavel : d'accord tu sais quoi ? 
Moi : non ? ...
Pavel : je ne vais plus parler de ça. Tu es mariée et je respect cela. Tu n'ignores pas que tu me plaîs mais je ne te force pas à faire ce que tu ne veux pas. 
Moi : ...je...
Pavel : Si tu penses que me côtoyé peut t'apporter de problème dans ton couple on peut arrêter de se voir. Cela ne me posera pas de problème, on sera toujours amis. 
Moi (le regardant): ...
Pavel : je me soucis d'abord de toi, je ne serais pas égoïste.
Moi : ...
Pavel : je ne veux que ton bien, je n'aimerais pas que tu ai des problèmes avec ton mari par ma faute. Mélissa je ne veux pas mettre ton couple en danger. 
Moi : je t'aime 
Pavel (me fixant) : Mel 
Moi : Je t'aime 
Il fallait que ça sorte c'était coincé dans ma gorge et refusait de sortir depuis, il fallait que je me libère maintenant. Personne ne pouvait comprendre ce qui m'arrivait en ce moment. L'entendre me parler si calmement me met dans tout mes états. Je n'avais qu'une seule envie c'est qu'il me prenne dans ses bras. Je suis amoureuse de cet homme, je l'aime. Mais je suis mariée à un autre.
Pavel : Mélissa 
Moi : je t'aime Pavel
Pavel : je le savais depuis et je t'aime aussi. J'attendais que tu me donnes le feu vert. Mélissa je me battrai pour toi, pour nous. Dis moi juste que tu le veux
Moi : je... Je le veux
Il a prit mon visage entre ses mains en me donnant un baisé. Juste un baisé, notre premier baisé, ce baisé il faut que je dise la vérité je l'ai longtemps désiré, depuis trois mois j'ai attendu ce petit baisé avec impatience. On passait tout le temps ensemble mais il n'y avait aucun mouvement déplacé entre nous.
Pavel : j'attendais ça depuis longtemps. Me permet tu de t'embrasser correctement maintenant ? 
Moi (oui de la tête) :...
Tête penchée légèrement de côté, il a d'abord tiré sur ma lèvre inférieure en glissant ensuite sa langue entre mes lèvres tout doucement, je lui donne libre champs. Nos langues et nos dents s'entre choquaient dans un combat sensuelle. Il a mit fin à ce plaisir quelques minutes après.
Pavel (me regardant souriant) : Mel
Moi : Vel (fou rire)
Un jolie sourire se dessinait sur son visage ses deux fossettes à la joue lui donnait un air sexy. Pavel est un bel homme 
Pavel : je sais que je suis beau arrête de me regarder comme ça.
Moi (rigolant): même pas tu es trop vilain 
Pavel : ah oui ? 
Moi : oui
Pavel (se levant en me tendant la main) : donnes moi ta main
Moi (l'attrapant): qu'est-ce qu'il y a ? 
Pavel (se positionnant devant moi) : maintenant dis moi que je suis vilan
Moi (riant) : tu n'es pas sérieux 
Pavel : embrasses moi 
Il n'a pas eu à le dire une seconde fois. Collé l'un contre l'autre, sa main passa sous mon habit à la recherche de ma peau, elle arrive à s'infiltré sous mon tee shirt. 
***Pavel***
Ses mains glissent sur mes fesses, le bout de ses ongles griffent légèrement ma peau, j'ai tellement envie d'elle je ne tiens plus, j'ai envie de la faire mienne. Je la pousse doucement dans le canapé 
Moi (la regardant) : tu veux y aller ? 
Mélissa (oui de la tête) :
Moi : tu es sûre que tu ne regretteras pas ? 
Mélissa : je veux me sentir femme dans tes bras.
Nous échangeons un baisé fou plein de désir. Cela fait longtemps que je désirais cette femme, je n'arrivais plus à me passer d'elle, de sa présence dans ma vie et j'étais fou de jalousie de savoir qu'elle appartenait à un autre. Maintenant toute cette accumulation renforcait l'envie que j'ai d'elle. Une valse de délicatesse s'empare de nous, ma main fouille son corps et s'engouffre sous son habit. Je sens déjà pointé le bout de ses seins sous la paume de mes mains. Ma langue fouille son cou et tombe sur son lobe d'oreille où je viens de lui souffler mon amour. 
Moi : Je t'aime Mélissa 
Mélissa : je suis amoureuse de toi Pavel.
Ses mains semblent me parcourir partout à la fois. J'aime et je désire cette femme. 
***Mélissa***
Et je m'accroche à son cou et ses mains me soulèvent pour que mes jambes puissent s'enrouler à sa taille. Je sens sa prise se resserrée sous mes cuisses. Collé l'un à l'autre, une voix au fond me disait Laisses toi alleé". Je me colle à lui, mes lèvres ne le quittent pas. C'était un baisé affamé ; je frotte mon corps entier contre le sien, ma jupe était relevé en haut de mes cuisses et je sens son sexe dur au travers de sa culotte. Ma dentelle ne m'a jamais semblé si encombrante. J'ai fait descendre ma main le long de son corps, fait glisser sa chemise le long de ses bras. je caresse son torse et je cherche ses lèvres des miennes. Nous nous embrassions passionnément, ma langue danse autour de la sienne et mon souffle se fait (han) de plus en plus court. Ses douces mains n'arrêtaient pas de parcourir mon corps presque frénétiquement. On avait tout le temps mais j'avais hâte de l'avoir en moi. Je l'entend gémit, mes mains glissent et s'arrêtent aux ceintures de sa culotte. Ses mains à lui descendent le long de mes jambes et l'une d'elle se prélasse entre mes cuisses et me caresse au travers de ma dentelle, je sens sa langue dans ma bouche en même temps que ses doigts dessinent les contours de mon sexe humide au travers de ma dentelle. Je n'en peux plus, je le veux maintenant.
Moi (entre deux souffles) : prends moi... maintenant 
En quelques mouvement, il écarta ma dentelle de côté et se glissa lentement en moi avant de s'arrêter en me fixant droit dans les yeux. Ses vas et viens étaient d'un mouvement apaisé. Jamais de toute ma vie je ne m'étais senti aussi bien comme je le suis présentement sous Pavel. 
[...]
***Régina***
Sonia (passant la porte) : ton mari et ta belle mère ne sont toujours pas rentrer? 
Moi : comme tu le vois ma chérie 
Sonia : elle exerce sa sorcellerie ailleurs maintenant c'est bien
Moi : Sonia qu'est-ce que tu racontes comme ça ? 
Sonia : c'est toi qui ne veux pas voir ooh je te dis cette dame est une sorcière. 
Moi : ça suffit maintenant
Sonia : et la petite dont tu m'avais parler qu'elle était avec vous ici
Moi : Dylan l'a emmené chez sa soeur 
Sonia : la soeur à qui ? 
Moi : à Dylan
Sonia : humm
Moi : mais viens te changer 
Sonia : Non je ne vais pas t'importuner 
Moi : ça veut dire ? 
Sonia : je ne vais pas dormir ici
Moi : et pourquoi ? 
Sonia : Régi je..
Belle mère (passant la porte) : 
Ma soeur et moi : Bonsoir maman
Belle mère : houn
Elle nous a dépassé en allant s'enfermer dans sa chambre 
Sonia : elle a quoi cette sorcière ? 
Moi : arrêtes moi ça 
La porte s'est ouverte sur elle à nouveau, j'avais cru un instant qu'elle avait entendu ma soeur parlé. 
Belle mère : Régina ta soeur ne passe pas la nuit ici j'espère 
Sonia (plus rapide que moi) : Oui je passe la nuit ici et après ? 
Moi je voulais lui répondre autrement en demandant pourquoi cette question.
belle mère (hurlant du coup) : ne me parle pas ainsi hein petite impolie 
Moi : maman s'il vous plaît 
Belle mère : mon fils n'a pas construit sa maison pour vous tu comprends ça ? 
Sonia : c'est aussi chez ma soeur.
Belle mère : mal élevée à qui tu parles ? 
Moi : Sonia je ne veux plus t'entendre parler 
Sonia : écoutez moi madame c'est uniquement par respect pour ma soeur et son mari que... 
Moi (hurlant) : Sonia
Belle mère : que quoi ? Finis ta phrase et tu verras 
Elle ne faisait que vociférer et pour appaiser les tensions, j'ai emmené ma soeur hors de la chambre. 
Sonia : Non mais cette vielle sorcière se prend pour qui Régina c'est comme ça tu vis ici ? Je m'en vais mais demain je reviendrai lui dire mes quatre vérités. Si toi tu ne parles pas, moi si. C'est pour ça qu'on a des soeurs.
Moi : tu ne feras rien, je suis mariée à son fils
Sonia : donc quand on est mariée à quelqu'un on devient la maboule de la belle famille 
Moi : tu comptes dormir où ce soir ? 
Sonia : je prendrai un motel tout près 
Moi : attends je te donne des sous
Sonia : Non je reviens demain 
Moi : Ne viens pas me créer des problèmes dans mon couple s'il te plaît 
Sonia : Régi 
Moi : s'il te plaît 
Sonia : Je viendrai te voir au salon alors 
Moi : okay prends soin de toi 
Sonia (me faisant la bise) : toi prends soin de toi
Belle mère(sortant) : petite impolie, des ingrates comme ça 
Moi : à demain 
Sonia (la regardant) : Laisses moi lui dire deux mots s'il te plaît 
Moi (dur) : NON
Sonia : au moindre soucis appel moi 
Moi : okay
Sonia (s'en allant) : Je sais que tu ne le feras pas.
Ma soeur est partie et j'ai inspiré un bon coup d'air avant de me retourner. Je la connais et mieux vaut qu'elle s'en aille. Sonia a un tempérament chaud si je ne l'avais pas renvoyer elle serait capable d'arriver aux mains avec ma belle mère. 
Belle mère : que Dylan revienne, tous ceci prendra fin bientôt. C'est fini ça, me manquer de respect jusqu'à chez moi, dans la maison de mon fils, on a vu ça où ? Non jamais. 
Elle sortait des bêtises de la bouche je ne lui ai pas adressé la parole. Il faut dire que je suis habituée. Son fils n'est pas rentré à la maison et le lendemain elle a repris le même discours avec moi. Heureusement que j'ai un salon maintenant bien loin de la maison, c'est le seul endroit où je me sens bien en oubliant mes soucis.
***Mélissa***
Régina : tu as fais quoi ? 
Moi (la regardant droit dans les yeux) : je ne culpabilise pas, je me suis sentie aimé comme jamais auparavant, même avec Mathis la première fois ce n'était pas ça. Tu ne pourras pas comprendre Régi c'était... Je ne peux pas me l'expliquer à moi même.
Régina : tu es une femme mariée Méli
Lara : et amoureuse 
Régina : d'un autre homme. Tu sais ce que cela veut dire ? Tu as été infidèle à ton mari 
Moi : ...
Régina : que dira ton mari s'il le découvre 
Moi : avant qu'il ne le découvre, je mettrai fin à notre mariage 
Régina : Quoi ? Mais...
Moi : Je vais divorcer 
Régina : je crois que ton mari est un homme bien, même s'il est tout le temps occupé par le boulot 
Moi : l'as tu jamais vu ? 
Régina : as tu jamais vu mon mari ? 
Lara : ooh oh c'est une histoire de femme mariée maintenant 
Moi : Régina je ne regrette pas ce que j'ai fait 
Régina : d'accord alors divorce au plus vite si c'est de Pavel dont tu es amoureuse. Mais je ne suis pas d'accord avec toi. Je ne cautionne pas cela tu as commis l'adultère et c'est..
Moi : Régina arrêtes 
Régina (s'asseyant) : Je ne te juge pas 
Moi : c'est ce que tu fais
Régina : je suis désolée si c'est ce que tu penses c'est juste que je ne peux pas l'accepter.
Moi : je ne te dis pas d'accepter, juste de me comprendre. Je t'assure que j'aime cet homme et je ne regrette pas ce que j'ai fait.
Lara : tu brilles, ooh c'est beau l'amour 
Régina : hummm
Sonia (entrant) : bonjour les filles 
Nous : bonjour 
Moi : Sonia tu es ravissante ce matin 
Sonia (me faisant la bise) : merci ma belle 
Mon portable s'est mis à sonné, je savais qui c'était 
Moi (décrochant) : je ne vais pas disparaître tu sais ? 
Pavel : j'avais envie de t'entendre... Tu es avec les filles ? 
Moi : oui
Pavel : on déjeune ensemble? 
Moi : oui 
Pavel : okay à tout à l'heure 
Moi : ouais
Pavel : bisous Mel
Click
je fixais le portable en souriant bêtement. Qu'est ce qui m'arrive pensais-je. 
Sonia (me sortant de ma rêverie) tu es amoureuse toi ? 
Lara : oui elle est amoureuse 
Elles se sont mise à chantées en tapant des mains "Elle est amoureuuseeuuh" amoureuseuh "amoureuuuseuuuh"
Aimez, Commentez 
A suivre...

Vie de femme : L'imp...