>> NADIA << Acte 1
Write by chrochro241
*** NADIA ***
D’après la chronique « C’EST NOËL ! » déjà
parue.
ACTE 1
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NADIA <<
Plongée dans le sommeil, un sommeil mouvementé car parsemé de rêves en
tout genre et pleines de sensations en général plutôt agréables, j’ai soudain une
impression de lumière, aussi chaude et intense que brève. Ceci sort de ma
rêverie. Par reflexe, j’ouvre les yeux et ne voit que du noir tellement je suis
dans l’obscurité quasi-totale où je dors.
Je referme aussitôt les yeux. Un instant après, je sens comme un léger
courant d’air frais parcourir mon cou, comme un souffle, une petite brise, presque
une respiration. Un trouble étrange et délicieux m’envahit. Je reste immobile,
les yeux clos, en me rendormant lentement mais surement.
Le léger drap que j’ai conservé sur moi disparaît comme par enchantement. Je me
sens alors mon corps exposé à l’air. Des mains viennent effleurer ma peau des
épaules jusqu’aux orteils. La légèreté de ce contact me fait frémir et tendre
la tête vers l’arrière.
- Mmmhhh…
Déjà, les mains remontent le long de mes jambes et se faufilent sous ma
nuisette, minirobe légère de nuit à bretelle fine. Des doigts agiles se
glissent sous le tissu en soie de ma nuisette pour atteindre mon bas ventre où
ils se glissent doucement sous le haut de mon string qu’ils font lentement
coulisser vers le bas, dans le même mouvement de leur infiltration sous mon
cache sexe. Lorsqu’ils atteignent le repli de mon pubis, ils me chatouillent un
peu.
- Mmmhhh…
Instinctivement, je me contorsionne en relevant en même temps les cuisses
tout en pliant les jambes et posant les pieds sur le lit.
Peu après, le léger tissu qui recouvrait mon intimité frôle maintenant mes chevilles
comme par enchantement. Je ne l’ai pas sentie descendre le long de mes jambes.
Mais bon débarras, je me sens bien sans.
Un courant d’air frais vient parcourir mon entrejambe exposé nu à
l’air. Je grogne un peu et tente de me retourner en serrant les cuisses, mais
on m’en empêche soudain et me maintienne de force sur le dos.
J’en ressens d’abord de la contrariété, de l’anxiété, mais les paumes de
deux mains chaudes et douces qui viennent caresser mes cuisses avec douceur et
lenteur m’ôtent toute envie de protester.
Instinctivement, j’écarte un peu les jambes. Les mains en profitent pour se
faufiler à l’intérieur, là où la peau est si fine, si sensible au toucher. Des
doigts remontent vers mon sexe à l’humidité si odorante, sans pour autant le
toucher.
Des délicieux frissons parcours mon corps tandis que dans mon bas-ventre où une
douce chaleur commence à naître. Une envie de me caresser me saisit, mais avant
que j’aie le temps de la mettre à exécution, un souffle chaud vient chatouiller
ma fente.
- Mmmhhh…
Instinctivement, j’ouvre largement les cuisses. La seconde
suivante, je sens l’extrémité d’une langue
humide se poser et se mettre à lécher avec mes petites lèvres entre mes grandes
lèvres entrouvertes.
- Mmmhhh…
La langue me lécher par petits coups et entrant légèrement dans ma
fente, me pénètre et tourne un coup en moi, en effleurant mes parois sur
l’entrée de ma caverne.
- Mmmhhh…
Je mords les lèvres inférieure et frémis, en ondulant légèrement le
bassin alors que mon bas ventre est secoué par un tremblement de plaisir. La
langue se retire et s’agite entre mes petites lèvres qui palpitent.
- Mmmmmmhhhh…
Je respire bruyamment et agrippe le drap avec une main. Je ne sais plus
où donner la tête, je ne sais même plus si je dors ou si je suis éveillée alors
que je sens cette satanée langue me chatouille et commence sérieusement à me rendre folle. Elle
remontre au-dessus de ma fente et tourne tout autour de mon clitoris sans
jamais le toucher.
- Mmmmmmhhhh…
Je mouille et me contorsionne de plus belle, gémissant, tendant ou plutôt
donnant mon minou en offrande à celui ou celle qui s’en occupe si bien…. Je
soupire légèrement quand un majeur et un annulaire, en a juger par la longueur
de leur phalange, entrent et s’enfoncent
dans ma caverne. Ma fente humide tremble de plaisir en les recevant. Mes parois
se contracte alors que les deux doigts visiteurs vont aussi loin que possible
dans mon tunnel menant au fond de mon ventre.
Je retiens bruyamment mon souffle quand je sens la langue titiller mon
bouton d’amour en même que les deux doigts se bougent plus rapidement en moi.
J’entends le bruit qu’ils font en entrant et sortant de cette cavité désormais
mouillée qu’ils forent et liment.
Sous la monté du gout, je me retrouve rapidement à remuant le bassin.
Je ne suis plus que soupirs, et vais de
frisson en frisson, de gémissement en gémissement. Mon corps est animé par ce
trop-plein de plaisir qui agitent instinctivement mes reins.
- Aaassshhhh !
Je crie soudainement en me tortillant dans un long râle de plaisir. Mon corps
s’arque et mon dos se cambre brusquement, en se décollant du drap. Je ferme et
serre fort les orteils en agrippant en même temps de toutes mes forces le drap
avec mes doigts.
Je reste une seconde les fesses en l’air et retombe lourdement en
haletant. Et puis, tout à coup, plus rien. Je ne ressens plus rien, ni ces deux
doigts qui me faisant plaisamment l’amour ni cette langue habile stimulant mon
être. Bon sang, pourquoi faut-il qu’un rêve aussi bon s’arrête en si bon chemin
? Pourquoi les bonnes choses ne durent jamais longtemps ? Bon sang !
Ma frustration a dû arriver jusqu’à mon subconscient et le convaincre de me
calmer. Je tire rageusement ma nuisette sur mes cuisses et me couche sur le
côté gauche en recroquevillant en position fœtus. Etonnement je m’endors
rapidement comme un bébé.
Dans mon sommeil, je sens doigts coulisser lentement de ma cheville droite à
mon mollet droit, m’effleurent simplement. A cet attouchement, me chatouillant
par petite pression irrégulière, tantôt forte, tantôt d’une légèreté
insoutenable, je serre les orteils de délice et tremble tout entière.
Je bouge doucement en ronronnant et tend les pieds en écartant
largement les cheville sur le coté, en restant toujours allongé de profil sur
le côté gauche du corps. Je sens des petites vibrations sur le lit puis un
corps tout nu et tout chaud vient se coller dans mon dos.
Un bras vient m’élancer par derrière pendant le corps que je sens déjà
dans mon dos vient se serrer plus étroitement sur moi. La main du bras
m’élançant se pose sur ma hanche droite où des doigts effleurent ma peau avec
une lenteur et une douceur insupportable qui me tire petit à petit de mon doux
sommeil.
J’ai envie de gueuler car je n’aime pas qu’on me dérange qu’on je dors
surtout quand le sommeil est doux. Mais la vigueur et la chaleur qui irradie de
quelque chose de long et dur que je sens soudain sur mes fesses me surprend. Je
remue un peu les fesses pour bien sentir la chose là, histoire de savoir si
vraiment ce que je crois.
Pendant ce temps, les doigts effleurant ma hanche droite se sont glissés
sur ma cuisse jusque sous mon genou et relèvent ma jambe droite, tout en mes cuisses
maintenant écartées de profil. Je sens un mouvement du corps dans mon dos puis
un truc dur et arrondi comme chapeau se glisse doucement et lentement entre les
lèvres de ma fente. J’ouvre la bouche en sentant la chose entrer et s’enfoncer
d’un coup en moi.
- Haannn !
Je pousse un cri de surprise suite à la longue poussée d’un sexe masculin bien
dur, à n’en pas douter, qui vient de s’enfoncer dans le mien. Des vibrations et
des contractions m’envahissent quand je sens la bite m’
- Mmmhhhh…
Je pousse un geignement alors que des cuisses que je sens musclée, poilues mais
douces contre les miennes. Le corps de l’homme s’immobilise un instant contre
mon dos. Je ne sais pourquoi il s’est arrêté mais je bouge doucement le bassin
pour le faire mouvoir sa bite plantée en moi. Je soupire légèrement quand
j’arrive à faire un lent et doux va et vient malgré notre position de profil
qui ne me permet pas de faire des mouvements plus amples.
Une main vient soudain pétrir mes seins, d’abord au travers de ma
nuisette, puis directement, après avoir fait coulisser ses fines bretelles sur
mes bras. J’ai les tétons en érection sous la fraicheur de l’air conditionné.
J’ai le ventre en feu, les mains agrippées à drap, quand démarre un pilonnage
en règle sur le côté en position cuillère qui ne tarde pas à secouer mon corps
à chaque coup.
Il se retire et me retourne sur le dos avant de s’installer sur moi pour me
prendre missionnaire. Les coups de départ sont amples, profonds, souples, mais
lents. Le contact de son bassin contre le mien stimule quelque peu mon bouton
gonflé.
Les jambes écartées, j’agrippe alors ses fesses que j’appuie pendant
l’action. Des vagues de plaisir qui m’envahissent et me transportent vers le
point de non-retour. Je jouis en m’arquant sous lui. Il relève mes jambes et
continue de me besogner. Je garde les cuisses maintenues grandes ouvertes, les
pieds en l’air, malgré le corps d’homme qui s’appuie contre le mien en me
limant bien profond.
Il colle son visage dans mon cou. Son souffle rauque et chaud me chatouille
l’oreille, les battements de son cœur résonnent jusque dans ma poitrine, et son
sexe… humm… Son sexe me rend folle. Je subis les assauts de cet homme avec un
plaisir que je ne cache pas du tout. La pénétration est tellement profonde et
si stimulante. Mes pensées sont concentrées autour de cette bite qui s’enfonce
en moi, remplit mon sexe de sa présence et me fait sentir sa vigueur qui me
donne tant de plaisir.
Au fur à mesure que je me fais prendre à 4 pattes, et que je sens ces
va et vient en moi, je sens venir l'envie de jouir. J’entends Marco respirer
très fort en pinçant mes seins pendant qu’il me donne des coups de bassin sur
les fesses, il est sur le point d’éjaculer. Je gueule mon bonheur de
prendre mon pied durant cette nuit calme. Mon cri de jouissance déchire le
silence dans la chambre, pourvu que les voisins dorment bien... sinon c’est
insomnie pour eux (rires).
En jouissant je me suis affalée sur le ventre. La bite de Marco sort de ma
foufoune longtemps ramonée, limée et défoncé. Marco se vide sur mes fesses et
c’est plaisir puissant que j’éprouve en le sentant gicler sur mes fesses.
Rassasié, Marco s’endort pour de bon. Je peux enfin souffler. J’ai très chaud
et je transpire.
Je remercie
Marco pour tout en lui faisant un long suçon sur à son cou alors qu’il dort. Je
reste à allongé avec un sourire de joie et une sensation de légèreté. Je cligne
les yeux ouvert dans le noir avant de somnoler puis m’assoupir…
Je me
réveille brusquement à la sonnerie de mon alarme, sur phone. Mes paupières sont
lourdes ! J’ai l’impression d’avoir dormir une minute. Je coupe vite
l’alarme pour ne pas reveiller mon cheri qui dort. Je baille de fatigue. On est
aujourd’hui dimanche 31 décembre, c’est le dernier jour de la semaine et de
l’année. C’est la 3ème nuit consécutive que je passe avec lui chez
lui. Ça fait 5 jours qu’on est ensemble, disons qu’on se voit pour passer du
bon temps ensemble comme un couple.
Nous ne sommes
pas officiellement en couple. On s’est rien dit là-dessus et ni lui ni moi n’a
proposé l’idée d’avoir une relation intime. Tout se fait actuellement tout seul
et naturellement. S’il vient à me demander de sortir avec lui, je ne serais pas
contre. Marco est un gars assez drôle et facile à vivre. De plus il est aussi
un bon amant. Je me sens bien cette aventure purement sexuelle ou libre que
nous entamons sans engagement. Reste à voir jusqu’où ça peut aller.
J’aimerais
me rendormir et faire la grasse matinée mais je dois aller bosser, pas pour mon
boulot habituel au supermarché SUPERCKDO mais pour une prestation de service
pour un repas de noël. J’ai vraiment envie de dormir là mais je dois me lever.
Pfff ! J’ai déjà confirmé ma disponibilité et participation pour matin. En
plus on va me payer pour ça.
J’allume la
lampe de chevet qui diffuse une lumière tamisée. Je m’étire aux côté d’un Marco
qui dort tout nu, allongé sur le dos. Il est mignon en tenue d’Adam. Je vois qu’il
bande un peu, cela me donne une idée. Je me penche vers son pipi et le gode
puis le suce la bite doucement. Il bande immédiatement dans ma bouche.
-
Hummmm !
Je l’entends
émettre un soupir de contentement que je trouve sexy. Alors que je suis en
train de le pomper bien profond mon phone. Je me redresse et regarde qui
m’appelle à un moment si important. C’est le type que je dois voir tout à
l’heure. Je m’éloigne un peu de Marco pour me coucher l’autre côté du lit avant
de décrocher.
-
Allo ! Bonjour monsieur !
- …
- Oui !
Merci !
- …
- Non, je ne
suis pas encore prête ! Mais je me prépare actuellement.
- …
- Oui, je
sais ! Rendez-vous devant l’hôpital général dans 30 minutes.
- …
- Ok ! A
toute l’heure !
Je raccroche
et pousse un soupir. Je me tourne vers Marco qui me regarde.
- Bonjour
bel homme !
- Bonjour,
ma reine ! Bien dormie ?
- Hum
hum ! fis-je avec une moue boudeuse.
-
Quoi ?
- Je suis
fatigué ! Et toute à l’heure je dois aller bosser pour la prestation de
service.
- Ça va
aller !
- Bon je
vais me laver.
Je lui donne
un bisou sur la bouche et pars prendre une douche rapide. Je me sèche et m’habille
avec la tenue que j’ai déjà préparée la veille. J’enfile un string noir en
dentelle florale qui cache ma chatte et mes poils pubiens. Je mets une minirobe
noire bustier, simple mais bien moulante qui m’arrive en bas à mi cuisses. Le
bustier de cette minirobe ne cache pas trop mes seins sans soutien-gorge. Mes tétons
si triturés cette nuit sont douloureux au réveil. Je ne veux pas trop de
frottement ou ces compressions dessus que ferait un soutien.
J’enfile un gilet
cuire noir à manches longues. Je laisse les pans du gilet grand ouvert à loisir
sur ma poitrine que je veux exhiber pour mon moral. Je mets des chaussures
noires à talons hauts, puis un peu de parfum et me voilà prête à partir.
Marco sort
dans la salle de douche où il a fini de se laver. Je le regarde s’essuyer le
corps et vois qu’il a la bite dressée. Quel bandeur ce mec !!
- Tiens, tu
bandes ! dis-je avec ironie.
- Normal,
t’es bandante à souhait et à des kilomètres. Dit-il en souriant.
- Krkrkrkr
(rires)
- Rit bien !
- Mais je
ris ! Dis-je le sourire aux lèvres.
- Tu as la
chance que tu sortes ! Sinon tu allais me sentir. Dit-il en tenant en main
sa bite tendue.
Je ris,
amusé. puis je souris, en me sentant flattée. Emoustillée par ce qu’il vient de
dire en tenant sa bite à la main, je vais l’embrasser avant de dire au revoir. Mais
étrangement notre baiser se prolonge un peu plus que prévu. Je sens bien contre
mon ventre la preuve de son désir pour moi. A cet effet une chaleur nait dans
mon ventre et une humidité très familière envahit mon minou.
Je sens la
tension montée entre nous alors qu’une main de Marco se balade mon dos et l’autre
main mains sur caressent mes fesses. La main sur mon dos rejoint l’autre sur
mon fessier. Les deux mains malaxent mon
cul à travers le tissu de ma petite robe moulante. Je sens les mains remonter
lentement le bas de ma courte robe de mes cuisses à mes reins, laissant à présent
mes fesses nues à l’air.
Marco prend chacun
les globes de mon derrière pour les pétrir. Il masse mon fessier, vigoureusement,
tout cela en m’embrassant. Ses doigts se font plus pressant et pressent la
chair moelleuse et rebondie de mon derrière. Je sens contre mon ventre la
chaleur qui émane de sa bite chaude de désir, preuve que Marco à très envie de
moi.
A cet effet je
réfléchis quoi maintenant... je dois partir tout suite pour mon rendez de
travail, mais je songe aussi à faire un coup rapide avant parce que là
franchement j’ai bien envie de me faire prendre là tout de suite sans
préliminaires. Après tout, j’ai le choix ! Bon, si je fais un coup rapide
là, ça va faire quoi même ?
A SUIVRE !