>> NADIA << Acte 2

Write by chrochro241

*** NADIA ***

D’après la chronique « C’EST NOËL ! » déjà parue.

ACTE 2 

******

 

 

--- MARCO ---

 

 

Je m’accroupi derrière Nadia qui me tourne le dos et tend sa croupe que je réceptionne avec mes mains avec plaisir.

 

A peine je me suis accroupie derrière elle, le visage à la hauteur de ses fesses, je délecte de la vue de son gros fessier orné d’un string noir dentelle, si petit et si mignon. La couleur sombre de ce dessous sexy contrastant fortement avec le teint clair de la peau du corps de Nadia. Cette peau fait de Nadia une nana presque métisse.

 

Je descends lentement le string sous ses fesses. Le string s’enroule sur lui-même pendant qu’il glisse lentement le long de les cuisses jusqu’aux pieds de sa propriétaire. Cette dernière, sentant le string arrivé à ses chevilles, lève un pied puis l’autre pour se débarrasser du string que je prends et jette derrière moi vers le lit sans regarder.

 

J’admire la courbe de ses grosses fesses que je palpe avec désir et les soupèse d’en bas avec plaisir en les soulevant par des petites secousses qui les font bouger mollement. Je force Nadia à ouvrir les jambes, ce qu’elle fait docilement. Je regarde sa fente par derrière, les grandes lèvres sont entrouvertes, les petites lèvres en sortent légèrement et me laisse voir le fond de chair rose clair de la grotte du plaisir.

 

Je colle ma bouche sur sa fente, par derrière, et sort ma langue que j’agite sur le clito en contrebas pour le titille avec la langue, je l’aspire et le mordille.

 

- Mmmmh… oui bébé ! Encore ! S’il te plait.

 

Nadia geint, ondule le bassin et se cambre. Elle pousse de petits soupirs de contentement au fur à mesure que je lui bouffer la chatte, comme elle aime bien le dire.

 

Pendant que je m’attèle à lui faire un broute minou de taille, elle pose une main sur ma tête pour la pousser vers ses fesses pendant que j’embrasse, j’aspire, lèche et mordille ses parties intimes de son corps à portée de mes lèvres. Elle immobilise ma tête quand ma langue titille les petites lèvres, les lèche, les écarte et trouve le clitoris assez gonflé.

 

J’entends sa respiration qui s’accélère pendant qu’elle me maintient la tête sur sa croupe qui ondule sur mon visage contre ses fesses alors que ma bouche et ma langue s’activent sur sa fente. J’accélère mes mouvements de langue, passant du clitoris à la fente qui s’ouvre au passage de la langue entre les lèvres mouillée pour s’introduit dans leur ouverture béante et noyée par une coulée de miel intime.

 

Ma bite se gonfle à son maximum mais je ne peux pas la branler, car mes mains s’occupent plutôt à ouvrir les fesses de Nadia pour me faciliter la tâche de mon entreprise sur son entrejambe. Elle ondule du ventre, appuie de plus en plus sur ma tête contre sa croupe et part dans un violent orgasme que je sens lorsque son corps frémi. Elle ondule de haut en bas, en ouvrant brusquement ses cuisses m’écrasent la tête.

 

- HUMMMM… MMMMMMMHHH…  OOOHHH… HUMMMMMMMMMMMMMMMM…

 

Je l’entends émettre ces sons évocateurs, et comprends qu’elle jouit bizarrement en silence, pas de cri, pas de grondement, je pense qu’elle ne veut pas ameuter le voisin comme hier soir que je l’a prenais et ma faisait prendre son pied en l’envoyant en l’air.

 

La pression de sa main sur ma tête diminue. Elle se retourne et me tire par la tête pour la faire remonter vers son visage. Je me retrouve debout face à  elle, elle m’embrasse longuement et  s’empare de ma bite qu’elle branle avec une main avant de retourner.

 

Debout, en me tournant le dos,  elle creuse les reins et fléchis un peu les cuisses à cause de ses talons aux pieds qui lui donne de la taille en plus. Elle parvient à diriger mon gland vers son intimité détrempé.

 

Elle frotte mon gland de haut en bas sur sa fente, plusieurs fois, en passant sur sa raie de fesses, avant de le faire rentrer en elle. Je la pénètre en poussant un soupir profond et m’enfonce dans son antre chaud et humide qui m’englouti toute la bite, centimètre par centimètre, jusqu’aux couilles.

 

Elle pose ses mains sur mes fesses sans intervenir sur mes mouvements de bassins qui s’en suivent. C’est moi qui imprime le rythme de mes va et vient. Je la baise doucement, je sais qu’elle aime beaucoup ça.

 

J’y vais donc mollo, mollo, car je ne veux pas jouir vite en la prenant à la va vite, surtout sans capote comme on le fait depuis 5 jours en copulant. Là, je suis bien en elle, je veux prendre mon temps pour la sentir ma vigueur dans sa douce moiteur.

 

Elle ronronne de bonheur, et murmure des paroes :

 

- Oui, bébé ! J’aime comme ça, bien au fond, toute en douceur… Mmmmhhh… vas-y chéri, doucement ! C’est bon, j’aime ton sexe… Hummmmmmm… ouiiii ! Vas-y doucement, encore, encore, encore…. Mmmmmmmmhhhh…. c’est bon. Hummmmmmm… ouiiii 

 

J’entends à peine ce qu’elle me dit, car toutes mes pensées sont concentrées la vision que j’ai sur le bas de son dos. Je suis comme hypnotisé et regarde longuement tous les entrées et sorties de ma bite dans l’office détrempé sous les belle fesses rebondies que je cogne du bassin avec plaisir en posant mes mains sur ses reins.

 

 Je garde le rythme et l’amplitude pendant qu’elle prend son pied. Sa main droite posé depuis un moment sur sa fesse droite quitte d’où elle était pour arriver sur ma hanche pour s’en saisissent et la diriger par des pressions. Elle remonte la main sur ma nuque pour pousser ma tête vers son épaule gauche où elle tourne la tête pour m’embrasser. Sa langue force mes lèvres, j’entrouvre la bouche, sa langue l’investie et commence à se mêler autour de la mienne dans ma bouche quand nos langues se mêlent dans un échange qui soude nos bouches pour sceller notre baiser enflammé.

 

Elle embrasse divinement bien malgré qu’elle le fasse en me tournant le dos. Son téléphone sonne soudain sur lit. Elle ne bouge pas comme si rien n’était. Le contraire m’aurait étonné. Elle laisse son téléphone sonné pendant que je commence à la culbuter.

 

Je sens son corps se raidir, son sexe se contracter autour du mien, son fessier va à la rencontre de mon bassin cognant dessus. Sa main quitte sur ma nuque et libère ma tête de la pression qu’elle exerçait dessus en m’embrassant langoureusement.

 

La main retourne appuyer sur ma hanche droite en mouvement en coordination avec mon bassin qui tape maintenant vite sur le cul de rêve que je fixe. Elle appuie dessus, sur ma hanche droite, à chacune de mes pénétrations envoyant rapidement son sexe à la rencontre du mien qui l’avale d’un coup.

 

Nadia tremble et murmure :

 

- OOOHHH, HUMMMMMM…MMMMMMHHH…MMMMMMHHH… je viens… Oui oh ouiii !

 

Son corps se crispe et se tort. Je la sens vibrer et l’entendre pousser un long soupir. Son télphoen en cesse de sonner. La personne qui l’appelle insiste visiblement. Je ne cherche pas à savoir qui l’appelle et continue ce que je fais avec elle. Elle ignore l’appel et m’attrape la nuque comme précédemment.

 

- Bébé ? dit-elle le souffle court.

- Oui, ma reine ! dis-je en la limant plus vite.

- Jouit en moi, s’il te plait ! Jouit en moi… Jouit !

- Tu es sur de toi ? dis-je en la limant vite.

- Oui !  J’ai envie de sentir ton sperme brulant dans mon ventre.

 

J’accélère en attendant le phone de Nadia qui sonne de plus belle. Je sens la pression montée dans mes reins, je ne ralentis pas et maintien ma vitesse de croisière de gicler, en éjaculant violemment dans le ventre de Nadia resté dans la transe.

 

- OOOOOOHHHHHHHHH ! HUMMMMMMM…. MMMMMMMMMMHHHHH…. ouiiii, je jouis…  !

 

Son corps se crispe, elle se tortille en gémissant. Son corps tremble puis se calme. Je m’arrête brusquement pour éviter de jouir en elle. Je me viderais les couilles autrement. Je me retire et la serre fort contre moi, en l’élançant la taille par derrière. On reste comme ça un instant.

 

Je retourne brusquement pour qu’on face à face. Je la colle au mur, une jambe entre les siennes pour l’immobiliser. Elle répond à cet assaut en se cambrant contre ma poitrine. Je rapproche mes lèvres des siennes en posant mes mains sur ses hanches. Je passe les mains dans son dos en l’embrassant le cou comme un affamé.

 

Elle se crispe un long moment en geignant sous l’assaut de ma bouche dévorant son cou. Je lui mordille la peau en ressentant le besoin de le faire pour laisser des traces de mes dents plutôt des marques de guerre sur elle. Nadia pousse des petits cris, en geignant de douleur et de plaisir pendant tout le temps de mon assaut sur son coup.

 

Je me colle mes lèvres à sa bouche pour l’embrasser. Les petits cris qu’elle émettait meurent instantanément quand débute notre baiser enflammé et une danse de nos langues. Je l’entends respirer vire et profondément en poussant des soupirs bruyants.

 

Les doux bruits de nos langues et de succions de nos lèvres brisent brise le silence dans ma chambre. Nadia se presse contre moi et attrape mes fesses nues avant de les malaxer, faisant monter mon excitation. J’ai envie de la débarrasser au plus vite de ses vêtements, la soulever et la jeter sur mon lit pour lui faire l’amour. Savoir qu’elle doit filer pour un job ne m’enchante pas du tout. De plus j’ai une forte envie de la garder près de moi.

 

C’est la sonnerie du téléphone de Nadia qui nous dérange ramène dans la réalité. Nadia décolle sa bouche de la mienne et colle son front contre le mien en poussant un soupir d’agacement. Elle se mord la lèvre sous mon regard, je refoule difficilement sourire vu la manière dont elle se mord les lèvres en poussant un soupir d’exaspération.

 

Elle me sourit avant de se séparer de moi pour aller vers le chevet de mon lit où son téléphone est posé en train de sonner. Elle le prend vite et décroche en me fait signe de me taire :

 

- Allo !

- …

- Ah, vous êtes déjà là.

- …

- Désolé pour l’attente, monsieur ! Je me préparais.

- …

 

Je viens me collé dans son dos en posant mes mains sur ses hanches et hume son cou, juste sous l’oreille sur lequel elle a collé l’écouteur de son téléphone en décrochant l’appel. Elle ne bouge et parle.

 

- Oui !

- …

- Non ! Ne dites pas ça ! Je ne suis pas en train de vous faire faux bond.

- …

 

Je dépose des petits bisous sur son cou, Nadia se tortille comme si je la chatouillais, avant de repousser mes  avances. Je n’insiste pas et m’assois sur le lit en la regardant parler au téléphone.

 

- Je ne suis pas loin ! Donnez-moi deux minutes pour venir et je suis à vous. Promis !

- …

- Oui ! Deux minutes chrono !

 

Assis sur le bord du lit, je la regardais parler au téléphone avec son interlocuteur. Elle se tenait debout face à moi, me laissant lui caresser de la cuisse à sa fesse gauche. J’ai un contact direct avec sa peau vu qu’elle a encore sa petite robe moulant retroussée sur son ventre.

 

J’ai son joli triangle juste à la portée de ma bouche. Et je ne peux résister à l’envie subite qui me prend. J’approche ma tête de son bas ventre, et dépose un bisou sur le pubis de Nadia. Elle sursaute, et nos regards se croisent. Elle me regarde, en souriant, avec son téléphone collé à l’oreille.

 

Je baisse les yeux et dépose des petits bisous sur son bas ventre. Par des petits bisous, je descends sur son pubis entretenu... Il est rasé mais un peu de poils sombres se trouvent en bas, juste au-dessus de la zone du clito, et dessinent la forme d’un petit triangle assez mignon à voir.

 

Je sors la langue et la tire vers l’avant pour la tendre et touche avec le bout son clitoris encore sorti. Nadia pousse un léger soupir et m’attrape la tête puis la plaque sur son sexe en écartant les cuisses. Ma langue se déchaîne sur son clitoris et elle jouit en à peine deux minutes. Là, pas un son, pas un mot, elle jouit dans un silence total, je le réalise par sa manière de trembler subitement et plaquer ma bouche contre son sexe. Je comprends que c’est très fort ce qu’elle ressent comme plaisir.

 

Je lui caresse les fesses pendant qu’elle jouit. Je suis un peu frustré de ne pas m’en être occupé plus sérieusement. Après s’être calmée, elle me tire vers le haut pour que je me lève.

 

Elle me prend la tête entre ses mains pour diriger ma bouche vers la sienne. Elle m’embrasse langoureusement et termine notre baiser en mordant un peu ma lèvre inférieure avant de tirer celle-ci puis la lâcher. Je m’étonne de ce geste inattendu mais pas moins désagréable. Nadia me regarde et me sourit face à mon regard médusé, elle semble très ravie par mon air surpris.

 

- Merci pour ce merveilleux moment ! dit-elle émue.

- Je t’en prie !

- J’apprécie beaucoup ce que tu m’as fait ressentir ! dit-elle visiblement émue.

- Je ne vois rien d’exceptionnel, juste le fait de te faire l’amour passionnément.

- J’aime beaucoup ta manière de le faire. Je n’ai pas l’impression se servir de trou de balles et trou de vide couilles !

- Je vois !

- Tu t’es si occupé de moi avec attention, patience et tendresse. C’est vraiment gentil ! 

- je le ferais autant de fois que tu le désires et n’y manquerai chaque que c’est possible.

- T’es un ange !

- Si tu le dis !

 

Elle recule la tête en arrière et baisse les yeux vers mon bas ventre et regarde mon érection, la preuve de mon désir sexuel pour elle.

 

- Hum… Tu es encore tendu !

- Je n’ai pas encore versé l’eau !

- Tu permets que je vide vite fait ?

- Vas-y, si t’es capable ! 

- Bien que j’en suis capable !

 

Je souris simplement puis je la vois s’accroupir aussitôt devant moi et se saisir de mon sexe. J’ouvre largement les jambes et me laisse traiter. Je pousse un soupir d’aise quand je me sens dans bouche….

 

 

>> NADIA <<

 

Je le masturbe délicatement et le prends en bouche. Manifestement, il pousse un soupir d’aise. Je le sort de ma bouche et relève sa bite, puis je glisse ma langue du gland jusqu’à ses boules. Marco ouvre un peu les jambes pour me faciliter l’accès à sa boule. J’en gobe une puis l’autre et les suce ensemble. J’aimerais prendre mon temps pour le sucer longuement et apprécier pleinement ce que je fais mais je dois faire vite car on m’attend.

 

Je le pompe rapidement, alternant les petits coups de langue coquins, voire vicieux, les suçons torrides, les pompages en règle. Je me délecte de cette belle bite que j’aime beaucoup, tout en caressant ses bourses.

- Mmmmh… Nadia ! Ça vient ! Hummmm... ! dit Marco entre deux soupirs évocateurs.

J’applique un peu plus mes caresses, et en quelques coups de langue subtils. Marco prends ma tête  avec ses deux mains puis la tient bien et enfonce sa bite dans ma bouche d’un coup de bassin. Il s’en suit de va et vient dans ma bouche comme si c’était mon chatte. Il ne me laisse plus le loisir de lui faire une vraie pipe.

 

Il me baise la bouche, entrant et sortant sa bite assez brutalement. De mon côté, je subis et reste immobile. Je creuse mes joues, et suis le mouvement des va et vient en l’aspirant à chaque introduction.

 

En à peine une dizaine de coups de reins, il éjacule au fond de ma gorge dans un profond râle de satisfaction. Il envoie une formidable giclée de foutre dans ma gorge, son sperme qui déverse par rasade est un yaourt velouté qui ravit mes papilles. C'est chaud et épais, un délice... !

Je le laisse se vider puis j’avale tout ce qu’il a versé comme yaourt. Je m’étonne à avaler sa purée de lait sans éprouver le moindre dégout. C’est fou ! Je crois que je commence à vraiment aimer avaler le sperme. Après tout, ce n’est pas mauvais ! C’est même conseillé, parait-il !

 

Marco une fois vidé et visiblement repu, se laisse tomber en arrière, se couchant sur le dos. Moi, en bonne suceuse et connaisseuse en la matière, je finis en le nettoyant. Je me relève et essuie ma bouche d’un revers de main avant d’aller directement dans la salle de douche pour me brosser rapidement et essuyer mon entrejambe très humide.

 

Je reviens dans la chambre et trouve Marco allongé  de dos, et toujours nu, sur le lit comme je l’ai laissé un instant plutôt après l’avoir satisfait avec ma bouche.

 

 

--- MARCO ---

 

Je regarde Nadia sortir de la douche en finissant de tirer sur sa petite robe pour se réajuster. Elle  met vite de l’ordre sur sa tenue et ses cheveux.

 

- Bon, je dois y aller. Dit-elle avec le sourire aux lèvres.

- Ok ! Vas-y !

- J’n’ai pas envie mais on m’attend déjà en route.

- Moi non plus je n’ai pas envie que tu partes.

- J’apprécie que tu penses comme moi. Je dois y aller. A plus tard ! Dit-elle en souriant.

- Soit sage ! Dis-je en souriant.

- Sans faute ! Dit-elle en souriant.

 

Elle me fait la bouche en cœur, pour m’envoyer un bisou dans le vent. Je souris et la regarde prendre son sac puis sortir précipitamment de ma chambre en tortillant son beau derrière rebondi que sa petite robe près du corps moule à merveille. 

 

Je reste couché un instant, en écoutant le silence qui règne dans ma chambre. Je suis heureux d’avoir passé ces dernières 24h avec Nadia et j’espère que cela continuer comme ça. Je redresse suite à une envie d’une d’uriner.

 

En le redressant, je sens soudain un minuscule tissu collé à mon dos avant que ça se décolle aussitôt et tombe. Je me retourne pour voir ce que c’est. Je découvre avec stupeur que c’est un string dentelle enroulé sur lui-même. Je le reconnais vite le string de Nadia et me souviens l’avoir enlevé sur Nadia.

 

A cette découvre surprise du string de Nadia, je me demande si Nadia enfilé un autre string ou autre chose avant de partir à son rendez-vous de travail. Je réfléchis un peu pour avoir la réponse mais j’ai vite un doute qui me laisse perplexe. J’ose espérer qu’elle n’est pas sortie sans culotte. Puis une partie de moi ne l’espère pas. Cela m’émoustille et me donne un début d’érection.

 

J’ai hâte que Nadia revienne ici en rentrant de son boulot du jour, comme ça je pourrais vérifier si oui ou non elle est partie sans petite culotte.

 

 

A  SUIVRE !

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