Orphée à la Une
Write by Sacerdoce
Ariel : non mais ce n’est pas vrai
Marc : je te promets qu’elle lui a donné la gifle du siècle !
Ariel : elle m’a tapé dans l’œil depuis que je l’ai bousculé dans les escaliers le 1er jour de leur rentré, mais si elle a giflé un mec juste parce que ce dernier l’a juste pris par la taille c’est qu’elle est grave.
Marc : je ne te dis pas !
Ariel : elle est brute mais elle est belle, elle a de ces lèvres que je rêve d’embrasser un de ces jours, surtout quand elle met juste le gloss rosé et dessine le contour en noir.
Marc : non mec tu es grave, tu as remarqué tout ça !
Ariel : ah mon cher, elle me plaît vraiment mais bon je zappe d’abord, je reviendrai à la charge après !
Hermann : je devrais t’éviter dorénavant inh, tu l’as vraiment giflé inh, ce n’est pas cool
Orphée : Lâchez-moi avec cette histoire, je t’ai déjà dit que je n’ai pas fait exprès c’était juste un réflexe !
Hermann : hé! donc tu gifles quand on te touche ?
Orphée : non c’est à cause de là où il m’a touché, il m’a pris par la taille !
Hermann : et puis quoi ?
Orphée : personne n’a le droit de me tenir par la taille sauf mon chéri !
Hermann : depuis que tu es avec lui tu me rabâches les oreilles inh en tout cas !
Orphée : cherche-toi une chérie et arrête de me coller.
Hermann : ….
Orphée : tu crois que je ne vois pas tous les yeux doux qu’elle te font, surtout Katia qui pense que tu es sa chose !
Hermann : en tous cas moi je ne vois rien
Orphée : je peux te faire la liste de toutes celles qui en pincent pour toi !
Hermann : oui je veux bien ainsi je vais faire mon choix tranquille
Orphée : tchrumm ! les Travaux Pratiques vont bientôt commencer, qui sera ton binôme ?
Herman : toi biensûr
Orphée : oh non va chercher ailleurs j’ai déjà mon binôme
Hermann : pas grave, il y a un Dieu pour nous aussi !
Orphée : allez ! viens on va déjeuner, je t’invite !
1semaine après !
Orphée : Hermann, tu viens stp !
Katia : tu ne vois pas qu’on discute !
Mon sang n’a fait qu’un tour, pour qui elle se prends
Orphée : que je t’ai parlé ? Hermann !
Hermann : (perdu)
Orphée : ok dis on va faire le marché avant de rentrer ?
Katia : Hermann, qu’est-ce que cette moins que rien raconte ?
Orphée : (l’agrippant par les cheveux) Katia c’est pour la 1ère et dernière fois que tu oses me parler ainsi, écoutes moi très bien je ne vais pas me répéter
Katia : lâche-moi salope !
Orphée : (la serrant mieux) : ce n’est pas pour un petit étudiant de la 1ère année que je vais me rabaisser à me salir les mains, que quoi, si tu veux étudiant de la 2e année en 7e année, je te le fournis sur champ, si tu veux célibataire avec enfant je t’en procure, ou peut-être tu veux un homme marié je peux t’en céder quelques-uns. Je n’ai pas besoin d’artifices pour plaire ou séduire, avec tout tes faux ongles, faux cils et j’en passe, tu te retrouves à devoir harceler pour une relation. Tu es aussi fake que tous tes produits capillaires ! et maintenant bats les pattes je ne veux plus te voir tourner autour de lui, je m’arrangerai à lui trouver une fille beaucoup plus classe et honorable !
Katia : tu me fais mal arrête stp
Orphée : voilà que tu parles bien ! hors de ma vue.
Hermann :
J’étais encore éberlué de la scène que toute la salle était en euphorie ! je crois que plus aucune fille de la classe ne voudra de moi.
Quelques heures plus tard chez Hermann
Orphée : toc toc !
Hermann : tu es venu chez moi pour quoi ?
Orphée : m’excuser
Hermann : tu m’as ridiculisé devant la classe, ça je ne te pardonne pas !
Orphée : désolé, seulement que je n’aime pas cette fille, elle n’est pas bien pour toi !
Hermann : depuis quand tu es devenu ma mère !
Orphée : c’est fini je ne dis plus rien ! mais…
Hermann : mais rien Orphée !
Orphée : tu es vraiment fâché, je fais quoi pour que tu m’excuses
Hermann : tu changes ton binôme des TP contre moi !
Orphée : donc en fait tu es …… bon ok j’accepte !
Hermann : je suis quoi ?
Orphée : non rien oublie, je veux faire du couscous au gras, ou vais-je trouver des carottes à acheter dans ta zone ? vu que tu étais fâché et tu es parti sans qu’on fasse les emplettes
Hermann : je ne sais pas débrouille toi !
Orphée : tchrum
SmS
Arnaud : ce soir je ne fais que penser à toi, j’ai beau lire, regarder des séries, mes pensées se tournent à chaque fois vers toi. Tu me manques énormément ! Je t’aime, bonne nuit
Orphée : merci et bonne nuit à toi aussi !
C’est comme ça depuis la dernière fois où il m’a déclaré sa flamme, j’ai droit à un sms le matin et un au coucher, je ne sais pas mais j’ai du mal à m’ouvrir totalement à lui, j’ai tellement peur d’être à nouveau déçu.
Je repense à tous mes déboires à l’Institut, je fais la une des potins à cause de la gifle que j’ai donné à Carl, je ne pensais même pas que cette histoire allait prendre autant d’ampleur mais tant mieux, ils savent où ne pas trainer leurs mains dorénavant. Ce qui s’est passé aujourd’hui s’y ajoute !
Quel Journée