Ou Est-Il?

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VENGEANCE VS AMOUR : Page 27


*Ou Est-Il ? 


JAMILA 


Lui : (me suppliant du regard) maman tu viendras me chercher aujourd’hui s’il te plait ? J’ai parlé de toi à mes amis et tous veulent te voir 


Moi : ah bon mon grand ? (souriant)


Lui : oui oui 


Moi : d’accord je viendrais te récupérer à 16h (l’embrassant)


Lui : je t’aime maman (tout heureux) 


Moi : moi aussi mon amour 


Lui : je vais dire au chauffeur de ne pas passer me récuperer car tu viendras 


Moi : ok je lui dirai aussi je t’aime sois sage 


Lui : toi aussi 


Puis il partit en courant c’est fou comme cet ange me procure de la joie. Je suis si comblée lorsqu’il me parle et va bien. 


Moi : wahho Lizzie 


Elle : je suis trop habillée ? (me demandant) 


Moi : tu es sublime (souriant) 


Elle : merci 


Moi : tout ceci pour Franck ? (la taquinant) 


Elle : mais non, j’ai des rendez-vous à faire 


Moi : et ensuite ? (continuant à la taquiner)


Elle : je déjeunerais avec lui 


Moi : il risque de faire une attaque à ta vue, tu es resplendissante ma belle 


Elle : merci, Ethan est déjà partit ? (souriant) 


Moi : oui et s’il te plait rappelle au chauffeur de ne pas aller le récupérer aujourd’hui 


Elle : pourquoi ? 


Moi : (souriant) je le ferai moi-même comme une bonne maman 


Elle : ah d’accord, c’est bien alors 


Moi : oui mais je vais te devancer….j’ai des affaires au bureau ensuite une réunion de clan (riant) on parlera sûrement de cette histoire avec Mme Valls 


Elle : je l’espère bien, il faut que l’on remette cette fille à sa place (me souriant) 


Moi : hum ça tu l’as dit 


*******


J’entrais dans la salle de réunion et tout à coup l’autre pointa son arme sur moi 


Maxime : (se levant) mais que fais-tu Neslie ? 


Elle : (sereine)  du calme Max, assieds-toi  (lui faisant signe) 


Je ne comprenais rien j’avais une arme pointer sur moi et je ne savais à quoi ni à qui penser ? avait-il tout découvert ? Savait-elle tout ? Mon fils comment vivrais t’il sans moi ? Lizzie oh mon Dieu ! tous étaient en danger ? 


Je soufflais un long moment et je la fixais dans les yeux ne parlant pas et ne disant rien. Je faisais tout pour paraitre sereine. 


Un homme du clan : ça va le génie (applaudissant) elle a tenue et n’a même pas flipper 


Elle : (baissant l’arme) tu m’as vite dit d’arrêter, (me souriant) vous avez presque réussi le test Madame


Lui : (s’emportant)  vous êtes fous, c’est quoi ce test ? 


Elle : (parlant avec calme)  juste pour voir si elle peut résister devant une arme Max y’a pas de quoi à en faire tout un plat 


Lui : (apparemment énerver)  Neslie vraiment tu exagère à la fin, tu t’acharnes sur cette femme pourquoi ? 


Elle : (le fixant)  m’acharner ? Je veux juste voir si elle peut faire partie de notre clan, nous sommes tous exposés et quelqu’un qui a peur d’une arme et qui plus est à un enfant, ne peut en faire partit tu vois ? 


Lui : (craint)  c’est faux et archi faux, quels sont ces nouveaux tests ? Tu veux juste qu’elle parte d’une manière ou d’une autre 


Elle : je n’ai pas été la seule à donner l’accord pour le faire (regardant le reste de la salle) donc tu baisses d’un ton et te calme mon cher, elle te fait certes tourner la tête mais nous en  rien,  elle ne le fait en plus elle est étrangère et donc nous devons vraiment en être surs (sereine) 


Lui : ce sont des bêtises !

 

Un autre : (voulant le raisonner)  mais Maxime 


Lui : (le stoppant d’un geste) non vous la fermez, Neslie passe par tous les moyens pour vider cette femme d’ici et vous  restez là à la regardez faire sans rien dire soit vous voulez le faire juste parce que  c’est moi qui l’ai fait venir ou alors c’est juste parce que Neslie vous offre plus (énervé) 


Puis elle dirigea son arme sur Max avec  un regard pleins de colère. 


Elle : (autoritaire)  tu la fermes Max ne me pousse pas à bout 


Lui : (soutenant son regard)  tu vas me tuer ? Alors fais-le 


Elle : (toujours avec l’arme à la main)  ne me pousse pas à bout, je suis loin de toutes les idiotes que tu as réussi à mettre dans ton lit et à effacer après,  moi j’agis assez, alors me concernant maitrise ton langage (regard ferme) 


L’autre : madame Valls (voulant la calmer) 


Elle : (craint)  je sais ce que je fais 


Lui : (reprenant)  certes tu n’es pas une idiote mais j’ai réussi à …..


Et à ce moment-là elle tira non loin de moi mais dans le mur, la peur que j’ai ressentie  à ce moment-là seul Dieu peut le savoir. Mais j’arrivais à la fixer sans brocher, ma voix m’aurait trahie. 


Elle : (hurlant)  j’ai dit de la fermez Max 


Eux : (se levant choqué par son geste) Madame Valls 


Lui : (avançant vers elle) tu veux la tuer ou nous tuer par simple jalousie ? 


Elle : (énervée)  je t’emmerde, je fais ce que bon me semble et toi ne t’en mêle pas. Tu veux que ta nouvelle chérie continue à être ici alors qu’elle se plie aux règles et je ne la dérangerai plus mais toi et moi c’est la fin d’une grande amitié (lançant un juron) 


Lui : c’est l’effet de colère qui t’anime Neslie, toi et moi c’est pour toujours (riant) 


Elle : (prenant ces affaires)  j’en ai fini avec toi 


Elle sortit et je me demandais encore ce qui venait de se passer.  


Maxime : (me donnant un verre d’eau) tiens bois vraiment navré 


Moi : (forçant une mine normale) ne t’en fais pas certaines personnes prennent du temps pour connaitre les autres 


Lui : c’est la jalousie qui l’anime 


Moi : ce doit être une de tes très proches amies apparemment 


Lui : (soufflant)  bon, hum bien plus que cela 


Moi : ah bon ? 


Lui : (me regardant)  oui, mais je la respecte trop  pour en parler 


Moi : ok je vois (faisant mine d’être déçue) 


Lui : (mettant sa main sur la mienne)  non pas que je veuille te cacher un truc, juste qu’elle et moi (soupirant) avons été intimes 


Moi : mais elle est marié ? Ou c’était avant ? 


Lui : c’est assez bizarre, elle et moi sortons ensembles alors que nous étions tous deux mariés. 


Moi : ohhh !!


Lui : c’est vraiment bizarre, et après la mort de ma femme, cela à continuer, nous avons stoppé quand son mari lui a demandé un héritier et on a repris y’a peu alors je pense que c’est la jalousie qui l’anime (passant sa main sur son visage) 


Moi : mes condoléances pour votre femme (mine triste) 


Lui : (me souriant)  merci beaucoup


Moi : mais pourquoi est-elle jalouse de moi ? 


Lui : juste parce qu’elle voit dans mes yeux comment je vous regarde et elle se rappelle qu’à une époque je la regardais ainsi. (Avançant vers moi)  Ecoute Jokeybed loin de moi l’idée de te brusquer ou te mentir, mais à la mort de ma femme j’ai eu comme un vide qui s’était installé en moi, je l’ai enterré en grandes pompes pour me rassurer d’avoir bien fait (son visage se crispait)  mais il manquait un truc  et Neslie pouvait bien combler ce truc là mais bon elle voulait respecter ces engagements donc….. (Soufflant) 


Je voulais plus savoir, donc je m’assis mieux. 


Moi : (automatiquement)  vous voulez donc que je remplace Neslie ? 


Lui : (me regardant avec des yeux rouges)  non ce serait vous insulter Jokeybed, vous avez tout d’une femme parfaite pour vivre aux côtés d’un homme et moi je vous veux pas pour une machination politique ou autres mais je vous veux car je ressens le besoin au fond de moi que vous êtes celle qu’il me faut. (Certain) 


Moi : et comment cela ? 


Lui : (me souriant) vous êtes intelligente, belle, avec de très belles formes mais plus vous n’avez pas peur du risque. Vous êtes venus ici sans vraiment connaitre ce pays et vous avez acceptez mon amitié sans me connaitre davantage. En plus cette sérénité que vous affichez à tout moment me prouve qu’ensemble nous pourrons faire de grande chose. Vous n’avez même pas tremblez devant l’arme. 


Moi : mais je suis veuve et avec un fils


Lui : moi aussi je suis veuf et raison de plus pour vous vouloir, (sérieux)  vous avez comme premier né un fils, un fils. (Avec une certaine joie)  Même la grande Neslie  à donner naissance à une fille à son mari, je m’en suis réjouis car je croyais vraiment que c’est à moi qu’elle donnerait ce fils mais je vous ai vu et avec vous y’a plus de chance. (Souriant) 


Moi : vous êtes assez cultiver pour savoir qui donne un fils à une femme (le fixant) 


Lui : je sais  mais certaines femmes ont le don de tout transformer en bien donc je suis convaincue que ce sera parfait pour nous (me souriant toujours) 


Moi : (le fixant) je ne vais pas m’unir à quelqu’un juste parce qu’il me trouve belle et une machine à petits garçons 


Lui : (voulant me convaincre) pour les bébés ne vous en faites pas on le fera en votre temps, mais dites-moi oui seulement  oui. Et le reste viendra à temps. 


Moi : pourquoi moi ? 


Lui : moi-même je ne saurais vous répondre


Moi : ai-je des traits de votre défunte femme ? 


Lui : (remuant la tête) non, aucun. Jamila était trop, trop molle et inoffensive pour un rien elle pleurait et en plus elle ne partageait pas mon monde, mon univers. Elle n’aimait et n’avait rien du pouvoir, pourtant vous je sens que l’on se complètera. 


Moi : hum 


Lui : croyez-moi Jokeybed qu’à la minute ou vous dirai oui je me consacrerai entièrement à vous et serai même un père pour ce trésor 


Moi : (me rappelant de lui) oh non je dois y aller, j’ai promis aller récupérer mon fils et je suis en retard de 30 minutes (fixant ma montre) 


Lui : je peux vous accompagner si vous le voulez ? (se levant automatiquement) 


Moi : non, non…. rien n’est encore dit pour le moment entre nous alors vous le présentez serait un peu comme le brusquez 


Lui : que dois-je faire alors ? Dis-moi et je ferai tout 


Moi : plus que des mots, à plus tard bonne journée


Je ne lui laissais même pas le temps de finir que je sortis rapidement pour aller retrouver mon Ethan à l’école et merde avec tout ceci j’ai zappé mon fils.  Mais je devais savoir aussi tout ceci, savoir ce que cet homme, cet assassin pensait vraiment de moi. 


Et cette Neslie je suis sûre qu’elle a juste agit de la sorte afin de me montrer ce qu’elle vaut et aussi ce qu’elle peut me faire. Je dois me tenir prête pour moi et ma famille. 


Eh merde ce bouchon qui n’avance pas. J’ai déjà 45 minutes de retard, j’appelle Ethan qui m’avait appelé plusieurs fois mais rien, ça sonne occupé. J’avais mis mon tel sur silence à cause de cette stupide réunion. 


Moi : (au chauffeur) encore pour longtemps ? 


Lui : madame vraiment navré mais cela n’avance pas 


Moi : (prenant mon sac) ok je vais descendre marcher rapidement vous me trouverez en route ou à l’école si la situation s’améliore 


Lui : mais madame, vous seule marchez c’est vraiment….


Moi : (ouvrant la portière)  je vais chercher mon fils et rien ne peut arriver à une mère qui va cherchez son fils


ETHAN NELSON 


 Lui : (me demandant) ca fait plus de 30 minutes que l’on attend c’est sûr qu’elle viendra ? 


Moi : oui, oui  (certain) 


L’autre : (impatient) mais moi je dois rentrer, le chauffeur s’impatiente et en plus on doit aller chercher ma sœur au lycée français là 


Moi : attendons encore un peu je vous en prie 


Lui : (supposant)  on la verra une autre fois 


L’autre : (voulant me convaincre) allez rentrons, elle t’a surement oublié comme le font toujours mes parents. Ils oublient et se rattrapent avec un présent, comme si ça pouvait combler leur absence mais je leur pardonne 


Lui : (certain) elle ne m’oublie jamais, au Ghana elle venait toujours me chercher et en plus elle l’a promis 


L’autre : (riant) mais ici c’est la Côte d’Ivoire mon ami 


Moi : (vexé)  et alors ? 


Lui : et alors tout change ici 


Moi : c’est faux 


L’autre : (se moquant) ok,  continue d’attendre, moi je pars. Tu crois que nous aussi nos parents ne nous font pas de promesses 


Lui : ne l’écoute pas elle est surement occupée ou va mal 


Mon cœur se coupa, oui je me rappelais qu’au Ghana elle allait souvent des malaises. 


Moi : je vais l’appeler voir 


Lui : ok 


5 appels sans réponses, j’appelais automatiquement ma tata Lizzie 


« Moi : oui tata….oui….c’est pour savoir si maman va bien ?....ha….Ok…..non, non….ça va je vais l’attendre en plus il y’a un prof qui a reculer une matière donc ça ne fera rien…..merci tata….bisous. » 


Je retournais près de mon ami, car j’avais un peu bougé pour communiquer. 


Moi : désolé elle ne pourra venir 


Lui : pas grave, elle va bien non ? 


Moi : oui, oui encore navré pour tout ce temps perdu 


Lui : t’en fais pas je comprends, on te dépose ou tu veux que l’on parte prendre une glace ? J’ai le chauffeur pour toute la journée aujourd’hui


J’avais vraiment envie d’une glace et en plus j’avais prévu y aller avec  ma maman. Car la dernière fois au centre commerciale on n’avait pas pu prendre les glaces, on devait rentrés le plus tôt possible. 

Maman avait l’air un peu bousculé par un truc. 


Moi : non, j’appellerais le chauffeur et il viendra me récupérer (mentant) 


Lui : je peux attendre avec toi tu sais ? 


Moi : non vas-y, je vais aller causer avec le vigile 


J’attendus qu’il soit vraiment bien partit pour marcher. Je ne savais ou j’allais mais j’avais mal et je devais marcher pour oublier. Depuis que nous sommes arrivés ici, maman me néglige vraiment. Même au Ghana, elle travaillait mais me lisait toujours une histoire et allait partout avec moi surtout les weekends. Mais maintenant elle va à des galas presque toute les nuits et le week-end dernier elle m’emmena à une maison de plage et elle resta seule sans l’autre maison. 


C’était bien cool la plage avec tata Lizzie mais maman me manquait assez. J’avais besoin d’elle, et en plus aujourd’hui elle me l’avait promis et moi comme un con je l’ai cru. Promis je ne lui demanderai plus jamais rien. Et je ne prendrai même pas son présent d’excuses. 


Je m’apprêtais à traverser lorsqu’une voiture noire s’arrêta à mon niveau, j’eus peur et j’accélérai les pas, mais la voiture me suivait et elle coupa devant moi.  Puis l’homme à l’intérieur descendit et me dit :


« hey petit ?  »


JAMILA


Je sortis et alla rapidement, vu ce bouchon ce n’est pas maintenant qu’il avancera.  Je courus même et arrivait à l’école avec le cœur remplit de joie à l’idée de voir mon fils je sais qu’il m’en voudra mais il me comprendra comme toujours. 


Je m’adressais au vigile mais il me dit qu’aucun enfant n’est à l’intérieur de l’établissement, je commençais à avoir le vertige, à ce moment ma voiture arriva et je leur demandais d’appeler les gardes et autres chauffeurs pour voir si Ethan était avec eux. 


C’était tous négatif, mon cœur se mit à battre très fort. J’appelais Lizzie qui prit peur et me répondit qu’elle n’avait eu de ces nouvelles et que l’après-midi lorsqu’il lui a demandé si j’allais bien elle lui a dit que oui et qu’elle allait m’appeler, mais il lui a dit que ce n’était pas nécessaire et qu’il allait encore attendre car un de ces cours avait pris du retard. 


Mais non seulement les cours avaient tous pris fin depuis 1h de temps déjà mais aussi plus aucun élève n’était dans la cour. Je commençais à sérieusement m’énerver en accusant une si grande école privé de laisser un petit garçon sortir sans ces parents. 


Le Directeur qui était encore là et qui avait entendu mes cris étaient venu s’excuser et me demander de me calmer. Le vigile m’expliqua qu’Ethan se comportait toujours en grand en sortant pour attendre la voiture et ce depuis son inscription. Je n’en revenais pas  avec tous les sous qu’ils empochent ils peuvent au moins faire preuve de plus de sécurité. 


Le directeur gronda son vigile mais moi je réclamais mon fils on appelait tous les parents de ces amis mais pas d’Ethan, je m’assis sur la chaise et commença à penser au pire. Neslie ? Elle avait l’air si fâchée et énervée. Aurait-elle enlevé mon bébé ? Non, non….mes larmes commencèrent à coulées. 


Directeur : (me rassurant) on va le retrouver madame je vous le garantis 


Moi : (le regardant) si quelque chose arrive à mon fils jamais au grand je ne me le pardonnerait.  (M’énervant) Bon sang pourquoi l’avoir laissé partir ? J’avais confiance en cette école concernant sa sécurité et voilà que même étant sa mère  moi je l’oubli et il est introuvable grâce à vous. 


Directeur : je vous jure que je vous comprends et je changerai de vigiles, je vous le promets. Et vous avez tout le droit de porter plainte contre l’école je ferai tout pour le retrouver 


Moi : (me calmant)  à quoi la démission d’un vieil homme vigile et un procès contre une école me servirai si mon fils est toujours dehors seul dans la faim ou avec des gangsters qui lui feront tout le mal du monde juste par ma faute (éclatant) en quoi cela règlerait mon souci. En quoi ? Je veux juste mon fils, (m’agenouillant) Seigneur je t’en prie ramène le moi, je t’en prie 


Le directeur : (dépassé) j’appelle mon ami policier, madame je vous jure sur tout que vous le retrouverez (me rassurant) 


Je me mis à pleurer, tous essayaient de me consoler mais impossible. Carrément impossible. Je pensais au pire, peut-être qu’il s’est échapper et ils l’ont poursuivis comme ils l’ont fait avec moi. Non pas ça, pas ça. Seigneur je t’en supplie mets ta main sur mon fils garde le. 


Lizzie : (arrivant) ils l’ont retrouvé ? 


Moi : (pleurant) Lizzie tout est de ma faute, je l’ai oublié, j’ai oublié mon fils (pleurant) et s’il meurt ? Ou si quelque chose lui arrive ? Lizzie, mon fils est seul dehors à cette heure de la nuit et je suis incapable de l’aider et tout est de ma faute. Tu sais aujourd’hui c’est l’anniversaire de la mort de Marysa et son fiancé et je pense au pitre. (Éclatant) Lizzie…..


Elle : (me calmant) chut, ne pense pas à cela. Rien je dis bien rien ne lui arrivera. Il est fort comme un Nelson et rien n’y personne ne peut lui faire mal. Calme toi on le retrouvera est peut-être chez un ami


Moi : aucun, je dis bien aucun de ces amis de classe n’a de ces nouvelles. Leurs parents ont été contactés (pleurant) oh Seigneur (Prenant mon téléphone) 


Elle : que fais-tu ? (me regardant avec le téléphone) 


Moi : (tremblant)  je veux appeler Maxime peut-être qu’il m’aidera, on parle de mon fils et je suis prête à tout 


Elle : (m’arrachant le portable)  c’est risqué, s’ils ne l’ont pas cela mettrai plus Ethan en danger et à leur merci. Attendons encore un peu, on tournera dans les environs 


Moi : (m’emportant)  et s’ils l’ont et si cette Neslie l’a ? Je n’ose imaginer ce qu’elle lui fera elle a voulu me tuer aujourd’hui (pleurant) 


Elle : quoi ? (ahurie) 


Moi : (pleurant) j’ai peur 


Directeur : il est arrivé madame , mon ami policier 


Elle : (se levant automatiquement et criant)  bon sang, est-ce que vous avez idée de la bêtise que vous avez fait ? Laissez sortir un gamin sans que personne ne soit venu le récupérer. Vous savez tous les dangers qu’il y’a dehors, en plus pour quelqu’un qui ne maitrise pas les environs, non mais qu’est-ce qui vous a pris ? (énervée) 


Directeur : (s’excusant)  je suis vraiment navré madame, je ne sais quoi dire d’autres. Voilà pourquoi j’ai contacté mon ami policier afin qu’il vienne et nous aide 


Elle : (automatiquement)  nous avons plus d’une vingtaine de gardes du corps bien spécialisés et personne ne trouve mon neveu alors j’espère pour vous que votre soi-disant policier retrouvera mon neveu. Je l’espère. (Le menaçant) 


***


Policier : nous avons fait tous les environs et il n’est nulle part 


Moi : oh Mon Dieu ! 


Policier : écouter madame Nelson, je sais que c’est votre fils et c’est délicat, mais je vous en prie rentrez à la maison 


Elle : en sachant mon neveu dehors ? 


Policier : (calme)  ça parait absurde mais nous avons plusieurs cas de ce genre, il a dû suivre une bande d’amis et pas ceux de l’école et il a surement du partir avec eux. Il rentrera à la maison, la soirée débute, il ne restera pas dehors j’en suis sure. 


Elle : (énervée) comme vous étiez sur de le retrouvez tout à l’heure 


Policier : (nous rassurant)  vous avez ma parole et si demain rien n’est fait on lancera l’avis de recherche, je ferai tout pour accélérer la procédure 


Nous allions donc à la voiture sous les excuses du vieux vigile moi je ne faisais que penser et prier. 

Lizzie était aussi affolée et apeurée, mais elle essayait de me calmer. 


On rentra à la maison et Lizzie me força à prendre une douche mais je n’y arrivais pas. Je partis m’asseoir pour prier. 


Moi : c’est quoi tous ces bruits ? 


Elle : il pleut apparemment, c’est le vent. Je vais dire à la gouvernante de fermé les vitres  


Moi : (apeurée)  il pleut ? 


Elle : (me regardant)  oui le tonnerre gronde fortement 


Je me levais et me dirigeais vers la sortie


Elle : mais ou va tu ? 


Moi : chercher mon fils (déterminée) 


Elle : mais il pleut là (me fixant) 


Moi : (criant et tremblant)  il pleut fortement, le tonnerre gronde et toi tu veux que je reste ici à attendre bien au chaud, pendant qu’il est surement seul en train de mourir de faim et de froid, (pleurant) ne sachant ou s’abriter ayant peur des éclairs ou à la merci de mauvaises personnes. (Fermant les yeux)  Non c’est impossible ! (ouvrant la porte) 


Elle : (derrière moi)  les gardes font tout dehors, ils font toujours les recherches en voiture. Tu as subi assez de trucs aujourd’hui vient t’asseoir un peu, il reviendra (me suppliant du regard) 


Moi : (déterminée)  je ne peux pas, si mon fils et dehors tout seul (sortant) je dois y aller aussi


Elle : attend au moins….


Je n’attendais pas qu’elle dise autre chose et sortit rapidement 


Garde : madame il pleut, vous voulez un  truc ? 


Moi : (ordonnant) ouvrez la porte 


Lui : j’appelle le chauffeur ? 


Moi : ouvre-moi la porte et ferme là quand je sors (le fixant avec une mine sévère) 


Lui : mais madame….


Moi : (hurlant) JE TE DIS DE M’OUVRIR CE PORTAIL


Il le fit rapidement et je sortis d’un pas pressé sous cette pluie diluvienne. Seigneur ou-est-il ? 


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