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Write by Mabanabook
SON PARDON : page 29
MIRABELLE
Moi : écoutes, cette nuit est la tienne alors va dans sa chambre et tu verras il sera à toi
Elle : mais et s’il me repousse ? (hésitante)
Moi : (l’encourageant) Sandra, va et offre toi à lui, il va répéter Yedmila en pleurant car il le fait chaque soir quand il boit. Mais joue le jeu et tu verras que s’il te goûte ce sera parfait et il sera à toi.
Elle : ok merci (souriant à peine)
Moi : je t’en prie (faux sourire)
Puis elle partit, je la suivis et j’étais contente.
Maman : (derrière moi) Que fait cette fille dans la chambre de ton frère ?
Moi : (voulant changer de sujet) Tu es réveillée maman ? (Vu sa mine j’ai su qu’il fallait que je lui réponde) elle essaie de lui faire oublier Yedmila, faudrait pas qu’il parte annuler la plainte, il est tout ivre temps ivre et ne fait que pleurer son nom.
Maman : (tournant son visage) Je me demande si ton père aurait voulu que l’on en arrive là
Moi : (voulant la rassurer) maman ce n’est pas le moment de régresser, elle l’a tué et elle paiera.
****
Louis : (me bloquant la route) Réponds moi
Moi : (le poussant afin que je puisse passer) Dégage j’ai des courses à faire
Louis : (saisissant mon bras) c’est toi pour la résidence brûlée non ?
Moi : et alors, ce n’est pas mon soucis cela (haussant le ton)
Marc : eh, vous deux ? Qui as mis Sandra près de moi s’il vous plait (ensommeillé et puant l’alcool)
Louis : (le regardant de haut) Hum tu couches avec l’ami de ta femme maintenant ?
Marc : non je l’ai trouvé nue dans mon lit, ce matin
Louis : MIRA (criant et me fixant)
Moi : QUOI ? (criant aussi) Elle est allée toute seule et je ne sais pas ce qui s’est passé donc lâchez moi, vous deux. J’essaie de venger mon père pendant que vous deux votre seule réconfort reste l’alcool, alors ne me fatiguez pas. Là-haut, il y’a une femme veuve qui n’a pas demander tout cela et qui souffre la perte de son ami, son mari et le papa de ces enfants, donc libérez moi le passage car le procès débute bientôt et je dois régler certaines choses. (Je les laissais planter là et partais dans ma voiture)
Bien sûr que je mentais oui, c’était moi pour la maison mais quoi ? Elle le méritait bien cette pétase et Sandra fera que mon frère l’oubliera. Il commence à trop penser à elle ces temps-ci, ce doit être à cause de son ventre qui s’arrondit apparemment, je me demande bien qui l’a mise enceinte, car je suis sure que ce n’est pas Marc, et même si c’est lui, moi ça n’affectera pas mes décisions, bientôt 8 mois qu’elle est en tôle et rien ne se fait, le procès se retarde, ils ne veulent pas lui mettre la pression à cause de sa stupide grossesse je pense, car à ce que je sais personne ne la soutien donc je doutes fort qu’une main puissante agisse derrière. De ce fait je jouerai sur son mental pour qu’au moins elle soit affectée et signe les papiers du divorce, j’e, ai marre que l’on continue à l’appeler avec le nom de mon père qu’elle à assassiné.
Elle : (entrant) bonjour mira
Moi : oh donc tu es enceinte ? (la lorgnant)
Elle : oui que veux-tu ? (regard vide)
Moi : as-tu lu les journaux ?
Elle : tu es venue pour cela (se levant)
Moi : (élevant la voix afin qu’elle reste) je sais que tu es fan des réseaux sociaux alors je voulais te faire un petit récapitulatif :
Hum the best dit que : ‘’parait-il que le père de l’enfant de Sophie Ly veut lui arracher la garde son fils pour son amitié avec Yedmila, définis pour le moment comme l’assassin de deux personnes, Fake ou vraie info? Nous y reviendrons’’……. (Je lisais avec une de ces voix vraiment provocante)
Je lis la surprise sur son visage
Ensuite Affairage qui dit : ‘’Yedmila ou la fin trin tragique ?’’ (Lui montrant de plus près le journal) Je crois qu’ils font une biographie sur toi. Puis il y’a la page On veut tout savoir qui affirme : ‘’le juge dit avoir assez de preuves pour condamner Yedmila à perpétuer, elle ainsi que son bâtard apparemment. ‘’
Moi : (continuant) oh et aussi sais-tu que Angie ta copine qui s’est convertie, doit sortir un album ? Mais par ta faute, à cause de sa relation avec une meurtrière de grands chemin, l’album risque de ne pas sortir ? (voyant sa surprise) mais oui tu sais les hommes de Dieu ne badine pas, demande à ton père, il est en train de perdre presque toutes ces bonnes fréquentations, juste parce que tu es sa fille. Hum, tu gâches vraiment la vie de beaucoup Yedmila.
Elle : que me veux-tu ? (me fixant, son regard laisser transparaitre sa surprise pour tout ce que j’ai dit)
Moi : oh juste te lire le news, mais bon si tu veux je peux te montrer autre chose (je fis sortir mon téléphone et je lui montrais les différentes photos de Marc et Sandra en action)
Elle : ce sont des photos truquées ? (s’asseyant toute surprise)
Moi : je peux aussi te montrer la vidéo inh ? (la fixant toute heureuse de l’avoir atteinte, oui j’ai appuyé là où ça faisait mal apparemment)
Elle : que me veux-tu ? Que je plaide coupable ? (s’emportant)
Moi : (haussant les épaules) pour que tu sortes d’ici un jour, non c’est trop facile cela. Je veux juste que tu signe les papiers du divorce (tapant sur la table)
Elle : pourquoi ?
Moi : je ne veux plus que mon nom soit associe à ton prénom Yedmila, (exprimant une mine de dégoût à la prononciation de son prénom) alors si tu ne veux pas voir un autre de tes biens incendié, signe ces papiers (autoritaire). (Je me levais pour partir, lorsque je la vis essuyer son visage) oh non ne pleure pas, (ton moqueur) garde tes larmes pour quand tu seras condamner à vie, là je me réjouirais de te voir pleurer, car ton bâtard naîtra et vivra ici, en tôle, avec une éducation un peu moins bonne que la tienne (ton moqueur). Mais en dirait que ça arrivera vite même avant la condamnation car tu es déjà à 8 mois, (lui parlant avec un ton assez méchant) ton propre enfant assistera à ton procès et vivra ici sans père, ou dans un orphelinat. Hum pauvre de lui, il t’a choisi comme mère. (Sortant)
Je sortis de la fière d’avoir brisé son mental, oui car je sais que je l’ai atteinte. Je voulais demander un service aux filles de la prison pour qu’elle perde le bébé, mais je vois cela plus facile que d’accoucher et d’élever sa propre chair en prison, ou même de devoir se séparer de lui après sa naissance. Enfin, elle connaitra ce que ça fait que d’être séparé de sa propre chair et son propre sang précocement.
Je sortais de la prison pour monter dans ma voiture, quand je vis Sophie et un Mr m’arrêter :
Lui : (s’approchant avec respect) ma fille bonjour, je suis le père de Yedmila je viens vous implorer de laisser ma fille. Elle est innocente et enceinte, ça fait trop de pressions s’il vous plait, permettez lui au moins d’accoucher dans un bon hôpital et nous prendrons l’enfant.
Moi : (je souris lorsque je reconnus le père de Yedmila) apparemment vous êtes pasteur ?
Lui : si Dieu veut oui, pour le moment je prêche sa bonne parole à tous ceux que je peux approcher.
Moi : alors vous pourrez me donnez les références de ce passage biblique qui dit : « il n’y’à point de repos pour les méchants ? » (regard dur)
Sophie : (voulant me taper, elle fut bloquée par le père de Yedmila qui la calma) pour qui te prends-tu ?
Moi : (le lorgnant) pour quelqu’un qui par tous les moyens vengera son père.
Je les laissai là et monta dans ma voiture, puis je partis.
YEDMILA
Je retournais en prison en pleurant. Tiacoh et Sandra ensemble ? Pourquoi, tout s’effondre autour de moi apparemment. Je suis à 8 mois de grossesse et je suis encore ici, en prison avec pour seules soutien Sophie et Angie ainsi que papa. Avec un bébé je ne ferai qu’augmenter leurs charges, que fais-je faire ? Je retournais dans ma cellule sans prêter attention à la gardienne qui me disait qu’il y avait encore des visites. Je voulais être seule, j’avais mal et pensais à ma condition, nos conditions. De ma vie de luxe, d’intouchable hier, regardez ou j’en suis aujourd’hui et peut-être même que j’y serais encore demain avec ce pauvre innocent.
Elle : (prisonnière) eh apporte moi ma serviette (autoritaire)
Je ne répondis pas
Elle : eh je te parle (criant)
Moi : n’as-tu pas de bras ? (automatiquement)
Tous me regardèrent se fut un silence.
Elle : (s’avançant) Répète voir
Moi : (la fixant) n’as-tu pas de bras ?
Elle vient vers moi et me poussa avec violence, puis commença à me donner des coups très forts partout, ces amis venaient me saisir le bras. Ce n’était même pas la peine je n’allais pas me battre. Je la fixais me défoncer et cela l’énervait plus, je continuais malgré l’intensité de ces coups jusqu’à ce que mes yeux se ferment.
*****
Je me réveillai dans un lieu bizarre et je vis Sophie et papa près de moi.
Moi : ou suis-je ?
Papa : tu es réveillée mon bébé ? Gloire à Dieu (venant m’embrasser)
Sophie : Yedmila tu es à l’hôpital de la prison (s’approchant et parlant avec calme, mais par sa voix je pus sentir qu’elle avait eu peur)
Angie : elles t’ont encore frappée, ces méchantes. (S’approchant encore avec une mine triste)
Moi : (touchant mon ventre) il vit toujours le bébé ?
Papa : oui, oui (souriant) il est tenace comme sa mère. (Me touchant le ventre)
Moi : (coulant une larme) tous ces coups n’ont servi à rien alors.
Sophie : (ahurie) Que dis ti ? Tu les as donc provoquées ?
Moi : (regard froid) Je voulais mettre fin à cette grossesse
Papa : mais ma chérie… (Me regardant)
Moi : (m’emportant et voulant leurs faire entendre raison) Ou vais-je accoucher ici ? Tous sans exception savez que je serais condamner à vie, je vais l’éduquer comment ? Je mets le bordel dans votre vie. Je crée des tensions entre toi et le père de Kylian, ensuite je réduis le nombre de fréquentations de papa et enfin je retarde la sortie de l’album d’Angie. Je vous expose, je veux en finir
Angie : Dieu n’a pas dit son dernier mot, ne pense pas aux mauvaises choses.
Moi : Et si c’était son dernier mot (la fixant)
Sophie : (me parlant avec une autorité surprenante, elle ne le fait jamais) Ecoutes moi bien, tu ne dérange personne, tu vas vivre et accoucher de ce bébé je ne sais pas ou d’abord mais pas ici, on fera tout pour que ce ne soit pas ici. Alors ne recommence plus jamais sinon je ne te le pardonnerai pas.
Moi : je suis fatiguée (regard triste)
Lui : (prenant ma main) ma chérie je te promets que devant toi, tu as des jours heureux. Sois forte pour vous je t’en prie. En plus ne t’en fais pas pour nous, Dieu agit lentement et surement. Pour Sophie, c’est normal, vu les journalistes qui la suivent souvent le père de son enfant veut protéger le petit. Mais je suis confiant que tout rentrera dans l’ordre. Quant à Angie, avec son talent je ne pense pas que ce soit toi qui retarde la sortie, c’est juste que le temps propice de Dieu n’est pas encore arrivé. Et pour moi, (riant) mon bébé crois-tu qu’à mon âge je me soucie encore de qui me fréquente ou pas, (nous souriant) tant que Dieu est avec moi, vous me suffisez largement. S’ils veulent qu’ils se retirent. Si Dieu le permets c’est qu’il doit en être ainsi, le reste je ne m’en préoccupe pas. Car je cherche d’abord à enlever le bout de paille qui est dans mon œil avant de me soucier de ce que l’autre à sur lui. (Embrassant ma main) alors sois forte pour vous, Dieu fera le reste, plus vite qu’on ne le pense.
Angie : voilà qui est bien dit ! (tapant les mains)
Moi : (rassurée) ok, je ferai tout pour tenir, mais ne me cacher plus rien. Je vous en prie.
Eux : c’est compris
Sophie : mais qui t’a dit pour tout cela, ces prisonnières-là ? Ou les gardiennes ?
Moi : non, c’est Mira, lorsqu’elle est venue me montrer la preuve que Sandra sors avec Tiacoh (pincement au cœur)
Sophie : (lançant un juron) Bêtise de Sandra….
Angie : (récitant comme une prière) Dieu continue à m’aider sinon je risque de tabasser une maigrichonne de Mirabelle.
Moi : non calmez-vous, tant que je vous ai. (Souriant) je suis oups pardon, nous sommes comblés, laissez le reste.
*****
Je retournais dans ma cellule, le lendemain avec des bandages, les filles me poussaient et se moquaient mais je répondais en m’excusant, puis j’allais me coucher. Je priais et récitais des prières que papa m’avait appris. Des Psaumes plus précisément, ça avait le don de me fortifier.
Gardienne : (me tapant avec son pied) Debout tu as de la visite
Je la suivais en allant m’assoir dans la salle, je ne vis personne. Je baissai la tête et je me mis à penser à ma vie d’avant au pouvoir que je pensais détenir, mais-ou est donc ce pouvoir ? Il n’existe plus aujourd’hui. Vanités des vanités, c’est ce que mon ancienne vie était je pense. Je sentis un parfum que je reconnaissais et arrêtait de penser.
Moi : (tête baissée, hypnotiser parle parfum) l’Homme Idéal…. (Prononçais-je, sans m’en rendre compte. Je crois que j’ai pensé à haute voix)
Voix : (automatiquement) De Guerlain (avec calme et assurance)
Je soulevais vite ma tête et je le vis. Il était arrêté là, serein dans son costume avec un sourire. J’étais surprise et choquée, tout simplement.
Lui : (souriant) J’espérais ne plus jamais vous revoir.
TU AS AIMER ALORS NE TE GENE PAS DU TOUT AIME COMMENTE ET TAGUE DES AMIS AMOUREUX DE LECTURE COMME TOI……MERCI ET BONNE SOIREE BISOUS !!!