Page 3

Write by Mabanabook

MA DECISION FINALE : Page 3


*Adorables Petits Enfants !


CELIANTHE 


Moi : (sortant de son véhicule) à ce soir chéri 


Lui : (souriant)  d’accord,  prends soin de toi 


Je rentrais dans mon bureau que je partage avec Leïla, avec une meilleure mine. 


L : (me regardant)  en retard, (souriant)  mais je vois que tu as bonne mine 


Moi : (m’asseyant et lui rendant son sourire)  je suis allée faire des examens avec Yaya ce matin et nous avons assez parlé aussi. 


L : (arquant les sourcils) d’autres examens encore ? 


Moi : oui, il l’a encore demandé 


L : (acquiesçant)  d’accord, que Dieu te donne un bébé ma belle et tout ceci sera derrière toi 


Moi : je l’espère (souriant)  et mes amours ? 


L : ils vont bien. Toujours là à me faire parler 


Moi : ils ont raison de le faire, sinon qui t’emmerdera ?  (riant) 


L : je vais te les laisser un jour tu verras 


Moi : j’en serais ravie même 


L : vraiment ? C’est bientôt l’anniversaire d’Alfred et je veux vider ces enfants de ma maison pour une journée


Moi : (souriant) emmène-les chez moi s’il te plait 


L : (automatiquement)  mais ta belle-mère ? 


Moi : (faisant non de la tête)  j’en parlerai à mon mari, (la rassurant)  elle ne fait pas de mal aux enfants, je te le jure 


L : je ne m’inquiète pas pour eux. Mais pour toi, faudrait pas qu’elle dise autre chose encore 


Moi : non, ne t’en fais pas, ce soir j’en parle à Yaya et te reviens demain 


L : ok ma belle 


***


Moi : chéri ? 


Lui : (levant les yeux vers moi)  oui 


Moi : (allant vers lui)  je veux que les enfants de Leïla viennent ici le samedi si possible 


Lui : (jouant avec mes cheveux, ils les aimaient naturels donc je faisais tout pour qu’ils restent naturels)  Leïla ? 


Il connait bien Leïla et son mari ainsi que ma sœur et son époux aussi car souvent pendant des réceptions on se retrouve chez chacune pour partager un bon moment. Avant c’était juste moi et lui et Mona et son homme, mais maintenant Leïla fait aussi partie de la danse 


Moi : (me couchant sur sa poitrine)  oui elle veut faire une surprise à son mari pour son anniversaire 


Lui : (continuant son geste)  ah ok, je vois. Y’a pas de soucis pour moi, toi tu pourras ? 


Moi : oui oui 


Lui : ok 


Puis il continua à le faire et je m’endormis à je ne sais quel moment. Le matin, je fis la maison toute belle et partit acheter des jouets pour aménager le jardin avec qu’ils s’y sentent bien. 


Elle : (me fixant)  c’est quoi ça ? 


Moi : (souriant) j’apprête l’air de jeu pour les enfants de mon amie qui viendront bientôt 


Elle : les enfants de ton amie inh 


Moi : oui maman 


Elle : (riant) hummm toi ! (puis elle partit) 


Leila vient les déposer un peu plus tard et on passa une très belle journée. Ils étaient vraiment adorables et moi j’adorais jouer avec eux. J’aimais beaucoup les enfants, avec eux tout est si beau et parfait. Avec eux on ne s’ennuie pas, avec eux on respire et vit mieux. 


Lorsque je suis avec mon homonyme, c’est pareil, cette petite est tellement belle et si douce que même la regarder dormir, me fait vraiment plaisir. Je prie Dieu afin qu’il m’offre aussi un enfant, un seul. 


Lui :  tata, on peut avoir notre gouter s’il te plait ? 


Moi : (regardant l’heure)  il n’est pas encore 16h mon trésor 


Vu leur mine j’eus une idée. 


Moi : (souriant)  mais on va faire la course et si vous arrivez à la porte avant moi, vous pourrez l’avoir. Dans le cas contraire, je les gardes jusqu’à 16h. 


Eux : (sautant)  ok 


On courrait et Ayan avait une bonne longueur d’avance sur moi, puis je vis quelqu’un le soulever pour l’embrasser, tous les autres partis aussi se jeter sur lui.


Eux : bonne arrivé tonton 


Moi : (l’embrassant) coucou chéri tu rentres vite de chez Ahmed ? (son cousin, les deux travaillent sur un projet) 


Lui : (m’embrassant) salut la belle tata 


Eux : wahooo (applaudissant) 


Moi : (souriant) le beau tonton rentre vite aujourd’hui 


Lui : (déposant la fille) oui maman m’a appeler elle dit qu’elle veut aller voir ma cousine Aïcha d’urgence, et donc je suis rentré 


Moi : (allant avec eux vers la cuisine pour le gouter) mais elle aurait pu me le dire, je l’aurais déposé. L’autre voiture est revenue de chez le mécanicien (mon mari avait deux voitures, il  refuse que je conduise car selon lui ça fait peur, donc je vais soit en taxi compteur au boulot ou il me dépose. Il voulait me prendre un chauffeur, mais je n’ai pas jugé cette offre utile.) 


Lui : (prenant une part de gâteau)  tu sais bien que je n’aime pas que tu conduises 


Moi : oui mais si maman a besoin de moi et que c’est urgent 


Elle : je ne voulais pas interrompre ton rôle de maman que tu prends tant au sérieux aujourd’hui. (Riant) hummm la bonne maman, mon fils je suis prête. Allons-y ! Au revoir les enfants 


Eux : (faisant signe des mains) au revoir mamie, au revoir tonton 


Moi : faites bonne route. 


Seul mon mari me répondit. Elle continua sa route sans se retourner. Apres leur goûter on causa encore un peu et je me mis à préparer le diner, pour moi et pour ma belle-mère qui ne mange pas épicé, pas du tout même. Après cela, je dérangeais les triples de leur pause cinéma (piwi) et on alla dans la douche ou je leur donnai un bain. 


Je les servis le diner en avance car ils commençaient à bailler. 


« Moi : (décrochant) oui Mona ? 


Elle : (inquiète) tu m’a zappé aujourd’hui, tu vas bien ? 


Moi : (souriant)  oui, désolé. Je suis avec les triplés 


Elle : (riant) vraiment ? 


Moi : oui ils ont passés toute la journée avec moi 


Elle : (rassurée)  d’accord c’est bien 


Moi : et Céli ? (mon homonyme, sa fille) 


Elle : dans les bras de son père 


Moi : (riant)  embrasse la fort pour moi 


Elle : je ne manquerai pas, (toussant)  Céli ? 


Moi : (automatiquement)  oui Mona 


Elle : je t’aime et prend bien soin de toi. 


Moi : (heureuse de l’entendre, c’est ainsi à chaque fois) moi aussi Mona, je t’aime. »


Puis on raccrocha, j’adorais parler avec ma sœur. Demain si je n’ai rien à faire j’irai passer du temps avec elle, par sa voix, j’ai pu sentir que je lui manquais.  A 20H pile le couple Keï, venait récupérer, leurs enfants. Ayan seul était éveiller, la petite dormais déjà et Kylian lui somnolait. 


Moi : (allant vers lui)  ah chéri tu es rentré ?


Lui : (mine bizarre)  oui, je t’ai appelé sans suite 


Moi : mon téléphone est en charge… (ahurie) ohhh, Abdoul,Raman,Kadhy,Aziz et Maï, bonne arrivée maman 


Elle : (me regardant)  au lieu de rester là à compter mes petits-enfants, tu peux au moins les laisser passer ? (leur demandant de passer)  allez-y les enfants vous êtes chez vous ici 


Les enfants m’ont dépassés sans même me saluer à part la plus grande Maï, qui est resté à sa place et m’a saluer poliment. 


Lui : (criant) revenez ici saluez votre tante 


Elle : ce sont des enfants et en plus ils sont fatigués. Laisse les mieux connaitre ta maison non 


Lui : non maman…


Moi : (le coupant) ça va chéri 


Elle : bon montre à ma petite-fille, (Maï) la chambre pour le personnel et les travaux de la cuisine. Elle va m’aider pour la cuisine ici 


Moi : (ahurie) elle va rester ici ? 


Elle : (serrant sa mine)  oui c’est la maison de son oncle non ? Et en plus je suis vieille pour toujours tout faire moi seule… (Prenant la main de Maï et l’emmenant vers la chambre d’amis)  bon j’irais le faire moi-même au lieu d’attendre que tu bouges 


Je vous explique un peu donc, maman à ramener les enfants de sa nièce Aicha ainsi que sa petite fille par alliance (la petite fille d’une de ces cousines) pour l’aider à la cuisine. Ces 4enfanst sont ceux de la cousine à mon mari. 


Moi : (dépassée)  les enfants restent pour toujours aussi ? 


Lui : (froid)  non, juste le week-end 


Elle : (revenant)  et les autres congés aussi, j’aime voir mes petits-enfants donc je les enverrais et eux tous même (ils sont plus de 10) donc commence à t’habituer. (Me lorgnant) Tu veux faire semblant d’être maman non ? Tu le feras avec eux. 


Moi : (partant dans ma chambre)  je suis en chambre 


Elle : (criant) donc les enfants des amis ça ne gêne pas, mais ceux de notre famille dérange. Hummm ! Femme dêh ! 


Moi : (me retournant)  je n’ai jamais dit cela maman 


Elle : tu as donc dis quoi ? 


Lui : ça va, Célianthe va dans ta chambre. 


Elle : (m’ignorant)  mes enfants venez manger 


Je montais et avait un peu mal. Pas parce que les enfants étaient là, non. Mais parce que personne ne m’a dit à l’avance et aussi à cause de cette façon dont ma belle-mère adorait me prendre de haut. 


Lui : (entrant derrière moi) je t’ai appelé sans suite pour te le dire 


Constatant que j’avais dix appels manqués sur mon téléphone. 


Moi : je vois, (déposant le portable)  j’étais occupé avec les triplés et la cuisine. Le couple Keï te remercie et te passe le bonsoir 


Lui : d’accord…. (Soufflant) Celianthe ce ne sont que des enfants. Lorsque je revenais, ils se sont mis à pleurer et donc j’ai voulu les prendre. Et pour Maï, c’est normal, vu que maman est vielle et se tape tout le boulot ici en plus elle (Maï)  ne va pas à l’école 


Moi : d’accord….mais c’est elle qui a renvoyer Natacha


Lui : laisse le passé, je t’en prie. (Comme une demande) Comporte-toi bien avec ces enfants s’il te plait. 


Puis il se déshabilla et alla se doucher. Je l’attendis mais juste après sa douche il descendit sans un regard pour moi. Je descendis quelques minutes plus tard. 


Elle : (parlant de moi)  avec ça, ça se dit gentille elle est mauvaise cette femme. 


Lui : (comme pour lui dire de se taire)  maman ! 


Elle :  (continuant avec un ton qui prouvait qu’elle était de mauvaise humeur) mais des enfants sont venus chez vous et tu montes t’enfermer. Si tu ne prends pas soin des enfants d’autrui comment Dieu fera grâce 


Moi : (allant vers les enfants)  vous avez mangé les enfants ? 


Et ils se mirent à rire sans me donner un regard. 


Moi : (reprenant)  les enfants vous avez mangez ? 


Un : (comme si je les emmerdais) oui ah, on veut regarder notre télé 


Que ça ne vous surprenne pas, les enfants d’Aicha ont une éducation particulière, elle ne leur cri pas dessus et ils font tout ce qu’ils veulent. Sous prétexte qu’ils sont petits. 


Lui : (craint)  parle autrement à ta tante toi 


Elle : (le stoppant avec sa main) de la manière dont tu es c’est comme ça qu’on te prend.  (Me lorgnant) Si tu affiche un sourire et que ton cœur est noir, les enfants verront cela 


Moi : (la regardant ahurie)  maman, je ne dois donc pas leur parler 


Elle : (craint)  enlève ta bouche sur moi, t’ai-je parlé ? T’ai-je parlé ? 


Lui : (serrant sa mine)  maman ! 


Elle : (automatiquement)  quoi ? Quoi ?  (M’indexant) Parle à celle que tu appelles femme et qui ne supporte aucun  de tes parents. Ni même tes neveux (lançant un juron) 


Lui : (se levant)  je monte 


Je partis à la cuisine et essayais de m’occuper. Quelle ne fut ma surprise de voir le plat que j’avais préparé pour maman à la poubelle. Je vis Maï laver certaines assiettes.  


Moi : Maï s’il te plait ? 


Elle : (respectueusement)  oui tata 


Moi : qui a versé ce plat ? 


Elle : (bégayant)  euh tata….


Moi : (la fixant)  je t’écoute ….


Ma Belle-mère : (entrant dans la cuisine avec sourire)  j’ai encore des filles Célianthe et la dernière qui vit à Yamoussokro m’a appelé pour me dire qu’elle est enceinte 


Moi : (souriant)  oh c’est bien je l’appellerai demain pour la féliciter 


Elle : (me regardant avec son beau sourire, car oui elle est belle ma belle-mère)  dans ma famille, lorsqu’une femme a des filles elle doit tout faire pour que celle-ci reproduisent. 


Moi : (acquiesçant)  d’accord 


Elle : (s’avançant et regardant vers la poubelle) donc je ne peux manger le plat d’une stérile car ça peut agir sur la descendance de mes filles, (serrant sa mine)  déjà que mon fils est pris à cela.


Maï : (craint presque par surprise apparemment)  mémé ! 


Elle : (criant)  toi dégage, (autoritaire)  va t’occuper des enfants 


Moi : (vexée par ces mots, mais je retenais mes larmes)  je ne suis pas stérile maman, c’est juste que Dieu n’est pas encore prêt à me donner (voix tremblante)  un enfant


Elle : (riant) garde cela pour toi. (Autoritaire)  Moi je veux un petit-fils 


Je montais les yeux pleins  de larmes, j’entendis la petite me dire bonne nuit, et son frère la tapa en lui disant : 


« Lui : (serrant sa mine) tu n’as pas entendu mémé dire que c’est une méchante personne » 


Maï voulu le taper mais je lui fis signe de ne rien faire. 


Moi : je vais aller voir ma sœur demain 


Lui : ok, moi j’irais à la levée de corps  père de mon ami. Mais assure-toi que tous ont ce qu’ils veulent avant de sortir 


Moi : mais maman…


Lui : (me coupant) tu es la femme de cette maison et cette responsabilité te revient

 

Moi : d’accord 


Je me couchai et je dormis, ce n’est que vers 4h que je sentis mon mari sur moi, mais après cela je me rendormis encore. 


Ce matin je fus réveiller par les coups de mains que l’on frappait à la porte, je me levais et vu que c’était les enfants. 


Moi : (baillant)  ça va mes chéris ? 


Un : nous voulons voir tonton Yaya on veut sortir 


Moi : mais tonton est sortie très tôt ce matin 


Puis ils descendirent sans broncher, j’entendis juste un juron dans la bouche de la fille, mais je n’y prêtais attention et partit faire ma toilette. 


Moi : bonjour Maï, bonjour Maman 


M : (souriant)  bonjour tante, bien dormie ? 


Moi : oui merci 


Maman : (me fixant)  c’est à cette heure qu’une femme mariée qui a de la visite se réveille ? 


Moi : je suis désolé maman 


Maman : c’est tout ce que tu connais 


Je partis m’asseoir et prendre mon petit déjeuner que Maï avait fait pour moi, sous le méchant regard de ma belle-mère. Puis j’entendis des cris provenant de ma chambre, je voulus aller voir quand Maï se proposa d’aller voir. 


M : (criant) eh Allah qu’avez-vous fait ? 


Je partis voir automatiquement. Les enfants avaient rendus ma chambre méconnaissable. La fille avait pris le peu de maquillage que j’avais  et les avaient tous mis sur elle et cassé d’autres boites, les garçons eux avaient mélangé mon lit et mes documents bien rangés. Je ne comprenais pas, cers enfants me détestaient-ils ? 


Moi : (criant) mais qu’avez-vous fait ? 


B.M : (venant dans la chambre)  pourquoi tant de cris ? 


M : (parlant rapidement)  mémé regarde ce que les enfants-là ont fait ? 


Elle s’approcha d’eux en leur demandant si tout allait bien, ils répondirent que oui. A part la fille qui pour je ne sais quel raison s’est mise à pleurer en pointant Maï du doigt. Ma Belle-mère commença à injuriez celle-ci, en la tapant même. 


Moi : (poussant Maï pour qu’elle arrête de la taper)  mais maman, c’est plutôt eux que tu dois corriger. Regardent comment ils ont rendus ma chambre ? 


Elle : (énervée)  ou as-tu vu que l’on frappe des enfants ? 


Moi : (continuant) ils sont assez grands pour comprendre, on peut même les gronder ou les punir pour les effrayer….


Elle : (criant) tais toi ! Tu vas m’apprendre quoi ? Tu sais combien d’enfants j’ai élevé….ils ont rendus ma chambre, ils ont rendu ma chambre… tchrrr c’est aussi la chambre de leur oncle je te rappelle 


Moi : (énervée)  je sais, mais en agissant ainsi tu risques de gâter ces enfants ce n’est pas comme ça qu’on éduque un enfant 


Elle : (riant aux éclats) et qui va m’apprendre à éduquer un enfant ? Toi ? Toi la femme stérile ? 


M : mais mémé ? 


Elle : toi, (parlant à Maï)  tais-toi et sort (me lorgnant) ou est l’enfant que tu as éduqué pour savoir que ce que moi je fais n’ai pas la bonne éducation ? Dis-moi ou est l’enfant ? 


Moi : ma sœur a une fille et je passe la majeure partie de mon temps avec…


Elle : (me poussant pour  passer avec ces petits enfants) ma sœur…mon amie…ce ne sont que des paroles de ventre cimetière….tchrrrr. 


Elle sortit et me laissa seule dans la chambre, je me retenais vraiment. Certes je ne suis pas bavarde, ni réactive comme Mona mais certaines paroles et mots choque, frustre et blesse. Je commençais à arranger le Bazard que ces adorables petits enfants ont foutu ici et j’entendis frapper.  


Moi : oui ?  


M : (entrant avec une serpillière, de l’eau moussante et un balai) tantie, laisse je vais nettoyer 


Moi : (voix tremblante) non je peux faire 


M : (commençant) non tantie, je vais faire 


Elle commença donc je la laissais faire et je fis mon lit. Je n’aimais pas que quelqu’un le fasse, même à Natacha je ne le permettais pas de le faire. J’aimais le faire moi-même. Quand on eut finit je partis prendre ma douche et Maï sortit de ma chambre. 


Moi : maman, je vais voir ma sœur. Tu as besoin de quelque chose ? 


Elle : (ne me regardant pas) non 


Je partis et remis de l’argent à Maï, juste au cas où et lui donna le menu du soir, puis je sortis. 


Alors On aime, on taggue, on commente et on partage. Si et seulement si le chapitre vous a fait plaisir. Merci !

MA DECISION FINALE