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Write by Mabanabook
MA DECISION FINALE : Page 4
*Juste Une Danse !
SAMUEL BILE
Moi : (m’adressant à mon assistante) ok donc ce sera ce soir donc ?
Elle : (acquiesçant) oui oui
Moi : d’accord
Je vais me préparer car je dois être le maitre de cérémonie d’un grand gala ce soir et je compte être parfait comme toujours (sourire). Je vais appeler mon fils qui a essayer de me joindre il y’a peu. Déjà à 12ans et cet enfant agi parfois comme un grand.
« Moi : allô mon bébé
Lui : (grosse voix) M. Bilé arrêtez de me prendre pour un enfant
Moi : (riant) d’accord, comment allez-vous M. Bilé Christ Junior ?
Lui : (reprenant sa voix normale) voilà, j’aime mieux cela, je vais bien et toi ?
Moi : ça va je me prépare pour un gala que je dois animer ce soir
Lui : et aussi pour la séance photo ?
Moi : (souriant) tu n’as pas oublié cela
Lui : (riant) comment oublier cela, mon père qui a la quarantaine est le numéro 1 du top 20 des hommes de médias les plus sexy de Côte d’Ivoire. Je suis trop heureux
Moi : merci mon grand
Lui : je compte sur toi pour faire de vraies poses de quoi en faire baver mes amies
Elle : et qui parle de baver ici ? Tu parles à qui ?
Lui : à papa, maman
Moi : (riant) passe-moi ta mère que je lui parle un peu
Lui : ok papa, je t’aurais dit de tout faire pour la reconquérir mais elle a dit oui à l’annonce de Bertrand avant-hier (riant) désolé mon vieux
Elle : franchement Chris ! (riant) salut beau gosse
Moi : Ségolène comment tu vas ? Félicitations
Elle : (émue) merci, comment te dire je ne m’y attendais pas du tout.
Moi : tu es une bonne femme et tu mérites mieux.
Elle : c’est gentille, tu pourras nous faire l’honneur de venir au mariage et l’animer. Ton prix sera le nôtre.
Moi : c’est quand ?
Elle : le mois prochain.
Moi : ok je te confirmerai en fin de semaine
Elle : merci encore. »
Je parlais un peu avec mon fils et je raccrochais. je commençais à m’entrainer pour le show de ce soir. Je suis Samuel Bilé, homme noir de 42 ans qui part je ne sais quel miracle même avec toute cette concurrence dans notre milieu, c’est moi qui ai été désigné homme de média le plus sexy. (Sourire) et cela rends mon fils fier. Je suis un homme de communication, la télé, la radio, le journalisme, la réalisation. J’adore tout ceci. Et j’arrive à le faire sans soucis, bien que j’ai été muté à plusieurs grades, comme PDG de tel ou tel radio, ou télé. Je n’arrive pas à me passer d’animer une émission ou un gala, j’adore cela.
Et oui vous avez bien lu, j’ai 42 ans mais je suis toujours célibataire, comment vous dire l’engagement et moi, ça fait 2. (Rire) et aussi ma popularité me joue de mauvais tours parfois. Et cela impacte ma relation, la seule qui me comprenait vraiment était Ségolène la mère de mon fils, mon unique même d’ailleurs. Mais elle voulait plus le mariage et Dieu seul sait comment je ne suis pas du tout prêt pour cela. La peur de ne plus ressentir cette flamme, vivre toujours ensemble tout ça. Donc lorsque Christ eu 7ans ont mis véritablement fin à notre relation qui avait déjà commencé à prendre un coup car elle ne me sentait pas prêt pour ce qu’elle voulait.
Elle partit donc s’installer en Norvège avec Chris et sa famille, elle vient d’une famille très riche. Nous avons gardé de bons contacts, mais notre relation se limitait à l’amitié. Pas que je ne l’aimais pas, je l’aimais mais, j’avais peur que ce ne soit pas assez pour pouvoir vivre avec elle, je ne sais comment vous expliquer cela, Mais c’est comme cela je suis. Et depuis elle vit avec Christ, que je vais voir souvent en logeant à l’hôtel biens sûr ou souvent lui, il vient ici.
Elle va bientôt se marier à un homme bien qui adore aussi mon fils. Il a le choix de vivre avec elle, moi ou ses grands-parents, qui l’adore comme un mini Dieu. Il a décidé de vivre avec elle pour selon lui voir un œil sur elle, mais il viendrait me voir de temps à autre. C’est sa décision et je la respecte, tant qu’il est heureux et épanouie ça me va.
Elle : (tapant) M. ?
Moi : oui ?
Elle : vous avez un appel ?
Moi : ok, faites le passer sur ma ligne personnelle, merci
Elle : d’accord M.
CELIANTHE
Lui : (souriant) alors ma belle-sœur tu viendras ?
Moi : (lui rendant son sourire) mais non
Elle : mais si, c’est juste pour l’accompagner et récupérer mes documents qu’il a donné à son ami et pour que tu sortes un peu. En plus je dois travailler sur ces documents, pour demain. Or M. (regardant son mari) ne rentrera pas vite.
Moi : juste cela ?
Elle : oui, juste cela et tu reviens ou rentre. J’y serai y aller mais j’ai trop la grippe (éternuant) tu le vois non ?
Moi : (lui donnant un thé) d’accord, je vais prévenir mon mari alors
Elle : (souriant) d’accord, vous pouvez aussi envoyer Céli ?
Lui : non pas d’enfants, ma chère épouse (l’embrassant sur le front) je t’aime tant
Elle : oui et je risque de te contaminer mon cher et tendre mari
Je m’éloignais et essayais d’appeler Yaya mais il ne décrochait pas. Il me rappellera certainement. Ne supportant plus les piques de ma belle mère et aussi l’impolitesse de ces petits enfants, j’ai préféré venir terminer ma journée avec ma sœur et sa famille
Je n’ai rien raconté à Mona de peur qu’elle en fasse une histoire. Etant convalescente, je dois aller chercher des documents à elle que son mari a remis à son collègue, car elle doit les feuilleter avant de dormir, selon elle.
Je partis donc avec mon beau frère et sur insistance de Mona je me changeais dans une de ces vieilles tenues de jeune fille qui était toujours aussi belle. Elle me maquilla juste un peu et j’embrassai mon homonyme puis on partit.
Nous étions assis à la table 13, c’était un diner gala de bienfaisance.
Le maitre de cérémonie était vraiment très fort, il arrivait à faire monter les enchères très rapidement.
Un homme de la salle : mon cher Samuel je donnerai volontiers un demi-million pour cette œuvre d’art, mais à une condition ?
Lui : que personne n’offre plus ?
L’homme : (air serein) qui pourra offrir plus ? On peut demander
Il demanda et personne ne leva la main, normal l’œuvre était toute minuscule et loin d’être belle.
Lui : (le regardant avec un sourire) donc la condition alors ?
L’homme : étant jeune tu arrivais à nous chiper nos copines grâce à des pas de danse (les gens ainsi que l’animateur commençaient à rire) et surtout en zouk, donc que tu nous refasses cela
Lui : tu es sérieux mon vieil ami ?
L’homme : (souriant) c’est ma condition
Tous commençaient à l’applaudir pour l’encourager apparemment.
Moi : (à l’oreille de mon beau) ils sont sérieux ?
Lui : (à mon oreille) mais oui, ce sont des hommes âgés qui ont de l’argent et trouve toujours le moyen de s’amuser quand ils peuvent. Mon ami est en chemin.
Moi : d’accord, (je voulais moi-même voir cet animateur-là danser)
Lui : mais je n’ai aucune cavalière très chère
L’homme : avec toute ces belles dames là dans la salle ?
Lui : mais qui choisir, elles sont toutes rayonnantes, je n’ai pas envie de choisir une et que toutes les autres me détestent ensuite (riant)
L’homme : (faisant signe à un serveur) on va donc nous donner le numéro des tables ou il y’a de belles femme et tu tireras au sort
Lui : (souriant encore) ok d’accord
Il fit cela, je me demandais bien qui pourrait danser avec lui. Je ne me mettais pas dans le lot, car franchement les dames qui présentent ici étaient vraiment d’une beauté rare et aussi bien élégante. Pourtant moi, c’était la simplicité extrême même dans ces vêtements et ce maquillage.
Lui : (à haute voix) table numéro 13
Moi : (à mon beau) je me demande bien qui çà peut être
Puis la lumière se mit sur moi seule, je ne comprenais rien et mon beau me souriait en me montrant que notre table avait le numéro 13.
Moi : (ahurie) oh non
L’homme : (le taquinant surement) même par hasard cet homme trouve toujours la plus belle
Lui : (haussant les épaules) que veux-tu ? (souriant) Dieu m’aime bien
Tous riaient et me regardaient, j’avais trop honte, je ne pouvais même pas me lever, je faisais non de la tête mais personne n’y faisait attention
L’homme : ta cavalière a peur de se prendre un polichinelle dans le tiroir avec cette danse. (Riant)
Lui : oh non, c’était bien avant tout ça (riant)
Et tous se mit à rire. Puis il descendit et se mit à genoux devant moi, sous les applaudissements de tous et il me donna sa main droite en me disant :
Lui (très respectueusement) : accepteriez-vous de m’accompagner juste pour une danse ?
L’homme : toujours en Don Juan (riant)
Avec hésitation je lui donnai ma main et il l’a pris, j’avais peur. Très peur même. Il me dit à l’oreille de ne pas stresser et que ce n’était qu’une danse, une seule. Je lui souriais juste. La musique commença à jouer et c’était de l’Ed Sheran « Thinking Out Loud » une musique que j’aimais bien, j’aime bien chanter et connaissais certains morceaux par cœur, cependant Jai toujours eu honte de chanter en public et encore moins de danser. Je n’ai jamais imaginé bouger dessus, normal je suis nul en danse.
On commença et je reconnais qu’il était très fort, il bougea avec classe, il se retournait, me serrait plus, tournait sur lui-même. Il m’emmena à me tourner, en me guidant. J’arrivais à me laisser aller en apprenant avec lui. Il me faisait retourner sur moi-même, et à la fin de la musique, il me fit descendre tout en me tenant la main. Tous criait et mon beau frère s’était même lever pour applaudir avec certains.
Lui : (me félicitant) vous êtes une bonne apprenante et danseuse
Moi : (flattée) merci et vous un bon maitre danseur
Lui : (souriant) je vous en prie Mlle ?
Moi : non Mme Bamba, merci
Puis je descendis de la scène sur les applaudissements d tous et j’allai rejoindre mon beau-frère qui me félicita. Je pus voir que son ami était rentré et je pris les documents puis pris congés d’eux. Je partis les donner à ma sœur en lui expliquant brièvement ma danse, elle était heureuse et regrettait de ne pas m’avoir vu, on rait même quand je reçus un message en grand caractère de Yaya
« TU ES OU ? »
Je sentis qu’un truc n’allait pas, je dis donc à ma sœur que je devais prendre congés. Elle me donna mon plat qu’elle avait bien emballé et me fis une bise, je partis embrasser mon homo puis prit la route de la maison.
Moi : (entrant) bonsoir…
Elle : (me lorgnant) hum, on se change dehors maintenant ?
Moi : (remarquant que j’avais toujours ma tenue et mon maquillage de la soirée) non au fait…
Elle se recoucha en changea sa mine comme une personne triste.
Lui : (apparemment énervé) Celianthe ou étais tu ? (regardant de haut en bas ma tenue)
Moi : (m’expliquant) euh au fait j’étais allé voir ma sœur et…
Lui : (me coupant) dans cette tenue ?
Moi : (faisant non de la tête) non, j’ai accompagné son mari à une réception. Un gala au fait, donc je me suis changé
Elle : (remuant sa tête) regarde-moi cette femme, tu sors de ta maison pour aller chez ta sœur et là-bas tu vas voir ailleurs avec un accoutrement de prostitué
Moi : mais…
Lui : (criant) donc à cause de tes balades, ma mère allait se perdre aujourd’hui ?
Moi : (ne comprenant pas) se perdre ?
Lui : oui, (ferme) elle t’a attendue ne vain, pourtant les enfants devaient rentrés. Y’a école demain et vu que je n’avais pas encore fini, elle partit elle-même les déposer en taxi, mais elle ne reconnaissait plus la maison. Dieu merci elle m’a appelé. (Criant) Tu délaisse ta maison, ton foyer, ma famille qui est aussi la tienne maintenant pour aller (pointant son doigt sur moi ou ma tenue) à un gala habillé de la sorte ?
Mon mari n’aimait pas ce genre de tenues qu’il jugeait trop sensuelle, à cause de lui j’avais arrêté de m’habiller trop sexy, car il n’aimait pas. J’avais arrêté pleins de choses même pour lui, certains trucs que je faisais avec Mona comme jouer eu piano, elle me l’avait appris mais bon Yaya n’aimait pas cela donc je ne le faisais pas. Je devais toujours être bien vêtue, ça ne me posait rien comme soucis car je me faisais belle pour lui.
Moi : désolé chéri, (la regardant) mais maman tu aurais pu m’appeler
Elle : (automatiquement) je ne maitrise pas le portable comme vous madame
Lui : (le regard toujours dur) tu as oublié qu’elle est vieille ?
Moi : mais elle t’a appelé non ?
Elle : (automatiquement) c’est mon fils et je connais son numéro par cœur
Lui : (ferme) je ne suis pas du tout content Célianthe, ta sœur passe avant tout ? Elle est dans son foyer, toi aussi occupe-toi du tien. Toujours à être là-bas, tu ne peux rester chez toi. Maman est vielle et convalescente tu le sais bien et tu la laisse ici avec me neveux pour aller te promener
Elle : si elle était vraiment même chez sa sœur ? Regarde sa tenue, son visage même est coloré pourtant elle ne portait pas ça quand elle sortait d’ici.
Lui : (me fixant) c’est vrai ?
Moi : (dépassée par la mauvaise humeur de Yaya) je suis allé voir ma sœur et je devais accompagner son mari à un gala, je ne pouvais aller avec ma tenue, j’ai dû me changer
Elle : parce que les tenues de dame mariées font honte ? Et que croirons les hommes quand ils te verront vêtues ainsi ?
Moi : (répondant avec un mauvais ton) mais je connais ma place maman et aussi…
Lui : (criant) va me changer ces habits et viens t’excuser devant maman
Moi : (déposant mon plat sur la table) pardon maman
Lui : c’est quoi cela ?
Moi : c’est mon plat que Mona m’a donné
Elle : hum, nous ici allons t’empoisonner ? Chaque fois que tu quittes chez ta sœur tu viens avec un plat, comme si je ne préparais pas assez bien pour vous
Moi : (la fixant et parlant avec fermeté) C’est parce qu’elle prend soin de moi
Elle : (se levant) qu’insinue tu ? Que mon fils ne fait rien de tel ? C’est ce que ça veut dire ? Tu vois comme tu es infidèle ? Tu crois que quel homme accepterai de te garder dans sa maison depuis combien d’années sans un enfant au moins ? Il le fait et tu trouves que c’est ta sœur mariée et mère qui prends soin de toi.
Lui : (se retournant) Célianthe, va dans la chambre
Je partis en faisant un message à Mona pour lui dire que j’étais bien rentrée. Puis je partis prendre une douche, après ma douche je m’assis devant le miroir et me mis à pleurer. Je pleurais à cause de toutes les injures que cette femme me donnait chaque jour. Toujours cette histoire d’enfants ? Est-ce que je vais par exprès ?
Lui : (entrant) tu pleures pourquoi ?
Moi : tu sais très bien
Lui : tu n’as pas le droit de pleurer
Moi : (le regardant) vraiment ? (essuyant mes larmes du revers de ma main droite) Après toutes les méchancetés que ta mère me sert toujours
Lui : (me fixant) a-t-elle tort ? Tu es tout le temps dehors avec Mona, jamais tu ne restes ici.
Moi : (soufflant) c’est ma sœur je te signale
Lui : (automatiquement) je le sais mais il est temps de construire aussi ta famille
Moi : (levant le ton) ce sont mes sorties avec Mona qui m’empêchent de tomber enceinte ?
Lui : (haussant les épaules) qui sait peut-être que c’est à ta bonne période que tu te balade. Maman s’inquiète pour cela, depuis là toujours rien. Masi toi ça ne te dit rien, c’est de mettre un maquillage et te balader seulement qui t’intéresse. (Autoritaire) Je veux un enfant
Moi : (mes larmes recommençaient à couler) et tu crois que je n’en veux pas moi ?
Lui : (criant) alors prouve-le
Moi : (me justifiant) mais tous les examens s’avèrent négatifs que veux-tu que je fasse d’autres ?
Lui : (voix autoritaire) je veux un enfant Célianthe, je suis fatiguée de toujours apporter des cadeaux aux enfants des autres.
Puis il sortit de la chambre. Est-ce moi qui donne les enfants ?
SAMUEL
Le gala est maintenant fini et nous rentrons tous. J’ai papoté encore avec mon vieil ami qui m’a obligé à zouker aujourd’hui. En parlant de cela je me rappelle de cette femme avec qui j’ai zouké, toute belle, jeune et déjà mariée.
Wahoo, certains hommes ne perdent pas de temps apparemment, je l’aurais bien invité à prendre un pot avec moi mais malheureusement pour moi elle est déjà en couple. J’ai quand même bien aimé danser avec elle c’est vraiment cool cela.
Je rentre me doucher et m’étendre, comme chaque soir seul dans cette belle maison en mezzanine que j’ai. Cette maison je l’adore, il y’a une chambre autonome en haut et en bas une autre chambre, la cuisine, deux douches et grand salon que l’on peut diviser en trois. Donc moi j’ai fait mon salon, la salle à manger et une petite cave. (Rire) j’adore cette maison. Et j’y suis seul.
Lorsque j’ai des conquêtes, je préfère aller soit en résidence ou à l’hôtel mais pas n’importe lesquels (sourire), elles le savent tous Samuel ne laisse personne entrer chez lui car ça serait entré dans son cœur. Seulement Ségolène y vient lorsqu’elle vient en Côte D’ivoire, mais elle ne dort jamais ici, normal nous ne sommes plus ensemble. Ma mère aussi vient mais ne dure jamais, elle préfère rester au village pour s’occuper de son vieux mari (mon père).
Les deux sont habitués à vivre au village et lorsqu’ils viennent en ville cela les fatigue car selon eux, la ville a trop de bruits. Pourtant ils vont chez mon frère à Yamoussokro, mais ne veulent pas venir ici. Ils donnent aussi l’argument qu’ils sont vieux et qu’ici il n’y a personne pour s’occuper d’eux en mon absence. Il parle bien sûr d’une femme. Mais depuis que j’ai eu un fils, ils ne me fatiguent pas trop.
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Elle : M. ?
Moi : oui
Elle : les gens du magazine sont là, pour l’interview
Moi : ok j’arrive
Alors On aime, on taggue, on commente et on partage. Si et seulement si le chapitre vous a fait plaisir. Merci !