Page 5: Mariages!

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MA DECISION FINALE : Page 5 


*Mariage ! 

CELIANTHE 


Ce matin, j’avais vraiment mal au ventre et je n’arrivais pas à me lever. Mon mari partit au travail en me laissant couchée sur le lit. Faut dire que depuis la dernière fois c’était toujours tendu entre nous. Sa mère continue toujours de me provoquer, je fais tout pour ne pas répondre. Lui aussi reste dans son coin, j’en fais de même, je peux bien m’excuser mais pourquoi me jeter la pierre comme si c’est moi qui bloquait les enfants ? De sa mère je peux comprendre mais venant de lui, ça me fait plus mal. 


Je partis uriner et je vus que c’était encore mes règles. Ohh merde ! Encore je pris mon paquet de vania y retira une lingette et laissa le paquet sur le lit, je le rangerais à mon retour de la douche. 


Je me douchais donc lorsque je le vis rentrer dans la douche avec une mauvaise mine et mon paquet de vania à la main. 


Moi : (ahurie)  tu es déjà de retour ? 


Lui : (snobant ma question) encore tes règles ? 


Moi : euh oui 


Puis il sortit de la douche en fracas. Je me douchais et sortais pour m’habiller, je le trouvais avec les mains sur la tête. Il me regarda un long moment et me tendit un papier. 


Lui : les résultats sont négatifs pour nous deux 


Moi : c’est bon alors 


Lui : (me fixant)  c’est bon ? 


Moi : (baissant mon regard) ça veut dire que l’on ne souffre de rien et tout peut se faire


Lui : (énervé)  c’est mieux si l’on souffrait de quelque chose et que l’on pouvait se soigner mais depuis rien et même pas un enfant, aucun même 


Moi : un jour Dieu se souviendra de nous 


Lui : (criant)  oh Célianthe je t’en prie quand ? Quand ? 


Moi : que veux-tu que je dise ? Tu sais que je n’ai aucun problème et toi aussi 


Lui : hum


Moi : (le rassurant et cachant ma peine)  c’est juste la prière que l’on doit faire, nous devons prier, assez prier. 


Lui : (se levant)  peut-être que ma mère a raison ça irait vite et mieux si tu pratiquais notre religion. Ensemble nous aurons pu prier


Moi : (remuant la tête)  ça n’a rien avoir, je prie de mon côté et toi du tien. 


Lui : (criant) j’en ai marre, j’en ai marre 


Moi : (criant aussi agacé)  moi aussi j’en ai marre, ça m’énerve tout ceci et toute cette histoire. J’ai aussi envie d’avoir des enfants mais comment faire ? Je ne sais pas, je ne fais pas exprès, je veux aussi des bébés que je pourrai ressentir dans mon ventre et aussi que je pourrai prendre dans mes bras. Mais rien, je fais tout, calcul mes plus bonnes périodes et fais en sorte de coucher avec toi à ces moments-là mais rien. Tu crois que je n’en souffre pas aussi ? (le fixant) 


Lui : (venant vers moi) je suis désolé, arrête de pleurer je t’en prie. Arrête ! Chut 


Je me jetai dans ces bras et pleurait, il me calmait en me caressant le dos et me faisant des bisous. Il me fit coucher sur le lit et enleva ma serviette, il m’embrassa de partout et voulu aller vers mon intimité. Je bloquais sa main


Lui : (m’embrassant)  tu n’as pas envie ? 


Moi : si mais, les règles 


Il se releva automatiquement ! 


Lui : ah oui, les fameuses règles qui me montrent toujours que je ne suis pas un vrai homme 


Moi : (voulant le rattraper) non chéri 


Lui : (sortant)  je sors 


Moi : chéri 


Il sortit de la chambre tout remonté sans m’écouter. 


YAYA BAMBA 


Je devais sortir, rester dans cette maison m’énervait. Je me fais vieux, j’ai tout pour bien vivre je me bats toujours pour que ma famille grande et petite ne manque de rien. Mais où est la petite famille même ? Moi et juste ma femme. Depuis même pas un seul bébé, rien, j’ai beau prier, beau implorer le tout puissant Dieu mais rien. 


Lui : (me tapant)  eh Yaya, tu vas bien ? Que fais-tu ici ? 


Moi : (lui souriant)  ah Henri ça va bien et toi ? 


Lui : ça va bien, ça fait vieux 


Moi : (gardant mon sourire)  oui je suis là 


Lui : que deviens-tu ? 


Moi : oh je suis propriétaire d’une boite de marketing (lui donnant ma carte) et toi ? 


Lui : moi je suis responsable de services et traitements dans une entreprise de publicités 


Moi : (ravi pour lui)  félicitations 


Lui : (souriant)  merci et de plus j’en profite pour t’inviter à mon mariage qui aura lieu la semaine prochaine. Tu peux venir avec ta femme car j’imagine que tu es marié


Moi : oui tu as vu juste, je viendrai avec elle. Et encore félicitations, (le chahutant)  depuis le temps c’est maintenant que tu te maris ? Tu es vieux là fais vite de rattraper ce temps perdu et vite faire des enfants 


Lui : (riant) surement pas 


Moi : (ne le comprenant pas)  tu es fou ? 


Lui : (souriant) j’en ai déjà 4, deux avec celle-ci et deux autres avec une autre donc je dois penser à eux avant d’en faire d’autres 


Moi : (ahurit)  wahoo tu veux donc dire que tu es papa de 4  gosses ? 


Lui : eh oui 


Moi : (lui faisant une accolade)  félicitations 


Lui : merci et toi tu es à combien ? 


J’arrêtais de sourire et avait mal, je remuais juste la tête et mon pote compris en s’excusant. Je lui disais que ce n’était rien de grave et demanda à partir. 

Je retournai chez moi et trouvait ma femme entrain de prier. Je me changeai et me coucha. 


Elle : (me fixant)  tu veux un truc ? 


Moi : non 


Elle : à demain alors 


Moi : on va à un mariage ce samedi donc prends tes dispositions 


****


Nous étions à la réception du mariage et j’étais vraiment très fier de mon ami, il avait vraiment mis le paquet et sa femme ainsi que ces enfants étaient tous très beau. Je revus des anciens amis et on parla des années lycées. Ma femme resta là parfaite et belle comme toujours, elle me souriait juste, je l’aime vraiment cette femme.


Un de mes amis me fit signe de venir voir les autres et je le dis à ma femme puis je partis. Je revis toute une bande et eut la nostalgie je m’assis un peu avec eux et je vis cette fille arriver. Cette fille avec qui j’avais flirté un peu quand nous étudions tous aux USA. Elles saluât tous et à mon niveau elle sourit et me dit 

 

Elle : (ahurie)  ça alors Yaya ? 


Moi : oui comment tu vas Barakissa ? 


Elle : (m’embrassant)  wahoo tu as retenu mon prénom, ça va et toi ? 


Un : (riant)  comment pouvons-nous oublier la seule fille qui faisait perdre la tête à tous les étudiants de l’université de Washigton avec son regard 


Elle : (riant) merci 


Moi : (l’invitant à s’asseoir)  tu es rentrée il y’a longtemps ? 


Elle : pas tellement, (s’asseyant)  l’entreprise de papa je dois la reprendre car il se fait vieux 


Moi : ah je vois 


Elle : et toi que deviens-tu ? 


Celianthe : (venant avec un beau sourire) chéri maman n’arrête de t’appeler (me rendant mon téléphone) bonsoir à tous 


Elle : bonsoir 


Tous lui répondirent avec sourire et en la complimentant. Je la présentais à tous sans exception comme ma femme et je vis Barakissa me faire un clin d’œil en me félicitant pour selon elle ce beau choix. Je pris la main de ma femme et on prit congés de cette belle réception en donnant notre présent aux mariés. 


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