Page 9: comme tu voudras

Write by Mabanabook

MA DECISION FINALE : Page 9


*Comme Tu Voudras ! 


CELIANTHE 


Je regardais avec joie l’échographie de ma sœur, en lui tenant la main. J’étais très heureuse et fière. 


Le médecin : tout va pour le mieux Mme Djédjé  (lui donnant une  serviette) 


Moi : (l’essuyant) je suis hyper contente. Allez ne fatigue surtout pas maman (parlant au bébé) 


Elle : (se redressant)  il ou elle a intérêt 


Moi : mon homo ne fait pas sa jalouse ? 


Elle : (souriant)  pas encore, elle est plutôt câline la petite. 


Nous sortons donc de la salle d’échographie. 


Elle : alors à la maison ? (faisant sa mine bizarrement)  Ton affreuse belle-mère ? 


Moi : (souriant) elle est plutôt calme ces temps-ci la vieille. Je ne sais pas mais bon ils ont l’air heureux 


Elle : et leur joie  continuera s’il te laisse tranquille, faudrait pas que la femme enceinte que je suis s’énerve 


Moi : laisse les (rire) ils m’ont laissés ceux-là. Et faut dire que même Yaya ne peut plus rien faire qui me dépassera je crois qu’il le sait et c’est donc pour cela qu’il préfère faire mine de faire l’heureux. Je souffre autant que lui donc je ne me vois plus le consoler pour rien 


Elle : et tu as raison et si on allait au karaoké ? Quand nous étions jeunes tu aimais bien cela (souriant)  chanté


Moi : (riant) la vieillesse a pris toute la voix 


Elle : c’est juste parce que tu te laisses vieillir, j’adore bien ton mari mais il t’influence trop sur ton choix vestimentaire. Tu caches trop cette beauté pour lui seule voici pourquoi il continue à se comporter aussi bizarrement 


Moi : (changeant de sujet)  je sens des pains aux chocolats bien chaud on y va ? 


Elle tira la tronche et on descend au restaurant de la clinique. Cette clinique est vraiment équipée, il y’a un peu de tout, mini restau, mini librairie, mini supermarché, un guichet…..vraiment presque tout y est. Bon tu ne peux qu’admirer cela quand tu es bien portant. On prit donc un bon petit déjeuner et on demanda l’addition. Dès que le serveur arriva, Mona lui dit : 


Elle : c’est moi qui paye alors donnez-moi la facture 


Moi : (lui souriant)  ou avez-vous vu une blanche payez quoi que ce soit ? Donnez-moi  donc l’addition donc cher frère noire 


Elle : (riant)  je paye ma dette coloniale donc laissez-moi réglé 


Il semblait un peu perturber mais affichait une bonne mine malgré tout. Un homme assez élégant passa près de nous et nous salua avec un beau sourire, et fis un signe au gars. Puis il se dirigea vers la caisse. 


Elle : wahoo, quel bel homme ! 


Moi : (regardant le serveur) je vous dois donc combien ? 


Elle : (le fixant)  j’attends


Lui : (souriant) vous ne devez rien du tout 


Elle : quoi ? 


Moi : (ahurie)  ne me dites pas que c’est la maison qui offre


Lui : ce serait un plaisir pour la maison d’offrir un tel petit déjeuner à de charmantes dames. Mais cet homme (celui qui venait de nous dépasser) à tout régler. 


Puis il commença à desservir la table. Mona partit donc vers l’homme en question


Moi : mais au vas-tu ? 


Elle : le remercier dis donc 


Moi : humm


Elle : mais vient (me tirant) bonjour M., ah Samuel Bilé ! (souriant)  waho je ne t’avais pas reconnu tout à l’heure. 


Lui : bonjour (lui faisant la bise et me faisant la bise) comment allez-vous ? 


Elle : plus que bien, merci pour tout à l’heure. C’est vraiment gentil 


Lui : je vous en prie. Et la petite ? 


Elle : elle va comme un charme, vous êtes venu voir votre ami ? 


Lui : (nous regardant à tour de rôle)  oui c’est cela et vous ? Car vous ne ressemblez pas à des convalescentes. 


Elle : (souriant) un peu 


Moi : elle a une maladie qui ne montrera son nez que 9mois après 


Lui : (fronçant les sourcils) 


Moi : (touchant son ventre) ici


Lui : wahoo mais c’est une bonne nouvelle çà on doit célébrer (lui faisant encore la bise) félicitations 


Moi : (souriant)  merci bien 


Elle : (riant)  oui je disais que l’on devrait aller dans un bon karaoké histoire de célébrer cela 


Moi :  (faisant non de la tête) non, non 


Lui : ah vous savez chanter ? 


Elle : elle si, bien même 


Moi : une vielle histoire d’enfants, je ne chante plus depuis longtemps. 


Elle : elle apprenait même à jouer au piano un moment 


Moi : (riant)  ça n’a pas tardé 


Lui : wahoo, mais il y’a un très bon coin de karaoké pas très loin d’ici. On peut y aller quand vous voulez 


Elle : (heureuse)  c’est vrai tu as entendu Céli ? 


Moi : non merci, on doit y aller. Je serais en retard au service 


Lui : d’accord, mais si le bébé veut y aller un jour sachez que c’est sur la rue de la CNPS à Angré. En face du château de glace. Vous verrez Karastars.  


Elle : merci bien 


Moi : merci et bonne journée. 


Puis on partit. 


Elle : il est plutôt cool cet homme 


Moi : si mon beau frère sait que ta grossesse te rend assez aimable avec tout surtout les hommes il réfléchira avant de te donner un autre bébé. 


Elle : (riant) même sans ça il doit réfléchir, ma belle


SAMUEL 


Lui : (me regardant) tu leur as payé le petit déjeuner ? 


Moi : (souriant)  comme je te dis, en plus c’était vraiment mérité, la mère de ta patiente est enceinte 


Lui : oui, elle l’est. 


Moi : je suis heureux pour elle, mais pour sa sœur cela me fait de la peine tu sais. L’autre fois elle avait l’air mal en points, tu sais ? 


Lui : oui, cette jeune femme peine à avoir un enfant. Elles sont venues me voir une fois même pour cela et je t’assure qu’elle n’a vraiment rien. A part un cycle très irrégulier y’a aucun soucis et son mari aussi. Mais bon Dieu n’est pas encore prêt apparemment. 


Moi : j’espère au moins que cet homme la soutiens. 


Lui : je pense car il était là assez de fois avec elle. 


Moi : elle est vraiment belle, ces simples yeux attirent assez, il doit donc bien la surveiller. 


Lui : (me tapant)  eh on parle d’une femme marié là, ressaisis-toi là. 


Moi : (le regardant avec un petit sourire)  je dis juste ce que je vois 


Lui : et je te vois avec ce petit sourire bizarre là 


Moi : (riant)  je ne dis rien, mais juste que si elle veut une insémination artificielle je suis là. 


Lui : (riant)  jamais 


Moi : je ne veux que l’aider 


Lui : et l’autre là, la jeune avec qui tu dinais l’autre fois-là ? 


Moi : elle devenait trop collante,  donc on a du stopper. Je ne comprends pas pourtant au début elles semblent toutes comprendre. 


Lui : fais les signer un bon contrat comme Christian Grey alors ? 


Moi : (me levant)  tu as raison


Lui : et tu vas ? 


Moi : confectionner mon document ou bientôt certaines signeront, « pas d’attache. » 


Lui : tu es fou ! 


YAYA 


Moi : (inquiet au téléphone) mais depuis je t’appelle …ok désolé, tu vas bien ? Vous allez bien ? Ok je t’embrasse dors bien 


Je raccrochai et descendit de ma voiture. 


Elle : (me regardant)  depuis que tu as garé, c’est maintenant que tu descends ? 


Moi : (la dépassant avec ma mallette) salut Célianthe ça va ? 


Elle : oui ça va ? Tu as passé une bonne journée ? 


Moi : oui merci, je dois ressortir


Elle : pour aller où ? 


Moi : juste prendre l’air Célianthe 


Maman : ton mari vient d’arriver laisse le se débarbouiller, tu ne fais que l’accabler de questions 


Elle : je veux juste savoir où il va.  (Me fixant) ça fait presque 1mois que des que tu rentres tu ressors ? 


Maman : et donc ? Tu penses que l’on peut vivre d’un seul salaire ? Il cherche juste à se développer et toi tu le fatigue 


Moi : merci maman 


Maman : Maï, apporte le plat de tonton


Moi : mais…


Maman : (me regardant)  mange au moins


Moi : ok je vais me laver 


Je partis me laver et je m’habillais. Non ne croyez pas que je n’aime plus Célianthe mais je ne sais pas ces temps-ci c’est juste Barakissa que je veux voir et toucher son ventre. Là sentir près de moi et respirer son parfum. En plus je ne sais pas trop comment regarder Célianthe j’ai peur qu’elle comprenne. Je ne sais pas comment lui dire sans la frustrer et en plus vu comment je suis en joie, je n’ai pas envie qu’elle me rende la vie dure. 


Je m’empressai de manger pour aller voir Barakissa sous le regard bizarre de maman. Je ne comprends pas, elle-même sait que j’attends mon premier né et doit me comprendre mais parfois elle agit bizarrement. Tu ne voulais pas de Célianthe et maintenant Barakissa aussi. Bon j’ai urgent à faire actuellement. 


Moi : (entrant) la plus belle maman comment tu vas ? 


Elle : (ahurie)  ça va, et toi ? 


Moi : maintenant que je vous vois, oui ça va. 


Elle : mais on a parlé, pourquoi ne pas m’avoir dit que tu venais ? 


Moi : (souriant)  je voulais vous faire la surprise 


Elle : (regardant sa montre) tu sais que je suis encore chez mes parents ?  


Moi : (allant lui faire un gros câlin) et plus pour très longtemps, crois-moi. Alors vous allez comment ? 


Elle : bien


Moi : juste bien ? 


Elle : oui ça va 


Moi : ok je peux  le toucher 


Elle : tu vas toujours faire ça ? 


Moi : s’il te plait 


Elle : ok d’accord (se couchant et soulevant son habit pour me montrer son ventre)


Moi : (le caressant) je l’aime tant 


Elle : (souriant) moi aussi 


Moi : merci de me rendre heureux


Elle : (me regardant)  j’espère que l’on pourra bien en profiter 


Moi : (embrassant son ventre) ne t’en fais pas 


Elle : elle ne sait pas encore ? 


Moi : (la rassurant)  t’en fais pas, rien ne gâchera ce moment 


Elle : humm


Moi : (la fixant) crois-moi 


CELIANTHE 


J’ai laissé Yaya couché et je suis partie de la maison. J’ai pleins de courses à faire aujourd’hui. Et sans oublier aussi le fait que je dois mériter mon salaire. 


Moi : (souriant)  salut Leila 


Elle : (avec une bonne mine)  salut Céli ca va ? 


Moi : oui ça va et toi ? 


Elle : pareil 


Moi : et mes amours ? 


Elle : ils vont bien à part qu’ils ne se comportent pas du tout en amour ces temps ci 


Moi : (riant)  ça ira


Je me suis plongé dans mon travail et n’est même pas pris de pause à midi. J’étais à fond dans mon travail lorsque mon mari m’appela : 


« Moi : allo chéri ? 


Lui : salut Célianthe, je vais en voyage aujourd’hui et reviens dans deux jours. Un voyage imprévu désolé 


Moi : (dépassée) mais c’est maintenant que tu me le dis ? 


Lui : je te dis que c’est un imprévu, désolé 


Moi : hum je t’accompagne à l’aéroport ? 


Lui : non ça ira 


Moi : d’accord, fais bon voyage chéri 


Lui : merci, prends de toi et de tout le monde. 


Moi : ok »


Apres son appel, je restais là à réfléchir, Yaya avait changé, il était de bonne humeur avec tous mais pas avec moi apparemment. Je ne comprenais pas, avait-je fais quelque chose ? 


Elle : (me tapant)  hey Céli depuis je te parle


Moi : pardon, je suis perdue dans mes pensées. 


Elle : je peux t’aider ? 


Moi : (déposant mon téléphone)  c’est Yaya, il devient distant et bizarre avec moi


Elle : (mine triste)  l’histoire du bébé ? 


Moi : (soufflant)  c’est surement cela, mais ce n’est en rien ma faute cette histoire. C’est ce que j’ai essayé de lui faire comprendre l’autre fois mais peut-être n’ai-je pas employé les bons mots. Je ne sais plus. 


Elle : (me réconfortant)  allez cesse de trop penser, il est sans doute blessé d’être aussi incapable devant tout ceci. Continue à prier et tu verras 


Moi : hum je crois que même Dieu ne m’écoute pas 


Elle : non il écoute tous croit moi, ne dis pas ça. Ne laisse pas le découragement te guider, ne le laisse pas faire. Garde toujours ta foi en lui et même si ton affreuse belle mère te fatigue ne baisse pas la foi 


Moi : hum ok, celle-là m’a presqu’oublier. 


Elle : (souriant)  tu vois Dieu agit un peu un peu, mais surement tu verras cette femme te demanderas pardon elle-même


Moi : je veux juste un enfant 


Elle : et tu en auras crois moi


Je reçus un appel et vu que la connexion était instable je me levais pour aller communiquer. La nouvelle que je venais d’apprendre était loin de tout ce que j’imaginais. Non je ne croyais pas ? Comment est-ce possible ? 


Leila : (ayant peur) qui y’a t’il Céli ? 


Moi : (fondant en larmes) je n’en crois pas mes oreilles, ce n’est pas possible 


Elle : mais dis-moi qui y’a-t-il ?


MONALISA 


Moi : (énervée)  tu vas arrêter de pleurer non ? 


Elle : (pleurant)  mais je veux mon Piwi 


Moi : (à bout de nerfs)  écoutes Céli ces temps-ci je ne suis pas d’humeur, alors tes caprices merci de les garder pour toi 


Elle : (hurlant) PIWIIIIIIIII


Moi : je vais bien te donner une raison de pleurer tu vas voir, (lui donnant une fessée) c’est ça que tu veux ? (une autre) c’est ça 


Elle : (hurlant) ça fait mallllll, je veux Piwiiiii


Moi : (criant) tu veux encore ? 


Lui : (entrant dans la salle de bain)  mais qui y’a-t-il ? 


Elle : (pleurant)  maman m’a tapée


Lui : (me regardant)  ma blanche ? 


Moi : je suis à bout de nerfs, elle pleure pour un rien. Il est presque 19h à la douche,  non madame veut regarder piwii 


Lui : (me fixant)  et tu la tape pour cela ? 


Moi : (criant)  je suis fatiguée de tous ces caprices-là ? Je n’en peux juste plus de tout ca 


Lui : laisse je vais la laver 


Moi : (lui donnant le matériel et sortant de la baignoire) je suis en chambre


J’allais m’allonger sur le lit, ces temps-ci sérieusement j’étouffais, je m’énervais pour un rien et ma fille aussi ne me facilite en rien la tâche. Je ne sais même pas pourquoi ? 

Tu as regardé ton dessin animé depuis le matin mais maintenant que tu vas te laver tu pleures, elle croit que moi-même je ne cherche pas quelqu’un pour me douchée, elle, elle gagne une personne pour le faire gratuitement et elle pleure.  D’autres diront que je suis une mauvaise maman mais pour moi un enfant ne doit pas pleurer sans raison. Alors oui elle à mériter ses fessés. 


« Elle : mais tu dois savoir  ce qu’elle a. c’est de son âge de pleurer en plus elle te tentera plus encore à cause du bébé juste pour voir si tu l’aimes. 


Moi : (ahurie) maman ? 


Elle : (émue et souriant)  tu m’as appelé maman 


Moi : (me redressant)  que fais-tu ici ? (inquiète, on parle d’une vieille femme-là)   Comment est tu entrée ? 


Elle : sache le ma fille, tu n’es pas une mauvaise maman, j’en ai vu des mauvaises mères et en ai été mais tu n’es pas une mauvaise maman. 


Moi : comment est tu entrée ? Tu as quitté l’autre ville toi toute seule ? 


Elle partit sans me répondre avec un sourire. 


Moi : (voulant me levé mais empêchée par je ne sais quoi)  je te parle maman ? 


Elle : continue à veiller sur Célianthe, continue. 


Moi : (criant afin qu’elle me réponde) maman comment est tu venu ? 


Moi : (inquiète avec une étrange sensation)  mais ou va tu ? » 


Lui : (me réveillant)  eh, tu dors je commande à manger ? 


Moi : (me redressant automatiquement)  ou est-elle ? 


Elle : (petite voix)  je suis la maman 


Moi : (voyant que j’avais rêvé) ok mon trésor, je vais me doucher 


Lui : je commande ? 


Moi : hum juste des brochettes d’escargots pour moi 


Lui : ok, on t’attend en bas (la soulevant et sortant de la chambre) 


Moi : (affichant un sourire pour le rassurée que je vais bien)  d’accord 


Ça fait bizarre de rêver de maman, j’ai coupé tous les ponts avec elle quand j’ai su tout le mal qu’elle a fait à la famille de Céli, avec moi elle a été une maman assez douce mais avec Céli se fut tout le contraire et je n’appréciais pas. 


Aujourd’hui je n’ai plus vraiment de ces nouvelles car je me dis que sans elle et ces idées mauvaises, la famille de Céli vivrait toujours ensemble.  Elle les a séparée juste pour son propre bien et n’a fait que maltraiter cette pauvre fille. 


Je mis une robe légère et descendit. 


Moi : Céli ? (ma sœur)


Elle : Mona (triste) 


Moi : (voyant sa mine triste) quelqu’un t’a fait mal ? Ta belle-mère ? 


Lui : chérie (parlant à notre fille) : chérie, va dans ta chambre s’il te plait 


Elle : (sautant)  d’accord papa 


Lui : ma blanche assoit toi 


Moi : comment peux-tu me demander de m’asseoir quand ma sœur est dans un si mal état ? 


Elle : (faisant tout pour ne pas pleurer) écoute Mona 


Moi : (automatiquement)  quoi ? Yaya t’a mal parlé 


Elle : (pleurant) si ce n’était que ça… Mona maman nous  a quittées (fondant en larmes)  aujourd’hui


Moi : (mettant ma main sur ma poitrine)  maman ? 


Lui :  (plus calmement) ma chérie ta mère est décédée 


Je n’en revenais pas, je l’ai vue il y’a quelques minutes. Etait-ce un adieu ? Je ne comprenais pas. 


Elles : ils m’ont appelés pour me le dire (se jetant sur moi) je suis si désolée


Moi : aujourd’hui ? 


Elle : (pleurant)  oui 


Je me dégageai d’elle et partit m’enfermée dans la chambre de ma fille. 


Elle : (me regardant)  maman ? Tu vas bien ? 


Je la serrais contre moi et lui demandais de me serrer aussi. Je ne savais trop pourquoi ? 


Elle : (me regardant)  je suis désolé maman pour tout de suite, je vais vite me laver maintenant. 


Moi : d’accord (petite voix) 


Je les entendais taper mais je m’enfermais avec ma fille et ne les écoutais pas. 


Moi :  (la regardant) tu as faim ? 


Elle : (souriant)  non j’ai mangé le reste de ma pizza


Cette fille ne mange presque pas.  


Lui : (derrière la porte)  ouvre je t’en prie 


Elle : (derrière la porte) : Mona je t’en supplie parle nous 


Elle : on n’ouvre pas à papa et tata ? 


Moi : non, on va rester nous trois d’accord 


Elle :  (me montrant ces trois petits doigts) trois ? 


Moi : oui, toi, moi et le bébé. Ta petite sœur ou ton petit frère.  (La mettant sur mes pieds) Tu sais ma chérie, je t’aime beaucoup et parfois je crie ou te tapes mais tu sais pourquoi ? 


Elle : pour ne plus que je fasse des bêtises


Moi : oui et pour que tu sois une bonne fille. Tu sais tu es ma première fille et je t’aime assez, je t’aime que moi, et rien ni personne sur cette terre ne pourra changer cela, et même si tu doutes un jour de mon amour demande le moi tout doucement je te répondrai que je t’aime énormément.  Toi ainsi que ce bébé êtes mes enfants et vous deux je vous aime comme tout mais je ne veux pas que tu penses que je l’aime que toi non, je vous aime vous deux. 


Elle : (me faisant un gros câlin)  je t’aime aussi maman, beaucoup toi et mon petit frère. 


Je l’embrassai et la serra contre moi puis je lui racontais une histoire que j’avais imaginée. Je lui racontais toute l’improvisation de l’histoire qui se passait dans ma tête. On s’endormit. J’ouvris la porte de sa chambre lorsque je me réveillai et trouva Céli devant la porte de la chambre couchée. 


Moi : (la regardant) tu n’es pas rentrée


Elle : (se redressant)  non Yaya est en déplacement et j’ai demandé la permission de passer le weekend ici, ça va ? 


Moi : (mentant)  oui et mon mari ? 


Elle : au salon à t’attendre. 


Moi : ne te couche plus à terre


Elle : ne t’enferme plus 


On partit au salon et je le vis, il se leva automatiquement 


Moi : il est quelle heure ? 


Lui : (se levant à ma vue)  23H


Moi : (mentant) j’ai faim 


Elle : (allant vers la cuisine)  je vais chauffer les plats 


Yaya : non laisse-moi faire 


Elle : non


Lui : vas-y près d’elle 


Il est vraiment intelligent mon mari, il comprit que je voulais restée avec elle. 


Moi : (la regardant)  laisse-le 


Elle : assieds-toi. 


Moi : (je m’assis)  je l’ai vue


Elle : qui ? 


Moi : tout à l’heure lorsque j’étais couchée vers 19h, en songe elle m’a dit que j’étais une bonne mère, (mes larmes menaçaient)  elle me disait ainsi au revoir 


Elle : (venant s’asseoir près de moi)  oh ma chérie 


Moi : elle est venue me dire au revoir malgré que je l’aie raillé de ma vie (pleurant) 


Elle : vas-y,  vide toi 


Moi : (pleurant)  j’ai mal Céli, j’ai vraiment mal. Je l’ai carrément zappé et elle a pris la peine de venir me dire au revoir 


Elle : elle t’aimait 


Moi : moi aussi (pleurant) moi aussi je l’aimais très très fort. 


Elle : elle le sait crois-moi, elle le sait. 


Moi : (pleurant)  on ira ensemble pour les funérailles, on ira ensemble 


Elle : tout se fera comme tu voudras Mona. (Me faisant une bise sur le front et me serrant contre elle) comme tu voudras ma sœur. 


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