Le lundi matin je me suis reveillé dans les 9 h. Et depuis ce lundi jusqu'a maintenant, je pense, repense, analyse encore et encore ce songe ou dirai je un cauchemard que j’ai fait en me couchant dans les 2h du matin enfin de trouver le vrai sens de cela parce que je me dis qu’un message important est caché derière. Oufff, laisse moi te raconter ce rève sans precédent dans ma vie qui me tracasse. Peut-être que tu poura m’aider à trouver la signification...

 

Quand j’etais sorti pour me doucher dans les minuits après avoir discuté avec David, toute la maison etait dans le calme total. Je pouvais même entendre les ronflements ici et là, signe que les autres étaient dans un profound sommeil. Je descendis les marches pour me retrouver devant mon sceau d’eau. Je mis ma main là dedans mais j’ai du la retirer instantanement parce que l’eau était froide du au fait qu’elle est restée très longtemps à l’air libre. J’aurai voulu ne plus me doucher à cause de cette fraicheur mais la vérité est que le samedi de retour du jogging je ne me suis plus douché donc je dois le faire pour ne pas pour autant punir mon corps.

J’ammene l’eau dans la douche qui est située dans un coin de la maison. Toutes les ampoules éclairaient bien tous les recoins donc je n’avais pas peur. Je dénoua ma serviette et la placai sur la porte de la douche que j’ai laissé ouverte. Je mets ma pâte dentrifice SMILE et passai au brossage de ma bouche. Après avoir bien rincé ma bouche je pris mon savon que je passai sur l’éponge. Au moment où je le mettais dans les cheuveux, un frisson me saisi. D'où cela peut il surgir ? Je secou la tête histoire de le chaser. Soudain j’attends le hurlement des hiboux et des pas dans la cour de la maison. La peur m’emballa de nouveau et plus intensement. Je fis un Jesus. Dois-je crier ou courir dans la chambre. Je ne cesse de repéter Jesus dans mon esprit. J’ai pris mon courage a deux mains et sorti de la douche l’éponge et le savon dans mes mains tout nu pour voir s’il y a quelqu’un dans la cour. Ma surprise fut grande. Il y avait personne en vue a part les deux chats du propriétaire qui courait l’un après l’autre. Est-ce eux qui me fesait peur ainsi ou c’est juste une imagination? Je haussai les epaules et retourna dans la douche et decida de faire vite pour rejoindre ma chambre parce que envahi de peur. Je prends l’eau dans le gobelet pour verser sur ma tête quand les pas se firent attendre et cette fois ils etaient plus pressants qu’avant. J’ai eu l’impression qu’ils s’avancent vers moi. Une grande frayeur s’empara de moi a nouveau. C’est comme si je sentai ma fin s’approcher. Je ferma mes yeux pour me laisser aller et c’est là je me suis rappelé une histoire que mon grand frère Richard nous a une fois raconté a Agou Assikoe quand nous n’étions qu’enfants. Comme quoi c’est comme ça quand il etait gérant dans une boutique a Agou Gadzefe près du cimetiere sur la route de Klounou que dans une nuit vers les 0h où il se preparait a fermer pour rentrer chez lui qu’il a entendu des pas au rythme du batement de Coeur sur la route . Il a eu la chaire de poule et n’a puis fermer que la porte et les fenetres laissant les choses dehors pour s’engoufrer sous le comptoir de la boutique. Il ne sait vraiment pas comment la nuit s’est deroulée mais a son reveille par la proprietaire de la maison qui fesait office de la boutique tout son corps etait couvert de variselle et quand il a narré ce qui s’etait passé c’est la qu’il a appris que les pas etait celui de ZANGBE TO un esprit de nuit en Afrique. Ce qui a occasionné la variselle. Dieu merci qu’il a puis rentrer a temps sinon ce serait le pire... 

J’ouvris les yeux. Ma peur etait au summum. Je me suis demandé si par hassard ce n’était pas l’esprit en question qui passait dans la maison ou serais-ce une illusion. Je me souvins d’une phrase que mon papa nous a enseignée à l’eglise de répéter pour chasser la peur. Mon père est le Pasteur ou coordonnateur de la maisonnée d’Assikoe du Ministere de la voie. L’affirmation disait ceci « je confesse que j'ai été delivré de la puissance des ténèbres par mon seigneur et sauveur Jesus Christ de Nazareth. » Je fermai les yeux et la répéta trois fois en haussant legèrement la voix pour l’entendre moi même. Le miracle s’est opéré et du coup ma peur s’envola en éclat. Seul le vent m’emporta le son d’une douce mélodie qui se joua quelque part dans la ville.

Je me douchai en éclaire et une fois dans la chambre je fermai la porte et les naccos qui etaient encore ouvertent. Je me laissai échouer sur mon lit et repassai a ce qui venait de se produire. Je poussai un oufff de soulagement et souri car je venais de vivre l’un des épisodes de Harry Porter. Fascinant n’est ce pas ?

Je portai mon calecon bleu bandé de blanc, retirai mon telephone en charge et m’assis a ma table d’etudes. Cette fois ci je ne me connecte pas mais je rentre dans ma playlist pour lire certains morceaux de Djadu et Franglish que Nella, ma diange chérie, la petite amie de Carlos m’avait envoyé. 

Je n’avais plus sommeil et pour mettre le temps à profit je pris mon stylo et calepin pour écrire un peu. Albertina et Prudence m’avait inspiré un poème REVIENS MOI du fait que dans les groupes Whatsapp mes propos sont du genre polygame donc elles préfèreraient rompre. J’ai commencé à écrire ceci tout en écoutant