Partie 2

Write by Malachie officiel

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STRICTEMENT INTERDITE AUX MINEURS 
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je l'accompagnai chez moi sans perdre le minimum de temps... 

Et après avoir délicatement rangé mon livre sur l'étagère aux livres, je me suis approché et me suis collé à elle. Je lui disais quelques choses, elle me caressait le torse.

Je sentis aussitôt sa main glisser dans mon pantalon pour enfin saisir ma verge qui était bien dure depuis le début...

Elle descendait mon pantalon et mon boxer puis tomba sur mon énorme paf qu'elle suçait sans retenu. 

j'ai frissonné de la tête à l'anus tout en serrant péniblement sa tête contre mon membre... 

je glissais à mon tour ma main dans sa jupette et commençais à caresser sa graine à café très patiemment, tout en continuant à l'embrasser le cou, puis la poitrine. 

je ne savais plus que la porte était ouverte.

elle le constata 

««Manu... quelqu'un.. pourrait nous... surprendre»» me murmurait-elle sous l'effet du tsunami que créaient mes doigts de Zeus dans son caleçon de fer... 

Je tend ma jambe et fais claquer la porte, je lui prend la main et l'amène vers le canapé. 

Mes doigts étaient dans sa chatte et mon pouce faisait des cercles lents avec son clitoris, je la sens onduler sur mon doigt.

bon sang!! je ne vais pas tenir longtemps, plus elle ondulait et gémissait, plus ma queue se tendait, grossissait et devenait plus dur.

Elle mouillait de plus en plus et sa respiration devenait de plus en plus rapide.

je savais qu'elle était sur le point de jouir mais je continuais..

Elle remonta sa mini jupe moulante, se penchait et me disait 

««Je veux que tu me prennes comme ça s'il te plait»» 

j'émis un léger sourire en lui demandant, 

««tu veux me sentir par derrière c'est bien ça ?»»

««Oui Manu»» 

La voilà devant moi son gros cul en l'air. 

Je n'en pouvais plus, je me relève et je la pénètre le plus profondément possible, je suis rentré dans un état second je me suis tellement retenu que je ne comptais pas être doux.

Elle savait à quoi s'attendre car avec ses deux mains elle s'agrippe au dossier du canapé. 

Mes vas et vient étaient puissants, dans la pièce on entendait que le claquement de son cul sur mes jambes, 

ses gémissements me faisaient un effet aussi intense que mes mains vont à la rencontre de ses gros seins que je malaxais un moment puis pinçais ses tétons qui étaient déjà bien durs, 

je savais que je n'étais pas loin mais je voulais qu'elle s'abandonne à moi avant. 

««Jouie pour moi ma belle...»» disais-je frénétiquement sous l'effet du plaisir 

«« ouf ouf yes je vais venir... j'y suis presque»» 

Quelques coups de reins plus tard, je la vois serrer rudement avec ses mains les mousses du canapé.

Son souffle s'est arrêté je savais quelle va jouir et qu'elle ne voulait pas qu'on l'entende.

Je sentais les spasmes de son tunnel sur ma verge ce qui provoque le mien, des frissons me parcourt tout le corps je ne contrôlait plus rien. 

Nous restons dans cette position quelques minutes le temps de reprendre notre souffle. un instant après, elle me redresse un peu et se met à califourchon sur moi. 

Tout en me fixant droit dans les yeux, elle me chevauche comme si c'était sa dernière fois.

Les larmes aux yeux, elle grognait de plaisir et se mettait tête-bêche. 

je lui donnais de petits claques sur les fesses. elle accélérait très frénétiquement ses va et vient.

je devine les contractions qui animaient sa vulve. 

Elle atteint l'apothéose et vient se blottir dans mes bras je suis en pleine extase, je ne pouvais plus me retenir;

Alors je me crispe sur ses magnifiques seins en profitant de l'occasion pour me vider sans réserve en elle. 

C'etait chow on n'arrivait même pas à respirer. 

Elle brisa le silence. 

««C'était wouaoh ... je dirais le meilleure sex que je n'ai jamais eu»» 

««Ravi d'avoir su me flatter une fois encore Raymonda »», 

««non pas du tout»» 

Nous nous levons quelques minutes après, elle se rhabille, je dépose un baiser sur sa joue en lui disant d'un ton taquin

««Gonzesse, je ne te paie pas d'avoir fricoter avec l'inconnu !»» 

««si!! D'ailleurs je me demande si je ne vais pas demander une augmentation»» (mort de rire chaleureux.) 

elle a vraiment le sens de l'humour. 

Elle était rentrée chez elle après avoir pris mon numéro.

Les weekends je ne taffais pas. 

J'avais un collègue, enfin M. KOMLAN le deuxième psy de l'hosto. Il me parlait souvent d'un livre titré «l'hypnose chez Jean-François». 

Un livre de 4 cent pages. Il me disait que c'est un bon livre alors très rapidement dans la matinée,je me suis rendu à la bibliothèque nationale histoire de voir au clair ce dont parle ce fameux livre.

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