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J'étais assis au fond de la salle puis je commençais par lire. 

J'ai beaucoup aimé ce livre. "L'hypnose selon Jean-François".

Les choses sont bien détaillées la dedans et j'ai presque tout compris. En particulier comment hypnotiser une personne. 

J'ai très hâte de faire l'expérience voir si ça marche. 

Du coup je voyais une meuf très Canonne, elle venait d'entrer dans la bibliothèque. 

Je la fixait elle passait près de ma table d'études. 

Je lui quittait pas les yeux, elle me regardait mais très bizarrement car le regard que je lui lançais était très furieux aussi. 

• mais t'a quoi à me regarder comme-ci j'ai chié j'ai pas nettoyé le fion? 

Elle était hyper drôle, je ratifie. 

Mais étant donné que je voulais faire un expérience nouveau, je gardais ma sérénité et lui lança.

• coincée à la maison, vous voulez vous sentir aussi comme les autres meufs. Mais on ne vous laisse pas le choix ou soit vous même vous n'êtes pas ouverte. Complexe de supériorité 99% et vous négligez beaucoup les garçons. C'est dû peu être à une déceptions de part dans le passé. Ou soit c'est dû l'autoritarisme de la part des parents en particulier le père et...

Elle se sentait figer, elle me regardait et voulait le repousser en elle.

• (surprise) mais tu racontes... Quoi? 

je concentre ma vue sur ces deux paupières et lui lançais très calmement

• shuuu. Calme toi... regarde moi. Ne dis plus rien...regarde moi juste. Et dis moi si tout ce que je viens de dire est faux...

Elle me regardais un instant. Je pense que ça marche bien.

Elle m'avait écoutée ça montre que j'ai grave assumé

• c'est... vrai... d'une.. part.. Euh ta raison.. euh tu sais..

• stp assois-toi d'abord, ma chérie..

elle s'asseyait

• euh j'ai eu...

Elle m'a tout confirmée. «Je n'ai pas étudié pour rien» me disais-je. J'étais content du moins.. je l'ai rassuré un bon moment.

Sur ceux on s'échangeait de numéro puis elle est partie s'assoir un peu loin, mais en face de moi. 

Elle se sentait posée d'un coup. Je pense qu'elle était guéris... 

Durant toute ces temps, nos yeux ne faisaient que se rencontrer.

Parfois on se sourit puis on se détourne le regard. Parfois je la dévisageais en baissant ma tête en suite. 

Je dirais que ce livre était gros mais il est immensément riche. 

D'autant plus qu'il me transmetait des connaissances, je ne faisais que le lire. je crois que le jour là, j'étais même arrivé au milieu.... 

Je ne voyais même pas le temps passer. Il sonnait 19h alors j'ai décidé d'aller rendre le livre. 

Je revenais pour faire mon sac quand Albertine se dépêchait vers moi...

•Tu a une drôle façon de regarder, qui fascine tu sais ?

• Oh merde. Je déteste quand ça fascine juste... 

• lol.. qu'aimerais tu que ça fasse encore..

• que ça excite.. soufflais-je d'un ton taquin

• (rire) bah ça excite aussi..

• (rire) sérieux... 

Disais-je en empoignant mon sac. Elle me suivait jusqu'au dehors.

Mais très naturellement,je ne savais pas ce qui m'avait pris alors ma main droite s'est retrouvée dans ses longs cheveux. 

Elle ne me semblait pas indifférente. 

Alors je voulais la plaqué contre ma voiture, mais elle était encore loin, ma voiture. 

Je sens son souffle chaud s'écraser contre mon coup, ma main se posait à présent très tranquillement sur sa hanche, sa tête contre mon torse tout en me chatouillant avec ses zahos. 

De même que ses mains qui circulaient déjà librement dans les poils de ma poitrine. Nos lèvres se rencontrèrent. 

Je la pousse doucement vers l'arrière jusqu'à ce que son dos vienne tendrement se coller à la voiture pourqu'on puisse rouler la perle dans l'ombre .

Mes doigts se mettaient à glisser avec légèreté entre ses cuisses en jean. Puis vers l'entrée de sa plastique sans l'avoir déshabiller bien sûr...

Je lui malaxais très rudement les fesses avec des baisers dans le coup..

Elle avait la chère de poule, je les sentis par ses bras. 

Elle me faisait la même chose jusqu'à ce qu'elle ne passait sa main sur mon pantalon. 

Elle fut surprise, car sa main était en contact avec ma grosse queue en chaleur. 

Elle voulait s'accroupir pour profiter en douce de cette érection spontanée, quand une voiture nous projeta sa lumière dessus. 

• c'est ma mère... Il faut que j'y aille. Je l'avais appelé de venir me chercher. Je suis désolée pour.. 

•t'inquiètes c'est rien..

• je vais t'appeler

• d'accord...

Elle la rejoint puis la voiture s'ébranla.. 

Je suis un médecin psychiatre et je savais très bien que résister à ses pulsions sexuelles est mauvais pour le cycle hormonal, pour le sommeil et pour le moral.

Alors je rentrais dans ma voiture en lançant le numéro de Raymonda. Il faudrait que je me libére.

Cette meuf venait de m'exciter..

Sans tarder, j'arrive à la maison elle était là avant moi...

Elle était habillée d'une mini jupe noire, taille haute qui s'arrêtait au niveau de ses cuisses et d'un sans manches blanc court mais un peu amples. elle avait les deux pieds croisés, et était là adossée à sa voiture devant mon appart, les bras croisés au niveau de la poitrine.

Je garais ma voiture à côté d'elle..

• Monda...

• Manu...

• t'étais là depuis ?

• non juste une dizaine de minutes..

• ah c'est bien.. disais-je en montant les escaliers. Elle me suivait..

• moi je pensais que t'allais plus me rappeler (rire)

• (mdr)oh non t'étais pas aussi mauvaise à ce point

• (rire) donc j'étais un peu mauvaise ?

• euh... 

Une tape sur mon omoplate me faisait retourner avec des baisers fougueux et énergiques sur sa bouche dans les escaliers. Elle se retrouvait deja en bikini, nous sommes rentrés dans l'appart...

Je déposais mon sac très rapidement tout en enlevant ma chemise.

Assise dans le canapé, les jambes largement écartées, elle se faisait caresser la vulve un très long moment au travers du tissu.

Elle se pressait les seins et gémissait très faiblement. 

Elle commençait ensuite à masser son gros clito, elle était toute mouillée... 

«ouf»

je bandais comme un malade sous mon jean.

«Nooooon»

J'ai enlevé mon pantalon puis me suis approché de son cul.

De sa plastique jaillissait un fort liquide blanc, qui m'excitait et me chavirait...

Tout fripé, une de mes mains se détachait de sa joue pour glisser le long de son cou puis je la pénétre avec ma corne..

Je la prenais en missionnaire puis je dérivais vers ses infimes mamelles, que je tètais et malmènais avec mes lèvres. 

je la butais d'un mouvement fort, rapide et lent à la fois; elle hurlait de plaisir à présent, son ventre ondulait.

J'ai ressenti une douceur étrange parcourir tout mon être. Elle me serrait très fort contre son corps.

• reste encore quelques instants en moi stp. 

Me suppliait elle juste pour savourer à fond cet orgasme. 

Mon visage était dans ses cheveux splendides, mi-longs et souples que je caressais un moment.

Elle était toujours couchée dans le canapé moi je suis rentré sous la douche. 

J'avais les mousses sur le visage quand j'étais surpris par une main sur mon torse. 

• (mdr) t'as besoin d'aide ?

• Euh... oui...

Je comprenais déjà son intention alors je me débarbouillais et lui plaquai dans un coin tout en l'embrassant.

Rouler une galoche n'était pas vraiment son truc.

La seule chose pour laquelle elle était venue, était la banane. 

Je m'assieds sur le pot, elle était à genoux devant moi puis passer sa langue venimeuse de jouissance sur mon engin après l'avoir chaleureusement massé.

Elle faisait rentrer toute ma verge dans sa bouche, l'aspirait comme un chinois qui serait entrain d'aspirer un macaronis..

Les deux pieds tendues on dirait une vieille femme dans les dernières instants de sa grossesse, je sentais des crampes dans mes mollets. 

C'etait sublime.

Ça ne faisait que m'augmenter le plaisir.

Elle me donnait de petites claques sur les couilles.

Les va et vient de sa bouche deviennent cursives et fermes. 

C'était comme si ma verge me grattait.

Je me suis levé et après l'avoir tourné comme elle a l'habitude de l'aimer, je commençais par pilonner sa grosse chatte poilue, mouillée et trempée de spasmes. 

Elle avait les deux pieds joints afin que son puits aux eaux purgatoires soit bien serré sur ma verge. 

Truc de dingue.... C'était comme si je venais de la déflorer. Elle tremblait. 

Toujours en position de saute-mouton, je la tenais par les épaules en passant mes mains sous ses bras afin d'avoir l'équilibre.

Je lui défonçais la chatte en toute vitesse. J'accélèrais toujours. 

Plus je serre mon anus plus ma bite touche son fin fond et plus elle se courbait.

Sa grolle était en feu. 

Pris d'extase, je me suis vidé en elle sans m'en rendre compte

Elle n'était pas au point alors je la faisait coucher sur le dos puis commençait par la caresser la vulve. 

De la pulpe du pouce je massais son cul qui se spasmait . 

Elle se crispait s'agrifait à mon dos. 

Ma langue était très agressive sur son nombril.

Son clitoris se gonflait et vibrait seul. 

Au finish, elle a crié comme une folle puis cracha comme une fontaine….

À Suivre..

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