Partie 2 : Mister Handsome

Write by Mayei

...Ethan Okoma...

Jasmine : donc on fait comment ?

Moi : laisse-moi gérer et je te fais signe promis

Jasmine : ça c’est pour attendre jusqu’à quand encore ? 

Moi : tu ne me fais pas confiance ou quoi ? Je trouverai la solution. 

Jasmine : d’accord oooh si tu le dis

J’ai raccroché puis ai posé mon téléphone sur la table devant moi. 

Moi : comment vais-je pouvoir gérer ça ? Dans ce studio que j’occupe ?

La maison dispose d’un salon, d’une douche et d’une chambre séparée mais pour moi cela reste tout simplement un studio. 

Comme chaque matin, je n’ai rien d’autre à faire que me placer devant le miroir et réaliser à quel point mes parents avaient fait du bon boulot en me mettant au monde. La beauté coule dans mes veines et c’est cela mon plus grand atout. Ma beauté me sert énormément. Je suis resté un bon moment devant le miroir avant de me décider à passer sous la douche. 

En sortant de ma maison, j’étais frais comme on le dit. J’ai pris le taxi, ce sera l’arrivée payé. Je vais la voir donc c’est à elle de payer. 

Le chauffeur a suivi mes instructions jusqu’à se retrouver devant l’entrée de cette grande maison. 

Moi : attends ici, je reviens avec l’argent 

Le chauffeur : ok 

Comme à chaque fois que je venais ici, le gardien n’était pas présent, les servantes non plus. Je poussai tout simplement le portail et la trouvai au salon. 

Tata : tu es déjà là ? 

Moi : oui tata...il faut donner l’argent pour le transport 

Tata : oh j’allais oublier. 

Elle a fouillé dans son sac de marque et m’a fait sortir un gros billet de dix milles. Je me demande si le chauffeur aura la monnaie. J’ai pris deux mille dans ma poche que je lui ai remis. J’ai retrouvé tata qui rangeait sons sac.

Moi : il n’avait pas de monnaie donc je l’ai laissé prendre cela comme pourboire 

Tata : oh c’est vraiment gentil de ta part 

Elle se leva et vint vers moi, m’appuyer les fesses puis une claque. 

Tata : maintenant que tu es là, occupe-toi de moi. 

Elle avait ce regard coquin qu’elle affichait à chaque fois que je venais la voir. Je commençais par lui caresser le cou jusqu’à la naissance de la poitrine. Elle frémit. 

Moi : tu veux que je te mette bien ici ou dans notre coin habituel ?

Tata : aujourd’hui, tu veux que tu me fasses ça dans la chambre conjugale. Ce lit ne sert à rien d’autre si ce n’est le sommeil. Il y a longtemps qu’il n’a pas été chauffé. Chauffe-le un peu puisque mon mari ne joue pas on rôle. 

Moi : oh ! 

Tata : ne fais pas cette tête-là (me tirant par le bras) viens 

Je l’ai suivie jusque dans sa chambre conjugale. C’était la première fois que je foulais le pas de cette pièce de la maison. Tata se déshabilla entièrement en posa le dos sur le lit. Elle écarta grandement ses jambes de part et d’autre m’offrant son sexe dans toute sa splendeur. Le mien me put s’empêcher de gonfler. 

Tata : viens brouter 

J’affichais un sourire coquin. Tata était chaude comme la braise et mouillais déjà sans même que je ne la touche. C’est l’effet Ethan. Je lui enfonçais deux doigts directement avant de passer la langue sur son bouton. La sensation des deux en même temps la faisait crier sans retenue. Elle resserra ses jambes autour de ma tête et me garda dans cette position jusqu’à ce qu’elle ait jouis et que la force ait quitté ses jambes. Je me relevai et commençais à me débarrasser de mon pantalon. 

Tata : qu’est-ce que tu fais ? 

Moi : je viens te mettre bien 

Tata : tu m’as déjà vidée de toutes mes forces ça me va comme ça. Rhabille-toi. 

Moi : mais tata regarde l’état dans lequel je suis ! 

Tata : quand je donne les ordres du ne me contredis pas. Ok ? Quand je dis tu te rhabilles, tu te rhabilles ok ?

Moi (grognant ) : ok 

De mauvaise foi, j’ai remonté mon pantalon et ai fermé la braguette en colère. Elle a eu son plaisir et au moment de me satisfaire moi, il n’en est pas question. Je me suis assis loin d’elle, sur la chaise de sa coiffeuse en boudant. 

Tata (me rejoignant) : tu boudes 

Moi (boudant) : non 

Tata : c’est le sexe de tata que tu veux ? 

Juste sa question à fait tressaillir mon sexe. 

Moi : oui 

Tata (soulevant sa robe) : prends alors 

Je ne me suis pas fait prié, je l’ai prise la contre sa coiffeuse et nous avons fini notre besogne dans le lit. Là nous étions vraiment vidés de toutes nos forces. 

Moi (lui caressant le sein) : tata, j’ai quelque chose à te demander. 

Tata : oui je t’écoute 

Moi : en fait euh...ma sœur vient en ville pour se chercher un peu. Elle a émis le besoin de rester chez moi. C’est ma sœur je ne peux l’ignorer ou la laisser seule dans la rue se débrouiller. 

Tata : hummm

Moi : mais le problème c’est que si elle vient où dormira-t-elle ? Je n’ai qu’une seule chambre. Elle ne va pas dormir au salon ou je ne vais tout de même pas dormir au salon ! pour combien de temps ? 

Tata : donc qu’est-ce que tu proposes ? 

Moi (me redressant) : je peux déménager dans un deux chambres salon. Aide-moi seulement avec la moitié je vais gérer l’autre moutier 

Tata : ok il n’y a pas de soucis 

Moi (surpris) : tu en es sûre ? 

Tata : mais oui, tu me procures énormément de plaisirs alors je te remercie en cédant à tes demandes 

Moi : tu es la meilleure

Je ne savais pas que ça allait être aussi facile. Je n’avais plus de force mais je suis quand même faufilé entre ses jambes une nouvelle fois. 

J’ai regagné ma maison, épuisé, vraiment vide de toute force. Mais l’enveloppe (souriant) que m’avait remis tata était assez grosse donc ça compense. Cependant tout ce dont j’avais envie, c’était de me coucher et sombrer dans un profond sommeil. 

Tata est une femme mariée d’un certain âge. Je ne connais ni son âge son nom. Elle m’a simplement dit de l’appeler tata. Elle a de grands enfants qui fréquentent à l’extérieur du pays donc je suppose qu’elle est quand même âgée. Cependant, elle le corps d’une jeune fille très fraîche. 

Aucun bourrelet. On aurait dit qu’elle n’a jamais enfanté. Elle est bandante comme on le dit. Nous nous rendons mutuellement service. Ce qui veut dire qu’à chaque fois que son mari voyage ou qu’elle a besoin de moi, elle me fait appel et je la retrouve pour une bonne partie de jambes en l’air. 

En contrepartie elle s’occupe de moi financièrement. Elle paie la moitié du loyer de cette maison et l’autre conne de Cyrah paie l’autre moitié. Le loyer mensuel de ce coin est de 180 mille. J’ai monté cela à 280 mille ainsi Cyrah me donne 140 mille chaque mois et tata me donne pareil. Je fais un partage équitable hein je prends 90 mille dans l’enveloppe de chaque d’entre elles et les 100mille en plus rentrent dans ma poche. C’est comme ça que ça fonctionne. 

J’avais envie de dormir mais il fallait que j’appelle Cyrah pour préparer le terrain. 

Cyrah : allô Ethan 

Moi (voix mielleuse) : comment tu vas ma colombe ? 

Cyrah : ... ... ...

Moi : tu es toujours en ligne ma puce ? 

Cyrah : euh...oui...oui, je vais bien et toi ?

Moi : comment puis-je aller bien si tu n’es pas avec moi ? Tu me manques énormément.

Cyrah : ah oui ? C’est gentil de t’entendre me dire ça 

Moi : ok, je suis vraiment fatigué la...j’ai passé toute cette journée à arpenter les rues pour trouver un emploi mais rien. Partout où je passe il n’y a pas de postes disponibles.

Cyrah : oh c’est super que tu essaies de trouver quelque chose. Écoute, ne te décourages pas ça viendra. Tu sais aussi que tu peux compter sur moi pour quoi que ce soit

Moi (soupirant) : je sais, je sais mais je suis fautifs au du moins frustré que même le loyer c’est ma petite femme (je l’entendais glousser) qui donne la moitié. C’est le comble pour un homme. C’est vraiment frustrant 

Cyrah : ne dis pas ça ! On croise les doigts tu verras que tu trouveras quelque chose. 

Moi : bon, je vais te laisser, je dois encore me lever tôt demain pour continuer les recherches. 

Cyrah : ok mon cœur. Dors bien et fais de beaux rêves 

Moi : toi aussi ma colombe 

J’ai raccroché en riant. Quelle idiote ! Je vais la baratiner comme ça sur deux semaines voir et lui introduire ma demande. 

...Cyrah Elloh ...

Moi (ouvrant grand les yeux) : tu as entendu ça Charlène ? C’était Ethan 

Charlène : c’était lui et ?

Moi : arrête de faire ta rabat joie 

Charlène : rabat-joie de quoi ? Ton faux gars-là qui te manipule comme il veut ?

Moi : ce n’est pas de la manipulation mais de l’amour. Je l’aime tout simplement. 

Charlène : est-ce qu’il t’aime en retour ?

Moi : bien sûr que oui ! sinon nous ne serions pas en couple depuis.

Charlène : tu vis même sur quelle terre ? Si seulement je pouvais te prêter mes yeux pour que tu vois par toi-même comment tu te mens ! c’est parce que tu es sa banque qu’il est là oh.

Moi : ne me gâche pas la soirée. Mets le film on va continuer tranquillement notre soirée.  

Charlène : kpaaaa Mama aveugle 

Moi : mets le film 

Charlène est toujours négative quand il s’agit de Ethan. Je n’arrive pas à comprendre mais chacun sa vision. Elle n’arrive pas à voir qu’il m’est indispensable. De toute les manières c’est ma relation et non la sienne. Je me suis concentrée sur le film qui était très bon bien qu’il soit comique. Notre soirée fille a été superbe. 

Le lendemain Ethan était toujours aussi amoureux puisque je me suis réveillée avec non pas un mais des messages enflammés et rempli de déclarations. Ma journée a été très belle, j’étais très souriante. 

Je me suis gardée d’en parler à Charlène pour ne pas qu’elle me gâche la joie. La nuit j’ai eu droit à de longues heures au téléphone à parler de tout et de rien. Ce n’est pas grand-chose mais c’est tellement romantique de s’endormir au téléphone avec l’homme que tu aimes. 

Aujourd’hui quand j’ai franchi la porte de mon bureau j’y ai trouvé des fleurs. J’ai souris et me suis dirigée vers le bouquet pour prendre la carte qui s’y trouvait. Depuis le début de cette semaine je ne fais qu’en recevoir. Aujourd’hui la carte disait. « Je n’ai peut-être rien mais tu es mon plus grand trésor ». J’ai fermé les yeux en portant la carte à mes lèvres. Ces fleurs coutent cher et dans le peu qu’il gagne avec la cabine il trouve le moyen de m’en acheter. Ne dit-on pas que c’est mieux d’avoir quelqu’un qui gagne 20 mille et de donne 15 mille que celui qui gagne 300 milles et t’en donne 15 mille ? mon Ethan fonctionne comme dans le premier cas.

Je lui ai passé un coup de fil et j’ai finalement débuté ma journée en me concentrant sur mon boulot. 

... ... ...

C’est la énième tenue que j’essaie mais je ne suis pas satisfaite. Il y a toujours quelque chose qui ne va pas. 

Tisha : mais Cyrah ! Cette tenue est juste magnifique 

Charlène : tout ce qu’elle a essayé était magnifique mais madame trouve toujours quelque chose à redire. Si ce n’est pas que les bretelles sont trop fines, c’est ça me plaque trop ou encore c’est trop court 

Moi : c’est facile pour vous de dire tout ça quand vous n’êtes pas dans ma situation. 

Sans le vouloir je me suis mise à pleurer ce qui a refroidi tout le monde dans le magasin.

Charlène (à la vendeuse) : vous pouvez nous laisser un moment ?

Elle : bien sûr !

Charlène : qu’est-ce qui se passe Cyrah ?

Moi (essuyant mes larmes) : je ne peux pas mettre de fines bretelles à cause de mes gros bras. Les robes près du corps aussi c’est impossible 

Tisha : qu’est-ce que tu racontes Cyrah ? Tu es magnifique. Regarde tu n’as même pas de ventre ça te fait une sacrée forme guitare avec ton derrière bien rebondit la 

Charlène : et tes seins. J’avoue que je tuerai pour avoir un peu pour remplir certaines robes que je porte qui perdent toutes leur beauté au niveau de la poitrine.

Moi : ce n’est pas comme ça que je me vois. Vous êtes belles, avec les corps fins comme ça. Pourquoi je dois être différentes. Aussi longtemps que je m’en souviens, je n’ai jamais été fine. 

Charlène : écoute Cyrah, le monde est fait de différence. À quoi ça allait ressembler si tout le monde était mince ? De plus quand j’ai mes lourds goumin ici c’est sur ta poitrine je veux me coucher oooh c’est le bonheur même 

Tisha : le vrai bonheur même lol 

Elles ont essayé du mieux qu’elles ont pu de me remonter le moral mais bon. Tout le monde n’arrive pas à voir ce que je vois. On a terminé le shopping et nous sommes toutes rentrées chez moi. 

Tisha : les filles, il faut qu’on aille s’amuser en boîte ce soir 

Charlène : c’est vrai que ça fait un bail 

Moi : vous connaissez déjà ma réponse 

Tisha/Charlène : tu nous emmerdes la 

Nous avons toutes les trois éclaté de rire. Mais franchement la boîte ce n’est pas pour moi. Aucune de mes tenues n’allaient être acceptée par ces deux folles et d’ailleurs je ne sais pas danser donc pourquoi aller m’asseoir là-bas comme ça à regarder les autres s’amuser ? J’allais juste me taper des Red Bull et rester en spectatrice tout le reste de la soirée. 

Moi : mais franchement les filles ! Si vous voulez y aller, allez-y. Moi...

Mon téléphone qui sonnait m’a empêchée de terminer ma phrase. 

J’ai souri en voyant le nom de Ethan 

Moi : allô mon amour ?

Charlène / Tisha : tchrrrrr

Je leur ai tiré la langue 

Ethan : tu es où ma colombe ?

Moi : à la maison pourquoi ? 

Ethan : je suis devant ta porte 

Moi : quoi ???

Ethan : surprise ! 

Moi (embêtée) : j’arrive tout de suite 

J’ai raccroché en réfléchissant à ce que j’allais dire aux filles. 

Tisha : pourquoi tu fais cette tête ?

Moi : c’est à dire que...Ethan est devant la porte...

Charlène : donc tu veux qu’on s’en aille c’est ça ?

Tisha (tapant dans ses mains) : on aura tout vu ! Tu nous chasses de chez toi à cause de de vaut rien ?

Moi (élevant la voix) : ce n’est pas un vaut rien ! il faut arrêter avec ça tout de même. Il fait de son mieux. 

Elles m’ont regardée bizarrement comme si je délirais.

Moi : ne prenez pas ça comme ça les filles. Mettez-vous à ma place… 

Charlène (prenant son sac) : oh ! Ok...Tisha on se barre. On a notre chez nous ici. (À moi) Mama maboule, passe une bonne soirée avec ta grenouille parce que ce n’est en rien un prince charmant. 

Moi : les filles...

Elles ont pris leurs sacs et affaires et ensemble nous sommes sorties. Ethan était devant la porte souriant. Il leur a lancé un bonsoir auquel elles n’ont même pas pris soin de répondre. J’ai refermé la porte. Comme toujours il était frais mon Ethan. 

Ethan : elles ne m’aiment pas tes amies.

Moi : mais non, tu te fais des idées

Ethan (m’enlaçant) : viens par ici toi

Il m’embrassa langoureusement et me mordit délicatement le cou. J’ai mis la télé et nous nous sommes installés au salon, moi lovée dans ses bras. 

Moi : tu as vu que j’avais raison tout à l’heure. Je t’avais dit qu’elle finirait par choisir celui-là et non l’autre

Ethan : ... ... 

Ne l’entendant pas je levai la tête. Il fixait un point dans le vide, l’air de sérieusement réfléchir. 

Moi (le tapant) : bébé ! 

Ethan (revenant à lui-même) : oui ?

Moi : depuis je te parle tu ne réagis pas. Tu réfléchis à quoi ? 

Ethan : des soucis, je n’ai pas envie de te fatiguer avec tout ça. 

Moi (me redressant) : mais un couple c’est fait pour ça mon cœur. Tu ne peux pas avoir des problèmes et les garder pour toi alors que je suis juste à côté. (Prenant son visage entre mes mains) parle-moi Ethan, parle-moi. 

Ethan : en fait...roooh je n’ai vraiment pas envie de t’embêter avec ça 

Moi : parle 

Ethan : en fait euh...ma sœur vient en ville pour se chercher un peu. Elle a émis le besoin de rester chez moi. C’est ma sœur je ne peux l’ignorer ou la laisser seule dans la rue se débrouiller. 

Moi : je vois 

Ethan : mais le problème c’est que si elle vient ou dormira-t-elle ? Je n’ai qu’une seule chambre. Elle ne va pas dormir au salon ou je ne vais tout de même pas dormir au salon pour combien de temps ? Je ne sais vraiment pas quoi faire. 

Je me suis mise à réfléchir aussi à comment l’aider. Il doit se sentir mal de ne pas être à même d’accueillir convenablement sa sœur...

Moi : mais c’est ça !

Ethan : quoi ?

Moi : tu déménages dans un deux chambres salon. 

Ethan (riant nerveusement) : et j’assure le loyer comment déjà que tu me complètes la moitié, je ne vais pas en plus de ça élever la moitié que tu mets. J’avais pensé à cette solution et j’ai fait mes recherches. La moins chère que j’ai trouvée disponible est de 420mille le loyer par mois. 

Moi : mais moi ça ne me gêne pas du tout. 

Ethan : comprends que ça me gêne en tant qu’homme...mon honneur 

Moi : c’est juste une aide et je suis convaincue que tu allais en faire de même si tu étais à ma place. 

Ethan : hummm...

Moi : accepte s’il te plaît 

Ethan : je ne sais pas...laisse-moi dormir sur la question. 

Moi : ok 

Ethan : mais laisse-moi te dire que tu es une femme en or. Dès que ma sœur sera là, je te la présente et la prochaine étape sera de rencontrer mes parents. Dès que je trouve un vrai boulot, je t’épouse direct

J’avais le goût comme on le dit. Moi, future madame Okoma. Qui va refuser un si joli bouquet ? Je gagne bien ma vie pour mon âge. Le salaire brut est de 2.753.000. Si j’enlève 210 mille dedans pour aider celui que j’aime tant, qu’est-ce que cela m’enlève ? Je l’aide autant que je peux. C’est ce que toute femme ferait pour celui qu’elle chérie.

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