<< Raïssa >> 1ière partie 

Quel est le plus important pour être heureux dans la vie ? Ce n’est ni la famille, ni les amis, encore moins avoir quelqu’un avec qui passer le temps. Le plus important pour être heureux dans la vie, c'est l’argent telle était la pensée de Raïssa. Assise sur son fauteuil vêtue d’un simple débardeur et d’un string, elle regardait ses factures et ses dépenses du mois. Il fait très chaud en ce moment à Abidjan et le ventilateur de Raïssa est en panne et hors de question pour elle d’allumer la clim en ce moment. Raïssa est une grosse dépensière, elle gagne un plutôt bon salaire en tant qu’assistante dans une boite, mais tout l’argent qu’elle obtient, va immédiatement en sortie, vêtements, chaussures etc. Elle aime se faire plaisir sans penser au lendemain. Pour elle l’argent est ce qu’il y a de plus important dans ce monde. Avec de l’argent, tu peux acheter le bonheur. Peu importe ce que tu veux, tu peux l’avoir avec de l’argent. Tu peux voyager n’importe où dans ce monde. N’est-ce pas cela le bonheur ? Avec de l’argent elle pourrait avoir tout ce qu’elle voudrait et peu importe si elle n’a pas véritablement d’amis. Après tout, les amis existent juste pour s’utiliser mutuellement, si elle n'a rien à offrir en échange alors même ses secrets qu’elle aurait partagés seraient divulgués. Raïssa était assez solitaire et méfiante envers tout et tout le monde. Elle n’accordait sa confiance qu’à peu de personne et ne vivait que pour elle. Quittant son fauteuil, Raïssa va se coucher dans son canapé. Téléphone en main, des notifications d’un certain Nathan apparurent sur son téléphone, elle les effaça et alla regarder l’actualité sur Facebook en dandinant son beau cul dans son string. Les gouttes de sueur dues à la chaleur qui lui coulent sur les fesses et sur les seins lui donnent un air vachement sexy. Physiquement cette fille est une bombe. Comme on le dirait elle a tout ce qu’il faut là où il faut. Encore une nouvelle notification de Nathan qui lui disait lui avoir commandé des chocolats. Effectivement quelques minutes plus tard, un livreur sonna à la porte de Raïssa. Sans même prendre la peine de porter quelque chose de plus convenable, elle ouvrit la porte dans sa tenue légère. En la voyant le livreur ne put que bégayer, subjuguer par cette beauté sensuelle qu’il avait devant les yeux

Raïssa : << Oui ? >> 

Le livreur : << On.. On m’a de-de-demander de vous livrer ce-ce-ce pack >> 

Raïssa : << Ha merci, tout a été payé ? >>

Le livreur : << O-oui >>

Raïssa prit le pack qui contenait quelques gourmandises et referma la porte. Elle déposa le pack sur sa table et retourna à ses occupations après avoir envoyé un simple merci

à Nathan.

Récemment Raïssa avait commencé à poser pour un photographe. L’univers des photos artistiques dénudées s’est plutôt assez bien implanté à Abidjan. Et de ne jours, c’est devenu de moins en moins choquant de voir des filles poser à moitié nues ou toute nues. Voulant arrondir ses fins de mois, Raïssa était devenue mannequin pour une de ces agences. Vu son physique, elle voulait en tirer un certain bénéfice et n’étant pas vraiment timide de nature, cela ne lui posait strictement pas de problème. De toute façon Raïssa vivait sa vie comme elle l’entendait, sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit. Aujourd’hui elle avait une séance photo sur un thème érotique. Quand elle arriva au studio comme de coutume, elle était déjà maquillée. La tenue qu’elle devait porter aujourd’hui était beaucoup plus sexy que les précédentes. C’était une sorte de bikini. En la portant Raïssa avait l’impression que ce n’était pas vraiment sa taille. C’était un peu trop petit. Le soutif couvrait à peine ses tétons et le string n’en parlons pas. Malgré qu’elle le positionnait bien, cela couvrait juste le milieu de son sexe. C’était si petit qu’une partie des lèvres de son vagin était à découvert. Elle s’adressa à Philippe son photographe pour savoir s’il avait fait une erreur 

Raïssa : << Philippe ? La tenue d’aujourd’hui est petite hein, tu es sûr que tu ne t’es pas trompé de taille ? >>

Philippe : << Non, c'est la tenue qu’on m’a envoyée, ça ne te rentre pas du tout ? >>

Raïssa : << Si mais regarde >>

Quand Raïssa sortit de la cabine d’essayage, Philippe ne pouvait être que subjugué par sa beauté et par le sex-appeal qu’elle dégageait. Les formes plantureuses et sauvages de cette fille faisaient saliver. Cela provoquait instantanément un appétit que l’on voudrait essayer d’étancher en espérant ne jamais se rassasier pour toujours en profiter. Philippe l’avait plusieurs fois photographiée mais à chaque fois il était étonné par sa grande beauté et cette fois il ne put dire mot 

Raïssa : << Eeeh Philippe ? >>

Philippe : << Ha oui … pardon. C’est un peu petit oui, mais ça pourra le faire je pense >>

Raïssa : << Hum d’accord >>

Philippe enduit ensuite le corps de Raïssa d’huile. La photo devait la représenter sur une plage sous un soleil de plomb. La séance photo débuta enfin. Raïssa s’en sortait vraiment bien en tant que mannequin. Elle avait appris les poses et se sentait vraiment à l’aise devant un objectif photo. Durant plusieurs minutes, Philippe enchaînait les clichés et toutes les photos qu’il prenait étaient réussies. Pour les clichés de fin, il demanda à Raïssa de faire des poses sur une chaise 

Raïssa : << C’est bon comme ça ?? >>

Philippe : << Oui, c'est bien… Presse tes seins l’un contre l’autre et ça sera parfait >>

Raïssa : << Comme ça ?? >>

Philippe : << Oui >>

Pendant que Philippe faisait les photos, Raïssa pensait à autre chose. Ce genre de photos qu’elle faisait pourrait lui rapporter beaucoup d’argent si elle les vendait sur le net. Des pervers paieraient très certainement une somme assez conséquente pour admirer son corps. Et il se trouve qu’elle a vraiment besoin d’argent là, peut-être qu’elle devrait aller un peu plus loin. Pendant qu’elle y réfléchissait, elle remarqua une bosse dans le pantalon de Philippe juste au niveau de son entre jambe. Philippe avait beaucoup de mal à tenir en laisse ses désirs. Il savait déjà Raïssa incroyablement belle et sexy vu qu’ils étaient à leur troisième séance photo, mais aujourd’hui elle était beaucoup plus sulfureuse. Et durant toute la séance, les poses de Raïssa, sa manière de se toucher le corps, de mordre ses lèvres, ses yeux ensorcelants. Elle était si à fond dans son rôle que Philippe ne put résister à avoir des pensées obscènes envers elle. Et là il était hésitant. Il mourait d’envie de goûter à son corps, mais pouvait-il vraiment lui faire une telle demande ? La prendrait-elle bien ? Est-ce que cela ne nuirait pas à leur partenariat ? Philippe était partagé et la séance touchait à sa fin. Alors qu’il regardait les photos qu’il venait de prendre, il se décida enfin. De toute façon qui ne tente rien, n’a rien 

Philippe : << Dis euh … Raïssa … >>

Raïssa : << Oui ? Il y a un souci ? >>

Philippe : << En fait euh … ne le prend pas mal, mais est-ce que… est-ce que tu me laisserais coucher avec toi ? … je ne prendrais aucune photo >> 

Raïssa s’attendait à cela tôt ou tard. Du moins elle l’avait présumé dès le moment où elle a accepté de faire ce genre de photos. Pas que c’est ce que font toutes les filles qui font des photos de ce genre, mais au fond d’elle, elle s’attendait à recevoir une proposition de ce genre. De toute façon, c'était assez courant qu’on la désire sexuellement et elle trouvait Philippe quand même assez beau. En plus cela fait un bon moment qu’elle n’a pas eu de rapport sexuel alors pourquoi ne pas en profiter… en profiter doublement parce que hors de question qu’elle fasse cela gratuitement. Elle est payée environs 150 milles par séance photo

Raïssa : << Hum … si tu me paies suffisamment pour ça >>

Philippe : << Hum dis-moi combien ? >>

Raïssa : << Le double de ce que tu me paies pour la séance photo >>

Philippe : << Donc 300 milles + la séance photo ça fera 450 milles, c’est ça ? >>

Raïssa : << Oui, c'est ça >>

Philippe : << Je te donnerais 500 milles, attend je reviens >>

La plupart des séances photos se passaient dans la maison de Philippe. Il avait aménagé une pièce spécialement pour les photos. Il sortit pour aller chercher quelque chose et revint quelques minutes après avec une liasse de billet. Il y avait exactement 500 milles qu’il tendit à Raïssa. Après avoir rangé l’argent, elle le suivit dans sa chambre. Philippe s’empressa de se déshabiller et Raïssa fut choqué de voir la taille de son membre. Elle ne savait pas s’il avait cette taille habituellement ou si c’était l’excitation qu’elle lui provoquait, mais la queue de Philippe était énorme. Elle en avait rarement vu d’aussi grosse. Elle vint s’agenouiller aux pieds de Philippe pour palper son membre. Il était bien lourd et les veines qui parcouraient sa bite semblaient si nerveuses. Elle saisit sa bite et voulut la sucer, mais Philippe l’arrêta

Philippe : << Attend je veux sentir autre chose pour commencer >>

Raïssa : << Quoi ça ? >>

Philippe : << Je veux que tu le fasses avec tes seins >>

Raïssa pressa ses seins l’un contre l’autre en gardant bien au chaud la bite de Philippe au milieu d’eux. L’huile qu’elle avait déjà au préalable sur le corps servait de lubrifiant. Raïssa bougea lentement ses seins autour du pénis de Philippe. Elle sentait tout le poids de sa queue et comment ça frémissait à chaque mouvement qu’elle faisait. Pendant qu’elle bougeait ses seins, elle pressa ses tétons et du lait en sorti, chose qui étonna Philippe

Philippe : << Du lait ? Je ne savais pas que tu avais… >>

Raïssa : << Ha non je n’ai pas d’enfant, ça a toujours été comme ça avec mes seins. Par moment ça produit du lait tout seul, j’ai juste un trait spécifique à ma personne >>

Philippe : <> Ha d’accord >>

Mais cela excitait encore plus Philippe. Il commença lui aussi à bouger des hanches. Les seins de Raïssa étaient vraiment trop agréables à baiser. Philippe se laissa entraîner par son désir sans chercher à le contenir, sans chercher à le canaliser. Philippe avait même du mal à contrôler ses hanches, ses mouvements commencèrent à rapidement devenir désordonnés. C’était la jouissance qui lui montait déjà au cerveau. Déjà qu’il ne s’attendait pas à ce que Raïssa accepte et là, sentir sa queue choyée entre ses si beaux seins ne faisait qu’accentuer son excitation. Il finit par lâcher la sauce et couvrir la poitrine de Raïssa de son épais sperme. Pendant qu’il jouissait, Raïssa sentit sa queue se durcir encore plus plutôt que de se ramollir. Il semblerait que Philippe ait une énorme envie d’elle pour être si dur après avoir joui une fois. 

Raïssa : << Est-ce que tu as des préservatifs ? >>

Philippe : << Euh attend … je crois … >> 

Philippe fouilla dans tous ses tiroirs, mais ne trouva pas le moindre préservatif. Raïssa lui dit qu’elle en avait peut-être dans son sac, mais n’en était pas sûre. En fouillant elle en trouva un, mais quand elle essaya de le faire porter à Philippe, il était trop petit. Ça ne lui rentrait pas 

Raïssa : << Bon on va faire sans >>

Raïssa, elle aussi, mourait d’envie de ressentir le membre de Philippe en elle. Elle avait rarement baisé avec des hommes qui ont un sexe de cette taille. Elle se coucha sur le lit et écarta ses cuisses, invitant Philippe à venir s’y blottir. Quand Philippe commença à la pénétrer, Raïssa sentit comme s’il était en train de la diviser. Comment sa queue pouvait-elle être si grosse se disait-elle 

Raïssa : << UUUuuuhhh Aaaanhhh >>

Philippe trouvait Raïssa vraiment très étroite, mais il ne voulait pas attendre d’aller tout au fond d’elle. Il commença déjà à se mouvoir et ses va-et-vient furent brusques et trop rapides pour Raïssa, elle espérait qu’il démarre en douceur, mais pas avec autant de fougue. 

Raïssa : << AANNH AANNH AANHH OOOOH MMMMH AAANNH AAAANH >>

Philippe ne lui laissa même pas le temps que sa chatte s’habitue à sa bite, qu’il avait déjà un rythme endiablé. Lui-même se trouvait piégé par son envie incontrôlable d’elle. Il n’avait pas encore réussi à prendre le contrôle de son désir et son corps agissait de lui-même. Pour Raïssa, c'était certes brutal, mais cette grosse bite lui procurait mille sensations de plaisirs. Et son plaisir se décupla quand Philippe commença à jouer avec ses seins. Il se mit à lui pincer les tétons et à les tirer alors qu’elle était tellement sensible des seins 

Raïssa : << Mmmhh Aaanh aattend douucemeeent mmmmh putaiiiinnnn aaannh aanahhh >>

Au bout d’un moment, Philippe retourna Raïssa en levrette pour pouvoir la baiser plus en profondeur et avec beaucoup plus d’ardeur. Chacun de ses coups faisait balancer ses seins dans tous les sens 

Philippe : << J’ai toujours pensé que tes seins étaient incroyables. Je n’arrive pas à croire que je baise une si excitante femme, tu es la meilleure >

Comme elle s’en doutait, Raïssa se disait que tous les hommes la désiraient juste pour son corps, mais cela ne la dérangeait pas vraiment tant que finalement, ils lui apportaient du plaisir… À Suivre 

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