<< Raïssa >> 2ième partie

Write by Le Kpetoulogue

<< Raïssa >> 2ième partie 


Son corps s’était finalement habitué à la grosse bite de Philippe et ... qu'est-ce que sa queue était bonne. À force de cogner son cul avec violence, Raïssa se retrouva complètement couchée sur le ventre. Les jambes écartées et Philippe au milieu écartait ses fesses pendant qu’il la pénétrait. C'était si bon qu’elle enlaça l’oreiller en dessous d’elle et le mordit. Philippe la baisait vraiment très bien, peut-être que son manque de sexe jouait en sa faveur, mais elle trouvait qu’il était vraiment bon à cela. Elle avait rarement pris autant son pied lors d’une partie de jambe en l’air. Quant à Philippe, à chaque fois qu’il la pénétrait elle devenait de plus en plus serrée, sa chatte lui broyait sa queue et c’était si bon si agréable de la baiser en écartant ainsi ses grosses fesses. Il ne put se retenir plus longtemps et jouit en elle

Raïssa : << Nnnngggggghhhhhhhhh >>

En recevant la semence de Philippe dans sa chatte, Raïssa se tendit de tout son long sur la pointe des pointes. Ses pénétrations si brutes et cette coulée subite de sperme si épais et si chaud l’avait aussi fait jouir. Mais ce n’était pas la fin. Non Philippe comptait bien rentabiliser les 500 milles qu’il lui avait donnés. Malgré deux jouissances, il avait toujours envie de Raïssa. Il recommença à jouer avec ses nibards 

Philippe : << Je n’ai jamais vu de mes propres yeux des seins aussi gros que les tiens avant, et ils produisent tellement de lait >> 

Raïssa : << Mmmmh aaanh mmh >>

Philippe devenait vraiment plus brutal avec les seins de Raïssa. Ce n’était pas si désagréable pour elle. Elle sentait juste sa fougue et son envie démesurée d’elle. Subitement il la pénétra de nouveau 

Raïssa : << Aaaanh aattend mmmh aaanh >>

Raïssa n’était pas encore prête, elle ne s’attendait pas à ce qu’il reprenne si vite du poil de la bête. Avait-il mangé du lion spécialement à cause d’elle ? C’est comme si sa queue ne se ramollissait pas du tout, même s’il avait déjà joui deux fois. Philippe positionna Raïssa sur lui de dos, et pendant qu’il pressait ses seins, il lui pilonnait la chatte obligeant Raïssa à se tenir sur ses mains et surélever un peu son bassin 

Philippe : << Putaiiiin mmmh tu es trooop boonnne , mmahh j’arrive pas à me contrôler >>

Oh oui Raïssa ressentait pleinement ce manque de contrôle. Philippe cognait contre ses fesses avec tellement de fougue. Toute la chambre était devenue comme une salle de concert de bruits obscènes. Philippe donnait tout ce qu’il avait, plongeant profondément sa queue en elle 

Raissa : << Aaanhhh mmmmh aaanh aawwnhhh aanah ooooh uuhmmmm >>

Encore une fois, Philippe sentit qu’il allait bientôt jouir, mais cette fois, il se retira et vint s’asseoir sur Raïssa en positionnant sa queue entre ses seins. Il se mit à les baiser avec autant de fougue jusqu’à ce que son sperme gicle et s’étale sur le visage de Raïssa. 

Philippe : << C’était si boooooon, regarde tout le sperme que j’ai joui sur ton visage… j’adorerais prendre des photos de toi ainsi… Haha je blague ne t’en fais pas >>

Raïssa ne prêtait pas attention à ce qu’il disait. Son esprit était emporté ailleurs à cause de tout le plaisir qu’elle venait de ressentir. Elle en avait eu pour son compte, de l’argent et du plaisir bien plus qu’elle ne l’espérait. Ce Philippe était vraiment un bon coup même s’il semblait trop fougueux. Raïssa était quand même heureuse d’avoir si bien pris son pied 

Philippe : << Dis … est ce qu’on pourra faire encore une séance photo la semaine prochaine ? >>

Raïssa : << D’accord >>

Quelques jours plus tard, Raïssa se retrouvait au milieu de ses courses. Pour elle la vie était si simple à vivre. Si tu n’as pas d’amis, tu ne peux pas être embarqué dans leurs problèmes. Si tu n’as pas d’amoureux, tu ne peux pas être trahie et sans eux la vie continue son cours. Tant qu’elle a de l’argent, elle pouvait vivre confortablement et c’était cela l’important pour elle. Cette manière de penser, Raïssa ne l’avait pas il y a encore quelques années. Jusqu’au jour où elle surprit sa meilleure amie Maeva avec celui dont elle fut amoureuse. Ce fut une épreuve si dure pour elle à traverser qu’elle ne voulut plus jamais accorder sa confiance à qui que ce soit de peur d’être blessé à nouveau. Depuis ce jour son monde a complètement changé. Elle a commencé à vivre une vie assez solitaire. Elle passait la plupart des fêtes, seule, chez elle, à regarder des séries ou des films. Cette solitude avait beau être pesante, au moins cela ne la faisait pas souffrir comme la peur d’être trahie après avoir accordé sa confiance à quelqu’un. Vivant ainsi, sans réel ami ou famille, avant qu’elle ne s’en rende compte elle avait déjà 29 ans. 

Aujourd’hui elle avait d’ailleurs rendez-vous avec Maeva. Cette dernière l’avait invité à dîner dans un restaurant. Raïssa ne sait pas pourquoi elle a gardé contact avec Maeva. Quelques années auparavant, elle sortait avec Ousmane. C’était un fils à papa, mais Raïssa était véritablement amoureuse de lui sauf qu’elle ne voulait pas avoir de rapports sexuels précipités avec lui sous les conseils de son amie Maeva. Cette dernière lui disait de se préserver et de ne pas donner sa virginité à Ousmane, qu’il se peut qu’il ne soit là que pour ça. Ousmane se faisait de plus en plus insistant alors Raïssa avait demandé à Maeva de parler en sa faveur. Cela fut son erreur, car Ousmane devenait de plus en plus distant avec elle. Bien plus tard elle apprit que Maeva couchait en fait avec Ousmane en les surprenant sur le fait. Maeva lui a dit que c’était arrivé juste comme ça et que ce n’était pas prémédité, tandis qu’Ousmane, lui, disait ne plus l’aimer et être amoureux de Maeva. Sur le coup Raïssa ne savait pas quoi dire, elle a fait la fière, à réprimer ses émotions et leur a souhaité le meilleur en disant à Maeva que cela ne changerait rien à leur amitié. Sauf que depuis elle vit avec ce poids sur la conscience, ce poids de ne pas avoir exprimé cette rage, cette colère, cette tristesse, cette amertume qu’elle ressentait. Quelques heures plus tard, elle croisa Maeva dans le restaurant. C’était quand même un chic restaurant. Vu l’aise de Maeva, elle devait sans doute beaucoup fréquenter ce restaurant. Raïssa ne pouvait se le permettre vu le prix des plats. À chaque fois que Maeva cherchait à voir Raïssa, c'était pour afficher le luxe dans lequel elle vivait avec Ousmane. Raïssa souriait à chaque fois faisant mine d’être heureuse. Assise à leur table, Maeva semblait concentrée sur son téléphone et Raïssa faisait mine de chercher un plat dans le menu. L’atmosphère était vraiment très lourde autour de la table et cela se ressentait au point où les serveurs hésitaient à venir prendre leur commande. Comme à son habitude, Maeva respirait le luxe, cela pouvait aisément se sentir sur elle. Le sac à main hermès à côté d’elle doit coûter des millions, ses bijoux aussi. On dirait qu’il y a du diamant incrusté dans son collier. Même sa robe est de marque. D’un coup d’œil, Raïssa se doutait bien dans quel train de vie luxueux devait vivre Maeva. C’est pour cela qu’elle restait silencieuse. Que devrait-elle lui dire ? Qu’avait-elle à lui dire ? Maeva lui avait volé la vie qu’elle aurait dû vivre. Elle lui avait volé son amour. Sa vie à elle était tout le contraire, elle avait des moments de galère où elle était obligée de faire des choses dévalorisantes pour s’en sortir, pour ne serait-ce qu’avoir de quoi se donner un genre. À l’instant présent tout ce qu’elle voulait, c’était poser ses mains froides sur le cou de Maeva et l’étrangler jusqu’à ce qu’elle meure 

Maeva : << Est-ce que tu vas bien ? Ta mine est bizarre >>

Raïssa : << Aaah ..>>

Raïssa n’en revenait pas d’avoir eu de telles intentions meurtrières, oui elle en voulait à Maeva, mais pas au point de la tuer. Pourquoi avait-elle pensé à ça ? Peut-être que c’est elle qui est mauvaise et qui ne mérite pas d’être heureuse finalement. En la regardant bien Maeva, Raïssa remarqua un truc. On dirait qu’elle a fait de la chirurgie, elle n’avait pas des seins aussi gros avant 

Raïssa : << Ce n’est rien, j’étais juste perdue dans mes pensées. As-tu fait de la chirurgie ? Tes seins … >>

Maeva : << Ha oui, tu as vu ? Ça m’a coûté une bonne dizaine de millions, mais ils sont devenus si beau. Ousmane en raffole. Toi… Tu n’as pas changé depuis la dernière fois qu’on s’est vu, tu es toujours… toi >>

Raïssa ne savait pas trop comment prendre cela. Qu’est-ce qu’elle voulait dire par là ? Oui elle n’avait pas changé. Tandis que Maeva semblait être devenue encore plus belle. 

Maeva : << En fait j’avais quelque chose d’important à t’annoncer. Deux choses même, moi et Ousmane nous allons nous marier et je vais être mère >>

Cette nouvelle sonna Raïssa, elle sourit et adressa ses félicitations à Maeva. Elle retenait surtout ses larmes. Toute la tristesse et l’amertume qu’elle avait refoulée, essayaient de remonter à la surface. Raïssa reçut un appel de ce fameux Nathan, elle coupa l’appel et en profita pour prétexter un truc urgent afin d’écourter son rendez-vous avec Maeva et s’en alla. Elle sortit du restaurant et se mit à marcher sans savoir où elle allait. Le ciel était menaçant, très menaçant et rapidement il se mit à pleuvoir des cordes. Mais Raïssa marchait toujours comme si elle était déconnectée de ce monde. Elle passa devant une bijouterie et vit des bagues de fiançailles. Cette vie que vit Maeva devait être la sienne. Raïssa se demandait ce qu’elle avait fait au ciel pour mériter tous ces malheurs. Alors qu’elle était arrêtée devant la bijouterie, un homme s’approcha d’elle avec un parapluie 

Lui : << Miss tu vas bien ? >>

Raïssa : << … >>

Lui : << Je m’appelle Marc, en fait depuis tout à l’heure, je vois que tu es comme perdue et sous la pluie. Je peux te raccompagner si tu veux, je suis juste garé là >>

Raïssa vit son véhicule, c’était une range rover. La toute dernière. 

Raïssa : << Je ne veux pas rentrer chez moi >>

Marc : << Alors si ça te dit, viens chez moi, on boira quelques verres ensemble >>

Évidemment Marc n’avait pas de saintes intentions envers Raïssa. Quand il l’a vue il s’apprêtait à démarrer sa voiture. Mais sous cette pluie battante, il voit une jeune fille avec des formes à faire bander un mort. La pluie plaquait sur son corps sa robe et mettait en valeur ses sulfureuses formes. Il ne pouvait pas laisser cette proie lui filer entre les mains. Après l’avoir conduite chez lui, Raïssa était assez évasive, elle répondait peu et se contentait de boire. Ses vêtements étaient tous mouillés alors Marc lui proposa de les ôter pour qu'elle n'attrape pas un rhume et qu’il lui apporterait quelque chose pour se changer. Alors que Marc était allé chercher des vêtements dans sa penderie, il revint trouver Raïssa qui s’était complètement déshabillée pour l’attendre. Elle ne semblait pas chercher à le séduire, elle était juste là, toute nue en train de regarder son verre d’alcool le regard perdu dans le vide. Marc lui ne pouvait rester insensible face à ce qui se tenait devant elle. Raïssa était aussi belle que les sirènes dont parlent les légendes. Elle dégageait un énorme sex-appeal même sans rien faire. Marc la dévorait des yeux. Ses énormes obus dont les tétons pointaient sans doute à cause de toute la pluie qui l’a mouillé. Raïssa avait un teint clair qui brillait de mille feux. Son corps semblait avoir été dessiné avec précision. Physiquement elle n’avait aucune imperfection. Tel un puzzle complet, tout semblait être exactement a sa place sur son corps. Marc n’a pas hésité à lui dire directement ce dont il avait envie 

Marc: << Tu me donnes vraiment envie tu sais, j’ai rarement vu une femme aussi sexy que toi… je me disais qu’on pourrait… >>

Raïssa : << Je m’en fiche, fais ce que tu veux >>

Marc : << Euh ça veut dire que ... ? >> 

Raïssa se releva, elle se déshabilla et se dirigea vers la chambre de Marc. De toute façon elle avait compris dans son regard que tout ce qu’il voulait, c'était coucher avec elle. Peut-être sera-t-il un bon coup qui lui fera oublier toutes ces pensées amères qui lui saturent le cerveau. Le premier coup fut assez bref et rapide. Raïssa se trouvait en levrette au bord du lit, le haut du corps étendu sur le lit reprenant un peu son souffle. 

Raïssa : << Aah ha aaah >>

Marc avait joui abondamment en elle et était allé récupérer de la boisson au salon. Raïssa, elle aussi, avait joui et sentait ses forces abandonner son corps… À Suivre … 



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