Rébellion

Write by Les Chroniques de Naty

 Prologue

 

Quelque part dans un studio d’Abidjan...


-Es-tu vraiment sûre que tu veux qu’on le fasse ?

-Oui j’en suis sure.

-Pas de regrets ?

- Pourquoi poses-tu toutes ces questions ? N’as-tu plus envie de moi ?


Léon me dévisageais comme si c’est la première fois qu’il me voit. Pourquoi réfléchie t’il autant ?


-J’ai trop envie de toi raison pour laquelle je te demande si tu es vraiment prête à passer le cap. Parce que le stade d’excitation dans lequel je suis, rien ni personne ne peut m’arrêter ; seulement que je veux être rassuré. Plaida t-il d’une voix rendu rauque par le désir

-Alors arrête de parler et fais moi tienne.


Et même s’il lavait voulu je ne l’aurai pas laissé changer d’avis. Il commença à me débarrasser de ma robe, mais s’arrêta. J’étais nue sous la robe ; j’ai traversé la ville en ne portant aucun dessous. Juste une simple robe en flanelle et transparente de surcroît.


-Oh ma chérie tu vas me rendre fou !!! S’exclama-t-il.


Je baissai la tête intimidé. C’est la première fois que je me trouve entièrement nue devant lui. Mais vue la façon dont il me dévore du regard, je sens qu’il adore mes courbes généreuses. Et je ressens une certaine fierté ; car oui j’ai un beau corps.

Lorsqu’enfin le dernier bouton de son jeans succomba à mes mains, sa virilité jailli par l’ouverture telle une bête sauvage s’échappant de sa cage.


-Voilà dit-il. Tu sais maintenant ce qui remplissait mes poches...


J’admirais, fascinée. Puis je m’enhardis jusqu'à tendre la main pour me saisir de son membre durcit par l’excitation.

Oh mon Dieu qu’il est beau !!! Je n’arrive toujours pas à croire que je vais passer à l’acte avec lui, je suis tellement heureuse de lui offrir mon innocence. Je veux qu’il me fasse l’amour et que nous ne fassions qu’un. Au fond je prie pour qu’il puisse me mettre enceinte ; mais il à insister à ce que j’achète une pilule contraceptive que je prendrai dès qu’on aura fini.

Lorsque Léon se mit à m’embrasser, je perdis tout contact avec la réalité. Il est à présent nu et nos corps se sont maintenant plus rapprochés. Il se dégageait de nous une chaleur à faire fondre du sucre.


Je continuais à titiller son sexe.


-Oh, Ayana… ma douce, tu me tues !


Je ne savais pas quoi dire ; je suis heureuse et excitée à l’idée que ce sont mes petites mains qui lui procurent autant de plaisir.


-Oui oui vas-y continue comme ça… ooorrhh la vache ! Tu t’y prends tellement bien.


Soudain il me renversa sur le lit et me recouvra se son corps ; le souffle me manqua. Ses caresses lente au début, s’accentuait plus. Il introduisit un doigt en moi. Je poussai un petit cri.


-As-tu mal ? S’enquit-il.

-Oui juste un peu.

-C’est normal mon amour. Mais je promets de ne pas te faire mal ; tu sentiras seulement une vive brulure et après ça le plaisir viendra. Fais moi confiance mon ange je t’emmènerai au septième ciel sans que tu ne débourses un franc.

-Je te fais confiance.


Il continua son petit manège pendant un bon moment, mon entrejambe est toute humide.  Il m’embrassa dans le cou, puis descendit vers ma poitrine, il commença à jouer avec mes tétons. Il mordilla, soufflait dessus. J’avais le feu dans mon bas ventre, ma respiration devient saccadée. Il continuait à descendre encore et encore jusqu'à ce qu’il atteignit le centre ma féminité.

Heureusement que je m’étais épilée dans la matinée. Il y enfonça sa langue d’un coup et cela m’arracha un long gémissement.


-Tu aimes ça non  petite cochonne.

-Oui J’adore Léon.


Sa langue experte jouait encore en moi quand je sentis un liquide chaud qui coulait.


-Hum humât-il. Ta sécrétion sent la vanille. Et je pense que tu es prête à être pénétrée. Regarde moi droit dans les yeux et pense a ce qu’il ya de plus beau et de plus doux ainsi tu ne sentiras pas la douleur.


Je perdis mon regard dans le sien à la recherche du beau et du doux, je le trouvais. Léon et moi dans notre maison entourés de nos enfants. Une vie de couple parfaite dans une vie parfaite.

Néanmoins je sentis une petite douleur lorsqu’il s’enfonça tout doucement en moi. Il grogna fort et ferma les yeux.


-Que tu es bonne ma chérie.

Je serrais les jambes sous l’effet de la douleur, et lorsque je ferme les yeux, je vois le visage de ma mère inondé de larme.

-Pardonne moi maman murmurais je.

-Détends toi ma chérie… oui c’est ça détends toi. Mais pourquoi pleurs tu amour. Chuuttt tait toi, tu veux que j’arrête ?

-Non

-Mais pourquoi pleures-tu alors ?

Je ne voulais pas le frustrer donc je mentis.

-Pour rien ; je t’aime.

-Moi aussi je t’aime et je te promets de ne jamais te quitter.

Il commençait les mouvements et je commençais à me détendre, le plaisir fut plus fort que la douleur. Mais lorsque je ferme les yeux, il ya toujours l’image de ma mère en pleure.

Je décide alors de garder les yeux ouvert et savourer le corps de Léon contre le mien. Il continuait de me pilonner en débitant des phrases inaudibles. Surement que l’excitation est trop forte pour qu’il puisse bien articuler.

-Oh ma douce… que c’est bon… tu es à moi et à personne d’autre.

-Oui je suis tienne pour toujours. Criais-je en écho à sa confession.


A ces mots, je me sentis submergée par une vague de plaisir insensé qui m’arracha un cri, et j’enfonçais mes ongle dans les épaules de Léon pour ne pas hurler a tue tête. Je jouissais encore lorsqu’il plongea une dernière fois en moi de toute sa force en criant mon nom. Puis il s’écroula sur moi.


Nous restions là un bon moment à nous caresser et nous embrasser. Pour une première fois, on peut dire qu’elle a été mémorable.

La voix de Léon rompit le charme.


- Comment te sens-tu ?

-Humm je me sens comme un bébé, et j’ai les jambes en coton.


Il souri.


-Oui c’est normal. Tu as aimée ? L’expression de son visage changea. Comme si de ma réponse dépend le déroulement de la soirée.

- Non je n’ai pas aimée… son visage se froissa.

-Ah bon ? Mais pourquoi ne m’as t…

-J’AI ADOREE… le coupais je.


Il poussa un ouf de soulagement et me lança un coussin.


-Tu m’as fais peur. Mais dis-moi que vont dire tes parents quand ils découvriront que tu n’es plus vierge ?

-Je me fiche bien de ce qu’ils peuvent penser. Et tu veux que je te dise, j’espère qu’ils auront la honte de leur vie.

-Mais pourquoi les détestes-tu autant ? Demandas t-il incrédule.


Il ne peut pas comprendre.


-Je ne les déteste pas, au contraire. Mais mon père a cette fâcheuse manie de vouloir imposer sa volonté à tous. Alors que moi je suis comme un papillon, plus tu veux m’attraper et plus je m’éloigne.

-Mais ma chérie il fait ça pour ton bien.

Mais qu’est ce qu’il a celui la ? C’est seulement cinq minutes âpres m’avoir dépucelée qu’il va avoir des prétentions.

-Ecoute moi, tu aurais du y penser avant de me sauter dessus.


Il me regarda la bouche ouverte.


-Mais c’est toi-même qui as dit que tu voulais qu’on le fasse. Alors ne rejette pas la faute sur moi ; j’essaie simplement de te faire voir le point de vue de tes parents.

-Je pense que c’est un peu tard pour ça. Et tu ne m’as certes pas obligée, mais tu n’as pas refusé aussi la proposition. Et puis si ce n’était pas toi, c’était un autre.

-Tu oseras me tromper avec un autre ?


Je ne répondis pas.


- Réponds-moi !

-Non je ne répondrais pas. Et puis laisse tomber ce discours s’il te plait ; vue que tu as ouvert la ‘’porte’’, autant continuer en même temps, ou bien ?


Il ne se fit pas prier deux fois, et se jeta sur moi pour une autre partie de jambe en l’air bien rythmée.


Je me nomme Ayana Sy Savané, et mon père veut me donner en mariage à un parfait inconnu. Mais comme on le dit chez nous, il a tiré à terre. Je l’humilierais devant toute la communauté et il regrettera d’avoir gâchée ma vie…

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